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MessagePosté: Ven 10 Déc 2010 20:57 
500 000 000 Berrys
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À l'occasion de la minuscule notification qui va suivre, je remets un peu de kérosène sur le feu de « détresse » allumé il y a près de deux semaines par Le Gourmet pour signifier à la plus large audience du forum « S'il vous plait !?! Envoyez nous des articles pour l'abécédaire de l'année 2010 ! On veut que nos doigts saignent sous la charge de travail pour la gloire de l'Antre du Fanboy !?! ». En effet, il y a toujours une place bien au chaud par ici qui attend quiconque veut faire partager son expérience de l'année 2010 en terme d'animes avec tout le monde (vu le temps du moment qu'il y a dehors, c'est carrément une affaire à saisir !). Sinon, pour que cela arrive en temps et en heure pour la fin de l'année (et que vous puissiez lire ça en douce en attendant que vos invités ne déboulent pour la suite des festivités de fin d'année), il y a seulement une date plus ou moins limite pour envoyer sa participation (très attendue bien évidemment, traitement VIP garanti) : le jeudi 23 décembre. À votre bon cœur !
:Vogue Merry:

Sinon, voici le trailer de l'un des rares trucs (si ce n'est le seul tiens...) qui m'attirent pour l'hiver à venir :
Trailer de Fractale

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MessagePosté: Mar 28 Déc 2010 20:36 
500 000 000 Berrys
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Qui dit « fin d'année » dit « rétrospective », et qui dit « rétrospective » dans l'Antre du Fanboy dit « Journal des moments où j'ai été enfermé entre quatre murs avec pour seule compagne ma TV » : la psychanalyse pénétrée des idées lumineuses ou non des animes de l'année est à nouveau sur la brèche pour cette fois-ci rendre compte de 2010. J'aperçois furtivement dans la salle d'à-côté qu'une autre personne a bien voulu se plié à la question à cette occasion, une telle action mérite bien évidemment nos remerciements. Sur ce, le titre et que l'on entre dans le vif du sujet !

SI L'ANNÉE 2010 M'ÉTAIT CONTÉE...


Aaaarrrrggggghhhhhhhh !!!1!1!§§
par MKG39

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Bravo ! Vous avez réussi à débloquer l'achievement suivant : les animes vus au cours de cette année peuvent se compter sur les doigts d'une main ! Il semblerait que, cette fois-ci, la vie réelle ait été un adversaire beaucoup plus coriace que prévu, vous vous retrouvez au tapis par K.O. sans option de continues. Et cela ne s'applique pas uniquement aux animes, mais également à votre activité générale dans le monde des japoniaiseries.

Espérons quand même que l'année à venir sera beaucoup plus fructueuse...


Accéléromètre

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Il me semble judicieux de prendre quelques secondes le pouls de l'industrie de l'anime en France pour cette année 2010, une industrie où l'un des principaux acteurs sortait tout juste d'une transformation inédite l'année dernière en étant racheté par la Shueisha. Bien évidemment, c'est de Kaze que je vais discuter en préambule de cet article. Sans crier gare, cet événement n'en a pas été réellement un dans la pratique : rien ou presque n'a été chamboulé pour le consommateur. La boite conserve une solidité qui a déjà fait ses preuves ces dernières années sur le plan de la distribution et semble même mettre un coup d'accélérateur sur l'obtention de licences récentes du côté du Japon (je ne manquerai ainsi pas de rappeler dans cette situation K-On ! pour 2011, ou comment voir si des invasions sont en marche sans que l'on s'en rende compte). On peut se réjouir d'avoir une telle locomotive pour le secteur quand on relève des ratés ailleurs qui peuvent être préjudiciables...

Cette année a été marquée pour ma part par le réel investissement consenti par les éditeurs dans le support HD de référence, le Blu-Ray. Bien-sûr, certains contenus étaient déjà présentés les années précédentes sur ce format mais une grande accélération a été observée en 2010 ; une accélération que l'on peut aisément mettre en parallèle avec celle vue du côté de l'exploitation des films en France sur ce même support (l'équipement des ménages aidant...). Deux BRD pour la tétralogie Evangelion en moins de dix mois, Summer Wars et Rebuild of Evangelion 2.22 qui débarquent chez nous et sur ce support seulement un semestre après la sortie japonaise, l'arrivée de The Sky Crawlers ; l'activité était réellement au rendez-vous pour ceux qui souhaitaient profiter de telles œuvres dans de bonnes conditions. Reste des énigmes comme l'absence permanente de Akira (prévu rapidement tout de même pour 2011) et du duo Ghost in the Shell 2.0/Innocence (toujours pas prévu en revanche en ce moment, l'import reste quand même très généreux sur ce cas précis pour peu que l'on sache où chercher).

La dynamique du secteur me semble aussi marquée cette année par la sortie au cinéma en juin de Summer Wars : pour une fois que l'on a un blockbuster du genre, hors Miyazaki, qui débarque moins d'un an après sa sortie au Japon ; c'est juste furieusement appréciable par rapport aux années précédentes où l'on pouvait toujours rêver d'avoir de telles choses. Reste le point d'interrogation chez Dybex concernant Rebuild of Evangelion 2.0 et ses sorties sporadiques qui évitent la capitale... M'enfin, il y a du progrès sur le long terme de ce côté-là et dans l'ensemble. Même si certains éditeurs ont des difficultés à joindre les deux bouts à cause des nouvelles pratiques de consommation du nouveau public auquel ils ont affaire (peut-être qu'un jour ça redeviendra à la mode de collectionner une série que l'on a apprécié au lieu de la garder de façon détournée sur son PC...), j'ai quand même l'impression que l'industrie de l'anime s'en sort plutôt bien en France. J'espère que ça sera le cas encore assez longtemps histoire que l'on continue d'avoir des nouveautés dans les magasins.


Blu-Ray Disc

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Une nouvelle fois en 2010, ce support a permis de voir où se rendaient les coups entre les licences dans le marché japonais. La progression continue ainsi pour les séries télévisées qui bénéficient d'un impact toujours plus important sur les ventes. C'est ainsi que Kyoto Animation a remporté le gros lot cette année grâce à K-On !! qui, bénéficiant du ralentissement dans l'adaptation de Bakemonogatari, devient incontestablement la série qui s'est le mieux vendue de l'histoire de ce support (deux saisons, ça aide, mais le Buzz d'une fin de série semble dynamiser comme pas deux les ventes). Attendons de voir aussi les prochains mois ce que réservent la conversion sur ce support de plus anciennes séries comme La Mélancolie de Haruhi Suzumiya, Patlabor ou bien Lain sur le plan des ventes ; peut-être que les nouvelles surprises pourraient venir d'un retour et non plus d'une apparition.

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Le Champion 2010 toutes catégories, seigneur des platines HD et maître du 1080p, le BRD de RoE 2.22

L'année a surtout été marquée au Japon en mai par l'arrivée du bulldozer Rebuild of Evangelion 2.22, qui est devenu le BRD le plus vendu dans le pays toutes catégories confondues (dans le bilan 2010 d'Oricon, on recense 449 675 unités vendues pour sa pôle position – près de cinq fois et demi les ventes de One Piece : Strong World) ; reprenant ainsi la place à Michael Jackson's This is It qui lui même avait pris le titre à Rebuild of Evangelion 1.11. Sans surprise, l'équation « Nostalgie + Buzz + FanBase + Démo Technique pour le support BRD » a tout emporté sur son passage, en attendant qu'un nouveau film reprenne cette même équation pour inscrire son nom au palmarès. Quoi qu'il en soit et vu comment c'est parti, ça ne serait plus étonnant que des films avec des 3.33 et des 4.44 dans leur titre ravissent cette place les années à venir. En attendant, voyons voir comment se comporte le prochain sérieux challenger qu'est La Disparition de Haruhi Suzumiya dans les charts à partir du 18 décembre et si d'ici là un nouveau record n'arrive pas encore pour témoigner de la vigueur de ce marché (77 000 unités pour la première semaine, ça part plutôt très bien).


Comics

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On a assisté cette année à une sacrée vague d'influences en provenance des États-Unis dans la composition des animes, et parmi ces influences se trouvait particulièrement celle de « la Maison des Idées », à savoir Marvel. En effet, c'est par deux biais que l'ont a vu cette influence se développer : une voie officielle visant à adapter des valeurs sûres pour le marché nippon et une voie un peu plus officieuse vu qu'elle repose sur l'initiative personnel de l'une des figures emblématiques de la maison.

Stan Lee a essayé ainsi cette année de recommencer le coup qu'il avait tenté quelques temps précédemment avec le marché du manga, mais cette fois-ci en s'associant au studio BONES pour pénétrer le marché de l'anime. Une entreprise qui a donné naissance à Heroman, une série dont le contenu a été très diversement apprécié.

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Pendant ce temps, Iron Man et Wolverine prennent des vacances au Japon. Un mal pour un bien ?

Marvel quant à lui s'est associé à Madhouse pour faire adapter certaines de ses licences pour appuyer leur pénétration auprès du public nippon. Le premier à essuyer les plâtres de cette entreprise a été Tony Stark qui a ouvert une succursale de son entreprise au Japon afin de pouvoir jouer à être Iron Man dans ce pays. D'autres lui emboiteront le pas en 2011 comme Wolverine, Hulk ou bien Blade.

Il faut aussi relever à ce sujet qu'il s'est murmuré que l'adaptation de Iron Man a été retardée du printemps à l'automne pour ne pas faire de l'ombre à Heroman : que ce soit vrai ou pas, on ne peut pas dire que cela ait fait du bien à ces séries... Mais bon, le mouvement est relancé une nouvelle fois : l'univers super-héroïque américain parviendra cette fois-ci à faire de l'ombre à ses concurrents sur leur propre marché ?


Déni
par MKG39


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Un terme général qui pourrait s'appliquer à certains animes qui n'existent pas, mais on va parler ici d'une série qui existe bel et bien (et qui a bien fait d'exister même), et plus précisément de son personnage fétiche :

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Hideyoshi est devenu sans conteste le meilleur trap de l'année 2010, allant même à représenter à lui tout seul le "3ème sexe" (il y avait des toilettes pour "Hideyoshi" à l'epita il parait). Et quand on voit que le personnage le plus célèbre d'une série ne déméritant pourtant pas niveau filles est... un mec, ça montre bien à quel point la série a un gros potentiel.

Tout ça pour dire, Baka to Test, c'est bon, mangez-en !


Disparition

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Événement à peine programmé par Kyoto Animation pour se faire un maximum d'oseille pour la fin de l'année fiscale (et aussi contenter les fans, 'faut bien entretenir le marché sur le long terme), La Disparition de Haruhi Suzumiya est apparu dans les salles obscures japonaises le 6 février dernier. Film fleuve de près de deux heures cinquante, le film s'est révélé être plutôt rentable vu l'engouement aperçu auprès des cinémas diffusant le film le jour de sa sortie ; un pari qui était quand même osé quand on se remémore la réception du public de Endless Eight durant l'été 2009.

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En voilà qui ne disparaissent pas quand il s'agit de gagner sa vie...

Le film est sorti le 18 décembre en DVD et BRD au Japon, et chez nous, bah... Toujours rien à l'horizon, même pas dans certains festivals qui avaient réussi des fois précédentes à agripper de telles exclusivités. Toujours est-il que ce film voit son statut de must-seen être renforcé par le fait qu'il a été élu meilleur film d'animation de l'année 2010 au festival de Kobe (qui comme tout le sait ne file pas trop ce genre d'appellation à des films bancals ces dernières années, cf. Rebuild of Evangelion ou Summer Wars).


Évangélisation

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1.11 en avril, le festival d'Annecy en juin, 2.22 en novembre, la traduction des deux de Evangelion Chronicle chez Glénat tout au long de l'année, il n'y a pas à écrire, le marketing a fait fort durant 2010 pour dire au porte-monnaie des fans de EVA « You're not alone ». Une année chargée en diverses nouveautés où les éditeurs collent sciemment à l'effervescence actuelle autour de la licence provoquée par la tétralogie. Pour preuve, ils parviennent même à faire faire le pied de grue à de nombreuses personnes pour décrocher leur exemplaire convoité de 2.22 en plein froid hivernal durant la fin de l'année (comme dirait le vétéran, « Je l'ai vu de mes propres yeux »). Le seul point noir flagrant à ce tableau, cela reste la stratégique marketing étrange de la part de Dybex de snober Paris pour des séances en salles obscures de 2.0 alors que beaucoup de villes de province y ont eu droit depuis novembre 2009. Décision étrange quand on sait que la capitale était très bien lotie pour 1.0 en mars 2009. En espérant que cela ne se reproduise pas avec 3.0... Dans tous les cas et dans l'ensemble, l'évangéliste Hideaki Anno a encore fait chauffer les tiroirs caisses cette année en France.


Féminisme télévisuel

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Un article qui va se résumer à un simple classement tout ce qu'il y a de plus subjectif des principaux personnages féminins qui ont su se faire une place au soleil à mes yeux au travers des diverses séries de cette année, du moins celles que j'ai pu voir. Des personnages taillés pour apparaître un jour dans le nec plus ultra du crossover issu de la Volonté, à savoir le Grand Tournoi ? Le temps et les conditions seront juges.

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  1. Anarchy Panty & Anarchy Stocking (Panty & Stocking feat. Garterbelt) : Finalement, ils ont une autre tête désormais les Anges à la GAINAX ; au grand bien de leur réputation.
  2. Tsubasa Hanekawa (Bakemonogatari) : Figure essentielle de la prévention, ne surtout pas recaler une femme quand il y a un chat dans les parages.
  3. Scanty & Kneesocks (Panty & Stocking feat. Garterbelt) : C'est depuis le fin fond de l'Enfer que l'on veut nous faire aimer les « RRRRRUUUUULESSSSS », un comble !
  4. Hiigari (Hanamaru Kindergarten) : C'est officiel, la maladie du déguisement touche très jeune dans certains pays du monde.
  5. Sawako Yamanaka (K-On !!) : Pour une fois qu'un professeur dans un anime voire même une quelconque série a des relations « simples » avec ses élèves...
  6. Mio Akiyama (K-On !!) : Ou comment supporter parfois seule et mais toujours efficacement sur ses épaules sa série durant le ventre mou de cette dernière.
  7. La Fille-Poisson (Star Driver : Takuto of the Radiance) : C'est où qu'on signe le prodige pour avoir son générique quand on entre chaque matin dans les locaux de son boulot ?!


Galactic Pretty Boy

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C'est le moment « d'illuminer la scène » en revenant sur Star Driver : Takuto of the Radiance, le dernier né sous la plume de Yoji Enokido et issu du studio BONES. La série avait su susciter l'intérêt sur le net lors de son annonce avec ses concepts visuels pour le moins baroques et très exubérants ; un intérêt qui au final semble être récompensé car la série se révèle être une bonne valeur sûre de cette année 2010.

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Les prévisions de vente de PVC font toujours les beaux jours des studios japonais...

Ça part de partout, parfois on ne comprend pas tout devant tant de loufoquerie affichée à la TV, tout sauf un point qui n'échappe pas au spectateur : la série parvient continuellement à être divertissante. Avec son scénario à tiroirs et ses personnages sortis d'une dimension où notre logique faiblit très vite, Star Driver : Takuto of the Radiance invite à un voyage plutôt sympa à réaliser dans l'un des archipels méridionaux fictifs du Japon. Reste à évoquer le cas de Tauburn, le Mecha dont le design est pensé pour faire craquer très aisément les amateurs et qui illumine grâce à son pilote la série grâce à des affrontements qui ont la pèche, bien qu'un brin trop brefs dans certaines situations. Et puis, ce n'est carrément pas tous les jours que l'on se retrouve avec un personnage principal dont la capacité à se changer à la vitesse de la lumière ferait pâlir d'envie tous les mannequins du monde entier. Fausse surprise mais véritable bonne série sur la base de ce qu'elle a montré en 2010, Star Driver : Takuto of the Radiance se révèle être un bon représentant de la bonne santé dans le domaine de cette année.


Gymnopédies
par MKG39

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Lent et douloureux
Lent et triste
Lent et grave

Derrière ce terme se cachent trois compositions françaises au piano d'Erik Satie. Si elles sont remises au goût du jour, c'est à l'occasion d'un film ayant fait baver plus d'un :

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Ce n'est pas la première fois que l'anime de Haruhi intègre ce genre de pièce musicale, l'œuvre d'Erik Satie a été choisi pour être le thème musical principal du film, et c'est un réel bonheur pour les oreilles (surtout couplé aux mise en scène de Kyoani).

Suzumiya Haruhi no Shoushitsu, ça bute. Period.


