Cutty Flam's corp. presents :

LA VIE D'UN PIRATE

Cette histoire met en scène un pirate qui a de l'expérience mais qui n'a pas d'équipage. Toute ressemblance avec une oeuvre quelconque est non fortuite. Attention, ne mettez pas de commentaires ici pour l'instant !

PROLOGUE

Nous sommes en 1718 sur les côtes de l'Océan Indien et plus particulièrement aux Bahamas. Un certain cap'tain Condentis se promène sur la plage de sable paradîsiaque. Tout à coup un Indien arrive en courant et en criant :
« Mr Condentis ! Votre machin qui vous sert de maison brûle !
-Merde, s'exclama Condentis, c'est foutu ! Aaaarrrggghhh !!!
Condentis cru que c'était la fin de sa chance car il voulait un équipage mais personne n'a jamais voulu le rejoindre. D'un coup un courant d'air assez fort s'abattu sur la plage où était Condentis et l'Indien, faisant balancer les palmiers et une carte se mit sur la figure du Capitaine Condentis qui s'écria :
-Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ?! Ah ! Une carte au trésor !
-Une carte au trésor ? s'interrogea l'Indien, je peux la voir ?
Condentis lui passa la carte quelques secondes, puis l'Indien lui l'a rendu en lui demandant :
-Est-ce que vous voyez la petite croix sur cette carte (qui était une carte du monde) ? Elle est mise en plein milieu d'une côte française ! Allez-vous y aller pour voir si il y a un trésor ?
-Hélas non, car je n'ai pas d'équipage, se lamenta Condentis.
-Je peux vous y accompagner si vous le souhaitez ! s'exclama l'Indien.
-Vraiment ? s'étonna Condentis qui cru la chance revenir en lui.
-Bien-sûr ! Et je peux même vous conseiller des habitants du village qui voudraient être pirates eux aussi ! continua l'homme de la région.
-Ok ! Alors allons-y ! dit Condentis, tout joyeux. »
Et c'était parti pour une très belle aventure qui se produisit à l'instant où Condentis était né.


A SUIVRE LE PREMIER CHAPITRE LE MERCREDI 8 NOVEMBRE.

CHAPITRE 1

Le matin du lendemain de la découverte de la carte au trésor, Condentis eu rendez-vous avec l’Indien -qui se nommait Matahi- au village pour rencontrer ses futurs compagnons. A son arrivé, il eu une surprise, une grande fiesta ! Condentis, tout ébahi, se contenta de dire :
«Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ???
-C’est notre fiesta pour fêter notre départ ! répondit vivement et joyeusement Matahi.
-Quoi ?! On part déjà ? Et notre bateau alors, hein ? Si vous êtes si malin que ça, vous devriez avoir un bateau ! rétorqua Condentis.
-On en a un ! Et un beau en plus, se justifia Matahi à son capitaine.
-Puis-je le voir Matahi ? demanda Condentis.
-Bien-sûr, venez par ici. assura Matahi.
Condentis suivi Matahi jusqu’à la forêt tropicale, la traversèrent puis arrivèrent dans un lagon. Condentis, les yeux grands ouverts, dit à l’Indien :
-C’est… c’est magnifique !
-C’est notre fierté ! dit Matahi gaiement.
Le bateau, d’environ 8 mètres de hauteur et dans la proue était en forme de beau calmar, donnait une impression de grandeur navale unique grâce à la civilisation et l’héritage laissé par les Anciens.
-Tane, cria Matahi, lève l’ancre, on met les voiles !
-Dé… déjà, s’interloqua Condentis.
-Il n’y a pas de temps à perdre, allons-y vite ! répondit Matahi.
-Quoi ? Mais… commença Condentis.
-Vite ! On y va, allez les gars, allez, vociféra Matahi.
-Tout est prêt. dit Mana à Matahi.
-Vous avez perdu la tête ?! se dit Condentis à lui-même.
-Ne t’inquiète pas, fais nous confiance, tu verras pourquoi nous devons partir d’ici et tu nous remercieras. assura Matahi.
-Je te fais confiance, on verra bien… se persuada Condentis.
-Au fait, le nom du bateau est « Heiarii ».
Et Heiarii quitta le lagon en direction de l’Océan.

