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 Sujet du message: [Scénario] "Legacy"
MessagePosté: Sam 4 Nov 2006 22:35 
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Alors les jeunes (et les vieux aussi, mort au sectarisme), on aime lire des histoires ? Quelle chance, car votre dévoué TheEdgeWalker en a une sous la main !
A la base, ceci est un scénario (de quoi ? Bah euh j'sais pas...) que j'ai commencé à écrire un jour où j'avais lu plein de mangas (un samedi donc. Mais je sais que vous vous en foutez) et que je me sentais d'humeur à créer... Ca fait quand même plus de 2 ans maintenant. Aujourd'hui l'histoire est sacrément avancée, mais je vais juste commencer par vous mettre le début.
Ce récit est censé être de l'Héroic Fantasy, ça n'a donc aucun rapport avec One Piece. Mais j'aime quand on me donne mon avis sur ce que j'écrit. Et pour finir, le style employé est "tout à l'indirect", et ce à cause de l'idée de base "c'est un scénario". Enfin j'espère que vous vous y ferez (et je sais que ça manque cruellement de découpage en paragraphes).
Trève de bavardages, voici la bête !


LEGACY


Dans ce monde, il y a très longtemps de cela, une guerre éclata, pour une raison que tout le monde a oublié, entraînant dans le conflit chacun des pays qui composaient cet endroit. Personne n’était épargné et le combat semblait durer depuis toujours, quand apparurent neuf guerriers, chacun issu d’un pays différent, et chacun maniant une arme différente. Ces héros étaient Calom l’épeiste, Aranor le mage noir et son sceptre, Zerdu aux griffes de métal, Kalys la mage blanche aidée de son bâton, Fora la manieuse de hache, Hego le lancier, Berit la guerrière aux sabres doubles, Saksta la Cartomancienne et Void, dont l’histoire n’a pas retenu l’arme. Révoltés par la folie dans laquelle leur monde était entraîné, ils s’associèrent pour mettre fin à la guerre. Et ils y parvinrent, car ils s’avérèrent être les plus puissants combattants que ce monde eu jamais connu. Ils vainquirent les armées les unes après les autres, car ensembles, ils étaient invincibles. Leur démonstration de force eut vite fait de ramener à la raison les dirigeants du monde, et la guerre prit fin. Puisqu’ils avaient accompli leur œuvre, les Neuf, comme on se mit à les appeler, décidèrent de se séparer. Mais avant de disparaître définitivement, ils scellèrent dans le temple de Lunato, la ville où les dirigeants acceptèrent de mettre fin au conflit, un trésor mystérieux, connus d’eux seuls, qu’ils dirent être leur héritage. Ils dirent aux habitants de ce monde que l’Héritage serait descellé le jour où se présenteront devant le temple ceux qui portent leur neuf armes. Puis personne n’entendit plus jamais parler d’eux…