Hit-Parade

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Une sélection tout ce qu'il y a de subjective des musiques qui ont su se démarquer durant l'année 2010 dans les diverses séries que j'ai pu voir (pour des bonnes ou des mauvaises raisons, certains titres vont très vite le montrer en ce qui concerne leur cas).



Iconologie

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Quant il s'agit de palabrer quelques temps sur le jeu des références en anime durant l'année écoulée, quoi de plus simple que d'avoir recours à cette formidable source qu'est Panty & Stocking feat. Garterbelt...

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I ain't happy, I'm feeling glad

Grande habitude de l'industrie, l'emploi de références culturelles à tour de bras est devenu une épreuve de haut vol sous la houlette de la Geek Fleet au sein de la GAINAX. Bien que la série n'ait pas au départ un fond de commerce en terme de scénario qui l'amènerait à développer plus que de nécessaire une telle inclination (quoique, la base première demeure quand même le style graphique et narratif emprunté aux cartoons américains des années 1990 et 2000), Hiroyuki Imaishi invite très fréquemment le spectateur à un voyage jamais barbant ou indigeste dans la culture populaire contemporaine que lui et ses collaborateurs apprécient. C'est ainsi, en n'étant réellement pas exhaustif sur ce qui suit, que l'on se retrouve trimballé de Lady Gaga à George Romero, de 2001 – L'Odyssée de l'Espace à Gurren Lagann (auto-promotion classique du studio cela dit) ou bien encore de Ghostbusters – SOS Fantômes à South Park. Plus value très importante de la série tant il est très bien mené, le concert des références au pas de charge Panty & Stocking feat. Garterbelt laisse très difficilement indifférent pour cette année.


Justiciable

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Pour une fois, listons quelque peu les quelques faits que l'on a pu voir cette année dans les diverses séries qui auraient pu conduire leurs auteurs fictifs devant la justice. Des exemples à ne pas reproduire pour votre sécurité, jeunes téléspectateurs !

Pèle-mêle, nous avons eu quand même eu...

  • Des troubles à l'ordre public par exhibition de la part des sœurs angéliques Anarchy dans Panty & Stocking feat. Garterbelt.
  • Cruauté envers les animaux de ces mêmes sœurs quand on pense au sort réservé à Chuck...
  • Encourager sa fille qui est en maternelle d'aimer son professeur, c'est plus que limite... Carton rouge à la mère d'Anzu dans Hanamaru Kindergarten !
  • Détournement de mineurs caractérisé de la part de la part de la doctoresse Okamoto dans Star Driver : Takuto of the Radiance.
  • Occupation illégale car nocturne et hors horaires d'ouverture de bâtiments scolaires dans K-On !!.
  • Détournement de matériel d'origine inconnue dans Heroman au détriment de l'autorité publique.

Non, il n'y a pas à écrire, l'exemple n'a pas été encore donné cette année.
:Zoro nargueur:


Kon Satoshi

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Le 24 août dernier, l'un des noms les plus célèbres et des plus fameux du cinéma d'animation japonais de ces dernières décennies est disparu, emporté relativement jeune (46 ans) par une grave maladie. Satoshi Kon avait en effet su se faire un nom à travers le monde grâce à une riche filmographie composée entre autres de réussites reconnues comme Perfect Blue en 1997, Millenium Actress en 2002, Tokyo Godfathers en 2003 ou bien encore Paprika en 2006. Satoshi Kon s'était essayé aussi avec succès à l'aventure du petit écran avec la série Paranoia Agent en 2004. Avant d'être emporté par la maladie, le réalisateur travaillait à l'élaboration du long métrage Yure Miru Kikai ; un film que ses collaborateurs souhaitent achevé pour la postérité de son investissement. L'animation japonaise a perdu avec Satoshi Kon l'un de ses plus brillants éléments contemporains.

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Ludisme de grande ampleur

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Les sociétés ne manquent pas d'envergure quand il s'agit de s'amuser ou d'exprimer une passion. Eh bien, quand les deux s'associent pour une œuvre, le résultat en devient bien vite détonnant...

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Prévoir un APN au shoot panoramique tout de même

L'attraction Evangelion World a ouvert durant l'été 2010 dans le parc Fuji Q High Land, et son principal intérêt est d'y découvrir une réplique grandeur nature de l'EVA-01 dans un cadre similaire à celui de la série. Contrairement au Gundam monté au Japon l'année précédente, ce n'est que le buste de l'EVA-01 qui a été construit pour une hauteur de neuf mètres sur seize de largeur. Pour une connaissance plus détaillée de l'attraction, il suffit de se rendre sur une excellente source qui devrait être connue de tous. Il ne reste plus qu'aux fans du monde entier d'espérer visiter au moins une fois cela dans sa vie...


Musiciennes en herbe

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Sorties de nulle part en 2009, devenues des rockstars bankables cette même année en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire grâce à l'adaptation de KyoAni, les membres de l'After School Tea Time sont revenues sur scène en 2010 pour défendre leurs qualifications acquises l'année dernière. Une présence continue sur les écrans pour quels résultats ?

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(We) come from Money !

Quoi que l'on en pense par rapport à son contenu, l'auteur Kakifly et KyoAni ont réalisé un coup de maître cette année dans la promotion de la série. Déjà omniprésentes depuis l'année dernière, les membres de l'HTT le sont devenues encore plus en 2010. Que ce soit en haut des charts de singles de l'Oricon, en haut de ces mêmes charts pour les BRD ou bien encore comme figure de proue de la campagne d'affichage de la préfecture de Kyoto pour le recensement de la localité ; cette fine équipe était littéralement partout ! Ce qui a certainement le mieux marché concernant la série, c'est d'avoir convenu entre Kakifly et KyoAni de faire coïncider à une ou deux semaines d'écart la fin de la série dans sa version originale et son adaptation, d'où une très longue seconde saison débutée au printemps pour tenir jusqu'à l'automne. Plus populaires que jamais, les membres de l'HTT surfent sur le haut de la vague du succès et remplissent comme pas deux de nombreux zéros les comptes en banque de leurs ayant-droits. Un succès appelé à être encore plus retentissant si jamais Kakifly met en route une nouvelle série autour de l'univers qui l'a fait connaître en 2011 ?


Nekopanda

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Nom masculin. Zoologie. Animal hybride né du croisement des espèces du chat et du panda. Animal populaire dans certaines parties du monde, notamment au Japon (cf. Hanamaru Kindergarten). Si à partir de là vous ne voyez pas ce qui va débouler dans cet article...

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Et il y a même sa chorégraphie !

Hanamaru Kindergarten a été la première série que la GAINAX a produite depuis Gurren Lagann, le retour de la fibre « adaptation » ne se faisait pas si désirée que cela chez le public mais au final, le mythique studio a su tirer son épingle du jeu en livrant une série bonne enfant, enrichie au savoir-faire de cette machine de guerre de l'animation. En effet, autour de l'histoire du brave Tsuchida qui doit se frayer un chemin dans l'univers de l'Éducation, la GAINAX a sorti l'artillerie lourde du côté des références employées, tout autant que dans la réalisation qui se signale surtout dans des Endings surprenants. Personnellement, je retiens surtout de Hanamaru Kindergarten une série bien sympathique et bien menée, dont j'espère bien évidemment dans les années à venir que l'on verra débarquer une suite.


Ore no Kami Nomi zo Shiru Baka to Test no Naku Koro ni ga Konnani Kawaii wake ga Nai
par MKG39

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(Me demandez pas si c'est grammaticalement correct en japonais hein, et si ça l'est, me demandez ce que ça veut dire...)

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Tout ça pour dire que les titres à rallonge en japonais, c'est toujours aussi fun à prononcer en vrai. :Luffy hilare:


Oscars

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Pour une fois, un grand distributeur américain a eu la bonne idée d'avoir sous la main dans son catalogue un gros film de l'animation japonaise pour le présenter aux Oscars. Pour une fois, ce n'est pas le traditionnel duo Disney/Ghibli qui pourrait créer l'évènement à cette cérémonie mais celui Warner/Madhouse car Summer Wars a réussi à être diffusé un certain nombre de fois dans les grandes villes américaines pour que la dernière œuvre de Mamoru Hosoda se retrouve propulsée dans le lot des nominés.

Arrivé aussi en 2010 en France, Summer Wars est de ces vraies-fausses surprises qui font extrêmement plaisir : on savait notamment depuis La Traversée du Temps que Mamoru Hosoda envoyait du bois, Summer Wars ne venait qu'appuyer lourdement ce constat et lançait une nouvelle période d'attente d'impatience vis à vis du prochain long métrage de ce réalisateur. Un film à voir et à revoir vu la magie qu'il sait distillé, surtout quand on peut prendre de l'avance sur la prochaine filmographie des must seen des Oscars.


Parallélisme

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Ni une ni deux, une embrouille pas possible dans l'intitulé de l'article pour traiter, non pas de mécanique automobile, mais de Black Rock Shooter. Première réalisation du tout nouveau studio Ordet mené par le bankable Yutaka Yamamoto, cet OAV a su provoquer le buzz avec sa traduction initiale en sept langues pour une distribution mondiale (via l'importation) et son thème bien évidemment, « l'adaptation » d'illustrations liées à un phénomène musical au Japon qu'est celui des Vocaloids.

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Un abus de « l'œil du Tigre » ?

Un OAV qui a divisé comme pas deux le public depuis l'été. Personnellement, habitué avec KyoAni au style narratif employé, ça ne m'a pas choqué plus que ça et, même si je connais ni de Ève ni d'Adam les Vocaloids, ça m'a aisément intéressé. Après tout, comment s'ennuyer alors que Nagaru Tanigawa s'est penché sur le scénario de cet OAV. Même si cela a sûrement rendu fous furieux les fans attendant le dixième tome de la saga de Haruhi Suzumiya, je trouve que c'était une bonne pioche de sa part car je trouve son histoire aisément plaisante. À côté de cela, il y avait aussi une réalisation qui tenait carrément bien la route ; donc une bonne nouveauté pour ma part dans l'ensemble grâce à Black Rock Shooter.


Quincaillerie

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Alors, où elle si situait la tôle rouillée cette année... Ah bah oui, pas besoin de chercher bien loin, il y a carrément Heroman !

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Attrapez le !

Je n'ai pas significativement changé d'opinion à propos de cette série depuis sa conclusion : c'est bien trop moyen dans l'ensemble par rapport à ce que l'on pouvait en attendre. Et encore, l'intitulé de l'article est très dur avec Heroman car notre ami le robot géant était bien l'un des rares à sauver sa série. Un scénario bancal et finalement mal exploité issu des idées de Stan Lee, des épisodes inutiles « en veux tu, en voilà ! » sur plusieurs mois, des personnages parfois horripilants dans le casting... Non, il n'y avait finalement pas une bonne étoile au dessus de cette production du studio BONES. Reste à voir désormais si ils oseront un jour produire une suite à cette série, série qui pourtant promettait quelque chose au départ avec son mélange des genres.


Robotique

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Un article très court pour souligner que la GAINAX a eu la bonne idée une nouvelle fois cette année de vouloir se faire de l'argent... Euh, plutôt « perpétuer l'héritage spirituel de Gurren Lagann » en sortant au printemps dernier la dernière série d'OAV musicaux en date sur la série, à savoir Parallel Works 2. Une série réussie au demeurant qui a comme point d'orgue de flatter allègrement les fans de la Fratrie Noire. Finalement, ça a parfois du bon le business (mais si un jour, au passage, les films-résumés dédiés à Gurren Lagann pouvaient sortir de leurs frontières d'origine, on ne cracherait pas dessus non plus...).


Simulcast

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L'effort de proposer dans un même élan la diffusion japonaise et la traduction en Français du contenu de cette dernière via les distributeurs légaux semble s'être intensifié cette année par rapport à 2009. En 2010, des séries comme Dance in the Vampire Bund, Samourai Girls, Highschool of the Dead, Kuragehime ou bien encore Durarara ! ont bénéficié de cette exposition. Bien que n'en suivant aucun (bah, ça touche au delà de la marge de ce qui peut m'intéresser, donc... - au passage, je n'avais pas capté avant d'en faire une brève liste mais le nombre de trucs à consonance Ecchi dans le lot... -), j'ai pu constater que les éditeurs ne ménageaient pas leur travail pour proposer cette forme nouvelle de consommation de leur contenu. Après tout, on peut quand même espérer pour eux que cela puisse servir de promotion efficace aux sorties matérielles de leur contenu licencié l'année qui suit. À moins que le public français se montre très radin comme d'ordinaire et profite du dit contenu et ne passe jamais à la caisse... L'avenir nous le dira j'imagine (mais bon, il doit bien y avoir à un moment ou à un autre une question de VOD, sinon je me demande comment ils peuvent bien rentrer dans leurs frais certains...).


Triangle

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En 2009, nous avons appris qu'il y avait dans le ciel un petit triangle d'étoiles qui méritait d'être pointé du doigt les soirs d'été. Un triangle composé des étoiles Altaïr, Deneb et Vega. Cela devient donc évident après cette introduction de la misère que cet article va revenir sur les derniers épisodes hors-TV de Bakemonogatari (plus connu sous le nom de « Et Senjôgahara se révéla au Monde »).

L'année 2010 a vu donc débarquer les épisodes 14 et 15, des épisodes qui concluent l'arc Tsubasa Cat et concluent donc cette série. Des épisodes de très bonne facture à l'image de ceux qui les ont précédé, bourrés d'éléments marquants comme pas deux pour asseoir la popularité de la série (qui osera avoir oublié le « Tsundere Service » de Senjôgahara ou bien l'arrivée épique de Shinobu dans le combat final de la série ?). Une conclusion hors-TV qui n'atteint pas à mon sens l'excellence absolue que constituait l'épisode 12 qui concluait la série lors de sa diffusion TV, mais une conclusion hors-TV qui se révèle quand même être très facilement en haut du panier de ce qu'il peut se faire actuellement. Bref, on veut très rapidement une nouvelle dose des aventures de Koyomi Aragi et compagnie (et accessoirement que ça sorte chez nous un jour) !

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La réussite les accompagne... Le retour ! Le retour !


Useless
par MKG39

Spoiler: Montrer
Une expression bien connue par certains :

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(C'est pas une image provenant d'un anime. Et alors ? On a plus le droit de faire de la pub subliminale ?)

Ce qui est useless ici, c'est bien évidemment l'adaptation du studio Deen de l'un des meilleurs visual novel (si ce n'est le meilleur à ce stade) qui soit. J'aimerais écrire d'autres choses dessus, mais malheureusement, il m'est difficile de parler de choses qui n'existent pas...


Utopie

Spoiler: Montrer
Bien que la fête de Noël est derrière nous, je me mets à rêver qu'un jour (et pourquoi pas dès 2011 !)... :

  • Dybex oublie une copie de RoE 2.0 à Paris histoire que celle-ci soit diffusée dans une salle obscure convenable.
  • La seconde saison de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya sorte en France directement en coffret « intégrale » histoire de ne pas trop ressentir le prix des DVD liés à Endless Eight.
  • Le film La Disparition de Haruhi Suzumiya ait une exploitation nationale dans les salles obscures.
  • Un éditeur remette la main sur les droits de Nadia et le Secret de l'Eau bleue histoire que l'on ait enfin, et au moins, une édition DVD de la série.
  • Eurozoom et Beez trouvent un quelconque intérêt à commercialiser en France les « films » liés à Gurren Lagann

C'est tout simplement rêver éveillé pour certaines choses mais bon, qui sait de quoi les temps futurs seront faits.


Vampirisme

Spoiler: Montrer
Comment ? Hollywood s'est encore fait de la maille comme pas deux cette année grâce à de prudes vampires ? Bah, ça ne vaut carrément ceux que l'on a découvert en 2009... Et ça vaudra encore moins j'imagine en comparaison par rapport à l'arrivée prochaine, annoncée en juillet dernier, de la préquelle de Bakemonogatari, à savoir Kizumonogatari de son petit nom toujours à rallonge. Est-ce que ce sera enfin l'occasion pour Aya Hirano de justifier son nom aux crédits de cette production de SHAFT ?
:Luffy hilare:

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Sur le chemin du retour : on ne sait pas où, on ne sait pas quand mais c'est prévu au moins !


Water-Closet

Spoiler: Montrer
« Pas de pitié pour les croissants ! » lancent les rediffusions nostalgiques des émissions de Dorothée sur les chaines du groupe AB, eh bien, « Pas de pitié pour ceux qui m'ont fait perdre mon temps ! » durant cette année 2010. C'est parti pour une liste subjective des personnages qui m'ont horripilé durant l'année écoulée.

