Iai Rashomon- Ce n'est pas drôle ce qui se passe avec tes études. Des fois, on rencontre des obstacles et on n'a plus après le même intérêt, la même passion. Par exemple, au début de mon secondaire, j'adorais les sciences de la nature et j'étais souvent dans les meilleurs, mais en quatrième année, je me suis buté à un professeur que je n'aimais pas vraiment avec sa pédagogie à la noix, et j'en ai arraché. Maintenant, la chimie, la physique et la biologie me dégoûtent.
Bon courage, je pense à toi!

Bon, je veux vous donner mes nouvelles sur mes études.

Je vous avais dit que j'avais commencé un Baccalauréat universitaire à l'Université de Montréal dans le programme Anthropologie et études classiques. Après des mois d'étude, j'ai décidé de changer d'orientation.
D'abord, oubliez-moi en études classiques : on y met l'accent sur la littérature gréco-latine et les langues anciennes, ce que j'ai trouvé trop difficile et pas à mon goût.
Puis, en anthropologie, je voulais me spécialiser en archéologie, mais je me suis rendu compte que ce n'est pas le domaine où je voudrais faire carrière à cause de plusieurs aspects de la profession que je n'apprécie pas du tout (c'est très manuel et rapproché des sciences physiques et de la nature). Bref, j'y serais malheureux si je restais là.

Alors, j'ai découvert que c'était l'histoire où je me sentais plus heureux et à ma place. Par conséquent, je quitte les études classiques et je termine une mineure en anthropologie l'automne prochain (pour éviter de perdre du temps à cause des cours facultatifs) avant d'entamer un baccalauréat ou une majeure en Histoire, spécialisé en antiquité.

Plus tard, j'aimerais sûrement être un prof d'histoire comme Bullzor, mais lui, je pense qu'il s'est spécialisé en histoire française contemporaine.

J'ai validé mon premier semestre de droit ! Seconde première année pour moi et j'avais peur de me replonger dedans suite à l'échec cuisant l'an dernier mais au final, je suis rassuré d'avoir réussi cette première étape. Plus que le deuxième semestre et je pourrais souffler un petit peu avant d'affronter la pire des années d'après les témoignages => Le deuxième année

Je déterre à nouveau ce sujet parce que j'attendais depuis longtemps de pouvoir poster dedans en tant qu'étudiant

Donc je viens d'entrer en première année d'éco-gestion avec une sorte d'option bizarre qui me fait faire 6h d'anglais en plus par semaine (on ne trouve ça que dans ma Fac donc ne cherchez pas même si ça vous intéresse ^^).
La semaine dernière on a eu des cours de soutien en maths car visiblement on va en avoir besoin en éco. On en a bavé pendant 8h
Mais aujourd'hui j'ai eu un cours d'anglais (le même genre de choses qu'au lycée : compréhension orale niveau lycée. La différence étant qu'on avait que deux écoutes et la correction se faisait assez vite donc on en a fait plusieurs. Mais tout le monde a trouvé ça simple).
Une heure après, j'ai eu mon premier cours en amphiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!! Je ne sais pas si c'est toujours comme ça, si c'est le prof, ou si c'est juste parce que c'est le début, mais pour le moment je trouve que l'amphi n'a rien d'effrayant pour les élèves sérieux. Le prof était clair, il nous laissait bien le temps de prendre des notes, etc ... En plus personne ne faisait n'importe quoi donc c'était calme. Le prof interrogeait même les élèves volontaires

Bref, une première journée (ou demie-journée vu mon emploi du temps d'aujourd'hui bien sympathique

EDIT :
@SillyWilly : Aujourd'hui j'ai à nouveau fait une demie-journée bien sympathique .
Par contre c'est vrai que même si ce n'est que le début, je vois de plus en plus qu'il faut travailler. Le prof de gestion nous a dit que 99% de son cours se trouvait dans deux livres. Mais ils sont chers : 46 et 48€
Le vrai problème c'est la microéconomie. Puisque je fais un truc spécial, je n'ai pas micro en amphi, mais en salle de TD. Tous les élèves nous ont prévenu que ce prof était un peu foufou. Pourtant il avait l'air très gentil donc on se demandait ce qu'il cachait. Donc hier on se pointe en micro, le prof arrive (calme), il se présente (gentil), tout était nickel ! Puis il présente sa matière :
"Alors les autres élèves d'éco gestion seront prévenus 2-3 semaines à l'avance pour leur examen en micro, mais comme vous êtes une classe spéciale vous aurez des examens surprises" On pensait avoir mal compris, mais non. Le prof poursuit : "Donc un jour vous arriverez en cours et je dirai : oh tiens il y a de la place, mettez vous un par table on fait un examen". Comme ça c'est clair et net, on doit travailler pour chaque cours. Mais à part ça il a l'air d'être un bon prof et il est sympa Ah oui j'oubliais ! Comme on est en petit groupe et qu'on est censé être bons en anglais, nos cours de micro se feront en anglais ! Pour le moment c'est en français, mais uniquement parce que c'est le début de l'année ^^.