L’histoire commence dans un petit village du sud du continent, nommé Stahrte. C’est là que vit Qalom, un jeune garçon de 18 ans. La particularité de ce jeune homme est qu’il est le plus fort de son village au maniement de l’épée. Aucun des autres jeunes du village n’a jamais gagné contre lui et les adultes, même ceux qui ont un métier de combat, ne font pas non plus le poids face à lui. Il vient d’ailleurs de gagner contre un militaire de passage dans le village pour recruter. L’homme d’arme avait tenu à voir ce que valent les gens de cet endroit, aussi ces derniers lui ont-il proposé en ricanant sous cape d’affronter Qalom. Celui-ci a accepté, sans trop savoir pourquoi. A la fin du combat, l’homme félicite son adversaire pour sa prestation et lui propose aussitôt de s’engager dans l’armée. Le jeune homme lui demande pourquoi puisqu’il n’y a pas de guerre dans le pays en ce moment. L’homme d’arme lui répond qu’il pourrait en avoir une n’importe quand, mais que surtout ce serait vraiment stupide que son talent ne soit pas exploité. Qalom lui dit en s’éloignant qu’il fait ce qu’il veut. Les villageois rient. Mouché, le militaire continue son travail de recrutement.
Qalom est rejoint par les autres garçons du village qui le félicitent de son action. Il leur réplique que c’était pas grand chose. Pour marquer cette victoire, l’un d’entre eux leur propose d’aller à la taverne. Tous acceptent avec enthousiasme, aussi Qalom les suit-il. Peu après, les jeunes sont autour d’une table, à boire, à faire des signes aux filles du patron… Bref, à agir normalement. Sauf l’épéiste, qui regarde les autres avec amusement. L’un d’eux, ayant remarqué ce comportement, s’approche de lui et lui demande pourquoi il ne fait jamais rien avec eux, ils s’éclatent pourtant. Qalom répond que c’est tant mieux, s’ils s’éclatent, lui, c’est pas son truc. Alors l’autre veut savoir ce que c’est que son truc. Qalom, perplexe, réfléchi un moment puis répond : « L’épée… » L’autre lui réplique que tous l’avaient déjà remarqué mais que savoir se battre à l’épée, si on en fait rien, ça ne sert à rien ! Le jeune guerrier reste muet, aussi le garçon va rejoindre les autres. Qalom, resté à l’écart, se demande alors ce qu’est réellement « son » truc, ce pourquoi il existe, ce pourquoi il voudrait exister.
Il est interrompu dans ses réflexions par l’entrée dans l’auberge d’un homme vêtu d’un ample manteau brun, transportant un long et large paquet, et de plus visiblement essoufflé. Tous le regardent avec étonnement. Le patron le hèle en lui souhaitant la bienvenue. L’homme scrute la salle puis, apercevant le groupe de jeunes, va se placer au milieu d’eux et leur demande de le cacher. Les garçons lui demandent ce qu’il a, et qui il est. L’homme leur répond qu’il s’appelle Millor et qu’il est poursuivi par des gens, des bandits et comme il a réussi à les semer, il veut se cacher le temps qu’ils partent. Qalom lui demande qu’est-ce que les bandits lui veulent. L’homme le regarde dans les yeux. Le jeune homme, troublé, détourne son regard et tombe sur le paquet. L’arrivant lui dit alors que c’est pour cela qu’il est poursuivi mais il ne peut lui dire ce que c’est. Un jeune homme s’énerve alors en lui demandant comment ils pourraient lui faire confiance s’il leur cache des choses. Millor, très calme, leur demande seulement de lui faire confiance. Cela ne semble pas convaincre l’autre, aussi Qalom lui pose-t-il une main sur l’épaule en lui disant que ça va. Le jeune homme se calme, puis Millor, en remerciant l’épéiste, se tasse dans le banc pour qu’on ne le voie pas, caché par les jeunes.
Il était temps car à ce moment, trois types à l’air belliqueux rentrent dans l’auberge. L’aubergiste leur souhaite la bienvenue timidement, mais l’un des bandits, apparemment le chef, lui ordonne de la fermer. Il dit qu’il sait qu’ils cachent ici un type en manteau avec un paquet. L’aubergiste lui demande ce que ça peut lui faire. Le bandit lui dit qu’il aimerait bien lui parler et que s’ils lui en empêchent, il pourrait bien se montrer violent. Et joignant le geste à la parole, il abat son épée sur une table et brise cette dernière. Les clients reculent d’effroi. Le brigand leur demande alors d’un ton mielleux de coopérer pour que personne ne soit blessé, puis les deux autres sortent leurs armes, des dagues et couteaux. Sentant le danger qui plane sur les gens présents par sa faute, Millor sort de sa cachette et dit au bandit que si c’est lui qu’ils veulent, il est là. Qalom l’interpelle et lui demande pourquoi il fait ça. L’homme en manteau lui sourit et lui dit qu’il ne veut pas que des gens souffrent par sa faute. Il crie alors au bandits que s’ils veulent son paquet, il va falloir qu’ils viennent le chercher. Ils ricanent puis sortent, pour éviter de faire du vilain à l’intérieur.
Tous les clients sortent, ne sachant que faire face au combat imminent. Les bandits se préparent au combat. Millor saisit son paquet et le brandit comme une arme. Les jeunes chuchotent alors sur la nature du paquet : s’il va s’en servir comme arme, c’est que s’en est sans doute une… Qalom lui remarque que malgré le temps qu’a passé Millor dans l’auberge, il est toujours essoufflé. Il regarde son dos et voit alors une grosse trace de sang. Il crie alors à l’homme qu’il est fou de les affronter avec une blessure pareille. Le chef des bandits rigole et dit que le garçon a raison, et que même avec son paquet, ils sont trois contre un… Millor leur crie de la fermer : même s’il doit mourir, il ne leur laissera jamais ce paquet, puis il les attaque. Millor se défend bien mais sa défaite est inévitable. Qalom, ne comprenant pas l’obstination de l’homme, finit par lui crier d’arrêter et va pour se jeter dans la mêlée avec son épée. Mais un jeune homme le retient par l’épaule et lui crie « Qalom ! Non ! »
Millor se tourne vers le garçon et répète ce nom. Le chef des brigands rit de cette inattention puis blesse Millor. Qalom crie et va voir le blessé, le rattrapant avant qu’il ne tombe. Dans un souffle, l’homme lui demande pourquoi il se soucie tant de son sort. Qalom avoue ne pas savoir pourquoi. Peut-être qu’il ne supporte pas de voir quelqu’un souffrir devant lui. L’homme sourit puis lui dit que c’est exactement ça… Puis il lui tend son paquet et lui dit de le prendre. Le jeune homme ne comprend pas. Millor avoue que ni l’un ni l’autre ne le savait au début mais ce paquet est destiné au jeune homme. Qalom le prend puis demande ce qu’il y a dedans. Le blessé répond qu’il s’agit de son destin, car il en est digne. Puis il meurt. Le chef des bandits lance un rire sonore, en disant que Millor était bien stupide de croire que donner ce paquet à un gamin allait le protéger, puis il demande à Qalom de le lui donner sans faire d’histoire, qu’il est bien trop précieux pour lui. Le jeune homme déroule alors le tissu qui enroulait le contenu du paquet, et dévoile une grande épée à deux mains, gravée d’un étrange sceau. Qalom tenant encore la garde enroulée de tissu, pose son autre main sur la partie dénudée de la garde. Aussitôt, il sent une incroyable force couler en lui : un puissant éclat de lumière émane de l’épée et avant que quiconque ait pu s’en rendre compte, le jeune homme a battu les trois bandits, d’un seul coup, à l’aide de sa nouvelle arme.
Soudain, tout se trouble autour de Qalom, puis il se sent comme dans un rêve : il est dans un décor obscur, où seule se trouve une silhouette sombre qui lui fait face. Il s’agit d’un homme, mais seul sont contour est visible. Il s’approche du jeune guerrier puis lui demande s’il sait qui il est, l’ombre. Qalom répond après un temps qu’il est Calom, des Neuf, les guerriers légendaires. La silhouette acquiesce et lui demande s’il sait alors qui il est lui, le jeune homme. Qalom est surpris par une telle question. Aussi l’ombre du grand guerrier lui explique-t-il que s’il a réussi à libérer le pouvoir de cette épée, ça ne peut signifier qu’une seule chose : il est son descendant direct. Qalom reste muet face à une telle révélation. Puis l’ombre de son ancêtre lui dit que l’épée qu’il a dans ses mains revient de droit au jeune homme. Maintenant qu’il connaît sa vraie nature, son but est de trouver d’autres descendants et leurs armes pour mettre la main sur l’Héritage, car c’est la volonté qu’eux, les Neuf ont laissé dans ce monde. La silhouette se retourne puis s‘éloigne, mais Qalom l’interpelle et lui demande ce qui se passerait s’il ne voulait pas. La silhouette se retourne puis lui dit « Voyons Qalom, tu ne peux pas dire ça… alors que, pour la première fois de ta vie, tu viens de trouver quel est « ton truc » ». Puis Qalom se réveille au milieu d’un attroupement de villageois regroupés autour de lui.
Il se relève en disant que ça va. Les villageois le félicitent de son action qui, même s’ils savent de quoi il est capable, les a impressionnés. Qalom répond que c’est normal, puis leur révèle la nature de l’arme. Tous les villageois sont subjugués : voilà pourquoi Millor ne voulait pas laisser cette arme. Les jeunes s’approchent de l’épéiste et lui demandent ce qu’il va faire de cet incroyable trésor. Il pourrait le vendre et devenir plus riche qu’un roi… Mais Qalom leur révèle alors qu’il est un descendant, aussi ne peut-il se séparer de l’arme. Les villageois sont encore plus soufflés. Une fois remis de leurs émotions, ils lui demandent ce qu’il va alors faire. Le jeune homme semble réfléchir deux secondes, en contemplant son arme, puis leur répond, l’air amusé, qu’il va évidemment partir en quête de l’Héritage. Les villageois sont impressionnés par tant de détermination. Tous imaginent à quel point la tâche sera difficile. Mais si c’est ce qu’il a choisi, il le fera, assure Qalom. Puis il retourne chez lui pour se préparer, en disant qu’il partira demain matin. Mais en fait, une fois son sac fait, il décide de partir, même si la nuit règne encore. Les adieux ne sont pas son fort. Avant de perdre son village de vue, dans la clarté de la lune, il y jette un dernier regard, en se disant que son destin est en marche.… Un destin qu’il attendait sans le savoir, et qu’il accepte pleinement. Car l’Héritage doit être descellé, il le sait. Puis il repart.