  • Jun – K-On !! : on est loin de l'état de dépression dans lequel d'autres personnages de cette liste peuvent me mettre à leur seule vue, mais quand même, il y avait à mes yeux un halo négatif qui flottait autour de l'amie de Ui et Azusa quand elle se pointait dans la série.
  • Professeur Denton & Psy – Heroman : Certaines de leurs actions sont marquées d'une infâme inutilité dans leur série, inutilité couronnée généralement d'un manque d'intérêt flagrant par dessus le marché. Faites que je ne revois pas de sitôt une de leurs filatures...
  • Nick – Heroman : Il y a des personnages faits pour être détestés, mais là... Réunir autant de fonds commun sur la figure de l'aigri, c'est presque un exploit mais ça aboutit surtout à élaborer un personnage trop irritable et pas assez surprenant.
  • La « caricature » de Tony Stark – Iron-Man : Que ton existence soit oubliée à jamais...
  • Le dynamique jeune premier qui endosse l'armure de la JSDF dit le capitaine Sakurai – Iron-Man : Avec sa tête de premier de la classe et sa propension à désosser Iron Man sur son propre terrain, j'avoue que je l'ai beaucoup pris en grippe celui-là...
  • Lina – Heroman : Le genre de personnage féminin que l'on pensait ne plus voir. Eh bien si, cette catégorie existe encore et montre le chemin à parcourir pour éviter de telles écueils. Désolé, en 2010, c'était plutôt « Sauve le Monde, atomise la Cheerleader ».


Xénophilie

Spoiler: Montrer
Les Japonais n'ont peut-être pas une inclination facile à inviter des Chinois ou des Nord-Corréens à célébrer les fêtes de fin d'année avec eux, mais ils ont apparemment l'aisée propension de dresser un portait flatteur de quelques autres pays du Monde comme peuvent en témoigner certaines marques dans les animes. Vu que c'est la chose qui m'a un tant soit peu occupé sur l'année écoulée, voici une liste de ce qu'il y a pu y avoir en 2010 sur le mode « Le Japon aime l'Allemagne » dans les animes et le cinéma d'animation.

  • Le futuriste Gunmen Symphonia est porté par Les Maîtres chanteurs de Nuremberg de Richard Wagner.
  • Dans Black Rock Shooter, Yomi Takanashi parle Allemand après avoir vécu en Allemagne avec son père.
  • Quand Panty se rêve star de cinéma, c'est de Hollywood et des festivals de Cannes et de Berlin dont elle rêve.
  • Dans Panty & Stocking feat. Garterbelt, le fantasque pasteur a traversé tous les âges de l'humanité, même si étrangement ça l'a apparemment conduit à mener une réunion nazi sous le troisième Reich...
  • Dans Summer Wars, le premier utilisateur de Oz à aider Natsuki lors de son ultime combat contre Love Machine est un enfant d'Allemagne (dont sa langue originelle est dans le top-3 avec le Japonais et l'Anglais pour apparaître dans Oz durant le film).
  • Et même si c'est parmi d'autres marques dans la tétralogie, dans RoE 2.22, Asuka a désormais été engagée comme égérie de la Deutsche Post ?!


YûkiISM

Spoiler: Montrer
Le slogan officiel de la Coupe du Monde France 1998, c'était « C'est beau un monde qui joue ». À la vue de l'année écoulée sur le forum, on pourrait rajouter « Surtout quand certains résultats sortent de n'importe où ! ». Retour en arrière sur un événement que l'on ne pouvait pas attendre au début de la quatrième édition de l'évènement phare du Podium, à savoir l'accès de Yûki Nagato au dernier carré du Grand Tournoi !

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Qui sait, c'était peut-être un peu plus la fête que d'ordinaire du côté de chez Yûki durant le premier semestre 2010...


Pour sûr, la définition de l'adjectif « épique » a été offerte par les membres du forum durant certaines de ces journées qui sont passées à la postérité de ce coin du net.


Zodiaque

Spoiler: Montrer
C'est l'histoire d'un rendez-vous manqué, car cet article va se pencher sur l'adaptation de Iron Man en anime par le studio Madhouse. Sur le papier, ça pouvait bien rendre et même, les premiers épisodes pouvaient faire penser que l'on allait dans la bonne directement. Malheureusement, la fréquente malédiction des adaptations s'est abattue sur la série qui, au delà de faire table rase de l'univers qu'elle transpose, ne parvient pas du tout à divertir sur la durée. Je ne sais pas, en regardant un truc estampillé Iron Man, on s'attend quand même à un truc qui pète de partout et qui en met plein la vue, là, on se retrouve avec une série tournant trop fréquemment au ralenti et qui ne parvient qu'à de très rares occasions à réellement assurer le spectacle. C'est trop peu pour s'enthousiasmer. Si on rajoute au tableau une écriture des personnages trop caricaturale ou trop décevante pour être vraie, le seuil de la déception est bien vite atteint. Justement, c'est bien d'une déception que cette adaptation est marquée à mes yeux à la vue des espérances que je pouvais en avoir.

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Mar 4 Jan 2011 23:05 
The old man
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Très bon compte-rendu comme tous les ans maintenant ^_^
Par ma part je vais faire sobre, sans mise à page recherchée pour évoquer ma petite année car finalement après une longue période où je ne regardais qu'un ou deux animés par an, l'année 2010 aura marqué une légère inflexion de tout ceci^^
Ce que je retiendrai en premier lieu ce sera bien évidemment la découverte de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya dont j'ai visionné les deux premières saisons ainsi que le film dans le courant de l'année. Animé culte pour lequel je n'aurai aucun mal à rejoindre les quelques groupuscules d'adorateurs qui sévissent ici et là (Haruhiste, Kyoniste ou Yukiste!).
Dans tous les cas j'ai vraiment accroché à l'univers et aux personnages!
Sinon je me suis également mis à jour concernant deux séries que je me disais depuis bien longtemps "J'ai drôlement envie de voir ça!", à savoir les bien nommés Oban Star-Racers et Soul Taker - deux séries aux styles très différents que je suis heureux d'avoir enfin pour regarder et je ne le regrette pas!
Vient ensuite la vrai-fausse nouveauté, à savoir Slayers Revolution, qui poursuit après bien des années les aventures de Lina Inverse! J'ai été bien content de la retrouver même si ce fut bien trop court (arght le standard 13 épisodes actuel!).
Panty & Stocking with Garterbelt fut évidemment l'autre grosse claque de l'année après Haruhi. Je suis devenu complètement dingue de ces deux anges anarchiques!
Côté des séries américaines Batman: The Brave & The Bold et Sym-Bionic Titan ont été assez réjouissantes et j'attends la suite avec impatience!
Enfin il y a Star Driver, série toujours en cours qui est devenu un rendez-vous bien sympathique. La mise en scène manque un peu d'EPIC mais il y a ce récit qui prend le temps de poser ses personnages, de faire des allez-retour entre eux, et j'ai l'impression que c'est devenu un peu plus rare actuellement où tout aller très vite (surtout qu'on dépasse les 13 épisodes!).

Voilà une année ma foi bien sympathique!


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 Sujet du message:
MessagePosté: Mer 12 Jan 2011 19:35 
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Ça concerne un groupe de 5 filles.
Ça se réunit après les cours.
Ça occupe des locaux scolaires qui ne nous semblent pas trop étrangers.
Mais... C'est le projet par lequel la GAINAX a réussi à soutirer des sous au constructeur automobile Subaru.



La peur du syndrome Pedobear me guette à la vue de ce trailer, mais bon, je veux bien laisser le bénéfice du doute au studio (surtout quand ils ont réussi en 2010 à éviter cet écueil avec Hanamaru Kindergarten qui pouvait s'annoncer pire à la lecture de son postulat). Hôkago no Pleiades, c'est à retrouver à partir du 1 février 2011 sur YouTube.

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Jeu 28 Avr 2011 21:35 
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La saison d’Hiver s’est terminé il n’y a pas longtemps en beauté, la saison de Printemps commence tranquillement, j’ai enfin fini des œuvres que j’avais commencé il y a un certain temps, il est donc temps pour un petit point anime.

Hiver – Impressions Finales


A tout seigneur, tout honneur, je commence par le meilleur anime de ce début d’année et qui est en bonne place pour être le meilleur anime de cet année. Tout simplement.

Mahou Shoujo Madoka Magica

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J’ai commencé Madoka sans trop de raison en me disant que du Magical Girl, faut toujours lui donner sa chance, puis y’avait le nom de Shaft écrit à côté alors je me suis dit que je ne risquais pas grand-chose. J’ai bien vu le nom d’Urobuchi mais, amnésique comme je suis, il n’a pas fait Tilt dans ma tête sinon j’aurais attendu cet anime comme le Messie.
Madoka Magica, comme dit plus haut, c’est du Magical Girl. Parce que c’est dit dans le titre et parce que des Loli utilisent des pouvoirs magiques. Et l’Opening est mignon. Puis bon, y’avait bien une mascotte Kawai au début de l’épisode 1 alors c’était bien parti pour être du Healing Magical Girl à la Card Captor Sakura, mais sans la touche Clamp.
Quelques épisodes plus tard, une tête en moins et un Kyubei n’ayant jamais changé d’expression et débitant des phrases qu’on attendrait pas d’une mascotte tel que « If you feel like dying for the universe, come see me. », Madoka Magica se révélait être un anime incroyablement violent, aussi bien psychologiquement que mentalement, abordant des thèmes durs comme le suicide, avec des héroïnes qui meurt pour de vrai et d’autres qui sombrent dans le désespoir, le tout sublimé par les décors psychédéliques et flippants de Shaft. Madoka Magica se paye même le luxe d’avoir une magie cohérente qui obéit à des règles strictes, ce qui est suffisamment rare pour être signalé. Rajoutons y du bon Shojo Ai comme on l’aime tant, et Mahou Shoujo Madoka Magica se transforme sans la moindre difficulté en meilleur anime de 2011. Je dirais même plus qu’à l’heure actuelle, parmi tous les animes annoncés, le seul qui pourrait se révéler meilleur que Madoka Magica n’est autre que Fate/Zero. 2011 est assurément l’année d’Urobuchi.

Et Kyubei.

Les deux derniers épisodes de Madoka ont même du être reporté à cause du tremblement de terre, ce qui est compréhensible au vu des épisodes.
Spoiler: Montrer
D’ailleurs, le dernier épisode a été diffusé quelques 2000 ans plus tard mais le jour exact de la mort de Jésus, ce qui fait un parallèle sympathique avec l’ultime choix de Madoka durant le dernier épisode puisqu’elle son vœu est de prendre pour elle toute la souffrance des Magical Girl pour que celles-ci n’aient plus à souffrir. J’ignore si c’est voulu mais c’est joli.
Concernant la fin, personnellement, je l’aime beaucoup. Madoka qui devient une sorte de Dieu, supprimant tous les sorcières de ses propres mains. La toute dernière scène de l’anime, celle situé après le générique, permet enfin à Homura de se libérer du poids de sa gemme en mourant, tout en ne devenant pas une sorcière grâce au pouvoir de Madoka, et fait presque dire que l’anime aurait pu s’appeler Mahou Shoujo Homura Magica.

Et Kyubei.

Le seul point vraiment négatif de la série revient dans l’explication du rôle des Incubator et du discours de Kyubei sur l’entropie qui n’a strictement pas le moindre sens physique. Mais au fond, la raison pour laquelle Kyubei transforme des Loli en Magical Girl est n’est qu’un léger détail dans l’anime et il aurait tout aussi bien pu combattre le réchauffement planétaire, la fuite dans la centrale nucléaire de Fukishima, le Maccarthisme -Pun Inside- ou même la mauvaise utilisation du mot « juste » dans la langue française. L’entropie était juste le thème à la mode cette saison et s’est aussi retrouvé dans Madoka.

Et Kyubei.

Pour conclure, je vous conseille de lire cet article qui, même s’il n’est pas transcendant en lui-même, renvoie vers plein d’autres articles qui sont vraiment intéressants.

Mahou Shoujo Madoka Magica : Best.First.Semester.Anime.

Je vais maintenant parler de la seule autre série que j’ai regardé en format court cette saison.

Fractale

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Fractale était la seule série que j’attendais après avoir vu les Previews pour l’Hiver. Le personnage principal avait physiquement un petit côté Sakura de Fate/Stay Night et, fétichisme ou pas, j’aime ce personnage. Sachant qu’en plus, c’est une série entièrement originale et que la case NoitaminA avait donné du bon avec Kuragehime juste avant, j’ai regardé le premier épisode plein d’espoir et d’attente. Et, force est de reconnaitre, que le résultat est bien loin de ce que j’en attendais et que j’ai été terriblement déçu par Fractale.

Déjà, la première chose qui m’a marqué est la différence énorme au niveau du Chara Design. Les personnages sont bien moins détaillés dans la version anime que dans les dessins du Light Novel alors même si je comprends qu’on simplifie un peu les traits parce qu’il faut animer les persos, ce n’est en rien excusable parce qu’on est en 2011 et que Hanasuku Iroha ! De plus, même si avec assez de mauvaise foi, on peut justifier un appauvrissement du Chara Design, il n’est en rien normal de changer la couleur de cheveux des personnages. J’ai cru pendant plusieurs épisodes que c’était pour donner un côté plus réaliste aux personnages en leur conférant des couleurs de cheveux réalistes mais en fait même pas puisque la grande prêtresse a les cheveux violets. Incompréhensible !

Mais, s’il n’avait que le Chara Design qui posait problème, cela n’aurait pas été si gênant. Le problème c’est que la forme ne rattrape en rien le fond. L’anime est incroyablement lent mais cette lenteur ne sert à rien et même dans les moments plus rapides, il ne se passe rien. Dans le tome 6 de Giga Tokyo Toy Box, manga racontant la vie d’une petite boite créant des Jeux Vidéos, il ne se passe rien mais c’est un rien passionnant. Ici, c’est un rien vide et creux. Les personnages étant superficiels, on ne s’attache pas à eux et du coup, on s’ennuie ferme durant les longues scènes d’exposition. Ils agissent en plus de manière incroyablement convenus et sont parfaitement prévisibles, ce qui ne donne vraiment pas envie de continuer à suivre leurs pérégrinations dans le monde de Fractale.

Le monde de Fractale justement, parlons-en. C’est le point le plus intéressant de l’anime et le seul qui réussit à tirer son épingle du jeu. La ville virtuelle dans laquelle se retrouve Nessa vers le milieu de la série offre de très bonnes possibilités de développement et aurait pu permettre un scénario bien plus intéressant que ce qui a été fait. C’est d’ailleurs ça, le principal point noir de Fractale. Il y a pleins de bases intéressantes pour faire un scénario de qualité mais ceux-ci ne sont tellement pas exploité que c’en est frustrant et on se retrouve au final avec un anime qui ne sait pas où il va, ce qui est fatal pour un anime aussi court, et pose de nombreuses pistes sans jamais les exploiter.

Amis lecteurs, si vous cherchez un anime court et sympathique, je ne peux que vous conseiller de passer votre chemin et de vous lancer dans Madoka à la place, chef d’œuvre s’il en est mais je l’ai déjà dit.

Pour finir sur les séries s’étant terminées récemment, je vais maintenant aborder un anime avec un Staff similaire à celui d’une certaine œuvre de très grande qualité mais, de bien meilleur niveau que celle ci.

Star Driver : Kagayaki no Takuto

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Star Driver est, malgré ce que j’ai dit juste au dessus, une œuvre que j’ai pris du plaisir à suivre. Ne serait ce que parce qu’on a le droit très vite a un Insert Song de toute beauté et que l’histoire de la Fille Poisson est captivante. Le début de l’anime, malgré le côté tragique de l’histoire de Sam, histoire qui serait reprise par la suite pour la pièce de théâtre dans une sorte de préquelle, joue sur un ton assez léger avec un Takuto pilotant un Tauburn overcheaté au design aristocratique de grande classe. Les ennemis se succèdent sans grand enjeu, les personnages principaux gagnent au fur et à mesure en personnalité, bref un début assez classique. Le départ de l’île de l’homme poisson m’a permis de tenter IRL quelques théories plus ou moins fumeuses, en partie basée sur la traduction pas forcément très pertinente de Miko en Maiden.

L’arc suivant est ensuite basé sur Mizuno et Marino et il s’agit probablement de l’arc que j’ai le plus apprécié. Les deux personnages féminins principaux sont charismatiques et plaisantes à suivre, leur relation avec Takuto et entre elles est suffisamment prenante pour intéresser le spectateur et il se passe pas mal d’évènements tout autour. La fin est à mon sens mal gérée et pleine de contradictions mais j’ai quand même été triste de les voir partir, preuve que je m’étais accroché aux personnages. On a en plus droit aux nouveaux Opening et Endind durant cet arc et ils sont de qualité et passe bien en Karaoke, ce qui est devenu pour moi une condition sine qua none pour un générique. Je n’ai juste pas compris pourquoi les gens se sont mis à faire des hypothèses bizarres sur Takuto et Head puisque pour moi, il était absolument évident que Head est le père de Takuto au vu du FlashBack et de leur premier combat. Mais sinon, c’est un arc de qualité.

