Épisode 11 : Once Upon in Garterbelt, suivi de Nothing to Room



Partie 1 : Garterbelt réprimande à nouveau le duo angélique pour sa conduite très nuisible sur Terre. Excédées, Panty et Stocking veulent trouver le moyen de réduire au silence le trop réprobateur pasteur. Par chance, elles voient tomber de la manche de leur objecteur de conscience un équipement SM...

Partie 2 : Garterbelt a promis à Panty et Stocking de leur préparer un repas mémorable, mais il se fait beaucoup trop attendre et la faim se fait terriblement ressentir. Le duo angélique tiendra t-il le coup en attendant son cordon bleu ?

Une nouvelle fois, je me sens obligé de l'écrire d'emblée, cette série est DÉ-MEN-TIELLE. La première partie envoie juste à un niveau stratosphérique de qualité d'humour et de spectacle, la seconde touche au plein cœur sa visée conceptuelle tout en étant d'une addiction absolue. Il n'y a pas à dire, on se dit réellement que l'on a de la chance d'avoir une telle chose sous les yeux semaine après semaine.

La première partie est celle que j'ai préféré, notamment parce que ce n'est pas un grand secret, l'Histoire et moi ça ne fait pas « deux » mais simplement « un » depuis un petit bout de temps. J'ai été littéralement scié par l'élan de cette partie qui conjugue énormément de choses que j'apprécie. La parodie de film noir inaugurant l'histoire de Garterbelt était juste sublime à mon sens, et me délectant d'avance d'un épisode de cet acabit tout du long, j'ai pris un coup sur la tête encore plus puissant à partir de la rencontre entre le futur pasteur et le divin. Sincèrement, mais c'est tout bonnement énorme cette histoire rêvée de l'humanité traversée par Garterbelt ! La rencontre entre Garterbelt et le divin était sidérante, mais le développement de l'ère préhistorique, des temps bibliques puis de l'Histoire à travers le prisme des déboires de Garterbelt était d'un niveau difficilement qualifiable dans la strate du démentiel pour ma part. Je l'avoue, j'ai été aussi brossé dans le sens du poil comme pas deux à la vue de certaines des œuvres ou images clés de la mémoire collective détournées pour inclure le pasteur, j'ai trouvé le tout tellement excellent que je n'ai pas boudé mon plaisir. De même, malgré le fait que ce soit annexe, j'ai beaucoup apprécié le clin d'œil dans la crypte à certains souvenirs plutôt mémorables... Je me suis bien amusé à découvrir la chute, qui clôt une partie qui donne une épaisseur très surprenante à Garterbelt durant la fin de la série (et fait aussi de Chuck autre chose qu'une victime).

Une question subsiste : mythomane ou pas le pasteur ? Moi, je veux bien croire au récit vu sa beauté.


L'exercice de style de la seconde partie m'a beaucoup plu. Même avec un seul plan sur plus de dix minutes, la série dégage plus de dynamisme ou d'intérêt que ce qui pourrait être fait à côté dans le reste de la profession. Je suis admiratif ici surtout du jeu des dialogues qui permettent grâce à leur rythme effréné de ne jamais laisser l'action en plan. C'est fort tout de même de constater qu'ils peuvent faire quelque chose d'accrocheur à partir de trois fois rien... Niveau « action », je retiens surtout la nouvelle version du combo de Stocking sur Chuck : on continue de progresser de façon asymptotique dans l'émerveillement que procurent de telles scènes chez moi. On retiendra quand même principalement que l'aventure est au détour du canapé parfois et que des petits génies habiles de leurs mains peuvent faire des merveilles avec un matériel aussi simple.

Cet épisode est pour moi une nouvelle illustration lourde du génie de la série, Garterbelt a bien fait de manger le fruit de la connaissance pour donner de formidables atouts à son lieu d'adoption.

Episode 11 : "Once Upon a Time in Garterbelt" & "Nothing to Room"



Part 1 : Parce qu'elles négligent leur mission depuis un bon moment, nos anges se font "recadrer" par Garterbelt. Enervées, elles décident de le suivre et découvrent un journal retraçant la vie de notre pasteur...
Part 2 : Panty et Stocking attendent dans leur salon un repas exceptionnel préparé par Garterbelt mais les heures passent et le festin se fait attendre...


