(sorry double post
)
Vraiment désolé du retard quand j'ai pris, mais j'avais beaucoup de zones d'ombres quand à cette partie, et c'est seulement il y a peu de temps que j'ai réussis à les combler^^'''
enfin bref, après trois jours d'écriture, je peux enfin vous poster la suite.
Par contre Nico D Yukikuro, si le disclaimer ne te conviens pas, tu me le dis je le modifierais.
~#*Disclaimer*#~
--Moi: Ok on as un un lecteur qui est passé, maintenant ce seras une lectrice^^
--Sandy: Une lectrice?!
--Nico D Yukikuro: C'est moi!!^^
--Sandy: Elle est mignonne en plus *ç*
--Eda: SANDY VA DANS TON PANIER!!
--Pipo: Oï Eda, le considérer comme un chien c'est peut-être exagérer non?
--Nillie: Ben d'un certain côté...^^'''
--Nico D Yukikuro: Euh....si je fais votre disclaimer, je pourrais aller voir Robin?^/////^
--Eda: Une rivale?!
--Moi: Oui bien entendu^^
--Nico D Yukikuro: Bon et bien bonne lecture^^...(étincelle dans les yeux) où est Robin au fait?
--Sandy: Je devais lui apporter un café sur le pont avant...
--Nico D Yukikuro: JE VAIS Y ALLER!!! (pense)
je vais pouvoir enfin avoir ma Robin à moi toute seule!
--Eda: NON C EST MOI QUI Y VAS!!!
--Moi: C'est beau l'amour des fans^^'''''
--Zoro: Heureusement que j'en ait pas
--Sandy: T'espérais quoi avec ta tronche de chou fleur, marimo?
--Moi, pense:
Oulala s'ils savaient.....^^'''''''
Chapitre 26:
--Quatrième étage / porte Nord--
C'est en marchant d'un pas sûr et affirmé que le valeureux épeiste prénommé Zoro entra avec une indifférence marqué dans la pièce où c'était ouverte la porte. Il ne fut pas étonné de ne voir devant ces yeux qu'un immense vide, sans aucune traces d'escaliers dans ce décor de néant. Zoro soupira de lassitude.
--Zoro: A quoi ça peut bien leur servir des pièces vides à ces guignols?! Franchement ils sont barges ici...bon allons rejoindre Pipo et Chopper.
Il sortit de la salle, claquant la porte au passage, qui résonna dans toute la pièce en écho. Quelques minutes plus tard, la porte se rouvrit de nouveau, la tête de l'épeiste passa dans l'encadrure de la porte, puis disparu dans un nouveau claquement de porte.
Le phénomène se reproduisit pendant une bonne dizaine de minutes, au bout d'un moment, soupçonnant quelquechose, Zoro alla au centre de la pièce. Il regarda la salle sous toutes ces coutures, puis finit par lâcher.
--Zoro: Mince ils sont encore plus barge que je ne le pensait, ils ont construit la même pièce en plusieurs exemplaires pour rien foutre dedans, des vrais barges...
--Je dirais plutôt...que tu es revenu à plusieurs reprise sur tes pas...Roronoa Zoro
Le concerné se retourna et vit Snape, adossé contre la porte fermé, il avait la tête baissé et avait retiré sa cape jaune, ce qui permettait de constater qu'il était chauve. Il releva la tête vers l'escrimeur, souriant, à la perspective de l'affronter sûrement, découvrant alors de véritables crocs plus que des dents. Cependant ce ne fut pas la dentition particulière de Snape qui retint l'attention de Zoro, mais la marque rouge prononcé sur son visage.
--Zoro: Tu t'es choppé un coup de soleil pour être rouge comme ça?
Snape sembla prendre la mouche car son sourire s'effaca comme par magie pour laisser place à un rictus rancunnier.
--Snape: Non, je dois cette marque d'une rougeur excessive grâce à tes fréquents passages en ces lieux et qui étaient par la même occasion...spontanés et brusques...
--Zoro: J'ai rien compris à ton baratin montre toi plus explicite...
--Snape: Par ta faute je me suis pris la porte en pleine figure à chaque fois tu y entrais, ça te vas comme réponse à présent?!
--Zoro: C'est bien ce que je disais, vous êtes barge dans le coin, quel idée de se poser derrière une porte...
Le rictus nerveux qu'arborait désormais l'adversaire de Zoro trahissait en lui une colère qui montait au fur et à mesure, mais finalement, il se maîtrisa car c'est d'une voix calme qu'il continua à s'adresser à l'escrimeur.
--Snape: Je dois t'avouer que l'idée de t'affronter m'enchante Roronoa...cela fait longtemps que j'ai envie de me mesurer à toi, plus exactement depuis que tu as vaincu le fameux Daz Bohness...
--Zoro: Ca me dis rien...mais t'es sûr que tu pourras te battre contre moi dans cette tenue?
En effet la tenue qu'arborait Snape était une espèce de lourd vêtement ressemblant à un kimono, le vêtement était d'un rouge nuancé plus ou moins clair par endroit. Le chauve précisa alors au jeune homme qu'il avait eu tout le temps de parfaire ces techniques avec ce genre de vêtement et qu'il constituait au contraire un certain avantage défensif quand à son épaisseur. Il détailla également qu'il devait sa couleur rougoyante par le sang de ces adversaires d'antan qu'il avait vaincu, sous le regard de Zoro qui en disait long sur sa pensée. En somme: mais qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire que ce type aime ce balader avec des fringues pourris couvert de sang? Quoique...l'avait-il écouté? C'est sous le regard indifférent, exprimant presque de l'ennuis, de Zoro que Snape dégaina son épée qu'il pointa vers l'escrimeur, déclamant sur un ton à faire froid dans le dos.
--Snape: Et crois-moi Roronoa, il me tarde d'y ajouter le tiens...
A présent on pouvait observer que l'épée de Snape semblait briller de mille feu, si l'on observait de plus près, on s'appercevait alors que la lame était en diamant, et le pommeau de l'arme faite sûrement dans un métal suffisament résistant pour supporter une telle lame. Zoro posa sa main sur le manche de son Wado Ichimonji, le dégainant lentement, prennant son temps, après tout il n'était pas pressé et l'autre psychopathe non plus.
--Zoro: Si tu crois qu'une simple lame en diamant va m'arrêter...si j'arrive à trancher l'acier je serais capable de briser ton épée.
--Snape: Oh non, ne te fais pas une fausse idée sur mes intentions...au départ si j'ai voulu une épée en diamant...c'est pour la simple raison que j'aime les choses brillantes...ne trouves tu pas ça fascinant?
--Zoro: A vrai dire j'en ait rien à foutre...
--Snape, soupire: Très bien puisque tu veux te montrer exécrable, je vais en faire autant...