Tant que j'y suis, parlons des statistiques de l'année dernière, comme ça ce sera fait ^^ :

-finance : 25% des élèves ont eu moins de 3 à leur examen. Presque 50% ont eu moins de 6.
-micro : "la plupart d'entre vous aura 0 au premier contrôle"
-globalité en éco gestion : 5 ans pour avoir la license
-globalité pour ma filière spéciale :
*plus que 19 élèves en L2 alors qu'on commence à 30 (et si on redouble on ne peut pas choisir cette filière spéciale).
*Les notes des élèves chutent en novembre

Bref, pour résumer ma vision de l'année par un smiley :

Le reste de ta semaine a donné quoi Jack Rackman ? Parce que bien qu'au premier abord les bancs de la fac et des amphis semblent plaisant, au fils du temps, des profs, des cours, des gueules de bois et autres, tu te rendras très vite compte que la liberté a laquelle on a droit a la fac peut très vite s'averer etre un piege Mais si tu restes serieux comme tu le fais pour le moment ca ira très bien ;). En plus en éco gestion c'est pas la "pire" des filieres, dans le sens ou ca rassemble pas 1000 personnes et que les cours sont interessant a souhait. Et que ca gratte pas... Mais ca depends des villes aussi

Moi de mon coté, après 3 années en physique (L1, L2 puis L2) je suis actuellement en L2 (et ouais, je passe ma vie en L2 et ca me plait bien :p) Electronique. Je trouve ca plus appliqué et concret que la physique ou je n'arriverais pas a me projeter dans mes cours (allez utiliser des rotationel ou des divergents dans des endroits autre qu'un champ de potentiel ou d'autres blabla du genre...)

Ça y est ma première année de prépa littéraire commence (aka hypokhâgne) : j'ai eu ma première sale note. Toujours pas de colles, mais j'attaque dès la semaine prochaine.
À part la masse de travail exigée ça ne change pas trop du lycée. J'ai au final la chance d'être dans une classe pas trop huppée ni trop mal classée, du coup la pression et la concurence sont moins importantes qu'au Parc ou dans les prépas parisiennes. Elles existent, mais ils ont pas l'air de trop nous pousser à bout pour l'instant. C'est plus confortable quand on a pas pour ambition première l'ENS.
Au final ces deux ans vont surtout me servir à poser calmement mes projets pour de futures études en fac. J'hésitais trop entre l'italien, la philo, la littérature et l'histoire/anthropologie. Pouvoir encore profiter de la pluridisciplinarité et du coup se fermer aucune porte c'est ce qui me fallait. (je peux rejoindre la fac en L3 dans toutes ces matières après les deux ans de prepa)

Après avoir passé mon bac ES en Juin 2013, que j'ai eu mention assez bien, j'ai commencé cette année des études de comptabilité. Je suis donc en DCG (diplôme de comptabilité et gestion) 1 ère année.
Le rythme est relativement soutenu mais le fait que je sois dans une école et non une fac m'oblige en quelques sortes à aller en cours tous les jours. Parce que me connaissant, à la fac j'aurais passé plus de temps à glander qu'à travailler. J'espère juste ne pas m'être trompé et que le métier me plaise.

On verra les amis, je n'suis qu'au début en tout cas.