La première partie nous offre une Histoire de la Vie et de la Bible accélérée assez délirante et excellente! Assez trippant que cette maxi rétrospective qui tape dans le fil rouge de la série pour une fois.
La suite est un exercice de style assez barré : un unique plan pour tout l'épisode. Les idées et les dialogues fusent dans tous les sens malgré la contrainte de base : Panty et Stocking ne font rien et s'emmerdent. Et même si elles se font chier puissance 10 dans cet épisode, ça reste très amusant et dynamique pour les spectateurs^^

Ce qui est amusant à noter d'ailleurs dans la structure de la série ce sont les premiers épisodes qui proposaient un schéma récurrent autour de la mission des Anges avec des motifs précis et clair. L'apogée de cette structuration fut la double histoire de l'épisode 6 avec l'apparition des Diaboliques qui apportaient un fond scénaristique de type fil rouge. Et alors qu'on pouvait s'attendre à voir le schéma posé et récurrent se développer vu l'entrée en scène d'ennemis récurrents, il fut en réalité complètement explosé. Exit les quelques éléments de structuration et la mission des Anges. Depuis l'épisode 6, malgré la présence des Diaboliques, la série devint de plus en plus anarchique : les Anges ne s'occupant plus du tout de leur mission mais uniquement à se la couler douce (avec des épisodes souvent sans enjeux direct).
L'apogée étant sans doute atteint avec l'épisode 10 qui ne cache même plus son propos de sketchs expérimentaux et purement divertissants mais le revendique explicitement.
Logiquement après l'apogée de cette période "Anarchie" nous avons un épisode où Garterbelt engueule les Anges de ne plus s'occuper de leur mission doublé à un récit qui nous fait découvrir le Passé complexe du Pasteur et certains secrets de la série, bref retour d'éléments scénaristiques de type ligne rouge. La seconde partie de l'épisode est une sorte de transition et voit nos Anges s'emmerder (plus de délires Anarchiques) et se poser la question attendue : ont-elles réellement encore envie de retourner au Paradis ???
La réponse au prochain épisode ???

Je n’étais pas revenu sur le 10donc petit retour en arrière avec ce 5 épisode.
Pour une fois depuis quelques épisodes j’ai rigolé tout du long avec cette partie. J’ai sentie comme un retour aux sources avec cette première partie moins de références plus de folies. D’ailleurs en termes de référence hormis peut-être « l’aventure intérieure » je vois mal mais le délire étais hautement succulent.

La suite en trois parties m’a semblé plus aléatoire, allant de mieux en mieux et en reprenant une certaine trilogie. La première partie est plutôt banal, elle ne sert qu’à montrer le masochisme de Chuck et son utilité au titre de sac de frappe (si on peut le dire ainsi). La suite finis sur une chose assez sympathique mais reste dans la même veine, en revanche le style, la mise en scène et le contenu de la troisième partie sont vraiment des détails qui ont relevés mon intérêt. Surtout avec les implications et le final, encore une histoire complètement barré pour les anges.

La dernière partie ?
Je préfère mettre simplement le clip dont l’excellence par d’elle-même.
Anarchy !


Maintenant au tour de l’épisode 11.
Cette première partie me laissé penser qu’on aurait droit à nouveau à du bon comique à l’ancienne (début de série) mais finalement l’histoire se lance dans une histoire millénaire, biblique et historique. Même si l’effet est réussi et que j’ai encore pris du plaisir à suivre cette première partie, au final on reste dans du simple délire donc bien mais sans plus pour ma part.

La seconde partie est simplement ennuyeuse, un terme que je pensais ne jamais utiliser pour la série, le plan fixe ne me dérange pas plus que ça mais l’absence d’humour qui tâche (comme la série le faisait) est fatal à mes yeux. Les anges s’ennuient d’accord mais pourquoi entraîné le spectateur dans le même état ? (je suis Soredemo et d’autres séries cette saison c’est bien suffisant pour l’ennuie) Donc assez déçu par cette seconde partie.


Je reviens maintenant un peu sur le post de Leto, avec qui je suis en total accord, et d’une réponse de Bullzor ou depuis l’épisode 6 les diaboliques sont devenues le fil rouge en plus des délires sur les références. Mais honnêtement, ça fait combien d’épisode qu’elles ne servent que de faire valoir ou pire absente ? Trop longtemps à mon gout et justement peut être qu’un retour des deux diablesses sur le devant de la scène pourrais me donner plus d’intérêt à côté de l’humour archi référencé qu’est devenu la série.

Épisode 12 : D.C. Confidential, suivi de Panty + Briefs



Partie 1 : Le maire de Daten City écoute attentivement le rapport d'opérations des Démoniaques. Très vite, il est excédé par l'incapacité des fantômes employés par le duo démoniaque à défaire le duo angélique du pasteur Garterbelt ainsi qu'à mettre la main sur un précieux artefact qu'il recherche.

Partie 2 : Le grand moment est arrivé, Panty et Stocking viennent de collecter assez de pièces-paradis pour retourner au royaume des cieux ! Une surprise les attend tout de même : si Stocking est admise de nouveau au Paradis, ce dernier refuse d'accueillir Panty qui se serait trop dévoyée dans le sexe lors de son passage sur Terre... Panty va donc repartir pour une nouvelle récolte de pièces-paradis pour expier ses fautes et compte bien sur Briefs pour faire le boulot à sa place. Est-ce que Panty arrivera quand même à réaliser son plan de connaître 1 000 hommes différents sans que le Paradis s'en aperçoive ?