Plus tard, sur l’océan, tout était calme. Soudain, une explosion se produisit, créant des vagues gigantesques et frappant le bateau violemment créant un choc qui bousculât tout le monde.
-Qu’est-ce que c’était ? se demanda Condentis.
-C’est notre île qui a explosé, soupira Matahi.
Sur ces mots, Condentis tomba dans les pommes, ne croyant plus vivre dans le monde réel.
Quelques minutes plus tard, dans la cabine du capitaine, celui-ci repris ses esprits. Puis il demanda à Matahi :
-Aïe ! Mais qu’est-ce qui s’est donc passé ?
Matahi répondit aisément :
-Notre île a explosé.
-Mais ce n’est pas possible, lui cria Condentis.
-Le volcan a explosé ce qui a détruit entièrement l'île à cause de la lave, lui répondit calmement Matahi.
-Comment le saviez-vous, le questionna encore Condentis.
-C’était écrit par les Anciens, qu’un jour, un sauveur allait venir, qu’il aurait besoin d’un bateau et qu’a ce moment-là, l’île allait exploser à cause du volcan, répondit de nouvelle fois Matahi.
-J’y crois pas, bon, je vais sortir un peu, dit Condentis en soupirant.
A son arrivé sur le pont, tout l’équipage était là, prêt à l’accueillir en tant que capitaine et crièrent tous ensemble :
« Vive le capitaine »



Bon, j'ai pas pu attendre mercredi pour continuer ma fic mais bon, la voilà ! J'éspère que ça vous plaît, car les chapitres sont peu longs donc il y en aura beaucoup !

LA SUITE SAMEDI 11 NOVEMBRE.

CHAPITRE 2

Condentis était en train de se remémorer son passé juste avant de devenir pirate.
C’était un jour de pluie, Chris Condentis habitait alors en Angleterre. Il tenait un bar avec ses parents, il avait alors 16 ans. Soudain, une ombre imposante apparue dans l’entrée, et un homme entrât. Cet homme avait les cheveux longs, propres, et des habits de pirate neufs. Il s’avança devant le bar, et demanda un whisky. Le père de Chris lui apporta sa commande puis le pirate en demanda un autre. Cela dura jusqu'à 10 verres. Le pirate était saoul et demanda du rhum pour l’équipage dans son bateau. Mais le père de Chris refusa et le pirate commença à s’énerver et sortit son pistolet à silex et tira un coup au plafond. Les clients s’affolèrent et partirent en courant. Chris avait un petit couteau sur lui, il le sortit, et comme il était extrêmement agile, il le lança sur la main du pirate qui lâcha son pistolet en hurlant de douleur. Chris prit le pistolet, le braqua sur le pirate et tira sur sa jambe. Le pirate, n’en pouvant plus, arracha sa manche et la mit sur sa blessure. Son bras, à nu, laissa paraître un tatouage, en forme de serpent. Le pirate dit au gamin : « Je reviendrais dans 10 ans pour te tuer ! Et tu entendras surement mon nom avant sur toutes les mers, Bartholomew Sharp ! J’espère te revoir en tant que pirate ! » Cette phrase mit en éveil l’esprit pirate de Chris et voilà ce qu’il en est aujourd’hui.
Puis, il alla se coucher.
Le lendemain, il fut réveillé par un brouhaha qui venait du pont, il entendit :
« Un navire pirate en vue ! »
Il courut sur le pont, et voyant tout le monde s’agiter, demanda :
-Qu’est-ce que c’est que cette histoire de navire pirate ?
-Eh ben un navire se rapproche vers nous ! lui répondit Mana.
-Allons voir… dit le capitaine.
C’était un navire du genre oriental, dont la proue était en forme de serpent.
Condentis attendit l’arrivée du bateau avant de donner quelconque ordre mais ses hommes se tenaient prêt. Le bateau arriva et un coup de canon fut envoyé.
Condentis cria alors :
« Allez, nous rappliquons, battez-vous !
Des coups de canon partirent de Hiarii pour frapper les canons du bateau adverse.
-Nos hommes sont en train de réparer la fuite, en bas, déclara Tane.
-Bien, maintenant qu’il est proche, nous allons nous battre, ordonna Condentis.
Puis les deux bateaux se touchèrent et les hommes entrèrent dans les deux bateaux en se battant. Condentis, avec sa majestueuse épée, avança en tuant les hommes sur son passage avec une grande agilité et ardeurs. Puis, assez loin, il vit le capitaine du bateau ennemi. Ce personnage mystérieux avait un chapeau noir et placé de sorte, qu’on ne voyait pas son visage, et portait des vêtements tout déchirés avec sa main droite en crochet. Condentis s’approcha de lui et eu un choc : c’était Bartholomew Sharp. Celui-ci en le voyant, ne le reconnu pas tout de suite, car à l’époque, Condentis avait les cheveux courts et n’avait que 16 ans au lieu des 26 d’aujourd’hui. Condentis lui lança :
-Alors, vieux croulant, tu ne te rappelles plus de moi ? C’est Condentis ! D’ailleurs ton vœux a été exaucé, je suis un pirate !
Sharp le reconnu à ces mots, il lui répondit :
-Ah, Condentis, te voilà bien plus vieux qu’autrefois, et que tu as de beaux yeux bleu ! Ils s’allient bien avec ta longue chevelure ondulée et toute transpirante ! Et que vois-je, une épée jian ?! De toute façon, cela m’est égal, je vais te réduire en cendres !
-C’est plutôt le contraire, vieux croulant, lança de nouveau Condentis.
Condentis courut très vite, épée en main, en direction de son adversaire. Sharp avait l’ai plutôt tranquille. Se suivit le premier coup de Condentis, Sharp quand à lui avait sorti son épée à son tour et se défendit en contre-attaquant. L’attaque a porté ses fruits, un des deux pirates avait lâché son épée et était en position de mort.



