Bien. Me revoilà après bien un mois et demi d'absence... Mais cette fois si, j'espère ne plus à avoir m'escusez pour le retard ! J'ai continuer à écrire pendant la période d'absence mais divers chose m'ont contrains à ne pas pouvoirs poster...
J'espère que vous trouverez ce chapitre mieux que les précédents, et que vous commenterez ( sa fait toujours du bien, d'avoir quelque remarque par ci, par la... ^^ )
Sur ce voici le nouveau chapitre !
Chapitre 11 : Étrange découverte.
« Ellipsys Alkin, dit le cerveau, mis à prix à 99 millions de Berries. Wild-Doï, l’ours, mis à prix à 58 millions de Berries. Virtix le tentaculaire, mis à prix à 24 millions. Hakid le maniaque, mis à prix à 35 millions de Berries. Orion le dément, mis à prix à 42 millions. Ophélie à la transe d’orée : 20 millions, récita Hakid avec une légère pointe d’excitation. Et la mise à prix de tout l’équipage : 236 millions ! Avec ça, on va commencer à inquiéter le gouvernement ! s’écria-t-il.»
Tout le monde était présent dans la pièce, et tous le regardèrent s’exclamer en lisant les commentaires à leur sujet. La plupart était fiers, ou indifférents, il n’avait qu’Ophélie qui affichait grise mine : elle était encore un peu malade. Orion avait fini par la guérir, mais l’état de faiblesse où elle s’était trouvée ces derniers temps lui avait apporté une maladie passagère. Elle n’était pas grave, mais c’était tout de même gênant.
« Alors, Hakid, t’es heureux d’avoir tes 35 millions ? demanda Orion d’un ton moqueur.
- Bien sûr, s’écria le maniaque avec force. (Il était bien différent de d’habitude, pour une raison inexplicable.) Ma prime a augmenté ! Cela prouve que moi-même j’ai augmenté !
- Hum… c’est la cause de ton extravagante bonne humeur ? le questionna Ellipsys. D’être passé de 17 millions à 35 ?
- En partie. D’ailleurs dans 35, il y a un cinq, ce qui prouve que c’est un chiffre parfait. D’ailleurs tu ricanes, mais tu n’es pas monté très haut, toi, ajouta t’il à l’intention d’Orion.
- J’ai plus que toi, quand même !
- Hum, pas de beaucoup. D’ailleurs, tu ne parles pas beaucoup, Virtix ! Serais-tu dégoûté de n’avoir que 24 millions ?
- Non, répondit calmement ce dernier. A vrai dire, je m’en fiche. Ce n’est pas mon but. Je ne suis juste qu’un peu triste, cela va encore apporter de la disgrâce à mon peuple.
- Pour ma part, je suis très contente de ne pas en avoir, commenta Nimna. Une fois mis à prix, on est bien moins compétent en infiltration.
- D’ailleurs, ne fanfaronnez pas de trop, leur conseilla Wild-Doï, de son habituelle voix rauque. Regardez la Une.
Ils retournèrent le journal, et Ellipsys sourit en voyant les yeux exorbités de son charpentier.
- Eh oui. Ce dénommé Luffy au chapeau de paille a fait des ravages à Ennies Lobby. J’aime ce tempérament. Enfin, lui et sa bande ont l‘air plus téméraires que réfléchis, mais au moins, ils osent. En attendant, leur capitaine a 300 millions.
- C’est vrai que c’est énorme, murmura Hakid.
- Hum, j’aimerais le rencontrer, déclara Ophélie. Il a l’air de dégager une aura apaisante.»
Ils s’attardèrent encore un peu sur le journal, Hakid parlant à quiconque voulait l’entendre que le journal parlait de Water Seven, son Ile natale.
Soudain, une secousse se fit entendre. Le navire trembla. Ils étaient sous l’eau, étant donné que Virtix, en accord avec Hakid, avait décidé de plonger en raison des faibles vents de surface. Ils allèrent voir la raison du bruit, légèrement inquiets.
« Pas de panique, lança Ophélie. Ce n’est qu’un monstre marin, je crois. Il a l’air effrayé, d’ailleurs.»
On lui adressa des regards perplexes.
« Tu peux lire dans les pensées ?
- Oh non, pas du tout, répondit-elle. Peut-être avec de l’expérience, mais déjà, capter les émotions, c’est très difficile, alors, les pensées… Il faudrait être très puissant et sage.