La dernière ligne droite de la série est lancée, et de quelle manière : c'est à un énorme épisode auquel on a droit, particulièrement grâce à une seconde partie qui concrétise juste ce que j'espérais, à savoir de l'imparabilité scénaristique made in Imaishi pour nous emmener dans des strates improbables de plaisir pour la fin. La première partie était quelque peu étrange, j'aurais pu la penser comme un peu vaine si il n'y avait pas eu le choc de ce qui suivait. Au delà du flashback, qui donne enfin un petit nom à tous les fantômes qui ont pu être réchauffés dans la série, cette partie avait surtout l'intérêt à mes yeux de mieux introduire le maire et ses attentes vis à vis des Démoniaques. La petite information qui manquait avant le début du grand final...

Personnellement, j'ai été époustouflé par cette seconde partie qui prend à contre-pied à chaque instant. Dans le magazine Newtype, la Geek Fleet avait eu la bonne idée d'indiquer qu'avant la fin de la série, nos anges auraient récupéré assez de pièces pour retourner au Paradis. En conséquence, les voir partir toutes les deux ne m'aurait pas choqué... Mais là, le coup de Panty qui doit rester sur Terre parce qu'elle a trop de libido pour convenir à ses employeurs originels, je ne m'y attendais pas du tout. Bonne initiative pour ma part d'avoir instillé une telle information pour mieux surprendre à la toute fin.

Stocking retournée au Paradis, on se retrouve donc sur les bras avec une paire rêvée par le spectateur : Panty et Briefs. Et là encore, comment aurait-on pu se douter que Geek Boy se révèle être un élément aussi décisif du scénario de la série avec une telle exposition pas « glorieuse » tout au long de cette dernière ? Pour sûr, la réception chez le maire était le point de départ d'une suite de surprises toutes plus énormes les unes que les autres.


▲ Au passage, si ça ne rappelle rien...

Maintenant, on sait d'où ils le sortaient le « s » de Briefs du côté de ANN : merci le secret du diminutif de Briefers Rock. \o/ Geek Boy a donc l'air d'être pété de thune en plus d'être finalement un beau gosse : Panty s'était assise tout ce temps sans le savoir sur la perle rare ! J'ai bien apprécié la confrontation qui a suivi dans la foulée avec les Démoniaques, même si l'on se demande bien comment Panty peut s'en sortir seule, surtout quand son arme a l'air de manquer désormais de répondant.

La séquence finale entre Panty et Briefs m'a juste semblé über-cool avec son lot de révélations sorties d'on ne sait où et sa poussée dramatique bien certaine sur la fin de l'épisode. Sincèrement, j'ai été scié en deux par le gag de la reconstruction de l'hymen angélique de Panty qui la ramène sur le « droit chemin » tout en lui faisant perdre ses pouvoirs : j'ai trouvé ça très inattendu même si il fallait bien un élément pour diminuer la dernière héroïne en course pour monter la sauce durant ce final. Et puis, qu'écrire devant la révélation de la nature de l'artefact que recherchait le maire Corset ; là aussi j'ai été pris de surprise devant une telle chose qui au final a été habilement amené par cette partie.

J'adore littéralement ce qui a pu être réalisé dans cet épisode pour commencer à conclure en beauté la série. On se retrouve avec des questions en suspens qui collent une bonne grosse impatience d'ici la semaine prochaine (d'où est-ce que Corset et Garterbelt se connaissent par exemple ?), mais aussi j'ai eu l'impression de retrouver un échantillon du leitmotiv de tension dramatique que j'associe à Imaishi depuis Gurren Lagann (Anti-Spirale, si tu nous entend devant la situation de Panty à la fin...). Je suis conquis de bout en bout et j'espère que le dernier épisode de la série sera un merveilleux cadeau de Noël qui fera date.

Episode 12 : "D.C. Confidential" & "Panty + Briefs"



Part 1 : Les Diaboliques sont convoquées par le Maire pour un rapport détaillés de leurs différentes opérations et logiquement cela ne se passe pas très bien!
Part 2 : Nos anges ont enfin collectées suffisamment de Heaven Coins pour retourner au Paradis mais le retour est refusé à Panty en raison de ses excès de sexe! Elle va devoir tout recommencer, et seule!


Nous poursuivons donc sur la lancée de l'épisode de la semaine dernière, c'est à dire sur la contextualisation du final de la série avec la remise au devant la scène de l'intrigue globale!
La première histoire de type Résumé joue efficacement son rôle et permet de faire passer quelques éléments et découvertes intéressantes - et mention spéciale au passe-temps "détente" des Diaboliques!
Pour le second, l'artillerie lourde est utilisée et nous avons la réponse à la question de la semaine dernière : nos Anges veulent a priori tout de même retourner au Paradis. Néanmoins on peut se poser des questions pour Panty vu l'évolution de l'épisode et je ne serais pas surpris de voir Stocking faire son retour pour l'ultime épisode!
Quoi qu'il en soit, épisode où l'Amour est détourné pour provoquer l’Apocalypse avec de nombreux passages excellents et étonnants!
Reste donc le dernier épisode et son explosion finale!
Great!