Voilà... La suite si ça intéresse des gens !

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MessagePosté: Sam 4 Nov 2006 23:12 
Ô-Totoro
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Pas mal, pas mal mon canard, mais ton style indirect est un peu difficile à suivre et certains passages sont quelques peu confus tel que les dialogues qui sont maladroits. Mais comme tu annonces que c'est un scénar', on comprend mieux (Paramount a appelé, il veulent en avoir l'exclusivité pour le film :p)
Sinon, l'histoire est pas mal, on voit la trame arriver à 10 kilomètres, mais on attend la suite (enfin, j'attend plus précisement) avec impatience et ce n'est que justice quand on sait que tu as dû bosser pour arriver à faire ça^^
Pour Calom et Qalom, t'as dû le chercher longtemps celui là^^

J'attend la suite, signé, ton admirateur :p

PS: On voit d'où tu tiens ton talent pour les fic^^


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MessagePosté: Dim 5 Nov 2006 00:08 
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Je trouve ça très bien. Je serais qurieu de savoir comment le vieillard a trouver l'arme dans le temple. On voit nettement l'influence de One piece : un héritage laisser, un jeune homme qui part à sa recherche ( sans doute va-il rencontrer les descendant des 9 ce qui fera comme l'équipage ), etc...
Sinon je te souhaite bonne chance pour la suite qui s'annonce prometteuse.