- Pourquoi est-ce si difficile ? lui demanda Virtix
Ophélie s’assit sur une chaise, et se recroquevilla d’un coup, comme apeurée.
- Si je me mets à capter les émotions d’un être vivant, il est très difficile de ne pas ressentir ce qu’il ressent. D’ailleurs je suis moi-même maintenant très apeurée, car j’ai touché la bête.
- C’est très intéressant tout de même, déclara Ellipsys. As-tu d’autres pouvoirs dans le même genre ?
- Je peux peut-être vous parler dans l’esprit, mais c’est assez compliqué.
Ils parlèrent encore un petit peu, quand soudain la jeune fille aux yeux dorés s’écria :
- Il y a quelque chose ! Une sorte de mur ! C’est une île ? »
Ils se précipitèrent vers les hublots, et la coupole d’observation. En effet, une sorte de falaise grise se rapprochait à toute allure. Le courant, puissant, les poussa dessus, les empêchant de l’éviter.
****************************************************************
Ardam ouvrit la porte de la cabine du navire. Il se trouvait sur un grand bâtiment de guerre, pour une grande expédition. Ils naviguaient sur le Calm Belt, leur vigilance devait donc être la plus accrue possible. Suite à l’évènement sur l’île Opame, ils avaient dû rentrer à la base rapidement, pour repartir aussi vite. Les dégâts sur l’île avait été importants, et la base totalement dévastée, mais ils avaient repoussé les bêtes mutées au loin, et heureusement les effets du produit mutant s’étaient estompés avec le temps.
« Alors comment ça va ? demanda Ardam.
- Bien, répondit l’autre, couché sur son lit.
Il lui tendit le journal.
- Tu as vu ce Luffy ? C’est un gros morceau.
- Hum… oui. Mais je doute que même un contre-amiral ne puisse l’arrêter, ajouta-t-il avec un sourire.
C’était devenu une blague entre eux, depuis quelques jours. Ils avaient eu une promotion pour avoir « Très bien réagi » sur l’île D’Opame. Bien sûr, on parlait de leurs augmentations depuis un certain temps, mais cette affaire avait été le déclic.
- Tiens, ils parlent aussi de nos amis, lança Finster.
- Oui, j’ai remarqué…Ils ont d’ailleurs de bien belles primes. Mais nous les attraperons.
- Oui, se promit fermement Finster. »
Des cris survinrent de dehors, on arrivait à destination. Ils descendirent, en compagnie d’une partie de la garnison. Ils étaient parmi les plus gradés, avec leurs rangs, mais c’était le vice-amiral Sny qui s’était chargé de l’opération. Il prit la tête de la troupe, Finster, Ardam et quelques autres hauts gradés à ses côtés.
L’île où ils avaient débarqué était une très grande île, un désert au milieu de l’océan. Un pic émergeait, seul au milieu de l’île, pointant vers le ciel une flèche noire. Ils s’engouffrèrent dans une sorte de vallée de sables, entre deux grandes dunes immenses. Cette dernière était plongée dans l’ombre. Ils étaient avalés par l’ombre du pic. Un cri perça le silence. Alors une créature qui vivait là, grande et immense, fondit sur eux. C’était un basilic, semblable à celui enfermé dans la prison d’Impel Down, bien que plus petit.
Finster se prépara, puis s’écria :
« Rankyaku : la déchirure effilée ! »
Il toucha la créature au poitrail, mais celle-ci, ignorant la douleur, continua son attaque.
« Kami, souffla Finster, confiant »
Il effectua une belle esquive, virevoltant, mais le basilic, comprenant son erreur, s’était déjà rabattu sur le reste de la compagnie.
« Razor, cria Ardam »
Il se trouva alors juste à côté de la mâchoire pittoresque du monstre, son poing dragon enfilé.
« Dragon Gun ! »
Le monstre émit un bruit inhumain, et se mit à agiter violement ses pattes, preuve de sa douleur. L’une d’elles se dirigea vers le vice-amiral, mais Finster l’intercepta, bloquant la griffe de son sabre. Cependant, d’autres griffes arrivèrent, par derrière.
« Tekkai, grogna le contre-amiral »
Il résista à l’assaut, bien que les griffes du monstre l’aient légèrement touché. Enfin tous les soldats parvinrent à mettre à terre le monstre. Il finit par s’effondrer, épuisé et blessé.