Comment déprimer toute une classe ! Tu dois être dans la meilleure fac de ta ville ou de ta région non ?
Parce que la seule fac que je connaisse qui a a peu près le même système élitiste est a Rennes et c'est la fac de Droit. Apparemment c'est la plus vieille de Rennes, tout le monde veut aller la bas, et blabla et blabla

Oui, c'est la meilleur Fac des alentours (on pourrait dire que c'est ma fac de "secteur" et il se trouve qu'elle est assez réputée pour l'éco-gestion). Celle de Nanterre était moins bien classée et était plus loin de chez moi donc c'est tout bénef ! ^^
Mais dans ma classe on a été sélectionné (bah ouais vu qu'en classe entière on est 30, mais il n'y a qu'une seule matière où on est tous ensemble. En TD on est 15. Sinon on est dans les amphis comme tout le monde ). Au début on n'a pas cessé de nous rappeler qu'on était l'élite blablabla ... donc on trouvait ça cool, mais à force ça devenait pénible ^^
Plus le temps passe, et plus ça devient dur.
Je crois que la semaine prochaine on a déjà des contrôles continus. Cette semaine je suis sûr qu'on va avoir au moins une interro. (sachez qu'on a déjà un bout de note en anglais ^^. Mais ça va car j'ai géré sur ce coup là )


Ça tu peux le dire . Le pire c'est que je n'arrive pas à déterminer qui va échouer dans ma classe. Donc forcément ça me fait un peu peur ^^
Quand on sait qu'en général au collège/lycée il y a toujours une bonne moitié de classe qui ne sait quasiment pas faire de phrase en anglais, on se dit qu'à l'université c'est pareil. Mais cette règle ne s'applique pas dans ma classe Personne n'a eu en-dessous de la moyenne en anglais pour le devoir qu'on a rendu. Et vu que les élèves qui font éco-gestion sont censés être bon en éco, c'est qu'ils sont encore meilleurs dans tout ce qui n'est pas anglais.

Au passage, tous les élèves de ma classe qui ont fait ES (c'est à dire les 3/4 car le quart restant a fait S) ont fait spé maths et ont eu entre 17 et 20 au bac de maths. Ces élèves de ES ont d'ailleurs tous eu une mention au bac (surtout la mention bien ^^)
Donc si 11 élèves doivent redoubler/arrêter, c'est que de bons élèves vont se retrouver avec des sales notes.
Bref, comment se déprimer tout seul

Ah et pendant que j'y suis, il faudrait peut être recommencer le sondage non ? Car vous l'aurez compris (enfin j'espère), je ne suis plus au lycée général. Je suis étudiant ^^.
Et à mon avis, c'est le cas pour d'autres personnes. D'autres ont sûrement même finis ou arrêté leurs études et sont donc dans la vie active.

Voilà, il est 1h18 quand je commence à écrire ce message, je sors donc ma pelle pour déterrer ce topic, vieux d'à peine trois mois.

Etudiants ou lycéens ou même déjà actifs, vous le savez, on arrive doucement à un point crucial de l'année : la fin du premier semestre de cours et c'est à cette occasion que je décide de revenir parler de mes études. Mais je viens pas pour parler que de moi, plus pour vous dire ce que j'ai appris, de la façon dont tout a changé dans ma vision des autres et du monde ^^
En effet, j'avais déjà posté dans ce topic, en début d'année il me semble, et c'était pour vous dire à quel point j'étais mal dans mes études, et fondamentalement pire, comment cette situation détestable et pourtant qui est loin d'être rare, a déteint sur ma vie. J'étais en école d'ingé, LA prépa intégrée de France, la seule du groupe A+ et du début à la fin c'était une misère. "Rater tout à ce point, c'est pas possible..." me disais-je alors. J'étais vraiment en haine contre moi-même à ce moment-là, moi qui n'ait toujours fait qu'étudier et bosser pour avoir des vingt (prononcer le T pour un accent plus alsacien !) partout, c'était mon motif, ma raison de vie qui s'en allait quasiment. J'étais, faut le dire, en grosse dépression.


Et j'ai pris une décision, une seule, qui m'a paru un coup de folie démente au début, mais qui avec le recul, me semble être la meilleure initiative que je n'ai jamais prise de ma vie : Je suis arrivé en contrôle, j'ai répondu à la première question et j'ai pris le temps de regarder mes potes une dernière fois parce que je savais que je ne les reverrai pas avant un bon moment (je les reverrai probablement cet été) puis je suis parti.