PS : faudrait pas que tu fasse de l'ombre à Oda sinon ça pourrait le stresser et rendre son oeuvre moins bonne XD


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MessagePosté: Lun 6 Nov 2006 20:29 
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Franchement je trouve le scénario sympa, ça me fait penser à des mangas ou des livres d'hérois-fantasy que j'ai lu ( le coup des guerriers qui s'allient, qui lègue un bien à leur descendant ), mais je n'arrive plus à mettre le nom dessus.

Je trouve ce chapitre bien, mais je pense que la suite sera beaucoup plus intéressante lorsqu'il rencontrera les huits autres descendants,. Par contre, j'pense pas qu'il seront tous les huits de son côté, sinon je ne vois pas l'intérêt pour eux de récupérer ses armes puisqu'il n'y a pas de guerre. ( "l'héritage doit être descellé" pour quoi? )
Ou alors, les prochains chaps seront là pour y remédier.

Je suis cependant déçu que tous soit raconté à la troisième personne, d'un point de vue extérieur. De même qu'il y ait très peu de dialogue. C'est une question de feeling je pense^^, moi j'aime bien quand y a du dialogue sympa, quand on a des changements de narrateurs ( des fois c'est le perso qui parle par exemple ).
C'est vrai que ça faisait pas mal de "il" dans le coin.

Sinon je trouve que tu écris très bien, mais que le potentiel du scénar' est à peine effleuré, donc je demande la suite! ^_^

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MessagePosté: Ven 10 Nov 2006 20:20 
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Ah ça fait plaisir de voir son lectorat augmenter !^^ Je vous assure que la majorité des questions que vous bous posez obtiendrons une réponse... Aussi pour votre plus grand plaisir, voici la suite demon histoire !
(Et peut-être que ça vous poussera ensuite à aller lire la fanfic "Seekers"... Héhéhé...)