« Vous pouvez encore progresser, constata le vice-amiral.
- Je n’en doute pas, répliqua Ardam avec un sourire. Les techniques du « Sur homme » sont difficiles à maîtriser, même après 2 ans. Enfin, nous nous complétons à peu près, avec Finster.
- Effectivement. Je suis d’accord sur ce point. »
Ils marchèrent encore un peu, à l’ombre du soleil. Soudain, ils sortirent de l’ombre, arrivant dans une vaste étendue de sable. Autour d’eux, des morceaux de roche énormes les entouraient.
C’est là qu’ils les aperçurent. Ils étaient deux, adossés à l’un des rochers, les deux marines porté disparus. Le colonel Vincent et le sergent-chef Robinson. Il s’approchèrent avec prudence, on n’était jamais sûr de ce qu’avait pu prévoir l’ennemi. Cette île était supposée faire partie du territoire de leur ennemi potentiel.
Le Vice-amiral tendit la main vers les deux hommes, toujours immobiles. Ils portaient de grosses blessures, et ne bougeaient pas.
Sny toucha l’épaule du soldat, qui était nue, du fait de son habit déchiré. Alors une sorte de craquement survint. Sny retira sa main très vite, mais le « mal » était déjà fait. Alors, à l’étonnement de tous, une partie du visage du colonel Vincent tomba sur le sol. Elle n’était pas très grande, à peine la superficie d’un carré de 10 cm². Ce morceau, d’une épaisseur dérisoire, avait la forme d’une pièce d’un puzzle. Tous les regards convergèrent vers la tête du colonel.
lls s’aperçurent alors, que derrière la partie tombée, il n’y avait rien. C’étaient des corps, pour quelque cause incroyable, complètement creux. Sny mit un pied à terre, et broya du sable dans ses mains.
« Maudit sois tu, maugréa-t-il avec une colère terrifiante, corsaire !»
****************************************************************
L’albatros des ténèbres avait refait surface. Il avait finalement pénétré les parois sans aucun détail de choquant. L’équipe s’était alors dépêchée de quitter les fonds marins. Alors ils s’étaient aperçus d’une évidence : ils étaient enfermés. Ils avaient rejoint une paroi membraneuse, sans réussir à la traverser. Ellipsys avait constaté plusieurs détails, dont il fit part aux autres.
« Bien, déclara-t-il d’un ton posé et sérieux. La réflexion est notre priorité. Nous sommes enfermés. D’après ce que nous avons vu, la membrane monte très haut dans le ciel, mais à la façon d’un arc de cercle. Elle fait la même chose à la verticale de l’eau. Ce qui me fait penser une chose : cette membrane est ronde. Elle forme une sphère, qui devrait être parfaite et assez grande.
D’après ce que j’ai compris, le log pose a déjà commencé à se recharger. Nous sommes déjà arrivés sur l’île, ou plutôt dans le domaine de son champ magnétique. Soit l’île est englobée dans cette bulle, mais on ne la voit pas parce qu’elle est trop loin, soit elle a été engloutie, et se trouve sous l’eau… Ce sont des idées assez logiques. Mais elles ne me conviennent pas. J’ai une dernière explication possible bien qu’un peu…surprenante. J’ai dans l’idée que l’île s’étendait là où nous trouvons actuellement. Cependant quelque chose l’aurait enlevée. Sans lui faire perdre son champ magnétique. Reste à savoir ce qui aurait pu enlever la terre de l’île…
- C’est un peu étrange, ton idée, concéda Orion. Mais il est encore trop tôt pour qu’on ait la réponse, je pense. Par contre, qu’est-ce que vous faites des sortes de piliers qu’on distingue à l’horizon ? Tous les membres de l’équipage, présents dans la cabine d’observation et son dôme en verre, le regardèrent d’un seul coup. A l’évidence, ils ne l’avaient pas remarqué.