Voilà un avant-dernier épisode qui laisse présager le mieux pour la fin de la série.

D'abord avec la première partie pour avoir su ranimer tous les meilleurs moments de la série, histoire de nous faire verser la larmichette. On remarquera d'ailleurs que les scénaristes sont très lucides sur le virage qu'a pris pendant quelques épisodes la série : les épisodes 6 à 11 sont tellement rapidement résumés qu'on se demande s'ils ont eu lieu.
Mais surtout avec la seconde partie qui prépare l'intrigue du dernier épisode de manière fort convaincante. On remarquera là aussi l'une des tendance que j'avais remarqué de la série et dont j'avais fait part à Bullzor : Panty est clairement l'Héroïne qui a toujours été mise en avant dans la série, par rapport à Stocking dont le développement aura été par pic et non progressivement. Ceci dit, la relation entre Geek Boy et Panty prend une autre dimension, c'en est éblouissant de fluidité narrative (avant le début de cet épisode, je ne l'avais jamais vu venir).

Quant à l'épisode 10, je retiens surtout la flopée de références filmiques qui ont servi à créer une sorte de flashback ultime pour Garterbelt.
Avec Geek boy, la série a recentré les personnages qui semblaient très secondaires pour les placer dans l'intrigue principale (Garterbelt connait le Maire), ce qui augure du très bon pour le final (Chuck sera-t-il aussi un élément clef ?)
Pour la deuxième partie, elle est assez amusante dans son impératif de ne garder qu'un plan pendant dix minutes (encore que par moment, il y a de la triche à ce niveau, mais rien de grave) ; en revanche elle intervient très tard dans la série, tant et si bien que j'ai du mal à adhérer complétement au délire. Je pense que la série aurait pu l'insérer bien avant pour que le rythme global ne pâtisse pas. D'ailleurs, l'ordre des demi-épisodes serait peut-être bien plus accrocheur si ceux des épisodes 7 à 11 avait été mélangés à ceux des 1 à 5, histoire qu'on ait un massacre de fantôme régressif et un "hors-sujet" conceptuel, sympathique chaque semaine. Ça aurait encore plus de gueule.

M'enfin comme dirait l'autre, je fais mon difficile. Parce que pour de la telle qualité, c'est gonflé de se plaindre.

Edit : Je comprends tout à fait ce côté grand provocateur de la GAINAX d'envoyer dans le mur tout ce qu'on voudrait qu'elle fasse pour notre plaisir et qu'elle ait pour ambition de faire une série "anarchique", mais la répartition des épisodes (d'abord une structure très formatée, puis après avoir promis une histoire de dingue une absence de structure ou d'enjeux) est en deux blocs, ce qui n'est pas forcément très anarchique, si on va par là ^^.

Ce que tu proposes Leto II, aurait donné une structure classique et standard à la série alors que le propos de la série me semble plutôt être l'Anarchie et d'avoir pour ambition de détourner certaines "attendes" du spectateur/consommateur qui conçoit d'abord sa série comme un objet qui doit lui faire plaisir.
A ce sujet la série est assez claire via certains éléments comme par exemple les transformations Magical avec graphisme "adulte" qui avait abouti au début à une pseudo-pétition sur le net Jap pour faire toute la série avec ce type de graphisme. Preuve que Gainax avaient réussi leur coup.
Le tournant autour des Diaboliques est également sans trop d'équivoque : Toi le jeune Otaku qui analyse tout et qui pense qu'une bonne série doit avoir une histoire ambitieuse et complexe pour obtenir un certain "rang" et produire du post sur tes forums, tu vois les questions et les enjeux que nous avons introduits avec notre super double épisode de la mort qui semble hyper "prometteur" ? Bah en fait on s'en fiche totalement! On garde le tout pour le final et profite entre temps des chouettes épisodes à venir même s'ils ne peuvent pas remplir des pages et des pages de topic sur tes forums! Notre série n'est pas faite pour remplir le vide de ta vie ^_^
Ah Gainax et son jeu ambigû avec son cher public otaku!