En ce moment j'accélère vraiment le rythme donc voilà déjà le chapitre 2. A mon avis le chapitre 3 sera pour vendredi (promis^^) donc maintenant de toute façon je compte faire 2 ou 3 chapitres par semaine. Voilà !

CHAPITRE 3


Condentis était tombé à terre. Son épée était devant les pieds de son ennemi. Celui-ci la pris, en se baissant, puis en regardant de nouveau, ne vis plus Condentis. Tout à coup, il ressentit une douleur intense dans son dos, puis il hurla. Condentis lança :
« Qui croyait prendre est pris ! Il ne fallait pas me sous-estimer vieux croulant !
En effet, Condentis s’était relevé et avait sortit son poignard pour le planter dans le dos de Sharp.
-Salaud ! Je ne suis pas toujours mort pour autant et tu vas morfler, dit Sharp.
-Ne me sous-estime pas, continua Condentis.
Sharp se retourna, toujours avec le poignard dans le dos, il l’enleva, hurla à nouveau, et le lança sur Chris qui l’esquiva sans difficulté. Mais le poignard retourna sur Chris, comme un boomerang et celui-ci l’esquiva cette fois, de justesse, mais Sharp qui était malin en profita pour l’attaquer. Condentis ressentit tout à coup une douleur intense dans la main, et hurla, à son tour.
Sharp lui dit :
-C’était pour me venger de ce que tu as fait à ma main ! Maintenant, meurs !
…………………………………………………………………………………
Le bras de Sharp était à terre, puis Sharp quelques instants plus tard, de même, était à terre.
-Lâche, cria Condentis, faible ! Te voilà mort à cause de ta stupidité ! Tu es vraiment trop faible pour moi ! Ah ah ah !
-Aaargh, susurra Sharp, Chris… attend, aide-moi ! Pitié, ne me laisse pas. Aaaah...
Condentis l’avait achevé en lui coupent sa tête.
-Capt’ain, nous les avons vaincus, cria Mahati, que fait-on maintenant ?
-On prend leurs trésors et on part, répondit Condentis.
-Bien, ce sera fait, assura Matahi. »
Sharp était connu dans le monde et sa prime s’élevait à 350 000 $.
Tout de suite, les corsaires les plus proches savaient que Sharp avait été tué par Condentis à qui sa prime s’élevait déjà à 10 000 $.
Le capitaine corsaire le plus proche d’eux était Surcouf, grand capitaine corsaire, au service de la France allait les poursuivre et la prime de Condentis augmenta à 500 000 $.
Le bateau de Chris Condentis continua de voguer, en direction de la France.