Il passa à l'attaque à la seconde même où il finit sa phrase. Cependant Zoro para sans trop de difficulté, il repoussa Snape et dégaina rapidement ces deux autres katanas, fin prêt à en découdre avec ce géneur. Sans attendre, Snape riposta par un enchaînement d'attaques, tellement rapide et précise qu'il était impossible à Zoro de riposter avec une technique digne de ce nom sans ce prendre un coup. Et n'ayant pas vu tous le potentiel que pouvait fournir son adversaire, l'escrimeur jugea prudent de ne pas se risquer à être blesser, que ce soi bénin ou grave. Il ne lui restait plus qu'à continuer de parer au même rythme que Snape et attendre qu'il se fatigue ou qu'une faille apparaisse dans son enchaînement.
--Snape:
Croc ardent
L'homme chauve s'éloigna aussi soudainement qu'il c'était rapproché de Zoro et, visant le coeur de l'escrimeur, Snape attaqua avec le sommet de sa lame. Malgrès la rapidité à laquelle Snape c'était executé, le jeune homme esquiva sans trop de mal l'attaque, il allait riposter quand une douleur l'élanca fortement à l'épaule, comme si des crocs c'étaient plantés dans sa chair. Lorsqu'il tourna la tête, il fut surpris de voir que non seulement il n'y avait à rien à proximité de lui qui aurait pu provoquer cette douleur, mais également qu'à présent son épaule droite arborait une large blessure. Zoro dirigea son regard vers Snape qui ne semblait quand à lui pas le moins surprit du monde quand à ce phénomène, il se contenta de répliquer.
--Snape: J'avoue que tu as beaucoup de mordant dans ton genre Roronoa...mais comme tu peux le voir mon épée en a plus que toi...
--Premier étage / Impasse--
Du côté de Nillie, Lucas avait enfin calmer son rire et la jeune fille pu enfin passer à l'attaque, ne ménageant pas ses efforts.
--Nillie:
Hammer Strike
La tête de son marteau se dévissa, toujours relié par la longue chaîne, se dirigeant à toute vitesse vers Lucas qui se contenta de placer son crochet devant lui.
--Nillie: Hein? (pense)
que compte-il faire avec son crochet?
--Lucas:
Clic bouclier
A la grande surprise de Nillie, à la place du crochet il y avait à présent une grande plaque de métal entre Lucas et la tête du marteau, qui percuta le bouclier de plein fouet et chuta au sol dans un bruit chaotique. Tout en remettant son marteau en position normale d'un mouvement brusque du bras, Nillie interrogea Lucas du regard, ce dernier ne se privant pas de répondre à sa question muette, tout en refaisant prendre à son crochet une forme normale.
--Lucas: Comme je te l'avais annoncé tout à l'heure blondinette, je possède une quantité d'armes dont tu ne soupçonnes pas l'existence.
Sous le regard innocent et perplexe de la jeune fille, Lucas soupira mais se mit en devoir de se faire clairement comprendre de Nillie. Il manipula alors le manche qui reliait le crochet à son bras et le dit instrument laissa place à toute une panoplie différente d'ustensile utile à toutes sortes d'activités. Il y avait là des lames de différentes tailles, allant de celle du cure-dent au sabre normal, une tennaille, une pince, des ciseaux, une petite lance et entre autre un ouvre-boîte.
--Lucas: Là comme ça comprends-tu mieux que présentement, je suis le plus armé, et là encore je ne t'ai pas tout montré, je ne veux pas gâcher l'effet de surprise.
--Nillie: Ca tient plus du couteau suisse que du crochet ton truc, tu aurais mieux fait de te lancer dans une carrière d'appareil de cuisine t'aurais servis à quelquechose d'utile au moins.
--Lucas: IL SUFFIT PETITE PESTE ARROGANTE!!
Crochet extensible
Il mima le geste de lancer quelquechose, et Nillie ne vit qu'au dernier moment le crochet étincelant de Lucas foncer vers elle, il fut malheureusement trop tard pour elle d'esquiver et se fit frapper de plein fouet au ventre, sa robe bleue clair se teintant peu à peu de rouge. Malgrès tout, Nillie se releva, elle porta la main à sa blessure dans un geste instinctif, et constata que même si la blessure était sérieuse, elle avait encore assez de force pour lutter face à ce macho qui lui souriait avec dédain.
Nillie repassa à l'attaque, ne ménageant pas ces coups, elle allait lui faire regretter son geste, et tous les autres seront tellement fière d'elle qu'elle auras sûrement droit à un triple repas. Rien qu'à cette perspective, elle redoublait d'effort, se persuadant que Lucas était l'obstacle entre elle et sa récompense imaginaire. Lucas voyait bien que son adversaire semblait étrangement motivée, mais il ne fut pas géné outre mesure et para avec facilité les coups que lui administrait Nillie.
--Lucas: Bien, ce n'est pas que je m'ennuis avec toi poupée mais j'ai autre chose à faire que de jouer avec toi.
Big Crochet XXL
Il changea de nouveau d'arme par une nouvelle manipulation et grâce à la plus longue et lourdre portée de son crochet géant, il pu s'attaquer au dos de Nillie, qui du une nouvelle fois subir la douleur, une douleur qui l'élancait tout le long de son dos. Elle voulut se reculer mais elle s'appercue bien vite qu'elle ne faisait qu'enfoncer un peu plus l'arme dans sa chair. Malgrès tout, elle trouva la parade, elle tourna sur elle-même afin de dégager l'arme de son dos, puis elle s'éloigna vivement de Lucas, qui la regarda faire passivement avant de prendre comme fonction celle du pistolet. Passant la main derrière elle, la jeune fille constata avec effrois que sa blessure se prolongeait tout le long de son dos, son visage qui exprimait d'abord l'effrois ne manqua pas de susciter l'instant d'après une colère sans nom.
--Nillie, hurle: NON MAIS CA VA PAS LA TÊTE!! SI TU VEUX ME BLESSER FAIS LE SUR LES JAMBES OU LES BRAS MAIS PAS SUR LE VENTRE OU LE DOS!! MA ROBE EST ASSEZ MAL EN POINT COMME CA J'AI PAS BESOIN QUE T'EN RAJOUTES MERCI!! Par contre évites de me blesser aux veines parce que je ne supporte pas ça je pourrais devenir hystérique et ça se retournerais contre toi.
Lucas n'en croyait pas ces oreilles des reproches que lui adressait la petite blonde face à lui. Cela ne manqua pas de l'énerver, surtout sa dernière remarque. Elle le prennait pour un idiot? Un clown pour qu'elle se permettre de le mettre en garde afin de lui éviter des complications, il hésitait vraiment entre penser que Nillie ne le prennait pas au sérieux et se moquait de lui ou si tout simplement elle était d'une naïveté enfantine et dans ce cas là cela lui avait échappé tout seul. Il pencha plutôt pour la première solution.
--Lucas: NE TE MOQUES PAS DE MOI SALE GOSSE!! JE VAIS TE FAIRE REGRETTER D AVOIR OSER ME PRENDRE POUR UN IMBECILE!!