Je commençais à voir ça partout, alors par curiosité j'ai lu la présentation et j'ai vu que ça avait été fait par le réalisateur de Gurren Lagann.
Donc forcément, j'ai regarder le premier épisode.
Et pour citer un mec qui montre qu'il peut parfois faire preuve de bon goût (héhé): Je l'annonce d'entrée, j'ai juste trouvé cette entrée en matière DÉ-MEN-TIELLE.
Du gros délire visuel comme j'aime (c'est le même réalisateur de Dead Leaves c'est ça? Un pote en école d'animation me l'avait montrer et c'est complètement barré pareil) et en plus, ça a l'air d'être ultra-référentiel au cinéma et à la musique, donc génial.
Je croyais que ça serait encore un truc dégueulasse à base de petites morveuses, mais même si y'a beaucoup de petites culottes, de nanas qui se touchent avec des étoiles plein les yeux et que j'ai l'impression qu'on va vite tomber dans le fan-service dégueulasse, ce premier épisode m'a donner suffisamment d'éléments pour me donner envie de continuer à mater la série, sachant que malgré tous les trucs pro-otakus écoeurants, y'aura toujours le reste pour me plaire (enfin, j'espère en tout cas, à voir avec la dizaine d'autres épisodes).
Et puis merde, c'est le réalisateur de Gurren Lagann quoi.
Que demandez de plus?
Ah si cette illustration en HQ si possible:

Bah si justement : au début les épisodes sont gouvernés par un (ou des) principe(s), puis par la suite il n'y a plus de véritables principes qui les gouvernent. Elle devient anarchique, et cela même pas de façon progressif mais de façon plutôt brutale (enfin ça dépend des gens^^).
Pour qu'il y ait Anarchie, il faut d'abord des Principes (à détuitre/retourner), sinon on peut pas véritablement définir d'Arnachie - ce n'est pas parce que tu ne manges pas tous les jours de la même façon que tu te nourris de façon anarchique ^_^
L'Anarchie n'existe qu'en opposition à un Ordre et de ce fait la structuration de la série y répond assez bien - après cela aurait pu être fait d'une autre façon et comme évoqué la position de Gainax reste toujours "ambigü" : on fait un FUCK mais sans pour autant oublier de s'amuser et fan-servicer un brin ^_^

Je suis curieux de ce fait de voir le dénouement et le traitement du climax que malgré tout la série n'oublie pas (un peu d'ordre tout de même^^).

Il s'est passé un paquet de trucs pendant mon absence du côté de la crypte de Garterbelt...



Aussi étonnant que cela peut me sembler en l'écrivant (j'aurais pensé l'inverse en débutant la série), j'ai l'impression au final que Panty & Stocking feat. Garterbelt possède beaucoup moins d'éléments de fan-service que Gurren Lagann. Bien sûr, ce n'était peut-être pas trop difficile après le passage de Yôko et ce malgré elle... Comme l'a énoncé Ange Bleu plus haut, les rares séquences de transformations, c'est presque littéralement du « Ha Ha ! T'en veux plus, hein ? Bah, rage un max que ça dure pas longtemps et va voir ailleurs si ça t'en dit ! » en ce qui concerne le pur et dur fan-service (et bon, comme d'habitude, bataille épique en perspective sur sa définition). Sincèrement, le pan « sous la ceinture » de la série est clairement là pour amuser le spectateur et non pas flatter ses instincts.


L'affirmation qui demeure véritable en tout temps et à laquelle j'adhère complètement, d'où l'intérêt de tout se farcir si jamais on a pas eu l'occasion de mettre la main sur l'un des trucs en cours de route !


Désolé, je n'ai pas trouvé ce que tu demandes en mieux détaillé mais peut-être qu'en fouillant à la source tu pourrais trouver ce que tu recherches (même si j'ai l'impression que tu as carrément tapé d'entrée dans la dite source).

En ce qui concerne le débat sur la tournure de la série débuté entre Ange Bleu et Leto, j'ai l'impression qu'il manque un seul élément : Hiroyuki Imaishi, ce n'est pas la GAINAX à lui tout seul. En effet, d'après les retombées auprès du public concerné au Japon, le studio va très certainement perdre de l'argent comme pas deux à cause de cette série. Pourquoi ? Nos amis les fans que l'on qualifiera de plus « hardcore » que la moyenne (aka « les Otakus » si vous voulez les grands mots) n'apprécient apparemment pas du tout cette série. Les principales causes semblant être le manque d'attrait de la charte graphique ainsi que des personnages. Encourager le cosplay autour de Panty et Stocking ou des Démoniaques, oui, mais aimer les personnages pour leur côté barré, carrément pas. En ce moment, ça a l'air même d'être la grosse indifférence autour de ce programme (alors que c'est inversement proportionnel à l'étranger, même les fans américains adorent cette satyre qui les touche plus vite que les autres).