vous pouvez passer ce qui est en orange si vous voulez, je raconte l'état de ma pensée, c'est plus déprimant qu'autre chose et pas forcément utile, c'est souvent ça quand j'écris encore à 1h57 du mat ^^
Tout simplement. Au passage, rendre une copie (quasi) blanche c'était un rêve d'intello incompris haha ^^ c'était aussi et surtout un gros fuck à tous les profs trop intelligents pour être humain qu'on a eu au courant de l'année, et à ce système compétitif qui ne fait qu'aggraver bien des choses, et qui, j'ai fini par le penser, n'est plus à la page. Notez que l'absence de "compétition" n'implique pas l'absence de "sélection", j'y reviendrai dans un prochain paragraphe...
Le mieux sûrement, ou le pire, allez savoir, c'est qu'on était alors la veille des vacances de Pâques, et je retournai donc à mon Alsace bien aimée. Que faire quand nos parents sont très attachés à la réussite de leurs enfants, quand ils ont sué toute leur vie pour nous payer bien des choses et nous envoyer étudier là où on veut, quand on a une soeur en troisième année de médecine et un frère diplômé d'une plus grande école d'ingénieur sept ans auparavant ? C'était peut-être ça le plus dur, vous imagineriez difficilement à quel point c'est ... horrible de devoir leur annoncer ça, je l'ai vécu comme une trahison de ma part, alors que c'était moi qui me sentais trahi avant cela, mais il faut le faire. Si j'étais retourné là-bas, je ne sais pas ce que j'aurais fait !

Autant d'étapes difficiles et marquantes m'auront forgé, et être resté cinq interminables mois (printemps été entiers quasiment) à méditer sur fond de musiques intrigantes m'a paru méditer sous une pluie glacée. Pendant ces cinq mois, je m'étais fortement replié sur moi-même, je restais convaincu des paroles de mes professeurs fort détestables, des responsables qui ne pensaient qu'aux perfs de leur école (d'ailleurs, ça m'a choqué encore une fois, que lorsqu'ils me demandaient pourquoi je quittais l'insa, ce n'était que pour me répondre ensuite des phrases du style "oh, mais rien n'est encore joué voyons !", ou "tu peux revenir dans deux ans après un iut, ne t'inquiète pas !") et de mes camarades tout autant "chiants" (j'ai pas d'autre adjectif, navré ...), je broyais donc du noir. Tellement que j'ai failli devenir un philosophe, pour tout vous dire ^^


A côté de ces journées entières abandonnées à la réflexion, je suis sorti, je m'évadais, pour ainsi dire, je n'ai jamais fait autant de vélo de ma vie que cet été, pour être seul et apprécier le monde, la nature, et m'y laisser aller. Cela m'a permis de revivre et bien que ça m'embête de le dire et de l'avoir pensé, d'être sans ma famille, parce que si ma mère était triste, je sentais chez elle une once de reproche, de colère.

Enfin, vous l'attendiez, ce que j'en ai déduit, et ce que je pense à la suite, disons, de la première grande expérience de ma présentement courte vie (18 années seulement) :
C'est que dans toute vie, il est évident qu'on y rencontre des obstacles et parfois ceux-ci s'apparentent à des barrages tellement ils vous semblent insurmontables, mais tout leur intérêt est là, c'est de les dépasser, puis de les contempler tout en allant à nouveau de l'avant. De votre défaite vous tirerez votre prochaine victoire, et vous en apprendrez plus sur vous, en ressortirez peut-être avec une nouvelle approche de la vie.
Les études, c'était ma vie, avant cela. Et penser ça, c'était probablement l'erreur de laquelle tout partait. Avec cette année horrible, j'avais l'impression que je n'avais plus rien pour moi, que tout disparaissait, tout ça à cause d'une apparente intelligence dévaluée. C'était véritablement quelque chose de maladif chez moi, une mauvaise note et c'était un bout de ma personne qui s'en allait. Et évidemment, c'est dramatique d'en être arrivé à penser que la réussite a tant d'importance. A quoi bon se rendre malade pour quelque chose qui vous a déçu, qui ne vous plaît plus ?
La vie, ce n'est pas que ça. Il y a une vie après les études, on entend souvent dire, mais on est humains avant tout, il y a aussi une vie pendant les études. Je ne dis pas par là, attention, qu'il faille aller festoyer et consommer dieu ne sait quoi ou geeker des nuits entières.... mais les études sont un moyen, et non pas une fin. On n'y joue pas sa vie ! Les philosophes des lumières décrivent le bonheur comme une fin, et sa poursuite comme la ligne directrice de la vie d'un homme. Si l'on ne voit plus d'avenir dans telle situation, je reprends, si l'on est dans une impasse, je pense que le changement ne peut avoir que du bon. Nous ne sommes pas enracinés, alors pourquoi ne pas nous bouger ? Autant de raisons de prendre le temps de réfléchir. Pour revenir à mon expérience, j'ai pris la décision de quitter l'école sur un coup de tête, (je ne vise pas à inciter qui que ce soit à procrastiner sous prétexte que l'on n'aime pas forcément ce que l'on fait à un moment particulier, achtung ! ^^), mais derrière moi, j'avais un très bon dossier datant du lycée, et c'est maintenant que j'ai l'impression de toucher une première récompense du dur labeur accompli à cette époque : je suis dans l'école d'ingénieur concurrente, et je suis bien.
Je ne veux plus forcément être mécanicien, j'ai retrouvé ma passion, ou du moins mon intérêt pour les sciences et la connaissance, et je n'ai rien qui puisse inciter à la déprime. Mes amis ne me tirent pas vers le bas, les profs ne sont dirigés contre personne, les cours se passent bien et on peut travailler à son rythme (très tranquille le mien pour tout dire, c'est pour ça qu'à 2h19 je suis toujours en train d'écrire ici ^^ bordel que le temps passe vite). Je pense faire les cinq ans cette fois, cependant j'hésite à acheter le pull de l'école, parce que j'en ai déjà un de l'an dernier à brûler et je n'aimerais pas attirer la malchance haha.