--Nillie: Hu? Qu'est-ce qu'il lui prends à celui-là c'est moi qui devrait m'énerver encore pas lui...bon quoi qu'il en soit...(à Lucas) OH REGARDE LA!! (à vois basse)
Charming Passion
Elle pointa le doigt à côté de Lucas, se dernier ne se méfiant pas regarda à l'endroit indiquer et manqua de sauter au plafond en voyant une superbe jeune femme à côté de lui, habillé seulement par un bikini, qui lui souriait d'un air charmeur. Elle se colla contre lui et lui sursurra d'une voix hypnotisante.
--Femme: Vous êtes charmant monsieur, permettez que l'on fasse plus ample connaissance voulez-vous?
Son regard plongeant immédiatement sur les arguments avantageux de la magnifique jeune femme, Lucas eu du mal pour ne pas baver des litres en voyant la perfection sculptural de la charmante personne à ces côtés.
--
Perpendiculaire ascencionnel
Sans qu'il ne puisse l'éviter, Lucas recu un coup de marteau en plein visage du côté gauche, il commenca à être projeter vers la droite, mais un autre coup à l'opposé se produit, freinant alors tout possibilité de chute contre le mur, le même shéma de coup se reproduit du haut vers le bas, Lucas finit donc son parcours d'encaissement la face au sol, le visage déformé par les martellements successifs. Nillie le toisa avec moquerie et dégoût à la fois, ne prêtant pas attention à son illusion qui disparaissait.
--Nillie: Pff, franchement c'est pitoyable, en plein combat baver sur une fille apparut de nul part, faut vraiment être crétin pour s'y laisser prendre...
Lucas se releva avec lenteur, toisant Nillie avec haine pour l'avoir duper ainsi, se frottant la machoire de sa main unique.
--Lucas: Tu vas me le payer saleté...
--Nillie: Avant cela je tiens à te préciser autre chose...(elle souria)...j'ai trouvé le point faible de ton crochet-suisse...
--Quatrième étage / Porte Est--
Dans une salle plongé dans le noir absolue, une porte s'ouvrait dans un grincement sinistre, dénontant que la personne qui l'ouvrait n'était pas rassuré sur ce qu'il allait découvrir. L'instant d'après, la lumière qui filtrait dans la pièce éclairait des mains hésitantes serrer le bord de la porte, puis un long nez suivit d'un visage méfiant se profila dans la pièce. Pipo n'était pas du tout rassuré par la tournures des évènements, il avait clairement entendu un hurlement, faible certe et qui aurait pu être produit par son imagination, mais malgrès tout il lui avait sembler reconnaître Chopper. Ne lachant toujours pas la porte, qui lui apparaissait comme une sorte de bouclier aux éventuels attaques sournoises qu'on pourrait vouloir lui infliger, Pipo s'avanca petit à petit dans la salle, ses pas hésitants résonnant en un écho qui le fit frisonner inconsciement. Prennant son courage à deux mains, il s'aventura plus audacieusement dans la salle, et se dit qu'il serait bon d'ouvrir les fenêtres pour voir où il en était dans son exploration et si ça valait la peine d'aller chercher Zoro et Chopper. A peine l'eut-il pensé qu'une voix se fit entendre, manquant de lui provoquer une crise cardiaque.
--Peut-être qu'avec un semblant de lumière, le combat serait plus agréable tu ne penses pas Pirate?
Dans un seul mouvement, les lourds rideaux qui empêchaient l'infiltration de toute luminosité s'écartèrent des grandes fenêtres, permettant enfin à Pipo de voir son adversaire. Un jeune garçon qui semblait avoir son âge à première vue, ses cheveux bruns coupé presque à ras, arborant une barbichette naissante et avait une pose assez stricte qui lui semblait avoir déjà vu auparavant.
--Jeune homme: Bien ne perdons pas de temps veux-tu? La boutique où j'ai repéré l'escargophone longue distance de mes rêves en occas' ferme dans une heure je ne voudrais pas loupé cette occasion en or juste pour un pirate trouillard.
--Pipo: EH OH!! Le pirate trouillard comme tu dis est le grand capitaine Pipo alors adresses toi à lui avec respect!!
--Jeune homme: Oh...mes hommages Ô grand capitaine, l'humble soldat en face de vous vous présente ses salutations et vous recommande de se coller son respect là où il le pense.
--Pipo: T'AS PAS FINIS DE TE FOUTRE DE MOI?!
--Soldat: Ah non impossible avec un pif pareil, t'es une source d'inspiration inépuisable mon gars, bref cessons les politesses et commencons.
Pipo fut pris au dépourvu des mannières du soldat en face de lui, la façon dont il lui avait lancé sa dernière réplique, avec un immense sourire joyeux et rieur, lui rappelait vraiment quelquechose, mais quoi, il constatait malheureusement qu'il n'aurait pas le temps de s'addoner à la réflexion en voyant le jeune garçon changer de forme, pour devenir plus imposant, rond surtout, et de longues épines sur tout le long de son échine, et continuer ainsi jusqu'à ressembler à un véritable...
--Pipo: Un porc-épic...
--Soldat: Exactement, j'avoue que j'ai été déçu en découvrant mes pouvoirs...
--Pipo: AHAHAHAHAHA T AS TROP L AIR RIDICULE AVEC TES EPINES PARTOUT!! ON DIRAIS UNE PELOTE D EPINGLE!!
--Soldat: CA COMMENCE A BIEN FAIRE CE SURNOM POURRIS!! (se calme) Mais ne détournes pas le sujet!!...et n'essaie pas de te défiler grand capitaine trouillard, toute fuite est inutile...
Pipo qui avait tenté de courir vers la porte pendant la déconcentration du jeune garçon, remarquait que des épines étaient savament planté le long de l'encadrure de la porte, empêchant ainsi toutes intrusions...et toutes possibilités de fuite.
--Pipo, pense:
M...mais...quand as t'il fait ça? Ah j'y suis, quand j'étais dans le noir il a du se servir de ces pouvoirs...
--Soldat: Ta seule possibilité à présent c'est de m'affronter afin d'obtenir la clé qui ouvre la porte des escaliers derrière moi...et mais attends je suis en train de penser à un truc...
Pipo ajusta ses lunettes de visée et farfouilla dans son sac.
--Soldat, effaré: MERDE COMMENT JE VAIS FAIRE APRES POUR SORTIR D'ICI SI J AI BLOQUE LA SORTIE!! JE SUIS GRILLE MAINTENANT JE SERAIS JAMAIS A TEMPS POUR L'ACHETER CET ESCARGOPHONE!!
--Pipo:
Tamago Boshi
Le soldat infortuné se pris en pleine tête un oeuf pourris de Pipo, ce dernier fier de son coup, sous l'odeur inssuportable, il reprit son apparence normal et gesticula dans tout les sens en tentant d'essuyer l'oeuf sur son visage. Il reprit vite ses esprits et son apparence hybride.