Hiroyuki Imaishi et ses potes se font apparemment plaisir comme pas deux avec cette série (quitte à faire un bras à ceux, comme moi, qui n'appréciaient pas le style graphique de l'épisode 4 de Gurren Lagann en laissant aux bonnes œuvres de Osamu Kobayashi la réalisation du chef d'œuvre de la seconde partie de l'épisode 5 – même si je reste convaincu que le bonhomme s'était loupé sur Gurren Lagann -) et multiplient donc les trucs qui leur plaisent. Néanmoins, l'historique du studio Hiroyuki Yamaga l'avait bien laissé transparaitre cette année au cours de sa présentation des projets à venir du studio : ce n'était clairement pas Panty & Stocking feat. Garterbelt qui était attendu comme le money-maker de la nouvelle vague ou le projet phare tout court. Ce qui fait le génie intemporel de ce studio, c'est d'avoir en son sein autant ceux qui ont créé dans les années 1980 « l'otakisme » à eux tout seuls ainsi que ceux qui peuvent le faire perdurer de manière académique autant que ceux qui peuvent l'envoyer voir ailleurs pour découvrir quelque chose d'autre (d'où un néo-classicisme inter-décennies toujours démentiel). Ça ne manque jamais, cette dichotomie consubstantielle à toujours fonctionné pour la pérennité de l'image du studio (à moins d'un séisme, on associe plus la GAINAX à Gunbuster, Nadia et le Secret de l'Eau bleue, EVA, FLCL ou encore Gurren Lagann qu'aux trucs fan-servicés qui ont nourri « dans l'attente » le studio dans la charnière 90's/2000's). Néanmoins, la GAINAX est l'un des studios qui a le plus imprimé son avidité légendaire auprès du public : si elle laisse Imaishi s'amuser, les comptes n'en rient pas moins jaunes et peuvent siffler très vite la fin de la récréation.

Tout ce bavardage pour en revenir au fait que c'est Imaishi seul qui tient la barque, et non pas la GAINAX. Et quand on est convaincu que le bonhomme fait peu de choses au hasard, on se dit que la structure même de sa série ne doit pas tomber de la dernière pluie : il sait réellement y faire pour surprendre le spectateur d'où des trucs qui peuvent surprendre pour peu que l'on est pas dans le secret des dieux (mais bon, nous, humbles spectateurs, on ne demande que ça d'être secoués devant la TV sans savoir pourquoi).



[Sortie pas crédible] « Mais allons, on sait tous que la série va se terminer avec un GAINAX Ending : Panty va renoncer à sa nature quasi-divine pour se consacrer à la formidable aventure de la vie humaine en compagnie de Briefs ! ».

Tu fais bien de préciser Bullzor que la série est l'oeuvre de Hiroyuki Imaishi! Même si évidemment elle s'inscrit naturellement dans une certaine tradition à la Gainax et qu'on peut se poser la question si elle aurait vu le jour en l'état via d'autres Studios.
Dans tous les cas son manque de succès au Japon est intéressant et permet de voir les limites du Coup de Pied dans les Habitudes : a priori Hiroyuki Imaishi est allé trop loin en touchant du doigt ce qui est véritablement Sacré et plus particulièrement ce qui suscite le culte des Héroïnes d'Animés (et a priori Panty et Stocking ne répondent pas à ces critères, aussi bien sur la forme que le fond et je trouve ça particulièrement intéressant car "techniquement" Hiroyuki Imaishi n'a pas beaucoup dérivé des standards mais apparement juste ce qu'il faut là où il faut^^).

Curieux de voir comment la perception de la série va évoluer dans les prochaines années (Au Japon et en "Occident") même si le final va sans doute être déterminant pour le marquage des esprits et qu'il nous faut attendre encore une petite semaine dans tous les cas ^_^

Dimanche dernier j'ai revu S.O.S. Fantôme sur W9 et j'ai capté un truc qui m'avait échappé jusqu'à présent!
Le Style GhostBuster de Brief, ça aucun problème mais comme je n'avais pas vu le film depuis longtemps j'avais complètement zappé le truc du KeyMaster qui doit s'unir sexuellement à la Gardienne de la Porte pour ouvrir le passage vers une Dimension Démoniaque. Et qui tient le rôle du KeyMaster ? L'excellent Rick Moranis!
Et après une courte recherche sur le net, je ne suis pas le premier à y penser :

Épisode 13 : Bitch Girls, suivi de Bitch Girls 2 Bitch



Partie 1 : Panty, désormais sans pouvoirs, est abandonnée par Garterbelt. En effet, le pasteur ne veut pas s'encombrer d'un ange dévoyé qui ne lui serait plus d'aucune utilité dans sa lutte contre le maire Corset. Une nouvelle vie débute pour l'ancien ange.

Partie 2 : Le « tout pour le tout » est lancé pour le duo angélique et son employeur de pasteur ! En effet, après perdu sa virginité, Briefs se retrouve malencontreusement à ouvrir le sceau de l'Enfer de Daten City grâce à sa clé désormais débridée. En quoi consiste réellement le plan de Corset pour Daten City ? Le duo angélique parviendra t-il à sauver la situation ? Panty et Stocking vont chercher des réponses avec leurs tripes lors de ce combat qui s'annonce comme l'ultime !