Avant de réellement entamer sa marche, Qalom décide de s’orienter et de choisir sa destination. Apercevant sur sa carte la ville de Mananera, il se souvient que c’est la ville d’où est originaire Aranor, aussi décide-t-il de commencer par s’y rendre. La ville se trouve toutefois à plusieurs jours de marche. Comme il ne veut pas passer toutes ses nuits dehors, à cause du manque de confort et du danger, il cherche sur sa carte les villages les plus proches pour y dormir. Son itinéraire trouvé, il reprend son voyage. Au fur et à mesure qu’il s’éloigne de Stahrte, Qalom découvre un paysage qu’il n’avait jamais vu. Un paysage de campagne, fait de champs et parsemés ça et là de petits bois, auprès desquels se trouvent parfois quelques habitations. Des rivières qui traversent les cultures et les hameaux, au gré du relief, formé de petites collines. Au loin on peut distinguer des montagnes. Bien qu’un peu inquiet par l’idée de s’aventurer en terre inconnue, Qalom se sent toutefois parfaitement apaisé par l’harmonie qu’il se dégage du paysage. Le vert des arbres et le jaune des champs accompagnés par le bleu du ciel, lui-même légèrement tacheté du blanc des nuages lui permettent de cheminer en toute quiétude.
Vers la tombée de la nuit, il arrive dans un village qu’il avait repéré sur la carte. C’est dans une franche bonne humeur qu’il se dirige vers l’auberge, et demande au patron s’il lui reste une chambre pour la nuit. Ce dernier, un homme à l’aspect plutôt avenant, lui répond que oui. Le propriétaire dit alors au jeune homme que c’est rare de voir un garçon de son âge cheminer seul ces temps-ci, même armé. Emporté par son enthousiasme, Qalom lâche que c’est d’autant plus rare qu’il est un descendant de Calom qui possède son épée ! Au regard vif et légèrement empreint de panique que lui lance l’homme, le jeune guerrier comprend vite son erreur. Regardant légèrement de côté, il aperçoit un groupe de quatre personnes attablées, à l’aspect peu amical, qui détournent aussitôt leurs regards, que Qalom devine aisément précédemment braqués sur lui. Il se dit qu’il lui faudra être vigilant cette nuit. Le guerrier demande ensuite à dîner, tout en restant attentif aux brigands de tout à l’heure, puisqu’il est en fait sûr de leur nature, qui semblent en vive discussion, tout en lui jetant parfois de rapides coup d’œils. Il se met alors à penser qu’il risque d’être interrompu dans son sommeil, aussi se rend-il dans sa chambre dès son repas terminé. Il s’étend alors sur son lit, tout en pensant qu’il doit rester alerte dans son sommeil au cas où on viendrait le visiter. C’est quelque chose qu’il est capable de faire depuis toujours : s’endormir tout en restant suffisamment attentif pour se réveiller au moindre mouvement suspect. Maintenant qu’il y pense, il se dit que c’est peut-être un caractère dû à son statut de descendant, c’est-à-dire de guerrier-né… Trois heures plus tard, lorsque la salle de l’auberge est pleine, les brigands font effectivement irruption dans sa chambre, en essayant, en vain comme Qalom l’avait escompté, de ne pas le réveiller. Il les entend parler du magot qu’ils tireront de son épée, une fois qu’ils l’auront éliminé. Se levant brusquement et attrapant son arme, le guerrier leur réplique que cela ne sera pas aussi facile. Très surpris, les bandits se ressaisissent toutefois. Le plus laid d’entre eux lui lance qu’ils sont tout de même quatre contre un, donc que s’il ne veut pas avoir trop mal, il devrait leur donner gentiment l’épée. Le jeune homme ne se démonte pas et leur rétorque qu’ils oublient qu’il est un descendant de Calom. Mais intérieurement, le guerrier doute : il a déjà battu des bandits dans sa vie, mais ils n’étaient que trois au maximum ; et de plus, il ne sait pas du tout comment il a fait pour tous les terrasser en seul un coup. Néanmoins, il essaye de ne pas laisser paraître son trouble pour que ses adversaires n’en profitent pas, et décide d’adopter un langage qu’il a déjà vu chez des gens de ce type, pour qu’ils le comprennent. Il lève son épée, puis l’abat sur la table à côté de lui, la détruisant instantanément. Il leur lance alors sur un ton menaçant, tout en désignant le tas informe qui a remplacé la pièce du mobilier, qu’ils feraient bien de partir s’ils ne veulent pas finir comme elle. Certains assaillants semblent un peu déstabilisés, mais ils sont vite repris en main par le plus laid, qui argue qu’une table ne se défend pas. Puis il dégaine sa dague. L’héritier comprend à cet instant qu’en fait son adversaire n’est pas plus sûr que lui de l’emporter : avec une dague, à moins de se mouvoir très vivement, il est presque impossible d’affronter une épée longue face à face. Le chef des brigands, comme le pressent l’aventurier, compte plus sur la supériorité numérique de son groupe. Le jeune guerrier décide de profiter de cette découverte. Se baissant comme pour afficher son abdication, il attrape rapidement un morceau de table et le jette aussitôt avec violence à la face de l’un des bandits, qui tombe à genoux, le visage en sang. Qalom profite de la stupeur des autres pour se relever tout en dégainant son épée, blessant au passage le meneur au torse. Puis il pointe son épée dans la direction du groupe et, prenant l’expression et le ton les plus menaçants qu’il peut, les prévient que c’est désormais du deux contre un. La paire d’assaillants restante laisse échapper un léger frisson, puis l’un d’entre eux, celui au visage amoché, fait soudain volte-face et s’enfuit sans demander son reste. Voyant son groupe dessoudé, le chef ordonne la retraite, non sans lancer un dernier regard mauvais au descendant. Une fois seul, ce dernier retourne fermer la porte et s’affale sur son lit en soupirant de soulagement. Il se dit qu’il a vraiment dû les impressionner pour ne pas avoir eu à en tuer au moins un. Mais en même temps, il songe, non sans appréhension, qu’il aura peut-être à le faire à l’avenir, ne serait-ce que s’ils décident de se venger. Finalement, trop accablé de fatigue pour réfléchir plus longtemps, il sombre très vite dans un sommeil sans rêves.