Bon je vais quand même raccourcir, et tirer une conclusion hâtive pour casser mon incroyable rythme de blablatage en paragraphes gargantuesques (édité l'adj ^^) et répéter que

je dirai que l'essentiel dans la vie, c'est d'être heureux, et pour ça, il n'y a qu'un seul moyen, c'est de faire ce que l'on veut, ce que l'on aime, ou d'avoir ceci comme but. Rien n'est figé, on a toujours la possibilité de changer des choses, je n'ose pas trop m'avancer parce que je ne suis pas dans sa tête, mais LE D n'est peut-être pas très éloigné de cette dernière pensée, il nous a déjà prouvé à de maintes reprises que la vie présente toujours de bonnes surprises.

Quant à moi, encore deux ans et je pourrai me mettre au design industriel et peut-être, qui sait, toucher à mon rêve !



Et pour répondre au sujet :

Je suis à l'utc, première année, je fais de la chimie classique, du dessin technique, des maths, de l'allemand et de l'épistémologie, j'ai plein d'amis, l'école est super, les gens sont pas tous cons, la ville est sympa, et hormis le fait qu'il fasse supra froid en ce moment, tout est bien ! ^^ Miiiiiince il est 2h33, je vais m'arrêter là.


PS : un ptit merci à ChaosX pour son petit soutien, ça m'avait fait plaisir à l'époque ;)

PPS : je n'en ai pas parlé finalement, mais du coup existe-t-il un sujet sur les systèmes scolaires/d'étude sur ce forum ?

PPPS : laissez moi douter de l'intérêt de ma participation dans ce topic, mais des fois j'ai de subites envies de gratter

PPPPS : *d'écrire plutôt

Bonne nuit ! x)

Je vais rajouter mon petit commentaire à ce sujet

J'ai fini mes études il y a un petit moment et je travaille mais je vais faire un petit résumé.

J'ai eu un bac ES option SES il y a un petit moment puis j'ai passé trois ans en droit mais j'ai pas continué en raison d'un manque de motivation dans mes études mais pas que.
Je trouvais ça intéressant, je dirai même que ça m'a ouvert l'esprit sur notre monde actuel [de même pour mon bac] mais je ne voyais pas continuer dans cette branche, je n'aurai jamais trouvé ma place dans cet univers.

Alors j'ai bifurqué dans un autre domaine qui n'a rien à voir: la projection.

Un an d'étude après cela [l'une des mes plus belles années d'écoles après ma première et c'était bien de terminer l'école comme ça] j'ai commencé à travailler non sans difficultés car dans ma branche, trouver du boulot est très difficile.
En plus du manque de cinémas en France dû à l'apparition des multiplex [qui ont tous bouffés] le nouveau problème est l'apparition du numérique a rendu le travail des projectionnistes moins nécessaire car certains cinémas automatisent tous [un jour les agent d'accueil auront également ce problème].
Cependant la loi oblige à ce qu'un projectionniste soit présent durant les heures d'ouvertures ce qui permet de garder des postes.
Je suis pas restée longtemps au chômage, j'ai enchaîné des CDD dans différents endroits et là je suis en poste dans un multiplex ou on fait le choix de conserver des projectionnistes jusqu'en juin 2014. Après on verra là où le vent m'emportera.