- Hum… c’est vrai qu’il y a bien quelque chose là-bas, admit Ellipsys. Allons voir. Mais on reste sur nos gardes, qui sait ce qui peut nous arriver. »
Ils se dirigèrent donc vers la plus proche des fines lignes droites qu’on distinguait comme étant une sorte de vagues piliers. La notion de distance était légèrement troublée. Le temps était assez dégagé, mais quand Ellipsys leva les yeux, il distingua une sorte de trouble, de déformation. Quelque chose lui cachait la vue, il eut l’impression de voir à travers une paire de lunettes. « La membrane sans doute, songea-t-il. Voilà qui appuie ma théorie. »
Il avait atteint le premier pilier assez rapidement. Et il avait bien l’allure de ce qu’on aurait pu appeler comme tel. Bien que « tour » aurait mieux convenu. Il était fait de métal, avec juste quelques panneaux de verre. Une porte se trouvait à la hauteur de l’eau.
De ce que l’on pouvait voir, la porte donnait sur un escalier. Bien plus haut, on ne distinguait que des vagues contours de passerelles, entre des piliers et des sortes de contours grossiers de boules. Le capitaine des Brain Pirate décida d’aller voir, et ils se scindèrent en deux groupes. Ophélie était encore un peu faible, et désirait rester encore un peu sur le navire ; elle y resta donc, ainsi qu’Hakid, qui voulait finir la réparation de son Véliobe brisé. Virtix voulait aussi rester, pour surveiller les fonds marins autours du navire. Les autres partirent, sous la direction de l’adolescent.
Au bout d’une longue ascension, ils finirent par arriver tout en haut d’une plateforme d’une dizaine de mètres de diamètre. On ne distinguait plus le navire, à la hauteur où ils étaient parvenus. En revanche, ils étaient maintenant aptes à voir les structures qu’on ne pouvait distinguer du sol.
Si les côtés de la plate-forme n’était pas couverts, il y avait une sorte de toit, qui était dotée d’une forme particulière, incurvée. Il reposait sur un pilier en pierre. En regardant sur les côtés de la plate-forme, on apercevait des sphères, opaques, posées sur des promontoires comme le leur. Des sphères partaient des passerelles, pas très larges. Plusieurs semblait rejoindre la leur. Les sphères n’était pas toutes sur le même plan, mais de là où ils étaient, ils ne les voyaient pas toutes, certaines en cachant d’autres.
Ils virent un autre escalier en pierre, qui semblait permettre d’accéder à leur sphère. Ils gravirent rapidement les premières marches, quand ils furent happés par une membrane opaque très peu visible dans la sombre obscurité. Ellipsys grommela dans sa barbe, énervé de ne pas avoir pu penser qu’il y aurait quelque chose du genre dans ce conduit. Cependant personne n’avait pu voir la membrane, pas même Orion, pourtant doté d’une vision particulièrement élevée.
Ils débouchèrent alors dans un endroit assez surprenant. Une vague de glace les attendait. Le froid les envahit à une très grande vitesse. Des stalactites et stalagmites sortaient du sol et du plafond. Des blocs de glace et de rocher se trouvaient aux alentours. Ils avaient une sorte d’incurvation, eux aussi, si bien qu’on pouvait deviner la membrane, qui formait la sphère, contenant le tout.
Ils avaient pénétré dans un univers complètement gelé. « Nous sommes dans une sorte de grotte glacée, pensa Ellipsys. Cette membrane garde donc la chaleur ? »
Ils marchèrent un peu, en direction d’une sortie quelconque. Soudain ils n’arrivèrent pas très loin d’une sorte de butte de glace. Une fine silhouette se trouvait dessus. Il avait l’air d’être sur une sorte de fauteuil naturel. C’était un jeune homme au teint blafard. Les pirates se rapprochèrent vivement. Le génie observa vivement cette nouvelle apparition.
Le dos légèrement calé sur un mur de glace, il avait un air nonchalant. Ses jambes se trouvaient dans le vide. On aurait dit qu’il se trouvait sur un trône de glace. Il avait des cheveux d’un bleu très clair, ramenés en arrière. Ses yeux était bleus également, d’un bleu glacial. Il portait une chemise noire et un pantalon bleu nuit, il ne semblait pas être gêné par le froid. Il portait des gants de sport blanc. Son bras gauche était adossé à une sorte d’accoudoir, et tenait un pic de glace de trente centimètres environ, tenu devant lui. Il en avait un autre qu’il portait, adossé à son épaule, la pointe derrière lui.
Les voyant arriver, il se redressa légèrement.
« Bienvenue, je suis le gardien de la septième sphère. Je m’appelle Djello ! »
_________________________________________
Voila, c'est tout pour aujourd'hui, et surtout n'oubliez pas, commentez !!
_________________
Pseudo habituelle : Hakido
|