Noël 2010, c'est bien évidemment la magie inhérente à cette fête, mais c'est aussi un supplément d'âme pas commun qui me tardait de découvrir : sans grande surprise, le final de la série m'est apparu comme ahurissant (on va voir si les mots vont me manquer mais c'est réellement avec des étoiles dans les yeux que je rédige ces lignes) et assoit le fait que je trouve dans l'ensemble cette série simplement DÉ-MEN-TIELLE.

Difficile de sortir des éléments plus que des autres pour ma part tant cela ressemble à un travail d'orfèvre taillé pour tendre minutes après minutes toujours plus vers un final épique et enlevé jusqu'aux dernières secondes du programme. Hiroyuki Imaishi a une nouvelle fois sorti l'artillerie très lourde pour la conclusion de l'une de ses œuvres et je ne peux qu'une nouvelle fois m'incliner devant une telle maestria (on sent à peine le gros vendu au bonhomme derrière de telles sorties, mais j'assume). Rien n'est à jeter, tout est excellent dans ce qui peut nous être proposé cette semaine.

Ainsi, j'ai adoré la vraie-fausse réintroduction de Panty dans l'intrigue (mention spéciale au pauvre paysan qui se fait trucidé à l'arrière plan dans un déluge de balles très 80's), j'ai encore mieux apprécié l'arrivée de la même Panty sur le toit de la mairie pour le lancement des dernières opérations, j'ai été très sensible à la dynamic entry tout en bad-asserie et très attendue de Stocking, j'ai été soufflé par la baston improvisée SM entre Garterbelt et Corset (et j'ai été ici beaucoup surpris par la disparition du pasteur qu'on pouvait penser avec ses antécédents increvable), j'ai beaucoup aimé le twist offert à Chuck pour le dernier épisode (comme certains le pensaient la semaine dernière, même un personnage comme lui a eu sa part de gâteau dans la conclusion de la série), l'excellence de la série m'a encore plus éclaté que d'habitude au visage avec la mise en scène furieuse de la scène où apparait l'arme ultime invoquée par Panty et Stocking pour dégommer le maire et sa créature (eh bien, qualité extrême de la mise en scène + montée épique bien sentie + gags ahurissants à de tels moments critiques = scène ô combien mémorable) ; tout ça pour écrire que tout m'a flatté comme convenu (voire au-delà) devant ma TV.

Mais bon, j'étais encore loin d'être au bout de mes surprises avec l'ultime scène de la série, qui délivrait un cadeau inattendu pour ce Noël.



Une seconde saison de Panty & Stocking feat. Garterbelt alors qu'il n'y avait pas trop de raisons ou de signes de croire ou d'espérer de la sorte jusqu'à aujourd'hui ? Pourquoi pas, je signe sans forcer pour une nouvelle vague pour des temps futurs, pour peu qu'elle amène avec elle un minimum de garanties propres à cette série en terme de divertissement. Surtout que maintenant, les questions se bousculent devant ce final très inattendu : est-ce que Stocking est réellement depuis le début de la série un démon ou un agent de l'Enfer et/ou de Corset ? Est-ce que Stocking n'a pas eu lors de son passage au Paradis des instructions pour détruire plus profondément les forces de l'Enfer sur Terre, ce qui passerait par cette mise en scène ? Briefs et Chuck vont-ils rapidement réussir à ressusciter Panty, quitte à provoquer une nouvelle main-mise de l'Enfer sur Terre ? Scanty et Kneesocks (avec Fastener), délaissées ouvertement par Corset, vont-elles suivre l'affaire de près ? Est-ce que cette annonce d'une nouvelle saison n'est-elle carrément pas une ultime bravade parmi d'autres de la série, à savoir « la trahison de la FanBase » en annonçant une autre saison qui ne verra jamais le jour pour laisser au final une nouvelle série aux questions éternellement en suspens ? « Qui vivra verra » comme on le dit, mais dans toutes les configurations possibles, ça a l'air de bien promettre.

Impressions finales sur la série

Quoi qu'il arrive, seconde saison ou pas, Hiroyuki Imaishi vient juste de claquer un doublé dans mes références incontournables dans le domaine des animes. Après Gurren Lagann, il place avec sa fine équipe de la Geek Fleet une deuxième série parmi celles qui m'ont le plus secoué devant ma TV. Certes, dans un tel classement, son niveau serait plutôt dans les positions inférieures ; mais il n'empêche que la série laisse sur le carreau la quasi-intégralité de ce qui peut exister tout autour tant le spectacle et la qualité étaient au rendez-vous avec ce programme.

Au delà de ses vagues de références savoureuses à la culture mainstream contemporaine ou bien de ses parti-pris artistiques déstabilisateurs mais bien très assumés et surtout réussis, la série m'a énormément plu car elle m'a amusé comme pas deux semaine après semaine avec des thématiques qui auraient pu entre des mains moins géniales être rébarbatifs en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire. Quand on associe cette réussite humoristique au très bon savoir-faire de Imaishi en terme de spectacle (elles sont loin de se compter sur les doigts des deux mains les scènes épiques de cette série), j'obtiens pour ma part un résultat qui dépasse de loin ce que je pouvais initialement attendre du programme.