L’arc suivant, centré sur Vanishing Age, se laisse bien regarder mais je l’ai trouvé trop long et sans réel enjeu. Seul le FlashBack de Tokio m’a vraiment intéressé durant cette partie. L’arc suivant et dernier, même si sa fin a été rushé a renouvelé mon intérêt pour la série. La pièce de théâtre qui ouvre l’arc m’a vraiment plu, au contraire d’un certain fan de Vocaloid, et l’épisode est passé comme une lettre à la poste. Enfin, l’épisode final a crié haut et fort que le seul et unique couple de Star Driver, c’était Takuto X Sugata, n’en déplaise au FanGirl.

La libido jouant un rôle important tout au long des épisodes, il était logique que les deux personnages principaux se retrouvent avec un véritable Harem. Je trouve dommage que le Chara Design de la série ne rend pas vraiment hommage aux nombreux Bishojo et Bishonen qui peuplent la série mais on s’y fait assez vite. Au centre du Harem, se forme de manière relativement intéressante, un couple avec justement les deux personnages principaux et malgré les nombreux essais des nombreux protagonistes féminins de la série, le couple tient bon et se pose au final comme couple Canon de Star Driver. Le Yaoi, tueur des animes de Mecha ?

Pour finir, j'emprunte la réplique culte de Takuto : Saso Tojo, Ginga Bishonen

Et, c’est tout pour l’Hiver. Je signale quand même que j’ai regardé les 8 premiers épisodes de Rio Rainbow Gate, mais que je finis par arrêter puisque le seul intérêt de cet anime fut le Yuri à l’épisode 4, ainsi que les 7 premiers épisodes de Infinite Stratos dont le gros problème est que faire un anime Harem entièrement constitué de Tsundere est loin d’être l’idée du siècle.

Je vais maintenant parler des deux œuvres que j’ai finies récemment et qui méritent d’être abordées puisque de qualité.


Reviews Diverses

Comme j’ai commence avec du Magical Girl pour l’Hiver, je poursuis dans ma lancée.

Heartcatch Precure

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J’avais entendu beaucoup de bien de cette série et j’ai donc logiquement fini par me lancer dans les 49 épisodes de ce Magical Girl il y a deux mois. Et j’ai bien fait.
Heartchatch est, au contraire de Madoka Magica, du bon vieux Healing Magical Girl avec scènes de transformations de Loli, fin de chaque épisode heureuse et un Happy End à la fin. Le genre d’œuvre qui donne le sourire parce que les 2 puis 4 Magical Girl de l’anime respirent la joie de vivre et la transmette aux spectateurs. L’histoire est certes convenue et ne révolutionnera pas le genre puisqu’il s’agit de sauver la Terre de grands méchants qui veulent la transformer en désert. Mais, comme il est rare de lire du Magical Girl en cherchant un scénario profond et construit, ce n’est en rien gênant. Le scénario a quand même sa part d’originalité puisque les 4 Magical Girls de l’anime ne sont ni la première ni dernière génération de Precure. Il y en a déjà eu avant, il y en aura après, fait assez rare pour des Mahou Shoujo.

Niveau antagonistes, les 4 méchants principaux de l’œuvre sont de niveau d’intérêt varié. Sasorina est parfaitement inintéressante, ce qui est dommage, vu que les trois autres se révèlent de bon niveau, voire très bon pour Dark Precure, et l’un des deux autres méchant est même bien fun à suivre puisqu’il aurait pu être personnage principal d’un Shonen de Nekketsu s’il n’était pas méchant dans du Magical Girl. Les méchants sont quand même des fois assez débiles et l’histoire aurait pu se terminer au 5e épisode si ceux-ci avaient décidé de réfléchir un tantinet pour élaborer des plans mais dans ce cas, l’histoire aurait eu moins d’intérêt puisque les persos n’auraient pas évolué.

Car, bien évidemment, qui dit Magical Girl dit voyage initiatique et Heartcatch ne déroge pas à la règle. Tsubomi, l’héroïne principale, commence en tant que personnage timide et renfermé puis va petit à petit s’ouvrir aux autres, s’accepter telle qu’elle était et apprendre à changer, tomber amoureuse et s’affirmer face aux autres. Grandir tout simplement. Les 49 épisodes permettent d’avoir une belle évolution pour une bonne partie des personnages et les relations entre les personnages sont plaisantes, mais il n’y a presque pas de Shojo Ai ce qui est intolérable pour du Magical Girl et le peu qu’il y a est loin d’avoir le même charisme, la même aura que ce couple magique mais je n’en demandais pas tant et j’ai donc pris du plaisir devant ces personnages.

Au final, Heartcatch Precure est vraiment un bon anime et qui, même s’il ne révolutionnera pas le genre, remplit entièrement le contrat avec le spectateur et ses 49 épisodes se regardent avec plaisir. Une bonne pioche.

Pour finir mes Reviews d’anime, je vais parler d’une adaptation des Light Novel de Nisoiosin que j’avais commencé il y a pas loin d’un an et demi et que je viens à peine de finir.

Katangatari

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Un anime au format original puisque c’est 12 fois 50 minutes mais qui permet d’avoir un mois, un épisode aussi bien IRL que dans l’anime. Du coup, chaque épisode est consacré à un sabre maudit avec, à l’exception du dernier épisode, Shichika et Togame qui rencontrent le porteur du sabre, je dis sabre bien qu’un certain nombre de sabres maudits ne ressemblent en rien à des sabres et certains n’ont même pas de lames, puis Togame établit une stratégie et Shichika combat. Le tout recouvert de dialogues, d’encore des dialogues et de toujours plus de dialogues. Hé, Nisoiosin aime écrire et on le ressent, aussi bien que dans Bakemono que dans Katanagatari, rien de surprenant à trouver une grande quantité de dialogues. Les dialogues étant en plus de qualité, on ne se lasse pas malgré le très peu d’action qu’il y a chaque mois puisqu’il n’y a que quelques minutes de combat par mois. L’importance des dialogues permet aux personnages de beaucoup évoluer au fur et à mesure des épisodes. A la fin de la série, Shichika et Togame ont énormément changé et ne sont en rien semblables à ce qu’ils étaient au début du premier épisode. Ces deux personnages forment d’ailleurs un très beau couple et le dénouement de leur histoire n’est absolument pas celui qu’on avait prévu. J’ai bien aimé aussi la sœur de Shichika, qui revient à intervalles réguliers dans la série, avec une personnalité bien propre et une histoire assez particulière.

L’ensemble des deux derniers épisodes est ponctué d’évènements qui n’étaient en rien prévisibles et certains éléments sont d’ailleurs introduits sans jamais être expliqué par la suite ce qui laisse un goût bizarre.
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La victoire de Emonzaemon sur Maniwa Pinguu est incompréhensible et donne l’impression que le serviteur de la princesse avait encore des atouts dans sa manche alors qu’en fait non puisque si c’était le cas, il se serait pas laissé tuer par Shicika sans les utiliser. Et Emonzaemon, en fait, c’était qui ce type ? Et au final, Shikizaki Kiki, c’était quoi son but ? A quoi ça lui a servi de forger 12 sabres parfaits si c’est pour qu’ils se fassent détruire aussi facilement par Shichika ?
Malgré ces quelques reproches, les deux derniers épisodes étaient quand même de qualité, la mort de Togame était complètement inattendue et prenant aux tripes et voir Shichika ayant pété les plombs est quand même bien impressionnant. En plus, la dernière scène montrant Shichika et la princesse Hitei côte à côte parcourant le Japon fait sourire et permet des développements sympathiques qui ne seront, malheureusement, utilisé que dans les Doujinshi, fin d’anime oblige. D’ailleurs, quoi qu’en dise Shichika, il doit bien aimer les cheveux courts pour que et Togame et Hitei aient fini avec les cheveux courts à force de rester à côté de Shichika.

Au final, Katangatari est un anime qui, même s’il n’arrive pas au niveau de Bakemonogatari, reste très plaisante à suivre et fait passer un bon moment.

Dans mon prochain post, je vais vous donner mes premières impressions sur les series du Printemps que je suis. Celui-ci devrait arriver d’ici peu de temps, une semaine tout au plus, le temps de regarder suffisamment d’épisodes, de rédiger mes impressions et de trouver des bonnes images.

Cheerio !

Comme vous avez pu vous rendre compte, j'ai utilisé un certain nombre d'images durant ce post et du coup, je vais essayer autant que possible de donner les comptes Pixiv sur lesquels j'ai récupéré les dites images.

Madoka Magica :
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=780576
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=189135
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=385876
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=5414
Fractale :
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=782523
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=431594
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=59287
Star Driver :
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=359167
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=1506226
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=388670
Heartcatch Precure :
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=626329
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=208273
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=1082943
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=2315467
Katangatari :
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=583322
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=62935
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=980291
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=676562
http://www.pixiv.net/member_illust.php?id=418181


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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Ven 6 Mai 2011 22:26 
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Maintenant, je vais aborder la dernière partie de ce post et vous donnez mes premières impressions sur les séries du Printemps.

Printemps – Impressions Initiales


« Et pour ne pas trop vous perturber, je vais commencer par vous parler d’un anime de Magical Girl. » est ce que j’aimerais dire mais je n’en regarde aucun cette saison. Du coup, je commence par une série au hasard.

Kami Nomi zo Shiru Sekai II

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A peine quelques mois après la fin de la saison 1, Manglobe remet le couvert et nous sert la saison 2 de TWGOK. Alors que vaut cette série ? La réponse est simple, exactement la même chose que la saison 1. Une animation au rabais, une adaptation relativement fidèle au manga, un Opening très similaire au premier mais avec moins de classe et donnant toujours autant l’impression qu’Elisa chante dans une nouvelle langue qu’elle a inventée à mi-chemin entre le japonais et l’anglais. Comme c’était le cas dans la saison 1, Manglobe s’amuse à rajouter quelques tailles de bonnets aux protagonistes féminins, sans raison aucune. Encore une fois, l’anime prend son temps puisqu’on ne verra que 3 nouveaux personnages féminins, une autre démone et deux conquêtes, dans cette saison ce qui fait à peine plus d’un tome.
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Comme en plus, on n’a ni Déesse, ni Déesse potentielle dans cette saison, on est loin d’avoir les meilleurs personnages. J’ai bien cru au début qu’on irait jusqu’à Tsukiyo et que du coup, je pourrais essayer de mieux apprécier son histoire qui m’avait pas emballé la première fois mais même pas. Et vu la vitesse de progression, on aura l’adaptation de l’arc de Yui d’ici plusieurs années au bas mot avec une saison que sur le perso.

Au final, la série est pas mauvaise, elle est juste un peu cheap et je conseille du coup aux gens intéressés de lire le manga qui est de qualité.

Et c’est tout pour les adaptations de manga. Deadman Wonderland et Ao no Exorcist étaient deux adaptations qui m’intéressaient vu que leur manga est loin d’être mauvais mais, finalement, je ne les regarde pas parce que je ne suis pas suffisamment fan pour regarder l’anime. Du coup, TWGOK est la seule adaptation que je regarde cette saison, parce que j’adore le manga, et je vais donc maintenant m’attaquer aux œuvres originales de cette saison.

Et, pour ce faire, je commence par le dernier Sunrise.

Tiger & Bunny

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Je ne suis pas vraiment convaincu par Tiger & Bunny et je regarde chaque épisode sans rien en attendre, juste parce que j’ai commencé la série et qu’elle n’est pas suffisamment mauvaise pour que je m’arrête. Je ne sais d’ailleurs même pas quoi dire sur la série tant celle-ci est juste moyenne. Ni bonne, ni mauvaise, juste moyenne. Le seul point qui mérite vraiment d’être signalé est que les super héros de l’anime sont sponsorisés par des vrais marques existant dans le monde réel, notre monde pour ceux qui ne suivent pas. Ce n’est pas la première fois que des marques viennent se greffer dans un anime et je peux citer ici Code Geass avec CC, mais ce n’était jamais à une telle échelle auparavant.

Ceci étant dit, je passe à la prochaine série.

Hanasaku Iroha
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Je ne vais pas y aller par 4 chemins, cette série créée par PA Works pour fêter ces 10 ans est pour moi la meilleure série de ce Printemps. Elle n’est pas original comme a pu l’être un Panty & Stocking, elle n’est prenante comme a pu l’être Madoka Magica mais elle n’en reste pas moins une série que je prends chaque semaine beaucoup de plaisir à regarder. Les personnages dépeints par la série ne sont pas stéréotypés et leur Chara Design est fidèle aux premiers Artwork avec suffisamment de détail pour être plaisant à l’oeil. Sachant qu’en plus la série est bien animée, il n’y a rien à redire ce de côté. Au niveau de l’histoire, Hanasaku Iroha est du pur Slice of Life avec tout ce que cela implique, c'est-à-dire, entre autres, une histoire sans enjeu et du Yuri (je reste SFW dans l’illustration), l’anime jouant lui-même là-dessus à ce niveau là. Alors forcément, Slice of Life oblige, il y a une certaine dose de naïveté que certains n’hésiterons pas à appeler niaiserie mais je trouve que cela allait bien trop loin. Acceptons notre côté fleur bleu et osons assumer qu’on sourie innocemment devant ce genre de série et alors, on pourra enfin apprécier Hansaku Iroha à sa juste valeur, autrement dit, une œuvre de qualité.

Sans transition, le NoitaminA de cette saison.

[C] The Money of Soul and Possibility Control

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Je ne sais pas trop quoi penser de cette série. Je m’attendais à un anime plutôt sombre, tendant un peu vers le Seinen comme aurait pu l’être Money and Intelligence de Bakuman. Dans les faits, on se retrouve avec un improbable mélange entre Yu Gi Oh et Higashi no Eden avec des Loli faiblement vêtu tendant vers le Stand sans pouvoir. Sachant qu’en plus a été rajouté là dedans une comédie romantique avec le personnage principal qui veut coucher avec une fille qui a déjà un copain et un passé un peu torturé, on ne sait pas trop vers où tout cela va-t-il aller. Le 4e épisode a même un ton un peu sombre, et par là tend plus vers le genre de série que j’attendais, avec l’implication des résultats du monde parallèle dans la réalité, le père perdant carrément ses 3 enfants juste en ayant perdu un duel. Du coup, on se demande si les auteurs vont réussir à maitriser tous ces éléments ou est ce que tout va finir par exploser dans un joyeux bordel ?
La réponse dans quelques épisodes.

Je vais maintenant vous parler du dernier Shaft, celui qui succède à Madoka.

Denpa Onna to Seishun Otoko

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Je ne sais pas trop comment classer Denpa Onna. Un anime humoristique ? Un anime Harem ? Une comédie romantique ? Un anime fantastique ? Une œuvre sérieuse ? Toutes les propositions précédentes en même temps ? Encore autre chose ? Un genre par épisode ? C’est assez difficile à dire.
L’anime s’ouvre un passage complètement barge avec le personnage principal et sa tante dans un long dialogue absolument magnifique d’absurdité et de non sens et qui m’a bien fait rire. L’épisode 3 se finit par un ton sérieux avec le personnage principal qui essaye de soigner le traumatisme mental de sa cousine qui a perdu une partie de ses souvenirs. En à peine deux épisodes, le ton a vachement changé et a même eu le temps de passer par la case Harem et du coup, la suite est assez impossible à prévoir et peut partir dans toutes les directions. Pour le meilleur ou le pire. Espérons que ce soit le premier.
Je signale aussi que j’aime beaucoup les dessins de Buriki (ouais ouais, c’est du Denpa Onna), illustrateur du Light Novel de l’œuvre parce que ce type dessine vraiment bien. Logique, vous m’avouerez.
Et vous ai-je signalé que je suis fan du personnage de la tante ? Maintenant oui.

Je vais à présent clore ce post en vous parlant de deux animes qui sont un peu particuliers puisque ce ne sont que des courtes suites d’animes datant de l’année dernière.

Ore no Kouhai ga Konnani Kawaii Wake ga Nai

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Ce n’est pas à proprement parler une nouvelle série de ce Printemps puisque c’est la suite de Oreimo qui avait été diffuse cet Automne. La grosse différence entre Oreimo et ces 4 épisodes sont que Kirino n’est absolument pas présente et du coup, c’est Kuroneka, la Loligoth, qui est le personnage principal de cette suite. Et, force est de constater, que les épisodes sont bien mieux sans Kirino. Kuroneko était déjà le meilleur personnage des 12 premiers épisodes et du coup, la voir au centre de l’histoire fait vraiment plaisir. D’ailleurs, il va y avoir un manga entièrement centré sur elle et je me suis permis de reprendre le titre du manga pour le titre de ces 4 épisodes, alors que leur titre normal est juste « Special ».