Chapitre très peu long, je l'avoue, mais avec un jour d'avance.
En tout cas j'éspère que cela vous plaît ! J'attend des fans ^^

CHAPITRE 4

Deux jours passèrent après la bataille contre Sharp. Condentis était fatigué et se demandai se qu’il faisait là et comment en était-il arrivé là. Il se remémorait le passé.
Deux ans après la première rencontre avec Sharp, c'est-à-dire à l’âge de 18 ans, Chris Condentis décida de devenir pirate. Pendant les deux années de préparation, il avait construit un petit rafiot pour partir en mer. Ses amis l’aidèrent à le construire et, ayant des contacts en Espagne, Chris c’était rendu là-bas. Un mois plus tard, arrivé en Espagne, un ami de son père lui construisit un bateau et lui recommanda deux bons pirates. Le rendez-vous était dans une taverne réputé pour être le coin des pirates et donc des « bagarres ».
« Voilà, dit l’ami de Chris, ce sont tes deux « matelots »
-Bien, répondit Chris, nous partiront demain si vous le voulez bien.
-Pas de problème, assura l’un des pirates, nous n’avons plus rien à faire ici. »
Dans la soirée, Chris trouva un hôtel ou il put s’endormir. Un moment, vers 3 heures du matin, il fut réveillé par son ami, à la fenêtre, qui lui demandait de venir le voir de toute urgence. Chris se rhabilla et retrouvait son ami dehors. Celui-ci lui dit que les pirates qu’ils allaient l’accompagner étaient morts par un homme mystérieux et il lui demanda de partir de suite. Chris accepta et parti pour l’Afrique, mais il ne savait pas où aller exactement. Son ami voulait bien l’emmener jusqu’au Maghreb.
Dix jours passèrent et Condentis était arrivé au Maghreb. Il se sépara de son ami et continua la route seul, vers le Sud du continent. Chris Condentis longeait la côte Africaine pour remonter jusqu’à l’Océan Indien qui était sa destination. Arrivé à Madagascar et plus précisément à Manakara, il y fit escale. La savane s’étendait à perte de vue et il abandonna son bateau en prenant les armes et provisions avec lui. Marchant depuis des heures sous une température de 36°C, tout transpirant, il s’écroula.
A son réveil, il se trouvait sur un drap par terre, dans une tente. Condentis vit un homme s’approcher de lui. Cet homme lui dit :
« Que fais-tu là mon ami, en plein désert ?
Condentis lui demanda :
-Depuis combien de temps je suis ici ?
-3 jours, répondit l’homme, puis demanda à nouveau, que fais-tu ici.
-Homme, dit Chris, passe moi un de tes chameaux sinon je serai dans l’obligation de te tuer.
-D’a… d’accord, dit l’homme.
Condentis continua sa route et arriva à Manahoro.
Il entra dans un bar, puis demanda 7 bouteilles de rhum. Il sortit, puis voyant un grand bateau dans le port, il s’infiltra, tua ou neutralisa les occupants un par un discrètement. Il partit en direction de la Chine avec son nouveau bateau car il voulait s’emparer de « l’arme ultime ».



Toujours désolé de la coureté de mes chapitres. Les escales en Espagne et à Madagascar ne sont pas fait pour durer mais la saga Chine durera plus de trois chapitres. Voilà d'ailleurs les sagas pour les "gouremants".

PARTIE I :
-Saga du prologue/Condentis.
-Saga de la Chine/l'Arme Ultime.
-Saga de Surcouf.