--Soldat: T'es un sacré dégueulasse pour balancer des oeufs pourris, tu va me le payer!
Mitraille d'aiguille
Se baissant soudainement, découvrant alors tout son dos au pirate, les longues épines se projetèrent dans tout les sens. Pipo eu d'énormes difficultés mais réussit à toutes les éviter, il y eu juste son sac qui eu à en souffrir. L'adolescent au long nez se dit que ce soldat, quoiqu'un peu déconcertant, ne plaisantais pas et qu'il vallais mieux en finir au plus vite avant que les choses ne tournent mal.
--Deuxième étage / Salle Nord--
Revenons à présent au combat entre Sandy, qui se défendait comme il le pouvait face à Macal, ces deux jambes chacunes recouverte de la substance visqueuse du gant. Ces mouvements d'attaques étaient par conséquent ralentis à cause de cette gène et Macal profitait largement de cet avantage pour tenter de le mettre au tapis, lui et ses idéaux avec. Le cuistot des mugiwara avait donc du par conséquent encaisser de nombreux punch, et cela se voyait. Cependant il continuait à se battre. Ce qui ne manqua pas de faire rire Macal, considérant ces actions comme étant d'une stupidité sans borgne.
--Macal: T'es un sacré numéro y a pas à dire, t'as beau constater que tu ne feras jamais le poids face à moi et pourtant tu tentes de me résister.
--Sandy: Que veux-tu, certaines personnes ont un cerveau et sont capable de s'en servir quand la situation s'impose.
--Macal: AH AH AH!! Me fais pas rire!
Indestructibox!
Sandy esquiva lestement l'attaque, et tenta une riposte.
--Sandy:
Epaule
Il fut paré par le gant indestructible et un autre coup au ventre bien placé le projeta au sol, lui coupant le souffle pendant un moment, moment durant lequel Macal en profita pour lui dire franchement ce qu'il pensait de lui. Il ne se priva pas de faire remarquer au cuisinier qu'il n'en avait rien à faire que se soit comestible ou pas, que le gachis de nourriture il n'en avait rien à faire vu que la nature se chargeait par elle-même d'en produire en quantité suffisament abondante pour subvenir aux besoins nutritifs. Il s'interrompit un moment pour recoller une droite à Sandy qui n'eu pas le temps de réagir vu qu'il reprennait à peine tous ces moyens. Macal continua, s'attaquant cette fois à son esprit chevaleresque. Il lui cracha à la figure comme quoi il le faisait bien rire en suivant les ordres des filles comme un toutou, il ne faudrais pas s'étonner si un jour il meurt à cause de cet état esprit. Il conclua par cette phrase.
--Macal: Personnelement j'ai hâte d'assister à la tête que feras cette gamine qui était avec toi lorsqu'elle se rendras compte que son "prince" c'est fait superbement rétamé...Ah ah ah elle seras bien déçu la pauvre fille...enfin peut-être pas en fin de compte elle avait pas l'air de t'apprécier.
En se moquant ainsi du cuistot, Macal ne se rendit pas compte que ce dernier c'était relevé depuis un bon moment, essayant d'allumer sa cigarette depuis tout à l'heure, il y arriva enfin après plusieurs minutes d'effort, par la suite il en tira une longue bouffé qu'il expira lentement, comme pour se détendre avant de passer à l'action. Macal s'en appercu qu'à ce moment là, il fut surpris mais afficha un sourire de dédain.
--Macal: Oh oh! Le brave petit prince veut jouer ces héros à ce que je vois pour ne pas perdre la face, pff minable, je vais t'achever pour ton bien...
Double punch
Le cuistot ne tint pas compte de cela, il leva les yeux vers Macal qui se jetait sur lui les poings en avant et dit tout simplement.
--Sandy
Menu bonne mannière...Buffet royale
--Entrepôt / Sous-sol--
--Wouaa Robin regarde y a des chats partout, ils sont trop mignons, ohhh y a même des bébé sont trop mignons...tu pourrais me répondre quand même!
--Robin: Je les vois, mais je préfère ne pas perdre de temps vois-tu.
--Kelly: Oh....pardon...mmmmmh....ILS SONT TROP CHOU CES CHATS!!
Robin ne dis rien et laissa sa compagne de route courir partout comme une dératée pour carresser et admirer tous les chats devant lequels elles passaient, les animaux à présent libérés, ils erraient dans le château, pour certains ils étaient déjà partie dans plusieurs direction, la sortie à l'air libre sûrement. A un moment donné, Kelly s'arrêta dans sa comtemplation et alla à côté de Robin, lui demandant comment elle avait fait pour trouver l'entrepôt.
--Robin: Et bien en fouillant dans les livres de la bibliothèque, j'ai trouvé plusieurs renseignements intérréssant, dont l'indication de l'emplacement de cet entrepôt, mais si je puis me permettre, comment à tu réussis toi à y parvenir? Car il me semble que tu es venue par un autre moyen.
--Kelly: Probablement, je suis passé par un passage secret involontairement, au départ je voulais me moquer de Fresh et de l'autre macho.
--Robin: Comme cela?
--Kelly: Eh bien....non attends je vais te montrer ce seras plus explicite.
A ces mots, la jeune fille regarda le mur à côté d'elle avec une extrème méfiance, après un petit instant de réfléxion, elle jugea plus sage de mimer à proprement dit toute la scène. Elle mima donc le geste de s'appuyer contre un mur de la même façon qu'elle l'avait fait tantôt.
--Kelly: Voilà je me suis appuyé sur le mur comme ça, après une dalle c'est enfoncée, une trappe c'est ouverte sous mes pieds et j'ai atterris ici...c'était quoi ce bruit?
--Robin: Probablement celui de la dalle de pierre qui c'est enfoncée sous ton pied Kelly-san.
--Kelly: Ah ouai ça doit être ça....(tilt) AH NON!!
Immédiatement, la jeune fille se plaqua dos contre le mur, regardant la dalle reprendre une position normale, avec un sourire triomphant, elle s'écria.
--Kelly: AH AH!! Ca prends plus cette fois!
Par la suite le mur sur lequel elle était appuyée bascula en arrière, l'entrainant de l'autre côté de l'édifice dans un bruit assourdissant. Robin avait observé toute la scène passivement, n'ayant pas trouvé qu'elle aurait pu être d'une grande utilité dans cette histoire, ou plutôt, ce gag comme il serait plus juste de nommé la scène. S'approchant tranquillement du mur qui découvrait à présent sa partie caché, recouverte de toiles d'araignée et autres poussières, l'archéologue l'examina avec attention, puis au bout d'un moment, se dit qu'il serait peut-être temps de chercher l'escrimeuse qui devait sûrement maudire le palais de toutes ses forces. Comme l'avais fait Kelly, Robin appuya sur la dalle qui activa une nouvelle fois le pivotage du mur, mais cette fois il s'arrêta en milieu de course un court instant, qui permit à Robin de pénétrer dans le couloir sombre faiblement éclairée par quelques torches disposé sur les murs. Derrière elle le mur reprit une pose normale, ce qui n'était pas pour l'effrayer.