Le jeune homme se réveille de bonne heure le lendemain, puis quitte l’auberge une fois prêt. Il reprend immédiatement sa route vers Mananera, en se promettant d’être à l’avenir plus discret sur sa nature. Il chemine ainsi un bon moment, l’esprit vagabondant, ou observant le paysage. Mais soudain il remarque un mouvement dans des buissons bordant la route. Il porte alors la main à son épée. A peine a-t-il effleuré la garde qu’il entend une voix lui conseiller de ne pas faire cela. Surpris, Qalom voit alors sortir des buissons les bandits dont il a fait la connaissance hier ainsi qu’un autre homme qu’il n’avait jamais vu avant, armé de surcroît. Le chef des bandits se met alors à ricaner et demande au jeune homme de rester sage et de leur donner gentiment son épée. Prenant un air menaçant, le guerrier leur réplique tout en dégainant son arme qu’il aimerait savoir pourquoi il ferait cela. « Parce que sinon, » répond l’inconnu accompagnant les bandits tout en pointant l’extrémité de sa rapière vers le visage de Qalom, « tu risques de mourir. Le chef explique que l’homme est un mercenaire redoutable qu’ils ont engagés pour les aider à « convaincre » le descendant de céder son arme. Il est très puissant et par conséquent très cher, mais le pactole que leur rapportera l’épée sera bien plus que suffisant pour le dédommager… Bien décidé à ne pas se laisser faire, Qalom se jette sur le mercenaire en clamant qu’ils vont bien voir s’il va mourir ! Ce dernier pare sans aucun problème le premier coup du jeune guerrier. Leur échange est rythmé par les assauts de Qalom, que son adversaire pare ou esquive avec une facilité déconcertante. Cela a pour effet d’énerver Qalom : il n’est pas habitué à ce qu’un combat à l’épée se déroule ainsi ! Le guerrier semble s’en rendre compte, aussi lui explique-t-il qu’il ne faut pas se laisser emporter durant un combat, car sinon il peut arriver ceci ! Et en trois mouvements, il fait sauter des mains de son propriétaire l’épée de Qalom. Les bandits ont vite fait de se jeter dessus avec avidité. Le mercenaire a son épée pointée sur la poitrine du jeune homme, prêt à le tuer, mais bizarrement il ne semble pas exprimer la moindre haine envers son adversaire, ni envie de tuer ou quel autre sentiment que ce soit. Il a l’air complètement détaché de ce qu’il fait. Cela intrigue Qalom, qui le regarde dans les yeux, comme pour essayer de comprendre cette attitude. Le chef des bandits lance alors en rigolant au descendant, en prononçant bien son nom, qu’il a finalement perdu, et qu’avoir la légendaire épée de Calom ne l’a pas aidé face à son adversaire ! Ce dernier regarde alors le jeune homme dans les yeux et lui lance : « Tu possédais l’épée de Calom tout en nommant Qalom ? Quelle coïncidence amusante… » Qalom lui fait remarquer, tout en soutenant le regard du mercenaire, qu’elle est d’autant plus grande qu’il est descendant du premier propriétaire de l’arme. Le mercenaire prend un air amusé et se moque de lui en lui disant que cela ne peut être vrai, mais il s’interromps lui-même dans sa phrase en voyant l’aspect très sérieux que prend le regard du garçon. L’homme reste silencieux un court instant, toujours en regardant le descendant, tandis que les bandits se félicitent de leur prise. Brusquement, le mercenaire range son épée, puis lance aux bandits qu’il a changé d’avis. Tous les autres protagonistes sont surpris, surtout les bandits dont le chef demande ce que cela veut dire. L’homme réponde que cela veut dire que l’épée va retourner à Qalom et qu’ils vont le laisser tranquille. « Et puis quoi encore ? » lance le chef. Un autre lui rappelle qu’ils ont passé un accord, il ne peut pas changer d’avis comme ça ! Le mercenaire se tourne alors vers eux et leur dit que puisqu’il existe un contrat qui les lie, il n’a qu’à l’annuler en faisant disparaître l’une des deux parties. Sans que personne ne voie son mouvement, il perfore le cœur du chef des bandits. D’abord tétanisés de surprise et de peur, les trois autres choisissent de s’enfuir, mais ils connaissent bien vite le même sort que leur chef, pense Qalom à l’écoute de cris qu’il entend. Le mercenaire se ramène juste après et lui rend son épée. Le jeune homme demande aussitôt pourquoi il a fait ça. Le mercenaire dit ne pas savoir. L’épéiste ne semble pas satisfait de cette réponse car il n’y croit pas. L’homme avoue alors qu’après avoir été convaincu du statut de descendant de Calom, il a pensé qu’il serait préférable de lui laisser son épée. Mais Qalom ne comprend toujours pas pourquoi. Le mercenaire lui dit juste que cela lui semblait une bonne raison. Puis il commence à s’éloigner, en lui disant que s’il n’a pas besoin de ses services, il préfère partir. D’abord trop étonné par ce qui vient de se passer pour parler, Qalom fini par lui crier de lui dire son nom. Le mercenaire s’arrête, se retourne et lui dit « Mon nom est Elio Espade. » Puis il reprend sa route. Le descendant se répète son nom, puis décide de faire comme l’homme. Il reprend donc son voyage en direction de Mananera, en se promettant de ne pas oublier cet étrange personnage.