L’histoire se déroule quelques mois après la fin de la saison 1 et Kuroneko est maintenant dans le même lycée que le grand frère de Kirino, du nom de Kyosuke mais je suis pas sûr que quelqu’un l’ai déjà appelé par son nom depuis le début de série, et est donc, de manière absolument logique, sa Kohai. Kureneko, la petite sœur du copain du grand frère de Kirino qui est une Fujoshi fini et qui est fan de Boy’s Love au point de fantasmer aussi sur des personnages réels, et le grand frère de Kirino vont s’inscrire dans le Club de recherche sur les Jeux Vidéos. Genshiken je crie ici ton nom. D’ailleurs, tout comme dans le manga précédemment cité, les membres du club vont devoir réaliser une œuvre pour une convention, ici un Jeux Vidéo. Kureneko va avoir ici l’occasion de se faire une amie parce que hé, elle est tellement folle de Kyosuke qu’elle passe tout son temps libre avec lui et n’a donc pas d’ami. D’ailleurs, si Kyosuke n’avait que le quart du dixième du talent du Fallen God, il aura déjà à ses pieds un Harem de Loli. Mais, comme ce n’est pas le cas, continuons à imaginer des couples Yuri tel que Kirino X Ayase parce que le Yuri, c’est le bien.

Et, puisque je parle de Yuri, je passe à l’œuvre suivante. Admirez la transition.

Kampfer : Fur Der Liebe

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Je n’aurais jamais parlé de ces deux seuls épisodes qui constituent la saison 2 de Kampfer si le premier épisode n’était pas jouissif. Mais, comme c’est le cas, je ne peux pas m’empêcher d’en parler.
Cet épisode n’a pas la moindre histoire. Juste quelques gags bien placés et des Bishoujo bien roulées. A partir de là, on a le droit à 20 minutes de Yuri presque non stop et, si tant est qu’on aime le genre, c’est clairement un pur plaisir. Pas la peine d’avoir lu la saison 1 parce que même si c’est utile pour connaitre les personnages, on peut survivre sans. Bon, si vous n’accrochez pas au genre, passez immédiatement votre chemin, il n’y a rien à part du Yuri ici. Et, je n’ai rien de plus à dire parce que je peux pas parler indéfiniment d’un seul épisode sans histoire ni développement scénaristique du coup, je vais m’arrêter là.

Et je vais même m’arrêter là pour ce post puisque les séries précedement citées sont les seules que je suis cet Printemps. J'étais bien intéressé par la saison 2 de Kaiji, mais je n'ai pas encore trouvé le temps de regarder, par Fireball Charming, mais j'oublie que je veux me mater cet anime à chaque fois que j'ai le temps de le commencer, ou par Steins;Gate et il se pourrait d'ailleurs que je commence cette série. Ou alors, que je commence les Fullmetal Panic. La réponse bientôt.
Quoi qu'il en soit, c'est tout pour ce soir. Period


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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Dim 8 Mai 2011 12:18 
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Ca faisait un petit moment que je n'avais pas regardé d'animes, ce qui fait que je n'ai quasiment rien maté des 3 dernières saisons (automne 2010, hiver 2011, printemps 2011), mais je m'y suis un peu remis récemment, et avec de la qualité en plus (pour bien se remettre dans le bain, doucement mais sûrement). Je vais en fait reprendre 2 des animes présentés par Demon Slash et donner un avis sur un autre.


Hanasaku Iroha, 5 épisodes vus

Un peu comme Demon Slash, c'est pour moi une série que je compte bien regarder jusqu'au bout, les yeux fermés, enfin pas trop quand même parce que regarder cet anime sans ouvrir les yeux empêcherait de contempler tout le travail graphique qui a été fait. Le chara design est mignon, les couleurs chatoyantes, l'animation est de très bonne facture, bref le tout est vivant et dynamique (ça rappelle un peu Kannagi sur ce plan-là). Tout est fait pour vous rendre de bonne humeur une fois un épisode fini, je suis vraiment sous le charme de l'ambiance dégagée par la série.

Ce que j'aime dans cet anime, c'est qu'il ne se contente pas d'uniquement se reposer sur la composante cute girls doing cute things, vu qu'il y a l'air d'avoir toute une thématique sur l'évolution des personnages après avoir été enrôlés dans l'auberge et l'importance de l'effort et du travail bien accompli. La seule crainte que j'aurais par rapport à cela par contre, ce serait que la série ait du mal à bien équilibrer le côté léger/comique avec le sérieux/drame : comme par exemple dans l'épisode 3 où à la fin on a droit à un gros plan de T-shirt mouillé alors que la fille venait tout juste de sauver l'écrivain pervers de sa tentative de suicide (en gros si vous souhaitez avoir du succès avec les filles, essayez de vous suicider, de préférence en vous noyant pour ensuite profiter pleinement de la vue qu'elles vous offriront :p). Et c'est dommage, parce que les quelques éléments fan service -dans le même épisode d'ailleurs- étaient là pour l'auto dérision (la scène du "bain yuri" qui était en réalité une désillusion écrite par le romancier voulant se reconvertir dans le domaine érotique, avec un I want to sparkle bien placé xD). En comparaison, la petite histoire sur Minko était mieux gérée, peut être parce qu'elle s'étalait sur 2 épisodes et que la fin n'a pas été plombée par du ecchi placé au mauvais endroit au mauvais moment.

Citation:
Les personnages dépeints par la série ne sont pas stéréotypés
Niveau personnage par contre, je trouve que justement Minko et Nako restent pour le moment un peu cantonnés aux rôles de Ice queen/Dark tall bishoujou et Dojikko timide, et du coup par rapport à Iroha elles sont un peu dans l'ombre pour l'instant. Bon en même temps on en est qu'au début et la série fait 26 épisodes, et il est vrai que ces 2 filles ont montré, même si brièvement, un aspect différent de leur personnalité (genre Nako qui n'a pas hésité à plonger pour sauver l'écrivain alors qu'elle ne prend généralement pas d'initiatives d'elle-même), donc j'attends de voir leur évolution.

Du côté de Ohana, je trouve que c'est du tout bon. Même si elle n'arrête pas de parler, elle ne devient jamais lourde. Même si elle se lamente parfois sur son sort, elle ne casse pas les pieds. Son côté un peu naïf, son énergie à revendre et sa manie de dire tout haut ce qu'elle pense font tout son charme. Ca, ajouté aussi au fait que ces répliques sont souvent bien placées là où il faut (par exemple quand elle "casse" tout l'effet dramatique surjoué par l'écrivain dans l'épisode 3). Ohana est une battante, peut être un peu trop à cause de sa bonne-à-rien de mère, mais elle va apprendre à travailler en équipe.

En gros, cette série va être pour moi une série que je suivrais avec plaisir le coeur léger. Et puis Ohana. Ohana quoi <3.

_______________________

Mahou Shoujo Magica Madoka, 6 épisode vus

Ahhh, Magica Madoka, l'association entre Shinbo et Urobuchi qui a fait bien parlé d'elle en ce début d'année 2011, et c'est plutôt compréhensible : imaginez qu'une de vos séries préférées de mahou shoujo, qui est sensée être tout mignonne et débordante d'énergie, se retrouve dans les mains d'un scénariste célèbre surtout pour ses histoires sombres et tordues, transportant ainsi votre série toute gentillette dans un gros univers fucked up où les sorts les plus sinistres peuvent arriver à "vos héroïnes chéries".

Voilà.

Ca, c'est Mahou Shoujo Magica Madoka. La déconstruction totale de la magical girl faite par les mains d'un gars de chez Nitro+ avec une mise en forme qui colle fournie par SHAFT.

Et j'avoue que c'est peut être là le problème.

Je ne vais pas dire que je trouve ça anormale que la série soit hypée à outrance (au contraire c'est parfaitement compréhensible), mais je suis, à ce stade des 6 épisodes, plutôt dubitatif à vouloir le placer objectivement comme un "putain de best anime". L'anime est cool, parce que c'est Urobuchi qui fait joujou avec les magical girls, donc forcément ça donne un mélange totalement inattendu, mais j'ai presque envie de dire que... c'est tout. En dehors du concept de base, je ne trouve pas que Magica Madoka offre quelque chose de plus qui le mettrait sur ce piédestal : le scénario est là mais pas transcendant, les personnages sont loin d'être inutiles ou exaspérants mais ils ne sont pas non plus très marquant (à part quand ils meurent), et pour le moment pas de signes d'une éventuelle thématique qui serait abordée et développée par l'anime. Ca ne veut pas dire que je n'aime pas la série, au contraire je la kiffe, mais je voulais juste un peu nuancer tous les louanges qui lui sont accordés (après, j'en suis qu'à la moitié aussi).

Quoi qu'il en soit, comme je viens de le dire, j'aime Magica Madoka, j'aime cette ambiance malsaine et oppressante, cet univers dans lequel sont plongées les héroïnes, la tête de Kyubey (par contre lui, on peut vraiment lui discerner l'oscar de la best.mascotte.ever xD). Comme c'est Urobuchi au script, on peut s'attendre à presque tout de sa part (même si du coup, paradoxalement, l'évènement majeur de l'épisode 3 était assez prévisible), la révélation de l'épisode 6 m'a bien surpris :

Spoiler: Montrer
La soul gem, qui n'aurait dû être uniquement que le petit "gadget" servant aux filles à se transformer, tient une place beaucoup plus importante qu'on aurait pu le croire. Les puella magi deviennent des coquilles vides auxquelles Kyubey vient greffer leur âme via la soul gem, ce qui peut amener sur plusieurs choses :

- Du coup, il est peut être possible que Mami soit encore vivante :o. Si son âme contenue dans la soul gem n'a pas été complètement détruite, elle peut tout à fait revenir d'entre les morts (mais avec un corps sans tête^^), ou même carrément dans le corps d'une autre puella magi si une transposition est possible.

- Alors que Kyouko n'avait pas connaissance de ce "petit détail", Homura le savait. Est-ce qu'elle aurait vu la même chose arriver à une de ses anciennes collègues ? Est-ce que ça lui ait déjà arrivé à elle ? S'il faut, Homura n'est peut être même pas dans son "vrai corps".

- Maintenant qu'on sait que la soul gem abrite l'âme des filles, la chasse aux grief seeds et la purification de la soul gem peut prendre un tout autre sens ! Si jamais la soul gem est entièrement corrompue, est-ce qu'il y aura un impact sur l'âme de la puella magi ?


Sinon la réaction de Kyubey est priceless : "Ouais je vous ai pas mis au parfum parce qu'à chaque fois que je le fais vous n'arrêtez pas de pleurnicher"

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NOW IT ALL MAKES SENSE !!!!!

Ca s'annonce bon pour la suite xD.

_______________________

Et tiens, je vais finir par parler d'un anime qu'il faut en parler parce qu'il le faut :

Nichijou, 5 épisodes vus

L'OAV est bien pourri (ouah, quelle entrée en scène).

La série TV déboîte tout !

Dernière production de chez Kyoani, cet anime avait tout pour déplaire aux plus grand détracteurs de slice of lie/comédie moe et passer pour un mauvais K-On! bis, et en voyant l'OAV, moi-même je me voyais contraint d'être d'accord là-dessus : l'épisode 0 ne possédait ni le charme ni l'atmosphère que pouvait dégager la série précédemment citée, si la série principale était alors pareille, elle aurait sûrement été jetée aux oubliettes.

Et bien finalement, non. Aussi incroyable que cela puisse paraître, la série TV dépasse, pour moi, complètement mes attentes. Adapté d'un manga (QUI N'EST PAS UN YONKOMA BORDEL !!!) totalement fumé d'on ne c'est où, l'anime part dans des trips soit over the top (le rattrapage de saucisse dans l'épisode 1), soit WTF ("pourquoi je devrais marcher, je vais à l'école à dos de chèvre si je veux d'abord"), soit culturels (Selamat Pagi), soit WTF, soit décalé, soit déjanté, soit WTF, soit...

Bref, vous avez compris le truc quoi. Non ? Bah c'est normal.

Nichijou est un enchainement de gags et situations loufoques, en général lancés de façon totalement random, ce qui fait que tout le monde n'apprécie pas forcément les mêmes scènes, mais c'est ce découpage sans lien qui fait toute sa force. Chaque épisode est divisé en plusieurs parties, qui peuvent durer de 10 secondes à 3 minutes et qui peuvent vous laisser un ptit sourire à vous faire tordre de rire... ou même juste vous laisser complètement sur le carreau parce que vous n'avez rien compris à ce qui se passait^^. L'opening reflète bien ce désordre ambulant, ça part dans tous les sens (littéralement), dans toutes les couleurs (littéralement), les gags s'enchaînent à grande vitesse, une fois que Nichijou est lancé rien ne peut l'arrêter. Tout ce dynamisme est servi par une animation décapante de la part de Kyoani, on sent qu'ils se font bien plaisir dessus, et on aime ça, on en redemande (et ça va durer 26 épisodes, joie \o/).

Pour l'instant, on a principalement 2 groupes : celui de Yukko, Mio et Mai, et celui de Nano, Hakase et Sakamoto (best.cat.ever et doublé par Shiraishi, que demander de plus ?). Celui de Nano tend un peu plus sur le côté mignon pour l'instant, sans pour autant mettre de côté l'humour décalé de la série ("Mon orteil est une clé usb qui annonce la preview du prochain épisode"), et au passage, dans le manga Nano est déjà intégrée dans l'école de Yukko & co, mais pas dans l'anime, ça permet de voir plus d'interactions entre elle et Hakase avant que Nano vienne doubler le niveau de lol une fois arrivée dans le lycée. Pour le groupe des 3 filles, je crois que ça se passe de commentaire. Entre une Mio fujoshi pourrie jusqu'à la moelle et une Mai qui est... heu... qui est le genre de fille à se trimballer avec un gant de baseball parce que ça peut toujours servir pour rattraper un aliment qu'une de vos amies a malencontreusement fait tomber, niveau situations déjantées, il y a de quoi amplement faire je pense xD.

Mais le cast secondaire ne démérite pas non plus, rien que le duo Sasahara et la fille tsundere qui sort des machine guns de sa poche est pour le moins "explosif"^^. Doit y'avoir encore pleins de persos comme ça qui n'attendent que de briller.

Ca commence plutôt doucement au début, mais plus ça va et plus j'adore cette série (et plus j'adore ses eyecatchs aussi)

Regardez Nichijou, ou alors

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Ven 13 Mai 2011 13:03 
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Localisation: Comme la vérité, ailleurs.
Avec beaucoup de retard, un peu plus que d’autre, voici mes impressions sur la saison d’hiver qui s’est terminé il y a maintenant un mois et demi. Bon il manque le « best anime ever of 2011 » mais pour le moment ce sera déjà bien. Au début je comptais faire mes posts inutiles une fois les séries terminé mais je suis tellement de séries cette saison que je vais faire cela au fur à mesure avec notamment Moshidora qui s’est déjà terminé dimanche dernier. Et pourquoi pas si mes doigts sont toujours en forme il y aura quelques autres revues de série comme Chaos Head et DUrarara. Pour d’autres qui m’auront trop ennuyée, comme Ghost Hunt, je ne pense pas trouver la motivation.
En bref je reviendrai bientôt sur le topic pour vous faire partager mes goûts étranges.

Onii-chan no Koto nanka Zenzen Suki Janain Dakara ne !!
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Studio Zexcs.
12 épisodes.

Quand j’ai commencé à regarder la série je pensais en premier lieu que c’était une sorte de suite ou d’histoires parallèles avec Oreimo (oui je fais peu de recherches sur qui fais quoi). Seulement après l’avoir débutée je me suis rendu compte rapidement de mon erreur.

Si les deux possèdent un design assez moches, Oreimo avec ses formes rondes pas terrible, Onii-chan lui donne plus dans le simplement mal dessiné. Pour la suite comme la série donne dans le fan service j’ai eu beaucoup de mal à m’investir dans la série tellement j’étais rebuté par son design quelque peu cubique et maladroit.

En termes d’histoire, si on peut utiliser ce terme pour ce genre de séries, on suit les déboires du jeune Shuusuke Takanashi dont la « sœur » (Nao Takanashi) est amoureuse. Pourquoi ces guillemets me direz-vous ? Pour la simple raison qu’afin d’éviter de tomber dans le graveleux et l’inceste ; Dès le premier épisode on nous raconte son histoire, on apprend donc que c’est la fille d’une amie des parents de Shuusuke. Or, alors que Nao était encore toute petite elle perdit ses parents dans un accident. (d’avion je crois mais bon qu’importe..) Par la suite elle fut donc placée sous la garde des amies de ses parents. Il n’en faut pas plus à la jeune fille pour enlever tout reproche à sa conscience et forcer le trait avec son frère pour qu’il tombe bien lus souvent dans les pièges de sa démoniaque de sœur.