--Robin: Kelly?
Sa voix résonna un peu dans le couloir, froncant les sourcils, Robin continua son chemin, continuant à appeler l'adolescente qui ne répondait pas. Enfin elle percut l'écho d'une voix, voix qui lui était familière, elle alla fermement dans sa direction, même si ce n'était pas pour la rassuré spécialement vu que cet écho ressemblait à un hurlement strident et hystérique. Hurlement qui se fit de plus en plus audible au fur et à mesure de sa progression, signe qu'elle n'était plus très loin, quand elle parvint enfin au niveau de Kelly, les yeux de Robin subirent un aggradissement spectaculaire du à la surprise de ce qu'elle était en train de voir. Un léger sourire apparut sur ses lèvres.
--Quatrième étage / Porte Ouest--
Du côté de Chopper, ce dernier n'avait pas du tout envie de sourire, au contraire, il avait pu constater que Fanny malgrès sa petite taille et son accent se révélait un adversaire coriace. Aucun des deux n'avaient réussis à toucher l'autre pour le moment, et les deux combattants étaient à bout de souffle à force de courir et frapper dans le vide à travers toute la pièce qui, pour eux, était véritablement immense. Chacun dans leur coin, ils se surveillaient l'uns l'autre, reprennant leur souffle, guettant le moindre faits et gestes de l'adversaire afin de pouvoir esquiver rapidement toutes tentatives d'attaques surprise.
--Chopper, pense:
Il est rapide, si je trouvais une oppportunité, je pourrais terminé ce combat rapidement grâce à une rumble ball, mais il ne m'en reste qu'une et vaux mieux ne pas l'utiliser à la légère.
De son côté, Fanny réfléchissait lui aussi à une stratégie efficace contre Chopper.
--Fanny, pense:
Fe petit régondin me donne défidément bien du mal...mais bivarrement il se contente à prévent de trois formes contrairement à tout à l'heure où il en utilivait pluf que fa....hum vaut mieux que ve me contente de trouver une bonne opportunité et là ve l'affèverais comme mes anfiens adverfaires sans epfep...comme mes anfiens adversaires (à voix haute) Bien! Le caftor! Es-tu fin prêt?! Ve te préviens que ve n'abandonnerait vamais ce combat, il y va de mon honneur et crois moi fi ve devais perdre, fe ferais avec fierté...
--Chopper:......
--Fanny: Ben quoi?
--Chopper, avec des étincelles: C'est trop beau ce que tu viens de dire!!
--Fanny, rougissant: Ah oui tu trouves?^////^
--Chopper: Mais oui, c'est exactement mon état de pensée, tu l'as exprimé pour moi!
--Fanny: Oh! Ve fuis flatté d'affronter un adverfaire auffi valeureux que toi, ve dois avouer que vusqu'à maintenant perfonne n'avais pu me révister aussi longtemps.
--Chopper: Ce que tu me dis ne me flattes pas du tout voyons!!^^
Le soldat pu tous de même constaté que ces paroles n'étaient pas sans effets positifs sur le petit renne qui arborait un immense sourire illuminé de gentillesse. Cependant sa phrase eut le déclic de lui faire reprendre ses esprits, et sans plus attendre il repassa à l'attaque.
--Fanny:
Disques foli'z
Le soldat projeta plusieurs disques sur Chopper, ressemblant vaguement à des plaques d'égout de loins, quoiqu'il en fut, le petit renne tenta de les éviter. Mais l'attaque l'ayant pris par surprise, il se pris plusieurs disques sur le visage et le ventre. Combattant la douleur, il pris une forme humaine, rattrappa une des plaque qu'il voulut renvoyer à son propriétaire, mais ce dernier par son attaque "Rapsodie" eut vite fait de l'envoyer dans le mur.
--Fanny: Parfait, à prévent le coup final...
Pluie de griffes
Le soldat se jeta sur Chopper, ce dernier reprennant tout juste ces esprits. Rapidement, il sortit une petite bille jaune qu'il croqua.
--Chopper: Rumble....
Jumping Point
Avant que l'attaque ne puisse le toucher, le médecin se trouvait déjà dans les airs. Fanny riposta sur le champs en prenant son élan sur le mur, il le rejoignit, répétant son attaque, toutes griffes et toutes dents dehors. Un "Guard Point" placé juste à temps eut raison de sona ttaque qui une fois de plus se révéla sans effet. Sans perdre un instant une fois de nouveau les pieds au sol, Chopper tenta d'attaquer à son tour.
--Chopper:
Arm point
Malheureusement pour lui, non seulement Fanny avait esquivé son attaque, mais il retenta pour la troisième reprises son attaque qui cette fois toucha Chopper de plein fouet. Il ignora ou du moins il tentait de ne prêter aucune attention à ses blessures et riposta immédiatement.
--Chopper:
Horn point
D'un geste bien placé, rapide et efficace, il envoya Fanny dans le mur, ce dernier sérieusement sonné, mais avant que ce dernier ne puisse reprendre ses esprits, Chopper enchaîna immédiatement une attaque sous sa forme "Arm Point"
--Chopper:
Roseo Crusade
Une marque en forme d'un double pétale de cerisier apparut sur le torse de Fanny qui avait repris sa forme humaine, et fut projeter au dehors dans un grand fracas. Quand à Chopper, haletant, à bout de souffle, il reprit sa forme hybride habituelle et tomba assit par terre.
--Chopper: Pfou pfou...je....j'ai gagné....quand les autres...sauront ça...
--Deuxième étage / Salle d'arme--
Dans la salle où des dizaines et des dizaines d'objets de guerre étaient entreposés, Magadalena comtemplait d'un air guoguenard la pauvre navigatrice qui se retrouvait à présent attaché au sol par les fils de laine tendu au maximum, reliés ensemble par les aiguilles plantés fermement au sol, à la mannière de Gulliver lorsqu'il fut fait prisonnier par les Lilipuciens. On pouvait remarquer qu'elle saignait légèrement du front, apparement elle avait tenté une résistance mais l'attaque avait été trop soudaine et forte pour elle sur le moment. Quand à la vieille, elle prenait un malin plaisir à se moquer de Nami, comme quoi sa jeunesse que tous ce représente comme un avantage est en fait un désavantage important comparé à l'expérience des anciens.
--Nami: Tu ferais mieux de te consacrer à des trucs de ton âge plutôt que de te battre vieille bique!! Les mots croisés par exemple!!
Ces mots furent presque crachés au visage de la vieille ninja qui haussa les sourcils et sortit immédiatement de son sac un petit journal et un crayon, s'addonant au mot croisés.
--Magdalena: Excellente idée ma chère, après tout j'ai le temps puisque je t'ai battu et que tu es ma prisonnière.