De ce que j'ai pu voir cette année, Panty & Stocking feat. Garterbelt m'apparait, est de très loin, la meilleure série de 2010 en terme d'anime. Bravo à la GAINAX pour avoir encore et toujours des équipes d'animateurs qui donnent des énormes moyens à des énormes ambitions au sein du studio. Bravo à la Geek Fleet pour son partage immodéré avec le public des trucs qui peuvent leur plaire, rarement une telle démarche avait aussi bien fonctionné avec une telle intensité. Et enfin, un énorme « Bravo » à Hiroyuki Imaishi qui, grâce à cette série, prouve une nouvelle fois qu'il a réellement le petit « truc » qui fait la différence pour être enthousiasmant tout le long d'une série. Panty & Stocking feat. Garterbelt, c'est réellement une addiction qui mérite le détour.

Episode 13 : "Bitch Girls" & "Bitch Girls 2 Bitch"



Part 1 : Parce qu'elle a tout foirée et est devenue désormais inutile, Garterbelt met Panty à la rue! Une nouvelle vie commence ainsi pour celle qui n'est même plus un ange déchu...
Part 2 : Panty et Stocking, avec Garterbelt, sont prêtes pour le round final contre le Démoniaque Corset! Nos anges seront-elles de taille face au plan diabolique du Maire ???


Un final assez endiablé et qui n'a pas peur de jouer la carte des excès, aussi bien illustrative, scénique que narrative.
Le seul bémol que j'émettrai porte sur l'animation, moins folle furieuse que certains autres épisodes (comme le premier combat dans l'école face aux Diaboliques).
Hormis cela, ce final est un pur bonheur et propose comme déjà évoqué de nombreux excès totalement jubilatoires. La première partie sur le Déchéance de Panty m'a assez abasourdi et par la suite, les divers moments de bravoure arrachent bien je trouve. C'est un déferlement non-stop de Badass Style et évidemment il y a ce talon aiguille Divin *___*
L'épilogue est quant à lui renversant au premier degré, si je ne m'attendais pas à une happy end (ce sont des bitchs ^_^), le retournement de situation final m'a véritablement retourné O_o
Reste à savoir s'il s'agit d'un ultime jeu référentiel et de déconstruction ou si une saison 2 verra bel et bien le jour.


Dans tous les cas une série que m'a beaucoup plu et qui est déjà devenue icônique à mes yeux!
Voilà ce que j'appelle de la Pulp Culture!

J'ai trouvé que le rendu de Mom était très bizarre. Pas mal fait, mais c'est clair que ça dénote beaucoup. N'empêche que c'est d'un niveau stratosphérique ahurissant ce passage, là où le reste de l'épisode est... hm... euh... les mots ne me manquent pas, les superlatifs se bousculent dans mon esprit.
Si, apparemment, la deuxième partie de la série avait été de déconstruire toutes les attentes qu'on pouvait en avoir, cet ultime épisode fonctionne comme un ressort par rapport aux six qui l'ont précédé : TOUT ce qu'on voulait avoir, ce qu'on voudrait pour finir une série, d'autant plus lorsqu'elle est aussi excellente, déjantée et jusqu'au-boutiste, nous explose à la gueule dans un maelström divin.
Méchant gargantuesque et maléfique à l'aspect douteux (le truc noir qui sort de la Porte des Enfers et sur lequel Corset monte a une allure phallique), personnages secondaires ayant le droit à leur quart d'heure de gloire (Chuck, même si je suis surpris par son allure démoniaque alors que c'est un animal de compagnie pour anges, et Garterbelt, qui nous fait une vraie leçon de bondage), arme ultime surpuissante et démesurée, Deus Ex Machina démentielle, morale gentillette ici détournée pour devenir un propos aberrant et génial (être une bitch, c'est toute une philosophie) et bien sûr, une fin qui twist twist twist, poussant pile-poil où il faut le bouchon du n'importe quoi, c'est-à-dire trop loin.

C'est grand, c'est osé, c'est à en faire des dissertations sur tout le web.

PANTY & STOCKING FEAT. GARTERBELT s'impose définitivement à mon goût comme l'un des meilleurs animes de la décennie (débat : 2000-2009 ou 2001-2010 pour la décennie ?), si ce n'est LE, faisant gicler un peu tout ce qui se fait en matière de cahier des charges d'anime.

Quant à une saison 2, si cela ne relevait pas du doigt d'honneur ultime, je vote évidemment POUR. D'autant plus que la première saison aura permis de savoir à quoi s'attendre avec la série : à tout, surtout ce qu'on n'attend pas (je commence à faire des phrases concepts, l'effet PANTY !)