Passage inopportun dans la salle de bain pendant que Shuusuke y est, monter sur le lit du frère (et accessoirement sur le frère) dès le réveil… Bon voilà, en gros, les situations auxquelles il faut s’attendre pendant la série. La suite n’est guère plus intéressante. Si par la suite apparaîtront deux nouvelles filles, le début sera drôle mais après la découverte de leurs personnalités, la qualité générale descendra très rapidement tombant dans un ennuie générale. Et ce malgré l’arrivée à épisodes de la fin à deux nouveaux personnages supplémentaires.
En bref il faut passer son chemin.

Mitsudomoe Zouryouchuu !
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Studio Bridge.
8 épisodes.

Voici la saison 2 de Mistudmoe comme vous l’aurez compris. Disons que je n’ai pas grand-chose à ajouter par rapport à la première saison. Les gags sont toujours aussi sympas et la série se laisse regarder sans mal. Par contre ils ont corrigé un défaut que j’avais trouvé à la première à savoir réduire le nombre d’épisode pour avoir moins de passage à vide. Au final cette saison est à mes yeux meilleure donc si vous avez accroché au début de l’histoire des trois fillettes vous aimerez celle-ci également, pas de danger.

.hack//QUANTUM
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Studio Citrus.
3 OAV.

Grand amateur de l’univers .hack je ne pouvais pas passer à côté d’une nouvelle série de la licence. Juste le besoin d’attendre la sortie du dernier parce que le premier détail c’est que cette série est courte. Sans parler des épisodes spéciaux ou OAV particulière la plus courte série de la licence était Liminality qui se constituait de 4 OAV disponible avec les jeux. (ce qui expliquait le peu d’épisodes) Et un autre détail important pour cette série c’est qu’on observe un changement de studio ; exit Bee Train (quand on est allergique au studio c’est pas mal), au tour du jeune studio Citrus (Tokyo Magnitude 8.0) dont c’est la troisième œuvre, d’animer The World.

Le pitch de départ ne change pas vraiment comme la plupart des séries .hack, un problème survient lors d’un affrontement entre joueurs et plusieurs se retrouvent plongés dans le coma. On suit donc les aventures de trois joueuses à la nouvelle version de The World. L’histoire se situe environ un an avant .hack//ROOTS, donc au début de la transformation du jeu vers la version R2. Ainsi le design des personnages reprend parmi trois personnages les plus importants de la quadrilogie de jeux à savoir : Kite, Black Rose et Balmung. Sauf qu’ici comme nous avons un trio d’héroïnes les designs ont un peu changé, surtout pour le principal. Donc ici nous avons Sakuya, Mary et Tobias.

L’histoire qui est raconté dans cette série m’a bien accroché toujours dans l’idée de faire tomber certains de ses personnages au fond du trou. On observe un personnage perdre pied à l’annonce d’une nouvelle, certains personnages de l’univers étant toujours diminué physiquement dans le monde réel, et n’ayant plus d’autre choix préfère errer dans le monde virtuel plutôt que revenir. En passant par un sentiment de vouloir faire partager sa souffrance sous plusieurs biais.

Encore une fois j’ai bien aimé cette nouvelle série de l’univers .hack, ce ne sont pas forcément d’excellents titres mais je passe toujours un bon moment à suivre ces personnages, un peu torturé pour certain et perdre pied avant de trouver de l’aide extérieur. L’animation n’est pas mauvaise et le scénario bien que peu développé, franchement sympathique. Parce que, oui, en gros c’est le principal souci que je noterai de ces OAV son format de 3 épisodes étant trop court, et ou des passages auraient mérité d’être plus approfondis. Mais la série reste convaincante, surtout quand on connaît l’univers et que l’on note les multiples clin d’œil aux précédentes séries.

Rio : Rainbow Gate !
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Studio Xebec.
13 épisodes.

[ ]
Pourquoi j’ai regardé cette série ?
Je vais être méchant, cruel et expéditif.
Cette série est du même niveau que HOTD l’année dernière. Scénario misérable, design hideux, personnages plus stupides les uns que les autres, situations complètement invraisemblables et bien fumante. En bref il faut fuir et ne surtout pas écouter les élucubrations d’un guignol qui « aurait » aperçu du yuri dans l’épisode 4.
Direction la benne. (C’est franchement dommage qu’on ne puisse pas mettre de 0 sur MAL…)

Freezing
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Studio Media Factory.
12 épisodes.

Voilà un anime qui a extrêmement mal débuté pour moi. En effet après les premières minutes de la série commence le plagi.. générique d’ouverture. Et dès lors fatalement je suis remonté à mort contre la série. L’avantage c’est que comme le reste est encore plus horrible que ce générique je ne vais pas avoir besoin d’épiloguer sur celui-ci.

Quand est-il donc du reste de cette horreur ? En fait l’histoire prend place dans une école censée former des jeunes filles, génétiquement modifiées, aux combats (les Pandoras), accompagnées de leur partenaire masculin (les Limiters) utilisant la capacité de Freezing diminuant les capacités de l’ennemi. Quel ennemi ? Eh bien on les appels des Nova et ils sont extraterrestres mais au final le scénario s’en moque totalement cette entité brillant tout du long par son absence générale.

En effet tout le long de la série le seul letmotiv sera de voir les filles de l’académie se crêper le chignon et se mettre les tétons à l’air. Cela va sans dire que l’intérêt de la série atteint le zéro. C’est d’autant plus décevant pour moi puisque l’œuvre est faite par les auteurs de Kurokami, œuvre que j’affectionne pas mal malgré ses défauts. Ici j’ai vraiment l’impression que le seul objectif de l’œuvre était de déshabiller des filles à fortes poitrines donc franchement ils auraient fait du H j’aurais eu une série de moins à regarder et j’aurais rien perdu.
Maintenant il va falloir que je subisse ce maudit opening au kara de l’Epita et au vu de la dernière nocturne mon traumatisme est encore trop frais dans ma tête.

Level E
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Studio Pierrot.
13 épisodes.

Adaptation du manga éponyme de Togashi Yoshihiro incluant une formidable faute d’orthographe dans le titre. Si ce n’est pas une raison de voir de quoi l’œuvre à l’air ! On suit donc les pérégrinations d’un prince extraterrestre descendu sur Terre et qui met un peu le bazar partout autour de lui. En gros le titre va nous entraîner à découvrir toutes sorte d’alien qui vivent sur Terre sans que ses habitants soit au courant. Ce prince, même si parfois sera absent, restera le point central de l’œuvre.

Après avoir pris soin de s’incruster chez un étudiant, histoire que l’on suivra sur 3 épisodes viendra le temps où l’on suivra les aventures de cinq enfants auquel le prince fournira le pouvoir de se transformer en héros de sentaï. Puis sur la fin on pourra observer des histoires un peu plus intéressantes. Notamment sur les manières de penser et les différences entre espèces, mais bon il faut relativiser le tout reste un peu bas de gamme et n’est pas vraiment développé de manière d’avoir un résultat véritablement probant.

Au final j’ai été déçu par cette série parce que je m’attendais à quelque chose de plutôt sympathique avec de bonnes idées, mais au final le tout se révèle être juste une série avec des histoires plus ou moins amusante. N’ayant pas trop accroché à tout l’humour des aventures de l’œuvre, je me suis parfois ennuyé entre deux passages assez drôle.

Dragon Crisis
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Studio Deen.
12 épisodes.

Si je me souviens bien j’ai débuté ce titre après avoir lu quelques articles sur sankaku (comme cela arrive quelque fois), je suis de nature curieuse donc quand je vois quelque chose d’un peu bizarre j’aime bien me faire un avis sur la bête. C’est donc avec un œil curieux que j’ai commencé à la regardée et je dois avouer qu’au début j’ai trouvé la série plutôt sympathique.

Kisaragi Ryujii mène une vie tranquille jusqu’au jour où sa cousine, Eriko, revient le voir pour transformer son train de vie. En effet sa cousine fait des recherches pour découvrir des artefacts doté de pouvoirs magiques. A la recherche d’une mystérieuse boîte elle propulsera Ryuuji vers les ennuis la boîte renfermant une jeune fille qui se révélera être un dragon de feu. Donc si le début est plutôt classique mais plaisant la série va stagner ensuite dans des histoires paresseuses pas franchement intéressantes.

Les personnages se révèlent au final assez plat et leurs histoires respectives sont trop communes pour relever mon intérêt pour l’histoire. La série finie donc dans le giron des séries sur lesquels je ne m’ennuie pas forcément mais dont je ne garderais pas un souvenir impérissable. La fin apportera toujours dans le même esprit des choses sympa mais le tout est trop banal pour mériter plus qu’un simple passe-temps.

Kore wa Zombie Desu ka ?
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Studio Deen.
12 épisodes.

Voici une série à laquelle j’ai bien plus accroché. Aikawa Ayumu est un étudiant tout ce qu’il y a de plus banal si seulement il n’était pas un zombie. Alors qu’il venait de se faire tuer pas un serial killer sévissant en ville, il fut ressuscité par un nécromancien, Hellscythe Eucliwood, depuis il a gagné une puissance en tout point supérieure aux capacités humaines. Au début de la série on le verra, sur quelques épisodes, se faire tuer de manière brutale mais toujours sur un ton humoristique. Heureusement par la suite cela s’arrêtera et on verra des combats ou il sera blessé de manière plus probante, ce qui permet d’éviter le running gag ennuyeux du « je me fais tuer de façon débile à chaque épisode parce que c’est fun ».

Très rapidement il rencontrera Haruna, une Masou Shoujou armée d’une tronçonneuse aux techniques assez improbables. Elle combat les Megalo entité ennemie de l’organisation d’Haruna. Ce pendant lors de l’apparition de la miss un étrange phénomène propulsera les pouvoirs d’Haruna dans le corps d’Ayumu. De par cette opération on voit le héros se transformer en vrai petite magical girl brutale. Pour récupérer ses pouvoirs, évidemment, elle ira vivre chez Ayumu et Eucliwood et le trio sera rejoint par Seraphim, plantureuse jeune femme qui fait partie d’un clan de Ninja Vampire.

Au final le ton de la série se veut bien barrer et j’ai beaucoup accroché à l’humour, parfois des passages sont plus sérieux ce qui ajoute au capital sympathie que je lui porte. Tout au long des épisodes c’est un plaisir de voir les personnages interagir surtout avec ce dernier épisode complètement humoristique et qui dénote avec les derniers épisodes du fil rouge de la série. Bon certes ce n’est pas parfait il y a des failles et encore des portes ouvertes mais c’est toujours le lot des adaptations. Cette série a donc été une bonne pioche pour moi.

Yumekui Merry
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Studio JC Staff.
13 épisodes.

Adaptation du manga d’Ushiki Yoshitaka qui a commencé à paraître récemment chez nous aux éditions Taïfu. La série reprendre donc le début du manga en modifiant quelque peu la trame de l’histoire pour convenir à une adaptation JC Staff. L’histoire de base ne change donc pas on suit les aventures de Yumeji Fujiwara qui possède l’étrange pouvoir de percevoir le type de rêve que les gens vont faire avec l’apparition de halo coloré autour d’eux. Depuis un moment il fait des rêves étranges avec des chats qui le pourchassent, pendant que dans la réalité il rencontrera une étrange fille aux oreilles pointues. Alors qu’il est encore dans un rêve ou les chats l’on attrapés cette fille apparaitra pour le défendre.

Personnellement j’ai beaucoup apprécié cette adaptation. Malgré quelques passages plus mou, comme il est de coutume chez le studio, les phases d’action sont franchement bien fichu et les passages dans les rêves donne un rendu tout à fait convainquant arrivant presque à atteindre le même degré de malaise que l’on peut avoir dans Magica Madoka. Oui si on retrouve les qualités et les défauts habituels du studio dans le monde réel c’est véritablement dans le monde des rêves que cette adaptation s’en sort plutôt pas mal.

Le scénario était également plaisant je trouve, après un début similaire à l’œuvre de base l’anime part dans un récit plutôt intéressant même si parfois il est un peu trop convenu et classique. Ayant apprécié le manga et son univers j’ai plongé facilement dans la série et son histoire à une tournure différente mais restant sympathique. Elle fait donc partie des productions du studio qui m’aura laissé le meilleur souvenir. En plus j’adore l’opening. Dommage au final qu’ils ai décidé de ne faire qu’une série de 13 épisodes. Surtout quand je vois leur dernière adaptation…

Bon voilà, désolé pour le post fais un peu bordélique.
La suite suivra, si j'arrive à me motiver.

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Dernière édition par Keisuka_Watsushi le Lun 23 Jan 2012 21:05, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Mar 14 Juin 2011 00:20 
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Un nouveau Gundam annoncé, il débutera sa diffusion en octobre prochain.
Le design est assez peu commun pour du Gundam, l'explication est que c'est Akihiro Hino du studio Level 5 qui serait aux commandes.
Et pour patienter jusqu'à la diffusion de cette curieuse union un petit trailer.



EDIT : Et le RPG de la série est en cours via le célèbre studio de développement.

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Ven 1 Juil 2011 22:30 
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La saison de printemps arrive à son terme et je me dis qu’il est temps pour moi de passer par la case review. Pour l’instant je vais me contenter de faire celles des séries courtes, c’est-à-dire de 10 à 13 épisodes. La suite suivra prochainement. Comme en même temps je suis flemmard pour écrire je vais la faire courte et éviter tout résumé. Je vais considérer que je parle à des gens qui connaissent les séries.

A-CHANNEL

Studio Gokumi.
12 épisodes + 2 spéciaux.
Voici une série qui me tient énormément à cœur. Dès les premiers épisodes j’ai complètement accroché à l’humour et a ces personnages stéréotypé mais pas trop. La série est adapté d’un manga en strip c’est-à-dire en 4 cases et à but humoristique. Grand adorateur d’Azumanga Daioh je me régale avec cette série qui non seulement commence fort mais en plus arrive toujours à hausser le niveau par la suite. C’est simple au début je riais à gorge déployé et sur la fin je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer de rire, littéralement, les gags ne sont jamais les mêmes bien que parfois il y est des clins avec des précédents et l’ambiance générale de la série est vraiment géniale et bonne enfant. D’ailleurs à chaque épisode une insert song, toujours différentes et en correspondance avec l’épisode, se fait entendre et ajoute un côté nostalgique plein de vie et sans prise de tête à mes yeux, pas sûr que ce soit clair. Mais généralement j’ai toujours du mal à parler de correctement de ce que j’adore et ici c’est vraiment le cas. La série humoristique prend la place d’Azumanga Daioh avec une aisance déconcertante, c’est tel que je n’ai pas envie de regarder le dernier épisode sorti depuis déjà une semaine de peur de pleurer de tristesse en même temps que des larmes de joie. Un énorme coup de cœur.


ANO HI MITA HANA NO NAMAE WO BOKUTACHI WA MADA SHIRANAI

Studio A-1 Pictures.
11 épisodes.
En fait j’ai commencé à regarder cette série après en avoir pas mal entendu parler (surtout en bien évidemment). Au final le début ne m’a pas emballé c’est le genre typique d’histoire pour ado qui me gave profondément. Une histoire triste, mais perso ne m’a pas du tout touché (je sais je suis inhumain, ou stupide c’est à creuser), et des personnages pas franchement intéressant. Malgré cela j’ai bien aimé suivre les épisodes même si j’ai trouvé la qualité des épisodes franchement aléatoire allant de l’ennuyeux au très bien. Cependant la série s’approche de la fin et pour ce genre de récit, 11 épisodes, c’est très court. D’autant que du coup on fait l’impasse sur un nombre impressionnant de détails et la qualité générale du titre en souffre. Dommage.
Finalement la série reste plutôt bien et c’est tout de même à découvrir.


ASTAROTTE NO OMOCHA!