Nami ne prêta pas attention et regarda comment allait son nuage, elle remarqua qu'il était encore assez consistant pour lancer une décharge fatale, mais également qu'il commenceait à s'évaporer, il fallait donc trouver une solution le plus vite possible, elle savais que même si elle récupérais sa baguette climatique en entier, la ninja ne lui laisserais aucune chance pour faire un deuxième nuage au cas où le premier disparaissait. Magdalena du remarquer son agitation et son regard car elle lui lanca tout en se repoudrant le nez.
--Magadalena: Petite sotte, n'espère pas t'en sortir, tu es emprisonné de mannière savante et seul un coup de pouce du destin pourrais te tirer d'affaire.
--Nami: RETOURNES A TES MOTS CROISER VIEILLE PEAU!!
--Magadalena: Très juste.
Agacée, Nami regarda la plafond pour tenter de trouver une solution rapidement, son regard s'attarda alors sur le meuble juste à quelques centimètres d'elle. Le destin devait être en sa faveur car un poignard certainement déplacé lors du combat se trouvait tout au bord, prêt à tomber. Saisissant sa chance incroyable et digne de Luffy, Nami gigota dans tous les sens anfin de cogner le meuble et ainsi s'offrir une opportunité en or de s'extirper de sa prison de laine. N'ayant pas vu la cause d'une telle agitation desespérer de la part de la rouquine, Magadalena lui souligna sans lever les yeux de ses mots croisés qu'il ne servait à rien de s'agiter ainsi.
--Nami, pense:
Allez allez, encore un petit effort...petit poignard soit gentil, tombe et tranche ces maudits fils que je lui rabbatte son caquet à cette poule déplumé!!
Le poignard oscillait dangereusement, mais ne tomba pas et resta à sa place. Dans un geste desespéré et envennimer de colère, elle donna un ultime coup de hanche qui lui fit atrocement mal, elle était certaine d'avoir un bleu à présent, mince elle devrait se passer de bronzette sur le pont pendant un bon bout de temps. Un bruit métallique résonna à ses oreilles, comme un chant d'espoir, elle vit qu'enfin l'arme avait dédaigné se ficher au sol, tranchant quelques fils, permettant à Nami de se mouvoir un peu plus, elle en profita pour trancher les autres liens le plus rapidement possible mais en silence, la vieille n'avait pas encore remarqué que sa proie était sur le point d'être de nouveau sur pied et prête à lui mettre la raclée de sa vie.
--Deuxième étage / Salle Nord--
Dans la salle il se trouvait un jeune homme, de bel envergure, habillé d'un smoking et fumant tranquillement, observant avec indifférence un trou dans le mur donnant sur l'extérieur. Le cuisinier s'approcha du bord et regarda au loin, la main en visière. Sandy hocha la tête de haut en bas.
--Sandy: Bien, ce crétin à atteris à la mer comme je l'espérais, un bon bain ne lui feras pas de mal à cette choucroute garnis...à présent...Eda-chwaaaaaaan!!! Où es-tuuuu?
Le côté dragueur refaisant soudainement surface, Sandy, complètement éperdu d'un manque d'amour, enfin il n'y avait que lui pour espérer que cela se produise, tentait de retrouver Eda afin qu'elle lui exprime combien elle était fière de voir qu'il avait battu le gros plein de soupe puant. Entre nous, la seule que risquait de lui exprimer Eda serait sa progression en la matière auquel elle travaillait durement depuis qu'elle avait rencontrer Nami: celui de mettre des punch dissuadant de drague efficaces.
Il allait pour se mettre en route pour rejoindre sa partenaire, mais il se rendit compte d'un détail mineur: ces jambes étaient encore coincés dans la masse visqueuse collante. Avec un soupir et une grimace de dégoût, le cuisinier commencea à agiter sa jambe gauche, puis la droite dans tous les sens, voyant que cela ne faisait aucun effet, il soupira longuement, desespéré.
--Sandy: Bon je n'ai pas le choix...
--Deuxième étage / Salle annexé à la salle Nord--
Entre Eda et Joe, c'était plus qu'un combat, c'était un véritable règlement de compte. Eda avait reçu autant de coups que Joe en avait reçu d'elle, mais pour autant ils n'étaient aucunement quitte l'un de l'autre, la haine omniprésente dans l'atmosphère qui était plus que tendu. Entre chaque attaque, riposte, esquive et autres, ils sautaient sur l'occasion pour se casser verbalement parlant.
--Joe: Pff t'as autant de répondant qu'un courant d'air
--Eda: Tu t'es pas vu, aussi expressif qu'une plante verte, remarque normal, t'as le même QI
--Joe: Tu te crois plus intelligente peut-être?
--Eda: Non je ne le crois pas, j'affirme
--Joe: Pff ne te rends pas plus ridicule que tu ne l'es déjà, ça te rends pathétique.
--Eda: Tu me trouves ridicule? Mais tu sais, le ridicule ne tue pas, l'erreur si...
--Joe: D'accord sur ce dernier point,
Green révolution
Des plantes poussèrent en cercle autour d'Eda, la menacant de l'enfermer dans une cage végétale, cette dernière réagit heureusement à temps en s'élevant dans les airs grâce à sa télékinésie, elle alla se poser beaucoup plus loin.
--Joe: Tu as peur la mocheté?
--Eda: Ne jalouse pas ce que tu n'as pas le réglisse ambulant.
--Joe: Une réponse purulent d'une telle stupidité me donnerais presque envie de pleurer.
--Eda: Mon pauvre tu veux un mouchoir?
--Joe: Tu te sens utile à quelquechose à part lancer des répliques tout aussi superflues que tu l'es toi même?
--Eda: Ecoute mon gars si tu me trouves inutile ferme la et retourne dans ta médiocrité avant que je passe aux choses sérieuses.
Joe se surprit à étirer un sourire narquois à l'adresse de la jeune fille qu'il considérait comme bien prétentieuse de se croire plus forte que lui. Ne lui avait-on pas inculqué que les filles sont naturellement plus faible que les hommes? Apparement non et il comptait bien le lui apprendre.
--Joe: Oh, insinuerais tu que tu peux faire mieux que ça?
--Eda: Parfaitement, ce n'était qu'un petit échaufement. Surtout qu'apparement j'ai trouvé le point faible de tes pouvoirs.
--Joe: Pardon? Aurais-tu fait preuve de reflexion?
--Eda: Tu ne peux pas utiliser tes pouvoirs sur une longue distance, tant que je reste éloigné de toi tes pouvoirs ne m'atteindront pas, alors que moi mes limites sont seulement régis par le poids, je maîtrise très bien les attaques à distances donc tu es foutu.
--Joe: Sauf que tu négliges un léger détail...
--Eda: Lequel? Je brûle d'impatience de le connaître....