Après le travail en soit a évolué passant du 35 mm au numérique mais ça c'est une autre histoire et celles et ceux qui veulent en savoir plus n'auront qu'à me demander. =D

Au passage, bon courage à celles et ceux qui passent des examens bientôt!!!

Petite note de service (en retard, hem) : le sondage du topic concernant les études des membres du forum vient d’être remis à zéro avec quelques modifications pour avoir quelque chose de plus proche de la réalité actuelle du forum.
Vous pouvez désormais spécifier votre niveau d'étude et votre secteur d'étude (littéraire, technologique, etc.), à l'aide d'un sondage à deux choix - attention à ne pas vous tromper.

Les résultats du précédent sondage ont été repris dans le premier message. Le premier sondage couvre une période allant du 15/08/2005 au 31/12/2013.

That's all folks !

Vu que le sujet est relancé, j'y vais de mon commentaire ^^

Je suis actuellement en M1 Droit privé et sciences criminelles (spécialité droit pénal) et je prépare également un diplôme universitaire de Criminologie à la fac de droit de Nancy et je me destine à être avocat (il y a encore du chemin à faire héhé!)
Sinon je suis titulaire d'une licence de droit privé sciences criminelles en double parcours droit/droit des pays de Common Law (USA, UK) et je suis issu d'un BAC L spé anglais.

Voili voilou!

Bwarf allez, comme je viens d'en finir avec tout ça, je peux commenter un peu, ça me changera de ma position habituelle de forumer fantôme.

Après un bac L, obtenu en 2005, j'ai fais des études de Lettres. J'ai obtenu ma licence de Lettres Modernes en 2008, après quoi j'ai tenté le concours du CAPLP Lettres / Histoire, auquel je ne me suis même pas présenté finalement, me sentant trop immature pour me lancer d'ores et déjà dans cette voie.
Après, y a eu la réforme de la masterisation dans l'éduc'nat', alors je suis reparti sur deux ans de Master recherches en Lettres Modernes, et j'ai achevé ce cursus incroyablement dense et passionnant en 2011.
Après ça, j'ai fais une année sabbatique, où j'ai bossé comme assistant d'éducation à temps plein (j'ai travaillé tout au long de mes études pour m'auto-financer, à Mc'do pendant 2 ans et demi, d'abord (10h par semaines, plus pendant les congés scolaires) puis en tant que Maître d'Internat dans... un internat (ça c'était à temps plein, mais travail nocturne, donc j'allais en cours la journée)).
Puis l'année suivante (2012-2013), tout en bossant comme professeur de français contractuel, j'ai passé le CAPES de Lettres Modernes, que j'ai réussis.
Je suis donc professeur titulaire de Lettres Modernes depuis Septembre 2013... et c'est franchement trop cool.

Voili voilou pour mon parcours perso.

Je suis actuellement en L2 lettres modernes et je n'avais as lu le message de Shadow Gate avant d'écrire, mais je voudrais poursuivre dans la même voie depuis que je suis au collège :) J'aimerai devenir professeur de français en collèges et lycées, d'une part parce que j'aime la langue française (oui, j'adore l'orthographe, la grammaire et tout ce qui va avec ^^) et la littérature (surtout la littérature comparée : elle permet d'établir des liens entre des oeuvres de différentes époques et de différentes origines géographiques), et d'autre part parce que j'aime tout simplement enseigner, ou plutôt, apprendre des petites choses aux enfants et adolescents au stade où j'en suis
J'ai donc fait un bac L spécialité anglais (qui, à cause d'une erreur administrative, était spé latin au début...), et je compte bien continuer dans la voie littéraire

Je profite d'un peu de temps libre pour donner de mes nouvelles.

Pour ce qui est de ma mineure en anthropologie, c'est réussi et j'attends mon relevé de notes avant mon diplôme.
Et j'ai été accepté en histoire. Je viens de commencer les cours à temps plein depuis le sept janvier et je suis assez surpris de certaines choses.

Après avoir parlé avec quelques collègues, dont un à McGill (université anglophone à Montréal), je me suis rendu compte qu'en anthropologie à mon université, la marche était moins haute pour la première année qu'en histoire. J'avais beaucoup moins de travaux à remettre alors qu'en histoire, c'est plus difficile même si c'est plus intéressant.

Malgré tout, j'ai la joie de connaître un programme compressé en trois jours et avoir ainsi quatre jours de congé.

C'est une session d'adaptation et j'espère pouvoir y percer. Si tout va bien, je continuerai à l'université.