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MessagePosté: Ven 10 Nov 2006 21:29 
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Bon alors, c'est toujours bien écrit mais tu perds en fluidité ( je trouve ) en condensant trop tes paragraphes ( 3 paragraphes pour 110 lignes ) et que tes phrases sont souvent très courtes, ce qui perturbe le rythme de lecture et par là même la fluidité.

En outre j'accroche toujours pas trop au fait que tout soit narré, mais ça t'en fais pas, c'est un cas général, ça vient de moi^^ ( en gros c'est 50 % de chances que je sois l'abruti )

Au niveau de l'histoire, le scénario ne s'est pas trop dévellopé, on a surtout l'introduction d'Elio Espade ( je dirai "classique" mais sympa et bien construite ).
On voit aussi que Qalom anticipe bien les choses ( cf l'épisode des brigands ), mais qu'il n'a pas assez d'expérience ( perturbé par l'infériorité numérique ).

Points positifs ( Le meilleur pour la fin, normal )
C'est très détaillé et j'apprécie, j'aime bien quand on a du détail ( sans abus ) et là ça passe bien.
C'est toujours bien écrit, je vois que le "il" de Qalom est souvent remplacé par une subordonnée ( si je ne me trompe pas dans ma grammaire, ce qui n'est pas gagné ) du genre "le descendant", ce qui limite le nombre de "il" que je trouve néanmoins toujours trop important ( ce qui est probablement du au fait que trop de narration, ça me plait moyen ( putain mais hitsugaya trop un chieur!! La ferme jamais quoi !! )), mais ça limite quand même.

Et enfin j'ai bien aimé l'introduction d'Elio comme j'ai dis, classique mais bien, Elio semble le perso qui suit vraiment ses intsincts, ou alors au contraire qui prévoit tout.
Mais pour avoir accepté initialement le marché des brigands, j'ai des doutes sur lui, au départ je le voyais bien future allié de Qalom, mais yé quelque doutes.

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MessagePosté: Sam 11 Nov 2006 19:02 
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Hitsugaya, merci encore pour tes commentaires.^^
Pour ce qui est du découpage en paragraphes, je sais qu'il est catastrophique, mais si tu voyais comme c'est écrit sous Word... Aucun paragraphe ! Un bloc de lettres de je-sais-plus-combien de pages ! J'avoue que du coup faut s'accrocher pour lire (mais ça vaut le coup hein ? Dis-le siteuplé ! ^^) par contre pour les phrases courtes, ça je ne l'avais pas vu venir...
Quand tu dis que le scnénario n'avance pas, ça me fait plaisir.^^ Pourquoi ? Parce que j'ai justement inséré ce "chapitre" dans ce que j'avais déjà écrit car mes précédents lecteurs avaient trouvé que ça avançait trop vite par la suite... Donc j'ai (un peu) réussit ma mission !^^

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MessagePosté: Sam 18 Nov 2006 21:32 
175 000 000 Berry
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Désolé pour le double post mais c'est pour faire remonter le topic... C'est pas ma faute si personne ne me lit !
*voix désincarnée* : Techniquement, si.
...Ouais c'est bon... C'est pas grave : voilà la suite de Legacy, enjoy !