Elle se sentit ensserrer et vit que les plantes lui avaient déjà immobilisés les jambes et s'attaquaient à ces bras. Elle constata qu'en effet la distance semblait le point faible des pouvoirs, mais rien de l'empêchait de se déplacer, et par conséquent combler cet handicap, de plus, grâce à ces pouvoirs, s'il l'immobilisait, il lui était d'autant plus facile de se rapprocher d'elle. Ce fut grâce à un effort surhumain qu'Eda parvint à arracher les plantes et courut à l'autre bout de la pièce, et utilisa son pouvoir pour faire mouvoir les meubles dans un grand chaos indescriptible anfin de pouvoir se cacher. Joe se recula un peu pour éviter de se prendre une armoire sur la tête et une chaise en plein ventre, et sembla frustré de voir la nouvelle tactique de l'adolescente. De son côté, Eda réfléchissait à plein régime à une bonne stratégie.
--Eda, pense:
Bon réfléchissons, qu'est-ce qui peut détruire efficacement une plante? Mmmh on peux la trancher...oui mais contrairement à Kel' et l'autre feuille de chou, je me rendrais ridicule en tentant de manier un sabre, or je veux être classe afin de pouvoir me la péter quand je leur raconterais mon combat glorieux face à l'autre crétin de mafioso....alors....du désherbant? Ah ah grosse maligne, c'est vrai qu'il est tout à fait normal dans un palais de trouver du désherbant...bon abandonnons cette solution...mmmh....le feu peut-être....le feu...mais oui le feu!! Quelle idiote je fais, pourquoi j'y ait pas pensé avant....le stress sans doute...bon allez tachons de trouver un briquet ou un lance-flamme...
Une ombre se profila au dessus d'elle, la sueur dégoulinant le long de sa temps, Eda n'eu pas de mal à deviner à qui cette ombre correspondait.
--Joe: Trouvé...
D'un coup de pied bien placé, il envoya Eda dans le décor. Celle-ci percuta une porte de plein fouet, sonnée pendant un bref instant, elle se releva et s'enferma dans la pièce d'à côté à la vitesse de l'éclair.
--Eda: Quel enfoiré ce type, on préviens avant de frapper merde! Et pour une fois que j'aurais besoin de Sandy et de ses allumettes, il faut qu'il soit pas là....AH! .....mince, c'est vrai, c'est moi qui l'ait convaicu d'affronter l'autre putois....oh?
La jeune fille venait de se rendre compte qu'elle venait d'atterir dans la buanderie du palais, des vêtements étaient entreposés, certains dans des baquets d'eau savonneuses, d'autres suspendus en attente d'être séchés. Enfin elle remarqua un meuble contenant de nombreux tiroirs, ci dessus il y avait marqué "Objets trouvés". La jeune fille eut un sourire et ce dirigea vers ce qui lui semblait la caverne d'Ali baba.
Quand à Joe, il se dirigeait tranquillement vers la buanderie, déçu par la prestance d'Eda, il c'était attendu à mieux de la part d'une fille aussi arrogante, il se promit de ne plus faire cette erreur. Quand il allait pour tourner la poignée, la porte s'ouvrit à la volée, manquant de peu que Joe se la prenne en pleine face. Il se recula et vit Eda à l'encadrure, un énorme sourire au lèvre, les mains derrière le dos.
--Joe: Quel est ce sourire niais illuminant ton faciès stupide sale trainée?
--Eda: C'est le sourire de la victoire gros naze, j'ai trouver un autre point faible dans tes pouvoirs et je compte bien m'en servir pour te réduire en réglisse fondu.
A ces mots, elle découvrit son fouet où elle avait attachés plusieurs vêtements enflammés, elle le fit tournoyer au dessus de sa tête avant de l'abbatre au sol dans un geste menacant. La jeune fille s'écria alors avec un énorme sourire.
--Eda: LES FLAMMES DE L'ENFER!! NYAHAHAHAHAHA!!
Joe ne savait comment réagir face à cette gamine qui venait de perdre une occasion en or d'être classe pour se rendre complètement ridicule à ces yeux. De plus en plus déçu, il hocha la tête dans un geste désolé, puis se décida à achever cette enquiquineuse.
--Joe:
Green contorsion
Des plantes poussèrent de nouveau vers Eda, avec l'intention de lui faire subir toute une série de contorsions qui lui aurait été fatale si la jeune fille n'avait pas utilisé sa nouvelle arme.
--Eda:
Fire Devil
Balayant le sol devant elle, Eda brula toutes les plantes qui se contorsionnèrent elles-même sous la chaleur des flammes avant de noircirent et mourir peu à peu. Joe sembla un peu moins sûr de son coup et toisa Eda avec une certaine colère, cette dernière lui souriant d'un air narquois et moqueur.
--Eda: Maintenant mon coco je vais t'inculquer dans toute sa splendeur tout le sens profond et morale de l'expression "Avoir le feu au derrière"
A ces mots elle fit violement claquer son fouet enflammé.
--Premier étage / couloir central--
Dans le couloir des pas résonnaient, marchant tranquillement, les accompagnant, un bruit sourd qui ressemblait à celui d'un objet que l'on trainait au sol. Robin et Kelly c'étaient finalement extirpées du passage secret et avaient aboutit au premier étage. L'archéologue tapotait doucement l'épaule de sa partenaire qui pleurait des larmes de crocodiles, la découverte qu'elle avait faite dans le passage secret ne l'avait pas du tout enchanté aux premiers abords, c'était elle qui trainait un énorme sac de toile remplis à craquer.
--Kelly: Pl...plein d'araignées...p partout...bouah c'était horrible...j'ai cru devenir folle...
--Robin: En effet tu en n'étais pas loin...
--Kelly: Y en avait partout...et pourquoi ça existe ces saletés et que j'en ait autant la trouille hein?
--Robin: Beaucoup de personnes n'aiment pas les araignées, ce n'est pas si grave.
--Kelly: Oui mais j'ai peur des chiens aussi.
--Robin: Je ne peux rien pour toi.
--Kelly: Un petit calin?
Un bruit des plus étrange attirèrent l'attention des deux filles, la plus jeune se cachant derrière Robin par précaution, l'archéologue la laissa faire passivement, ayant déjà vu la cause de leur futur problème. Une femme, ou du moins quelquechose qui ressemblait à une femme se tenait en travers de leur route.
--Robin: Oh un homme-poisson à ce que je peux constater n'est-ce pas?
--Femme-poisson: Exactement, mon nom est Sen, je suis l'un des soldats les plus puissants, et je compte m'occuper de votre cas.
--Kelly: Un homme poisson? C'est ça un homme-poisson?
--Robin: Oui
Kelly dévisagea la soldate, qui en passant était de la famille des anguilles électriques. Ce petit manège dura un certain temps, durant lequel Robin se tourna vers la jeune escrimeuse, se demandant bien ce qu'elle pouvait s'imaginer. Kelly répondit à sa question muette en lui en posant une des plus insolites.
--Kelly: Ca se mange?
