Chapitre plaisant en soi, Eugène est tout mal que son secret est percé. la bataille contre le géant s'annonce épique.
Tu veux savoir pourquoi je déteste emprunter des notions importante d'un autre monde, comme ici les dragons célestes? Car on n'arrive jamais à retranscrire parfaitement les idées de l'auteur. Pour moi, le fait qu'Eugène se battent justement contre son esclave géant, ça sonne faux. Car quand tu vois Jean Bart, fait prisonnier par les nobles mondiaux, étant presque aussi grand qu'un géant, il ne se rebellait pas contre la famille de Rosward. Pourtant il aurait pu les écraser. Mais le fait qu'un Amiral aurait pu intervenir, et que son collier fait "boum!" quand on veut le retirer, ça à du le persuader du contraire.
Alors, quand tu nous dit qu'un géant va combattre son jeune maître, sous prétexte qu'il veut se faire la malle; pour moi, ça sonne faux.
Sinon, revenons à nos habituelles "niveau Structure": ça deviens bon, bien qu'il y ait des passages de flous. Durant ces parties, sûr, t'as eu envie de faire autre chose, comme ici:
Citation:
Je repartis vers une des ruelles et chercha une boutique d'armes. Je la trouvais deux rue plus loin: C'était une batisses faite de pierres et de tuiles avec une vitre un peu sales montrant les mots un peu ternis par le temps: " Herman's shop: armes en tout genre". Je rentrais à l'intérieur. C'était assez sobre. C'était une pièce un peu poussièreuses qui présetant chaques choses bien rangés soigneusement dans l'odre de leur prix puis de leur taille. A droite, se trouvaient les pistolets, batons, fusils, munitions ou autre armes incrustés dans plusieurs objets comme la lame-poignet, ce genre d'objet étaient déclinés à l'infini. A gauche, se trouvaient les épées, qui étaient aussi vastement déclinés. Il y avait même au centre, un canon un peu rouillé, d'une longueur d'environ un métre pour cinquante centimétre, il affichais le prix de 1000 berry. Le vendeur, probablement, arriva, répondant au ding annoncant mon arrivée, par une porte se situant en face. C'était un homme d'une cinquantaine d'années, il avait une barbiche noire, des lunettes, il avait l'air assez méfiant.
Pour moi, c'était pas très clair. il m'a fallut relire une deuxième fois pour que se soit plus clair dans ma tête. Bon, au moins, point positif, quand j'ai relut, je me suis clairement imaginé la scène.
Sinon, il y a ça, aussi:
Citation:
Je retournais à l'hotel pamis mes "semblables". Nous avions pris un hôtel luxueux comportant tout le gratin de l'île. C'était un lieu assez chic pour l'île: je ne vous décrirais pas tout ce qu'il y avait, cela serait trop long. (1) Je decida d'aller rapidement dans ma chambre pour bien préparer ma fuite. Je preparas mes affaires d'abord et les mit dans un sac. Puis, je décidais du plan d'action a utiliser. Pour commencer normalement cette aventure il me fallais de l'argent. Il y avait une petite partie de nos économie dans la chambre de mes parents: une petite partie representais beaucoup. Donc il ne fallait pas partir trop tard pour être sur que j'ai tout mon temps mais pas trop tôt pour m'assurer qu'ils dorment. Je pensais que 23h30 suffirait. Je fis un petit plan des couloirs de l'hôtel pour m'assurer que tout était pris en compte. J'imaginais différents schéma en faisant les cent pas jusqu'à l'heure fixé. A cette heure là, je m'extirpas de ma chambre, et m'avancas dans le couloir jusqu'à leur porte.Je regardais bien qu'il n'y avait plus de lumière, attendait cinq minutes à l'affut de nimporte quelle bruit (2). Après m'être assuré qu'il dormaient vraiment, je rentrais dans la chambre: le lit était au fond, on voyait à droite une porte mais ce qui m'interessais ce trouvait à gauche. Sur une petite table se trouvait un sac où résidaient nos économies. Je m'avancais petit à petit vers le sac, marchant le plus doucement possible. Mon coeur battait très fort, j'imaginais déjà l'un des deux se lever et me prendre sur le faite. Au bout d'interminable minute j'arrivais enfin à l'endroit tant souhaité. Je pris doucement le sac et repartis aussi lentement que j'étais venu. Je poussa un murmure de soulagement en refermant la porte de leur chambre. Puis je repartais toujours sur la pointe des pieds vers la sortie de l'hotel.