Qalom arrive au bout de quelques temps de voyage à Mananera, la ville où se trouve la plus grande école de Magie du pays. A peine arrivé, il s’émerveille de l’atmosphère qu’il se dégage d’une grande ville, et de celle là en particulier. Qalom se rend compte qu’il n’a jusqu’à présent jamais quitté son village, et qu’il n’en éprouvait pas le besoin. Mais s’il était partit plus tôt, n’aurait-il pas compris sa vraie nature plus tôt ? Perdu dans ses pensées, le jeune homme ne voit pas venir dans sa direction et sur son chemin une jeune fille de son âge. Et ce qui devait arriver arriva : ne s’étant aperçu ni l’un ni l’autre de la présence de quelqu’un sur leur chemin, ils se rentrent dedans. La jeune fille fait alors tomber par terre un flacon rempli d’un liquide à la couleur étrange, qui se brise et répand son contenu par terre. Elle se lamente aussitôt de la perte de ce liquide qui semblait important. Qalom lui demande de l’excuser et la questionne sur la nature de l’objet. La jeune fille répond qu’il s’agissait d’un ingrédient magique qu’elle devait apporter à son professeur. Qalom lui demande si elle est élève à l’école de Magie. La jeune fille lui répond que oui. Qalom pense alors qu’elle pourra lui faire visiter son école et peut-être l’aider à y trouver un descendant d’Aranor, car il semble tout naturel pour l’épéiste que le descendant du mage en soit un aussi. Mais d’abord, se dit-il et propose-t-il a l’élève, il va aller racheter avec elle l’ingrédient. La jeune fille lui dit que c’est heureux, puis elle se présente : son nom est Arana. Qalom a tout juste le temps de se présenter aussi sans s’interroger sur ce prénom avant qu’elle ne l’entraîne vers le magasin d’où elle venait : ils doivent se dépêcher de racheter l’ingrédient. Au bout d’un petit moment, ils arrivent dans une boutique coincé dans une ruelle sombre et peu rassurante. La boutique ne l’est pas beaucoup plus, il y règne même une atmosphère glauque… Qalom ne peut s’empêcher d’être révulsé à la vue de certains objets qui traînent sur les étagères de la boutique. Arana elle ne semble pas s’en soucier : elle s’approche du comptoir où se trouve le vendeur, qui est à l’image de sa boutique : petit, ridé et peu rassurant. Il s’étonne de voir Arana revenir. Elle lui dit qu’il lui faut un autre flacon de produit. Le vieil homme s’en va dans l’arrière boutique pour aller le chercher. Qalom s’approche de la jeune fille et lui chuchote qu’il ne pensait pas que la magie était quelque chose d’aussi sinistre. Arana émet un petit rire et lui explique qu’il s’agit d’une boutique pour un genre particulier de magie. Qalom lui demande s’ils étudient une matière qui a besoin de tant de trucs horribles que ça… A ce moment le vendeur revient et Arana s’approche du comptoir en traînant Qalom, coupant ce dernier dans sa question. Le prix du flacon réduit à néant les économies de Qalom, mais Arana n’avait que l’argent que son professeur lui avait donné…
Ils sortent de la boutique, Arana soulagée et Qalom accablé. Tout en marchant la jeune magicienne répond à la question de l’épéiste : ce n’est quelque chose pas pour leur cours mais de personne pour son professeur. Qalom s’étonne qu’ils envoient des élèves faire ce genre de course. Arana explique que c’est exceptionnel : son professeur l’aime bien et lui fait confiance. Qalom pense à un modèle de chouchou… Puis Arana continue en disant qu’elle est d’ailleurs la seule. Qalom lui demande de s’expliquer. Arana soupire et lui explique qu’elle est sans doute la pire élève de sa classe, malgré ses efforts. Son enseignant, le professeur Cylia, est la seule personne de l’école à lui accorder de l’attention, car la plupart des professeurs n’accordent de l’importance qu’aux élèves ayant de bons résultats. C’est presque un miracle qu’elle ait réussit à rester tout ce temps… Qalom questionne Arana sur la raison d’une telle mentalité dans l’école. Arana dit qu’elle suppose que ça doit être parce que comme c’est de là que vient Aranor, l’homme considéré comme le plus grand mage noir de tous les temps, l’établissement tient à conserver la renommée acquise par ce fait. D’ailleurs, poursuit-elle d’un ton un peu plus méfiant, bien que personne ne les écoute, une rumeur circule comme quoi les professeurs cherchent en secret un descendant d’Aranor, et que c’est pour cela qu’ils sont aussi sévère : ils s’attendent ainsi à forcer un élève descendant à révéler son potentiel. Qalom semble très intéressé par ce fait, aussi demande-t-il comment ils peuvent être sûr que qu’un élève très doué est bien le descendant d’Aranor. La jeune fille poursuit en disant que c’est là que la réalité rejoint la fiction : le directeur de l’école, Maître Malefis, a acquis il y a quelques temps par on ne sait quels moyens le sceptre d’Aranor, son arme légendaire, et on raconte qu’il soumet les meilleurs élèves à un test : leur faire toucher le sceptre car c’est sensé réveiller les pouvoirs du descendant. Mais tous les élèves qu’on soupçonne d’avoir passé le test nient son existence. Qalom, toujours très intéressé, demande pourquoi le directeur ferait cette recherche en secret : c’est plutôt une bonne chose que de rechercher un descendant ! Arana prend une mine soucieuse, puis explique qu’une autre rumeur existe, encore moins confirmée et parlée, comme quoi le but de cette recherche serait de faire du descendant le fer de lance d’une armée de mages, pour prendre le monopole de la magie du monde, ou même le conquérir… Enfin, ajoute-t-elle en riant, ce ne sont que des rumeurs. Mais Qalom compte bien ne pas les oublier.Tandis qu’ils marchaient, ils sont maintenant arrivés à l’école. Arana remercie et salue Qalom. Elle va pour s’en aller mais il la retient pour lui expliquer sa situation : comme il vient d’arriver en ville et qu’il a dû lui donner tout son argent, il ne sait pas où dormir et comme il compte rester quelques temps… Arana réfléchit quelques secondes, puis dit que comme elle loge à l’internat, elle ne peut rien faire, mais elle peut peut-être demander à son professeur si elle peut l’aider. Qalom remercie d’avance Arana, puis la suit à l’intérieur du bâtiment. Il se met alors à penser qu’il pourra ainsi en savoir plus sur cette fille qui porte un nom à la consonance familière…


Voilà, j'en ai pas trop mis pour que vous ne vous arrachez pas les yeux à lire un trop gros bloc de lettres. A bientôt pour la suite !

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MessagePosté: Dim 19 Nov 2006 11:20 
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J'aime bien le personnage d'Arana, par contre, même avant que tu parles de consonnance familière, j'aurai parié mon slip qu'elle était la descendante ( comment ça t'en veux pas de mon slip? ) du grand mage noir.
Dans le rôle de celle qu'à pas de pouvoir, qu'est mauvaise, et qui se révèle finalement la meilleure, c'est sur que du coup ils ne risquent pas de trouver le descendant s'il ne font passe le test qu'aux bons élèves.

Sinon, plus court et plus agréable à lire je dois dire, l'impression de gros pavé est estompé.
D'autant plus que ta fic est surtout à consonnance lyrique et magique, pas basée sur l'humour, c'est pas un mal hein, tu le fais bien, mais je trouve que ce genre de fic ne se lit pas forcément aussi facilement ( question de gout probablement ), car il y a souvent beaucoup de texte ( magie, chevalier..etc)

En tout cas j'ai bien aimé ce chap, certainement le meilleur de mon point de vue jusqu'ici. ( bizarre hein, c'est pourtant pas le plus innovateur )

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