Sen eut un air courroucé, choqué par la question qui lui semblait complètement stupide, elle vérocifia à l'escrimeuse si elle avait une tête à être mangé par la vermine humaine comme elle les nomma.
--Kelly: Ben...un poisson ça se mange non? Un homme aussi, alors pourquoi pas un homme-poisson, vous avez quel goût au fait? C'est plus proche du poisson ou de l'homme?
--Robin: Fu fu fu Kelly-san tu as une imagination débordante.
--Kelly: Pourquoi tu dis ça? On est comestible tu sais, la preuve il y a des cannibales.
--Sen: TU TE MOQUES DE MA RACE SALE HUMAINE!!
--Kelly: Mais pourquoi tu te fâches, je voulais pas te froisser, je te demande juste si ta comestibilité as le goût du poisson ou de la viande, c'est tout bête comme question.
--Sen: IL SUFFIT!! VOUS ALLEZ PAYER!!
Sans plus attendre, Robin croisa les bras et se concentra pour utiliser ses pouvoirs, afin d'être débarrasser de cette femme-poisson colérique et génante.
--Robin:
Seis fleur...Twist
Des bras apparurents sur Sen à sa plus grande surprise, mais cette dernière trouva la parade avant que Robin ne lui donne le coup de grâce.
--Sen:
Choc électrique
Elle électrocuta les bras de Robin, les originaux prenant des marques de brûlures, les facultatifs disparaissant immédiatement, ceci fait, la soldate sortit un bâton-épée à double tranchant, le manche se trouvait au milieu. Elle fit tournoyer son arme et fit un signe de la main pour inciter l'archéologue et l'escrimeuse à l'approcher si elles en avaient le courage.
--Kelly: Robin j'ai une idée, je la fatigue et quand elle est à point, tu l'achèves proprement ça te vas?
--Robin: Tout à fait, j'aurais l'occasion de voir comment tu te débrouilles en combat
--Kelly: Eh ben on va rire
Cette dernière dégaina son katana tout neuf, au fond elle était contente de se battre, cela feras une superbe occasion de tester son arme.
--Quatrième étage / Salle Nord--
En parlant d'épéiste, Zoro avait depuis longtemps pu voir la raison pour laquelle il était mystérieuse blessé, alors qu'il esquivait et parait convenablement les attaques de Snape. Snape c'était d'ailleurs pris un coup d'épée, mais il arborait encore un air conquérant, persuadé de sa victoire. Zoro avait d'ailleurs de nouvelles blessures, ressemblant toutes plus à des morsures que des coups d'épée.
--Zoro:
Santouryu...Tora Gari
L'escrimeur passa à l'attaque avec une surprenante rapidité, Snape para cependant la technique avec difficulté certe, mais il l'avait fait.
--Snape:
Cobra royale
Zoro réagit immédiatement en ce reculant le plus possible.
--Snape: Allons, depuis le temps que nous combattons tu as bien remarqué que mettre de la distance ne suffisait pas à "lui" échapper.
La lame s'anima, se tordant et changeant pour devenir un véritable serpent de diamant, brillant à la lumière du jour. Le serpent se jeta sur Zoro, crochets dehors, ce dernier para l'attaque première, puis la seconde, mais le serpent trouva la faille et le mordit violement à la hanche, ceci fait il se retira, retournant aux côtés de son propriétaire.
--Snape: Tu vois bien, face à Nayuru, tu ne fais pas le poids, ma lame de diamant combiné au Hebi Hebi fruit modèle Cobra en as fait une arme invincible.
Zoro releva la tête, à demi agenouillé, ayant porter une de ses mains sur sa blessure, il voulu se reprendre rapidement, mais depuis quelque temps, la tête lui tournait étrangement, et cette nouvelle morsure n'avait fait qu'aggraver les choses, il était sûr que le serpent de diamant en était la cause. Snape confirma ces craintes.
--Snape: De plus, je suis étonné que tu puisses résister aussi bien au venin de Nayuru, mais rassure-toi tu n'as plus beaucoup de temps à vivre, dans quelques minutes toutes tes souffrances prendrons fin.
--Zoro: Au moins je saurais pourquoi t'as pas choisis une carrière dans la médecine, t'es pas doué pour rassurer les gens.
--Snape: C'est cela, joue la provocation, de toute mannière ton sort est scellé, mise à part si tu arrives à me battre.
--Zoro: Pourquoi t'as un antidote comme par hasard sur toi?
--Snape: C'est surprenant que tu dises ça car c'est le cas.
Il sortit de son kimono une petite fiole remplis d'un liquide violet, il le remit en place sous les yeux de Zoro qui pigeait vraiment pas pourquoi les enemis se devaient d'être toujours aussi stupide et imbus d'eux même pour donner des motivations aussi poignantes pour les réduire en chair à patée. L'escrimeur soupira, se remit en condition et lanca à Snape.
--Zoro: Au départ j'avais pas vraiment de raison de te foutre une raclée, mais à présent tu m'obliges à passer au niveau supérieur.
--Snape: Il as enfin compris que je n'attendais que ça...
--Grande salle / Premier étage--
L'endroit où avait atteris Luffy ne fut autre que la grande salle, le capitaine s'y aventurais en sifflotant tranquillement l'air de Bali-Balo. Au bout d'un moment, il se gratta l'arrière de la tête avec un air perplexe.
--Luffy: Bizarre y a personne, moi qui pensais trouver quelques soldats pour me défouler, même pas...tant pis je vais retourner voir Nillie pour lui demander de me prêter un peu de son adversaire, je m'ennuis de trop tout seul, en plus je sais même plus ce qu'on devais chercher...de la viande? Non sinon Nami n'aurais pas été aussi enthousiaste...
--Eh eh eh...Chapeau de Paille tu es risible à souhait, mais je sais également que tu es réputé pour être un coriace.
--Luffy: Gné? T'es où? Montre toi que je te pête la face!!
Fresh sortit alors de l'ombre, et le jeune garçon pu constater que le gouverneur avait endossé une armure de grande taille, aux allures robotiques. Fresh explica alors à Luffy que cette armure avait été son investissement le plus coûteux et le plus important car grâce à cette armure il avait pu s'imposer facilement face à la population qui ne tentait aucune rebellion depuis qu'il c'était installé au poste de gouverneur.
--Luffy: Wouaaaa trop classe l'armure!!
--Fresh: Dis t'as écouté au moins ce que je t'ai dis?
--Luffy: Trop claaaaasse!!
--Fresh: Il ne m'écoute pas...
--Luffy: Hein? Tu disais quelquechose?
--Fresh, desespérer: J'en peux plus de ces gamins...bon je vais en finir rapidement avec toi et ensuite on règleras son compte aux autres gamins qui sont tes partenaires.
Luffy se tint bien droit, affichant soudainement un sérieux dont il avait le secret, le sourire qu'il endossa par la suite portait largement à croire que ça allait chauffer pour le gouverneur.
--Luffy: Je crois plutôt que c'est moi qui vais en finir rapidement avec toi...