Studio Diomédéa.
12 épisodes.
J’avais un peu parlé de cette série dans mon résumé l’Epitanime 2011 donc je ne vais pas forcément revenir en détail sur tout ce que j’avais pu raconter le samedi soir. Comment résumer la série ? EN gros l’auteur à fumé une substance, ou plusieurs, et il est partit très loin dans les délires. Le pitch de départ étant que dans le monde des monstres la princesse Astarotte, qui est une succube, est poussé par sa gouvernante à commencer son harem. La princesse, qui a 10 ans, feinte pour ne pas le faire, traumatisé qu’elle est d’avoir vue sa mère faire la chose avec l’un de ses hommes. En effet Astarotte, ou Lotte, va demander un humain pour premier amant. Mais la gouvernante ne s’en fait pas pour si peu et s’en va chercher un être humain dans notre dimension seulement très rapidement cet humain, Naoya, va demander à ce que l’on aille chercher Asuha, une fillette que la gouvernante avais pris pour la petite sœur de Naoya mais se révélera être sa fille. Dès lors les scènes de WTF vont s’enchaîner à une allure folle. Entre la servante vache, les histoires sur la naissance de Asuha j’en passe et des meilleurs, cette série est vraiment destiné à faire de l’humour franchement déjanté, alors c’est sûr que la série ne vaut pas grand-chose mais perso c’est tellement n’importe quoi que j’ai pris un pied fou à suivre tous les épisodes, même si sur la fin l’ambiance tombe vraiment dans le glauque et le malsain à mon goût.


[C] THE MONEY OF SOUL AND POSSIBLY CONTROL

Studio Tatsunoko Productions.
11 épisodes.
Voilà une série tout à fait atypique. On entre dans le domaine de l’argent avec les capitaux et les richesses qui se disputent à coup de joute dans un univers caché et semblant virtuel sur certain point. L’histoire est vraiment intéressante et sympathique à suivre même si parfois le tout manque un peu de clarté. On peut voir un véritable évolution des personnages avec une galerie peu étendu mais à défaut intéressante. Le problème par contre est que comme avec Ano Hana c’est court et du coup le scénario est vraiment rushé. Malgré cela la série reste très intéressante et mérite qu’n se penche dessus.


DEADMAN WONDERLAND

Studio Manglobe.
12 épisodes.
Série intrigante en manga comme je préfère les animes je me suis intéressé à cette adaptation. Bon déjà j’aime beaucoup l’opening qui est assez sympa et pose l’ambiance de base. Par contre après si j’ai bien aimé les 5-6 premiers épisodes les derniers me donnaient une impression plus contrasté tirant vers le négatif même. Des enjeux commence à arriver mais j’accroche plus du tout à l’histoire. Ou peut-être est-ce Manglobe qui foire la fin de son adaptation allez savoir. Mais perso moi et Kana ca fais 2 donc il ne faudra pas compter sur moi pour lire le manga. Par contre pour en avoir parlé avec des gens et feuilleté un peu les tomes j’ai pu effectivement me rendre compte de pas mal de changement. Cependant mon intérêt pour le titre n’est pas suffisamment élevé pour que je puisse avoir l’envie d’en voir plus.


DENPA ONNA TO SEISHUN OTOKO

Studio Shaft.
12 épisodes.
J’ai plusieurs problèmes avec cette série. Premièrement la « chose » que j’ai mis en dessous du titre. Ce générique, mais c’est juste une plaie. On pourrait aisément me troller sur ce point mais alors dans le genre voix complètement affreuse j’ai jamais entendu pire que cela. Du coup j’enlève le son pour l’op. En revanche l’ending meilleur je trouve mais comme cette fois j’ai décidé de mettre seulement les opening (après une brève réflexion de ma part) bah si vous êtes curieux vous n’aurez qu’à le chercher. Sinon j’ai pas vraiment accroché à cette série en générale qui est très décevante pour du Shaft, surtout après La série qu’ils ont fait récemment qui sera peut-être la série de l’année, un poids lourd grossis de plus en plus cette saison mais cette dite série fera plus de 13 épisodes donc il faudra attendre encore un peu pour ma review. Pour en revenir à Denpa Onna l’histoire n’est pas folichonne si parfois elle est intéressante c’est pour mieux s’essouffler à l’épisode d’après. Et puis avec le second problème que j’ai avec cette série c’est le design parce que cette bouche… C’est juste immonde. Ça me donne envie de leur découper les joues à tous ces personnages féminins. Bon finalement je n’ai pas dis grand-chose sur la série mais comme je n’en retiens pas grand-chose cela me conviens.


DOG DAYS

Studio Seven Arcs.
12 épisodes.
J’ai commencé à regarder cette série après en avoir entendu parler à une nocturne Epitanime. Les personnes regardais les épisodes et ils rigolaient bien devant, perso je regardais l’écran mais je ne comprenais pas trop du coup j’ai mis la série sur ma liste. Et je dois bien avouer qu’au début j’ai trouvé cela sympa c’est passé les 3-4 épisodes que j’ai compris ma douleur. C’est archi vide et l’intérêt est proche du nul, même le semblant d’humour du début disparait complétement par la suite du coup je regarde les épisodes d’un œil et j’en oublie la moitié ce qui au final n’est pas très grave. Donc une série bien ennuyeuse.


HEN ZEMI

Studio Xebec.
13 épisodes.
Après le pathétique Rio de la saison passée Xebec remet le couvert avec encore une série franchement bien nulle. Hen Zemi, ou Abnormal Physiology Seminar dans son format anglophone, essaye de nous raconter des histoires à but sexuelles sauf que c’est un humour franchement lourdingue et inintéressant. Probablement une série véritablement destiné aux mœurs des japonais ou je ne sais qui d’autre mais c’est un véritable calvaire chaque semaine de voir la série continuer, à la manière d’un Naruto, de creuser sa tombe pourtant bien profonde.


HIDAN NO ARIA

Studio J.C. Staff.
12 épisodes.
Nouveau JC Staff on reprend les mêmes ingrédients communs à quasiment toutes les séries du studio et on repart pour un tour. Par contre ici j’ai pas du tout accroché à l’univers. Les personnages sont à peu près les mêmes qu’à l’habitude à ceci près qu’ils ont trouvé la parade à leurs tsundere planche à pain : Le soutien-gorge rembourré ! Donc après cette révolution scénaristique, si on peut dire cela comme ça, la série m’a (légèrement) fait penser à Fate Stay Night avec un paquet d’incohérence scénaristique tellement énorme que je passe en mode réfractaire 100%. Bon par contre certain épisode reste sympa parce que justement ils ne sont pas badigeonnés de toutes ces absurdités. Du coup la série devient un peu drôle mais c’est tout. Mais c’est amusant de voir un type se faire violer 3 fois dans un épisode, perso j’avais jamais vu cela.


KAMPFER FUR DIE LIEBE

Studio Nomad.
2 épisodes.
J’avais vu la série de base et même si ça ne vaut pas grand-chose il y a du yuri donc je n’allais pas cracher dessus. Ici on se trouve avec une rapide suite en 2 épisodes. Je vais pas m’attarder sur le scénario vu qu’il est absent ou nul, l’intérêt, et le seul, il ne faut pas se lmeurer c’est le yuri et de ce côté si le premier épisode est plutôt sympa le second est vraiment trop mauvais. A oublier rapidement.


MARIA † HOLIC ALIVE

Spoiler: Montrer


Studio Shaft.
12 épisodes.
Attention cette série est la suite de… MARIA † HOLIC bravo ! Bref pour cette seconde saison Shaft fais simple et efficace. Contrairement à Arakawa under the bridge l’année dernière qui s’est doté d’une suite vraiment ennuyeuse ici la qualité est la même. Les mêmes longueurs, les mêmes types de gags. Donc si vous avez aimé la première série pas de soucis ? si vous n’avez pas aimé il faut éviter. Malgré des choses pas forcément génial j’avais bien aimé la première donc j’ai à nouveau bien aimé ici, avec un plus pour les génériques (Shaft !) surtout l’opening actuel.


MOSHIDORA

Studio Production I.G.
10 épisodes.
Surprenante série en 10 épisodes de la part du studio. Elle a eu du mal à commencer, les autres séries en était alors à leur cinquièmes épisode environ. D’un coup c’était un épisode tous les 3 jours puis 2 et enfin 1 par jour. C’était assez hallucinant. La série en elle-même est sympathique bien que l’histoire soit beaucoup trop prévisible et sans surprise. On nous joue le coup du mix sport/management, mais au final soit il n’y a pas suffisamment de sport (en tout cas au début), soit le côté management d’une équipe est vraiment soft. Mais au final j’en garderai un bon souvenir.


SENGOKU OTOME MOMOIRO PARADOX

Studio TMS Entertainement.
13 épisodes.
Vous connaissez Koihime Musou et tout ce genre d’anime ? C’est bon vous savez à quoi vous attendre avec cette série-ci. Certain sont allergique perso j’aime bien c’est pas prise de tête, il y a plein de personnage féminin et pour la plupart j’aime bien les designs. Donc à nouveau un anime que j’aurais oublié rapidement mais qui me fais passez un bon petit moment. Sur ce genre de série il n’y a pas grand-chose à dire de plus.


SOFTENNI

Studio Xebec.
12 épisodes.
Seconde série de la saison pour Xebec. Prend-elle le chemin des deux autres pour autant. Pour moi non, j’ai vu beaucoup de critique négative sur la série mais perso je me suis bien amusé à suivre l’histoire de ces différentes joueuses de Soft Tennis. Tous les personnages sont barrés à souhait et suivre leur délire et tout leur gag d’épisode en épisode est un vrai plaisir à mes yeux. La censure pour ce genre de série est présente, de manière assez bizarre d’ailleurs, mais perso ce n’est pas cela qui va m’arrêter et c’est avec plaisir que je regarde les épisodes. Bon après c’est la série d’une saison je l’aurais surement oublié dans un an mais sur cette saison elle m’amuse.


YONDEMASU YO, AZAZEL-SAN

Studio Production I.G.
13 épisodes.
En commençant la série j’ai essayé de trouver les OAD qui faisait la séquelle de cette série comme je n’ai pas réussi à les trouver j’ai fait l’impasse dessus mais la compréhension de l’histoire n’en est pas entaché puisque elle est à but humoristique. Suivre les différents protagonistes de cette série est un vrai plaisir, d’autant que les épisodes ont une durée d’une dizaine de minute. Découvrir tous les démons les plus célèbres de notre culture à la manière SD, et les voir se lâcher complètement, se battre comme des chiffonniers et les voir aux prises avec le genre humain est jubilatoires. D’ailleurs la plupart des protagonistes ont véritablement une « sacré gueule » ce qui prolonge l’aspect totalement improbable et irrévérencieux de cette série, il n’y a qu’à voir les anges. Un pur plaisir.


J’ajoute ici le planning de la saison d’été qui a déjà débuté avec le premier épisode de Blood-C. Donc étonnamment je vais encore regarder un bon gros chapelet de titre comme Blade, Blood-C, Dantalian no Shoka la saison 2 de Baka to Test to Shoukanjuu ou encore Sacred Seven. Bref encore de quoi passé un bel été au chaud derrière l’écran.
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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Mar 5 Juil 2011 13:07 
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Voici mes impressions sur les séries de printemps de plus de 13 épisodes avec quelques bonus dans le lot.
Enjoy si je puis me permettre !

HANASAKU IROHA

Studio P.A. Works
14 épisodes sur 26.
Voilà une série de manière très effrayante pour moi. En effet après une première partie plutôt sympathique ou on découvre une héroïne vraiment agréable sur un pitch sympathique, la seconde partie dans une direction un peu plus « Shoukoujou Sara »ce qui a mis mon envie de poursuivre à zéro. L’avantage avec moi c’est que même les séries les plus nulles je les continue et je fus très heureux de voir que la série est partit dans une optique totalement différente de ce que j’avais pu en penser. La grand-mère d’Iroha est une peau de vache mais la miss ne se laissera pas faire et utilisera toute son énergie pour changer son entourage et l’ambiance à l’auberge. A partir de là la série est un vrai plaisir à regarder et l’énergie communicative de la série opère à merveille sur ma petite personne. Une bien belle série. Je vous ai parlé des super génériques de la série pour une œuvre de ce genre ?

NICHIJOU

Studio KyoAni
14 épisodes sur 26.
Voici avec A-Channel une autre série humoristique se passant dans un univers scolaire. Je rejoins complètement MKG sur l’OAV, pour débuter la série j’ai commencé par ce point et ce n’est pas franchement réussi, pas drôle pas bien animé, bref a oublié. La série c’est une toute autre histoire c’est comme si ils s’étaient rendu compte de leurs erreurs du coup tous les critiques que j’ai pu soulever un peu plus haut sont totalement absentes. Il y a même des moments ou l’animation est assez incroyable et ouf pour une série humoristique de ce genre. Oui mais voilà dans la continuité je trouve que les gags perdent en intérêt et même si il y a encore de bons moment les passages à vide se font bien ressentir. Tout cela rajoute à ma crispation de voir A-Channel s’arrêter au bout de seulement 12 épisodes, enfin bref…

TIGER & BUNNY

Studio Sunrise.
13 épisodes sur 25.
Série assez sympathique qui met en scène des super héros financé par de véritables marques. Le début met en place un background de manière plus ou moins réussi et en développant la psychologie de certains personnages. Mais aux alentours de l’épisode 8 la série s’améliore à chaque épisode présentant des ennemies vraiment intéressant et une intrigue qui promet quelques passages sympathiques. D’ailleurs l’amélioration de la série est bien plus perceptible quand on retombe sur d’anciens épisodes. Bref un série d’action sympathique qui commence doucement et se construit un univers intéressant au fil des épisodes.

DORORON ENMA-KUN

Studio Brain Base.
12 épisodes.
Voici une série que j’ai débuté assez tardivement. Cela est dû à la lecture des impressions d’Exelen (dont voici le blog pour les gens qui me lirait et qui ne connaitraient pas.) et les news du site à troll Sankaku. Cette série est donc un bon gros réservoir à gag porté sur la chose avec une ambiance complètement déjanté et j’avoue que j’ai pas mal accroché au concept. Parfois j’ai un peu lâché parce que c’est même un peu trop ou le scénario n’est pas des plus passionnant mais il y a des passages qui sont vraiment bien foutu et au final j’ai passé un bon moment à regarder cette série.

SKET DANCE

Studio Tatsunoko.
13 épisodes sur un nombre indéterminé.
Une série qui mélange humour avec d’autres choses. J’avais bien accroché au début les personnages changeant un peu de ce que l’on est habitué à voir. L’équipe de héros s’occupant des problèmes que chaque élève pourrait avoir dans leur lycée. Le problème c’est que passé les premiers épisodes les histoires sont redondantes, l’humour est totalement absent et l’intérêt se fait donc complètement absent du titre. Par contre mon intérêt s’est légèrement réveillé avec les 2-3 derniers épisodes, cela n’est pas suffisant pour conseiller cette série trop inégale et en plus poussant vers le moins bien, l’intérêt est plutôt inexistant.

TORIKO

Studio Toei Animlation.
13 épisodes sur un bon gros paquet qui vont suivre.
Voici l’adaptation d’un manga pas mal apprécié sur le forum du coup j’ai commencé, même si j’arrêterai peut être en cours. Mais j’ai une impression bizarre avec cette série. Bon pour commencer le héros avec des vêtements orange. Autant ça passe pour Dragon Ball que pour Naruto ça ne passe pas du tout et là c’est pareil, les auteurs devrais se rendre compte que la prédominance de orange chez les héros ca fais franchement bauf. Ensuite j’ai l’impression de voir un mix entre Hokuto no Ken et Monster Hunter. J’apprécie la première œuvre alors que la seconde me laisse totalement de marbre du coup je n’arrive pas du tout à accroché au principe du scénario. En revanche dès les premiers épisodes on peut voir qu’il y a un vrai background et que du coup cela peut vraiment se révéler extrêmement intéressant. Même si je reste bloqué devant le design des personnages et le côté chasse aux monstres gastronomique.

KANON (2006)

Studio KyoAni.
24 épisodes.
Premier bonus de mes impressions voici une série que j’avais sur mon disque depuis fort longtemps mais qui me rebutait toujours parce que moi et le studio Key sa fait [un nombre incalculable et indéfinissable]. Bref j’ai commencé la série avec un préjugé énorme mais je dois bien avoué que j’ai apprécié les premiers épisodes de la série. Les six premiers épisodes donne purement et simplement dans le slice of life c’est plaisant et même si ils sont moches (c’est du Key donc je ne supporte pas ces gros yeux) ils ne sont pas antipathique comme peuvent l’être quasiment tous les personnages de Clannad par exemple (ce n’est pas du troll gratuit seulement mon opinion). Malheureusement le studio est incorrigible et pond encore une histoire absolument épouvantable sensé nous rendre triste ou rendre l’histoire dramatique, personnellement j’ai plus eu des envies de meurtre qu’autre chose. Entendre « ahu » ou je ne sais plus trop quel onomatopée toutes les 5 secondes ça ne provoque pas de l’attendrissement chez moi. En revanche par la suite la série est grandement remontée dans mon estime alors que je me préparais à un dur visionnage des épisodes restant l’arc d’une certaine Kawasumi Mai est arrivé et cela a tout changé. J’ai beaucoup aimé son arc et pour une fois un personnage de Key n’est pas bête comme ses pieds, c’est révolutionnaire ! J’ai même eu un frisson pendant son histoire ce qui témoigne de l’intérêt que ma procuré ce personnage. Même si il était un peu moins réussie à mon goût j’ai bien apprécié l’arc suivant avec Shiori, par contre la fin va du sans intérêt au pathétique mais c’est normal Key ne peut pas faire de la grosse qualité et encore moins la faire perdurer cela se saurais sinon (hum). Donc au final étonnamment surpris par cette série qui est pour moi la meilleur que j’ai pu voir du studio, merci Mai.
En mettant les codes du post je repense à parler des musiques qui sont vraiment... bizarre perso avoir des musiques type film porno c'est des scènes tristes c'est franchement minable. Je sais pas si elles viennent du VN mais elles ne sont franchement pas inspirées pour le coup.