CHAPITRE 5

Chine, année 1716, 4 heures du matin.
Condentis débarque avec son bateau sur les côtes chinoises après un long voyage depuis Madagascar. Celui-ci est épuisé par ce voyage, mais il sait où il va. Il prit ses armes et des provisions, car la route était longue. Il longea les côtes de la plage pendant deux heures, avant d’arriver dans un petit village.
6 heures 30 du matin, au petit village de Hiodao.
Condentis débarque dans le village, tout le monde le regarde et commencent à prendre des précautions. Il ordonne à un marchand :
« Emmène-moi à la ville de Xiolan-moh avec ta charrette.
Le marchand, apeuré, ne pu refuser et Condentis, en même temps, pris de la nourriture et à boire sans payer, à un autre marchand.
7 heures 25 du matin, en pleine route.
Les bœufs qui tirent la charrette s’arrêtent. Le marchand demanda à Condentis :
-Que se passe-t-il ?
-Des voleurs… ils nous observent depuis tout à l’heure.
-Qu… Quoi, s’interloqua le marchand.
Condentis sorti deux couteaux qu’il avait pris au petit village et les lança sur une colline, qui était devant eux. Des cris retentirent et Condentis dit au marchand :
-C’est bon, nous pouvons avancer.
8 heures du matin, ville de Xiolan-moh.
Condentis quitta la charrette sur une place de la ville. Il y avait une telle grande foule, que les pickpockets pouvaient sévir à tout moment. Condentis se confondait avec les gens, et pouvait marcher tranquillement jusqu’à sa destination. Il arriva dans un grand temple, protégé par des gardes mais où l’accès était possible. D’ailleurs, beaucoup de citadins allaient dans ce temple pour prier, etc., ce qui arrangeait beaucoup les affaires de Chris.
8 heures 25 du matin, temple de Xiolan-moh.
Condentis se mit à l’écart, dans le grand temple, et ouvrit une trappe que personne, ou du moins les habitants de cette ville, n’avaient découverte. Il s’engouffra à l’intérieur, s’aidant des escaliers pour enfin arriver dans un tunnel, pleins de rats et de toiles d’araignées. Il avançait prudemment, avec sa torche enflammée, tout le long du tunnel, pendant une dizaines de minutes. Puis, il arriva dans une salle, rectangulaire et totalement fermée, avec d’étranges inscriptions sur le mur.
8 heures 45, sous-terrain du temple de Xiolan-moh.
Chris Condentis essaya de pousser toutes les inscriptions sur le mur, connaissant la légende de l’arme ultime, il savait quoi faire. Soudain, une partie du mur recula, laissant paraître une grande trappe dans le sol. Condentis ne voyait pas le fond. Il prit donc une grosse pierre, et la jeta dans le vide. Il n’entendit le bruit qu’après 5 interminables secondes. Mais il se jeta à son tour, ne laissant paraître aucune peur, dans le vide.

CHAPITRE 6


Condentis tomba de 15 mètres de hauteur. Pendant les 5 secondes en l’air, il repensait à toute sa vie, comme si il allait mourir puis… plus rien, le noir complet. Il se réveilla un peu plus tard, avec un mal de tête. Il était tombé sur du sable, il y avait beaucoup de sable dans la nouvelle salle, mais il faisait noir. Il sentit qu’on le touchait. Chris s’affola puis alluma la torche en voyant des milliers de scorpions sur lui et autour, il vit des squelettes.
Prenant son courage à deux mains, Chris, qui avait rallumé la torche, la fit secouer partout pour faire fuir les scorpions, ce qui avait marché. La salle était grande, on aurait cru un désert isolé dans une grande salle. Puis, Condentis arriva au bout de la salle et vit une porte sans porte, menant directement à une autre salle. Il y entra et un peu de lumière se fit voir, par des torches qui s’étaient allumé toutes seules sur le mur. Tout à coup, Condentis reçu un choc dans le dos, et dérapa par terre. En se relevant, il vit un zombie, en costume de moine chinois.
« Si tu veux l’arme ultime, commença le moine zombie, il te faudra me battre.
-Pas de problème, ça me fera un peu d’entraînement, répliqua Condentis.
Celui-ci sortit son épée, et commença à porter un coup de face contre son ennemi.
Mais le moine zombi chinois avait paré son coup avec une facilité déconcertante, et contre-attaqua en le repoussant avec puissance et rapidité, ce qui mit Condentis à terre, deux mètres plus loin.
Condentis se releva aussitôt pour repartir à l’attaque, comme un bourrin.
Mais le moine zombi refit la même attaque que la dernière fois, ce qui épuisa Condentis.
Celui-ci vit que le zombi, dont les vêtements étaient en lambeau, avait une marque, un tatouage sur le dos. Condentis en conclut qu’il fallait qu’il frappe le zombi à cet endroit là et c’était le cas. Chris se releva, et avec puissance et technique essaya de repousser le moine zombi dans la pièce des scorpions. Se suivi un combat avec d’innombrables coups d’épée, mais le zombi ne semblait pas faiblir. Condentis se concentra un maximum, puis lui coupa la main où il tenait son épée.
Le zombi hurla et recula de quelques pas, vers la pièce des scorpions puis tomba.
Les scorpions, par centaines, venaient sur lui pour le piquer et le nuire.
Condentis venait de gagner la première épreuve qui conduisait à l’arme ultime.