(1): D'accord, ça m'a l'air très riche. D'accord, tu voulait pas surcharger le texte. Mais tu pouvait donner un minimum de détail, pour qu'on s'imagine bien l'hôtel, exemple:
Citation:
Nous avions pris un hôtel luxueux comportant tout le gratin de l'île. C'était un lieu assez chic pour l'île:Il y avait tellement de richesse que les habitants de l'île salivait rien qu'a en voir l'extérieur. Mais moi, j'était habitué au fait que le plafond était soutenu par des piliers de marbres doré, que des fresques représentant de preux guerrier surréaliste soit peints sur tout les murs, et que des plantes très rares poussent dans le rez-de-chaussé. J'était aussi habitué à être servis par une horde de dix serviteurs assoiffé du désirs de me contenter.
... Bon, j'avoue, j'ai pas fait dans le minimum. Mais tu vois ce que je veux dire. Il faut quand même qu'on ait une image du lieu, qui soit réaliste. Et là, tu met plus en valeur le fait que c'est un dragon céleste qui en a marra de sa vie d'antan.
(2):Là, tu fais tout le contraire. Comme je l'ai dit à Venfl-Samar, c'est bien de devoir décrire, mais
trop décrire, c'est pas bon, non plus. Car ça alourdit trop ton récit. Dans ces cas là, t'a deux solution:
-1°) Tu modifie ta partie de texte pour qu'elle paraisse moins longue, moins carrée, et qu'elle donne envie de lire. Exemple:
Citation:
Pour commencer normalement cette aventure il me fallais de l'argent. Il y avait une petite partie de nos économie dans la chambre de mes parents: une petite partie representais beaucoup. Donc il ne fallait pas partir trop tard pour être sur que j'ai tout mon temps mais pas trop tôt pour m'assurer qu'ils dorment. Je pensais que 23h30 suffirait. Je fis un petit plan des couloirs de l'hôtel pour m'assurer que tout était pris en compte. J'imaginais différents schéma en faisant les cent pas jusqu'à l'heure fixé. A cette heure là, je m'extirpas de ma chambre, et m'avancas dans le couloir jusqu'à leur porte.Je regardais bien qu'il n'y avait plus de lumière, attendait cinq minutes à l'affut de nimporte quelle bruit
Moi, j'aurai mis ça:
Citation:
Pour éviter la misère dès le début, il me fallait de l'argent. Pour moi, cela ne posait pas de problème, nous étions riche. Mais comme mes parents sont mes parents, ils m'ont confisqué mes économies pour éviter que je dépense tout d'un coup. Je pourrait en prendre une partie. Mes parents n'y verrait que du feu. Mais pour ça, il fallait que mes parents soient endormis pour ne pas me repérer. 23h30 était l'heure parfaite: ni trop tard, ni trop tôt. Comme cet hôtel devait accueillir beaucoup de nobles, ses couloirs étaient parfois tortueux. Je me fis donc un plan des couloirs, que j'étudia jusqu'à l'heure H. Comme prévu, aucune lumière ne filtrait de leurs chambre. Parfait.
-2°) T'enlève des parties de récit qui sont superflues par rapport au message que tu veux transmettre: trouver un moyen d'atteindre la bourse. N'étant pas sûr du message que tu veux transmettre, je ne donnerai pas d'exemple. C'est à toi de voir quel morceau de texte tu dois enlever.