Voilà... j'attend vos réactions dans le topic appoprié.

CHAPTER 7

Condentis marcha quelques pas, puis, il entendit un bruit derrière lui. Le zombi, tout recouvert de scorpions, était derrière lui. Il sortit son épée et le lança d’une vitesse inesquivable, transperçant la poitrine du zombi en passant par l’œil du tatouage. Le zombi tomba à terre, mort.
Condentis arriva dans la salle suivante. Il y avait l’arme ultime, posée sur un support long de 3 mètres de hauteur. Pour l’habile homme qu’est Condentis, il était facile d’y parvenir. Il s’empara donc de cette arme. Il libéra un faisceau de lumière jaillissant de l’épée, produisant un effet de force pour son porteur. Mais le sol se mit à trembler. Il fallait s’enfuir à tout prix de cet endroit, sinon il mourrait écrasé par les rochers. Il y avait un petit tunnel à côté de lui, mais il fallait ramper. Alors il prit sa nouvelle arme, il sentit la joie de la puissance qui montait en lui, mais ce moment magique s’estompait quand des grosses fissures apparurent de toutes parts de la salle. Il leva son épée, et la fit tournoyer autour de lui, pour enfin porter un coup pour agrandir le tunnel. Une lumière blanche pure continua la portée de son attaque depuis le bout de l’épée explosant tout sur son passage. A présent, Condentis s’offrit un passage plus gros et courra rapidement dedans. Il fallait faire vite, car les fissures devenaient des fosses derrière lui, et s’il s’arrêtait, il tomberait dans le ravin. Il vit la lumière du jour au loin, annonçant le bout du tunnel. Il redoubla de vitesse, mais, 10 mètres avant la sortie du tunnel, le gouffre le rattrapa. Chris trébucha, et s’agrippa à la fosse, les pieds dans le vide, et ses mains en l’air, essayant de remonter. Mais Chris n’y arrivait pas, car son épée le gênait beaucoup. Il savait que son choix était rude : la vie en laissant tomber l’épée ou la grande possibilité de mort en gardant l’épée avec lui. Condentis soupira longuement, et lâcha désespérément l’arme ultime au fond du gouffre. L’arme ultime, en tombant, dégagea une grosse quantité d’énergie. Il put remonter et courra de toutes ses dernières forces jusqu’à la sortie, puis après, continua de courir jusque dans la petite forêt qui s’y trouvait et arriva enfin à l’abri. Chris regarda la petite montagne qui se trouvait derrière lui explosa, car l’arme ultime était tombée. Condentis marcha, vers la côte.

Chapitre 7.5

Après quelques heures, Condentis arriva dans un petit port, et s’arrêta à la taverne, n’en pouvant plus de soif.
Il passa à peine la porte qu’un verre alla s’écraser à côté de lui. Un homme bourré lui demanda :
« Eh pt’it gars ! Hips ! T’as pas vu mon trésor ? Je l’ai trouvé dans une montagne à quelques heures d’ici ! Hips.
Le sang de Condentis se glaça, puis se dirigea vers l’homme, le prit par son col et le souleva en l’air. Il lui dit :
« De quoi tu parles ? Il n’y a plus de montagne dans les environs.
« Hé merde, hips ! Je crois que j’ai trop bu, lui répond l’homme, euh, j’ai dû rêver.
Chris était vraiment à bout. Il se prit des whiskys puis vola une petite caravelle pour aller à sa prochaine destination : une des côtes bordant l’Océan Indien.