CHAOS HEAD

Studio Madhouse.
12 épisodes.
Voici une série que j’ai décidé de regarder parce que sa « suite » m’intéresser grandement, qu’est-ce qu’il en est ? Passons à mes impressions sur ce deuxième bonus. Bon déjà le studio chargé de l’adaptation du VN est le célèbre Madhouse, qui possède une réputation de qualité graphique indéniable sur ces séries mais qui sont pourries une fois sur deux. Pas de bol pour ChäoS;HEAd c’est le mauvais pourcentage qui aura été choisi. Les personnages sont ennuyeux voir même énervant, le héros sombre dans une paranoïa plutôt affligeante ce qui le fait devenir assez antipathique à mes yeux, même si je reconnais que pour un otaku qui vit dans un container et qui à une amie imaginaire beaucoup de filles tourne autour de lui, ce qui pour moi à tendance à rendre l’œuvre un peu plus pathétique. L’histoire n’est pas passionnante, la fin est assez naze avec une chute beaucoup trop convenu et l’aspect mystique des visions du héros sont bien trop mal gérées pour être intéressante. Cela n’augure rien de bon pour la suite donc mais en même temps Madhouse n’est plus aux commandes.

STEINS; GATE

Studio Frontier Works, White Fox.
24 épisodes.
Voici donc la suite de mon dernier bonus. Par contre j’ai noté le changement de studio mais pas celui de designer, ici Huke est aux commandes des dessins et quand on connait mes antécédents il est logique que je tombe sous le charme des personnages, même si je trouve que l’anime ne rend pas du tout hommage aux dessins originaux mais ce n’est pas la première ni la dernière fois qu’une telle chose arrivera. Le premier épisode nous met directement dans une situation assez ouf ou je défie quiconque n’a pas fait le VN de comprendre quelque chose à ce premier épisode. Beaucoup de détail arrive d’un coup et on nous montre des situations plutôt incompréhensible. Les épisodes 2 à 5 changerons le ton, nous serons baladés avec des épisodes mêlant scénario potentiellement haletant et humour potache, merci Itaru. Puis à partir de l’épisode 7 on rentre dans le vif du sujet, c’est-à-dire les changements du passé et ce que cela apporte dans le présent, la phrase à propos de l’effet papillon étant présente. D’expérimentation en tests le personnage principale va s’attirer les foudres d’une organisation et il commencera à devenir paranoïaque mais tout en restant supportable, ce qui n’avais pas était fait dans la préquelle d’autant qu’ici la pression et l’ambiance fais monter la sauce ce qui ajoute encore une touche beaucoup plus réaliste au comportement du héros. Sur les derniers épisodes ils se passent des choses tellement ouf que la série rentre assez facilement dans la course de la meilleure de l’année à côté de Madoka. Nous en sommes à 13 épisodes la tension augmente de plus en plus et les cliffhanger se font de plus en plus insoutenable ce qui fais que la série passe au niveau de la drogue pour moi, la suite il me la faut tout de suite. Au final la seule chose que je regrette c’est qu’il n’est pas nécessaire de voir ChäoS;HEAd pour comprendre Steins;Gate du coup pas d’excuses pour ne pas regarder ce bijoux, enjoy. Tutudu !

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Lun 25 Juil 2011 18:01 
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Salut à tous, j'ai posté la présentation d'une "série anime" (enfin, on peut appeler ça comme ça quoi...) que voici:

http://volonte-d.com/forum/viewtopic.php?f=13&t=8171

Je ne sais pas si avec son statut de série parodique elle as sa place ici ou dans le petit sommaire de la premiére page, mais elle est tellement bien construite (même si c'est de l'amateurisme) et avec ça cinquantaine d'épisodes elle n'as pas vraiment à rougir...

Enfin il serait peut-être judicieux de réaliser une présentation de la série original (mais je l'aime pas vraiment, la connait pas assez, je risque d'y introduire des éléments totalement faussés par la parodie en question, même si le scénario est particuliérement fidéle à l'original^^ mais surtout j'ai la flemme...)

A part ça pour cette saison je n'ai pas vraiment suivi les sorties anime (excepté pour "Deadman Wonderland" ou mon avis est plus au moins similaire a celui de Keisuka_Yuuko) La période estivale vois sortir l'intriguant "Blood-C" de Clamp mais il y a encore trop peu d'épisodes pour rédiger un avis convenable... (Cela dit j'aurait bien envie de m'occuper de sa présentation lorsqu'un nombre plus conséquent d'épisode sera sorti...)

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Edit Le Gourmet : Je dois mettre à jour le sommaire depuis fort longtemps, la semaine prochaine, je vais essayer de faire ça. D'autant plus que je dois répondre à Keisuka qui raconte n'importe quoi (Dire du mal de Key ? Critiquer Denpa ? Il faut vraiment que le maitre de ces lieux revient et vite.)

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Dim 31 Juil 2011 19:57 
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Maintenant que la saison estivale est plutôt bien entamé il est temps pour moi de dégainer mon clavier, afin de faire un petit bilan. En plus comme c'est les vacances d'été, j'ai pu pour une fois tester un bon nombre d'anime sans me soucier du temps, ce qui risque de rendre mon petit récapitulatif à peu près complet pour une fois (même si avouons-le, je suis un petit joueur à côté de Keisuka qui doit se taper à peu près tout).
Je préviens juste au passage : les synopsis dans mon post ne sont pas de moi (enfin pour la grande majorité), mais de J-truc. D'ailleurs si vous voulez avoir des images des anime, allez voir leur article-récap' de la saison.

Ro-Kyu-Bu!
Subaru Hasegawa est un jeune lycéen qui a rejoint le club de basket mais l’équipe a cessé de jouer à cause du capitaine soupçonné d’être un lolicon. Subaru finit, sans vraiment savoir comment, par entraîner une équipe de basket d’école primaire formée de cinq filles.


Comme c'était le premier anime de la saison à être sorti, j'ai testé le premier épisode comme ça pour le fun, malgré le fait que ça ne me tentait pas du tout. Finalement, je n'ai même pas fini le premier épisode. Ce genre d'anime m'ennuie plus qu'autre chose, et ce n'est pas deux-trois lolis qui rougissent et qui sont clichés au possible qui m'ont donné envie de continuer.
Statut : supprimé de ma liste au bout d'une quinzaine de minute.

Kami-sama no Memo-chou
Série policiaire suivant les aventures de Fujishima Narumi, un jeune homme qui va devenir ami avec un détective de génie et va l’aider à résoudre des affaires. L’originalité de cette histoire étant que le détective en question est… une jeune fille

JC Staff continue d'adapter des Light Novel, en surfant cette fois sur le succès du décevant Gosick. Leur recette est simple, comme d'habitude : on prend une loli (qui cette fois sera une NEET), un héros complètement paumé, et on ajoute des petites histoires que l'héroïne va résoudre en deux petites secondes.
Le résumé ne me donnait pas vraiment envie, mais finalement le double épisode m'a bien convaincu. Même si cette première enquête a été résolue - comme prévu - en deux secondes, la série m'a plutôt convaincu grâce à son ambiance et à la réalisation qui est relativement bonne. Par contre, on a malheureusement pas pu éviter la scène fanservice à la fin de l'épisode. ET OUI, il fallait ab-so-lu-ment qu'on voit un bout de la culotte de la loli, sinon c'est pas normal.
Statut : Un double épisode de vu. Le reste attendra la fin de la saison.

Sacred Seven
Un mec en MOBYLETTE protège le monde, avec l'aide d'une fille qui arrive à canaliser son super-pouvoir, ainsi que celle du majordome et des soubrettes de cette dernière.

Après un premier épisode relativement sympathique bourré de délicieux clichés et de combats, la série s'est mise à devenir sérieuse, et donc ennuyante. Une grosse déception pour moi qui attendait de cette série juste un petit de fight et un gros concentré de n'importe nawak.
Statut : le quatrième épisode m'a convaincu de mettre la série à la poubelle. On était pas sur la même longueur d'onde.

Ikoku meiro no croisée (alias la Croisée dans un labyrinthe étranger)
« Ikoku Meiro no Croisée » raconte l’histoire d’une jeune fille modeste du nom de Yune vivant dans les bas quartier d’un Paris du 19ème siècle, époque où la culture nippone émerge en France. Elle finira par travailler dans une boutique d’artisanat appelée l’Enseigne du Roi, avec un jeune garçon du nom de Claude.

J'attendais beaucoup de cet anime - notamment à cause de certaines personnes qui m'avaient beaucoup parlé du manga - et je dois dire que je n'ai pas été déçu du tout. Les thématiques abordées dans l'anime sont très intéressantes et très bien traitées (le "mini choc des cultures", Claude qui apprend à être "père" en quelque sorte), le tout dans un Paris absolument magnifique, qui est un pur régal à observer en tant que Français. Et pour finir, Yune est adorable.
Statut : un de mes coup de coeur de la saison, que je suivrai sans aucun doute jusqu'à la fin.

Natsume Yuujinchou San
Depuis qu’il est petit, Natsume voit les yôkai (les esprits surnaturels japonais). Ne les appréciant pas particulièrement, il a toujours évité de les fréquenter. Mais voilà que ces derniers temps, les yôkai se mettent à le pourchasser sans qu’il comprenne pourquoi. Et un jour, alors qu’il tente d’échapper à l’un d’eux, il pénètre dans un lieu sacré et libère par inadvertance un « chat » qui avait été enfermé dans un petit sanctuaire. Loin de se montrer hostile comme les autres yôkai, le chat engage la conversation avec Natsume et le questionne à propos d’un carnet qui aurait appartenu à Reiko Natsume. Cette Reiko en question se trouve justement être la grand-mère de Natsume…

La suite des deux premières saisons est absolument à la hauteur. Chaque épisode de cet anime est un pur régal que je regarde deux fois dans la semaine, tant c'est très très bien foutu. Natsume c'est drôle, touchant et magnifique. Jetez-vous dessus, que vous ayez vu les deux saisons précédentes ou pas, car c'est vraiment à ne pas rater à mon sens.
Statut : Je suivrai tout. Lundi est mon jour préféré, parce que c'est le Natsume's day <3

Yuruyuri
Le pitch tourne autour de quatre jeunes filles qui s’approprient un club de cérémonie du thé pour le transformer en leur propre « clubs de loisirs »

Yo, vos ersatz pourris de K-on vous pouvez vous les mettre où je pense. Y en a marre.
Statut : Je n'ai même pas vu la deuxième partie du premier épisode.

Kamisama Dolls
Kyohei est un étudiant ayant quitté récemment son village natal où vivent des dieux locaux nommés « kakashi ». Arrivé à Tokyo, il apprend de sa soeur Utao qu’un dénommé Aki aurait également quitté ce village avec son un dieu, et serait responsable d’un crime.

Les deux premiers épisodes ne m'ont pas convaincu du tout. Trop ambitieux par rapport à ce que c'est, inintéressant au possible (j'ai failli m'endormir devant le premier épisode), la série a été très vite mise de côté. Dommage, ça aurait pu être cool.
Statut : En attente. Si je lis que c'est devenu bon, il y a des chances que je la reprenne. Mais en attendant, c'est mort.

Usagi Drop
Daikichi, trente ans, célibataire, n’est pas ce qu’on peut appeler un don juan. Pas très à l’aise avec les femmes, encore moins avec les enfants, cet homme on ne peut plus ordinaire va, du jour au lendemain, décider de devenir le tuteur légal de la fille cachée de… son grand-père. Mais comment élever une jeune enfant quand on a déjà du mal à s’assumer soi-même ?

Etant donné que je suis un grand fan du manga, j'attendais beaucoup de cette adaptation et ma foi, je n'ai qu'une chose à dire : chapeau. Pour le moment, c'est même au dessus de toutes mes espérances, tant c'est excellent. La thématique principale est superbement bien mise en scène, Rin bute tout, Daikichi est un héros, et la réalisation est très bonne. Un anime qui pourrait surclasser l'oeuvre original, à l'instar de par exemple Honey and Clover (que je recommande chaudement !). D'ailleurs, si ça marche bien on aura peut-être doit à deux saisons, qui sait, bien que je n'y crois pas des masses.
Statut : mon anime préféré de la saison, le GROS coup de coeur. A voir de toute urgence.

No. 6
Dans la ville NO.6 en 2013, le jeune Shion a bénéficié d’une évaluation à son deuxième anniversaire l’ayant jugé comme possédant une intelligence très élevée, ce qui l’a placé dans le luxueux quartier « Cronos ». Il rencontre un jour Nezumi, un garçon échappé d’un camp de réforme. En tentant de le protéger, Shion se retrouve puni, allégé de tous ses privilèges et déporté dans la zone « Lost Town ». Quatre années après cet incident, un accident mystérieux entraîne Shion vers le secret de NO.6…

Après entre autre Heroman, Star Driver ou Gosick, BONES continue de faire dans l'anime soporifique au possible, avec cette fois un public qui est clairement visé : les femmes. On peut donc voir évoluer des HOMMES QUI AIMENT DES HOMMES, dans univers qui a du potentiel mais qui est très mal utilisé, le tout avec une animation relativement décevante quand on voit le studio qui s'occupe de la série. Une grosse déception, qui confirme ce que je pensais : BONES traverse une mauvaise passe.
Statut : Série mise de côté au bout de deux épisodes. On attendra les avis à la fin de la série...

The IDOLM@STER
Voir l'article d'Axel, pour ceux qui ne connaissent pas la franchise.

Un anime qui met en scène des moeblob-idols, avec quelques chansons et une très bonne animation. Tout simplement. C'est pas franchement l'anime du siècle, mais il est difficile de dire que je m'ennuie chaque semaine devant IDOLM@STER qui est, malgré ses défauts, assurément un anime très divertissant de mon point de vue. Et dire qu'il y a des aigris qui hurlent sur tous les toits que c'est le cancer ultime de l'animation Japonaise...
Statut : Je regarderai tout, parce que je suis faible et que malgré tout j'adore.

Mawaru PenguinDrum
Three siblings, twins Kanba and Shouma, and the in-and-out-of-the-hospital Himari who's in poor health, live together at the Takakura home. One day, when the siblings are out on a trip to the aquarium, Himari collapses. The doctors state that nothing can be done for her anymore, but then, a miracle occurs... (MyAnimeList)

Un anime qui m'intriguait beaucoup avant sa sortie, Kunihiko Ikuhara oblige (le réalisateur d'Utena, pour ceux du fond).
Finalement, cette série est pour le moment très drôle. On ne sait pas trop vers quoi on se dirige, mais c'est vraiment super bien réalisé, et on sent que y a un putain de potentiel derrière. Chaque semaine c'est peut-être l'anime que j'attends le plus, tant il est terriblement addictif. La fin du dernière épisode me met vraiment sur les nerfs, d'ailleurs. ARGHHHH.
Statut : un de mes coup de coeur de la saison, que VOUS ALLEZ REGARDER.

Manyuu Hikenchou
À grosse poitrine, grandes responsabilités. Sous l’ère Taiheimeji, un groupe soutient et protège le gouvernement : les Manyuu. Ces fameux guerriers tentent d’installer une idéologie perverse, qui donnerait les pleins pouvoirs aux poitrines exubérantes ! C’est que le clan Manyuu dispose d’un avantage incommensurable : le rouleau de parchemin contenant tous les secrets de l’augmentation mammaire ! La guerrière Chifusa, pourtant désignée comme héritière du clan, se dresse contre cette logique et part en croisade contre l’idéologie des Manyuu

Une adaptation du manga "la paire et le sabre", qui pourrait s'appeler LA PAIRE ET LE SABRE LASER, à cause de la censure.
Sinon, que dire à propos de cette série ? B00BZ ! B00BZ ! B00BZ ?
Statut : attendons les bluray pour ne plus avoir la censure et s'amuser.

Dantalian no Shoka
Un jeune homme Huey hérite de la vieille propriété de son grand-père qui inclut également une bibliothèque. Huey y rencontre Dalian, une fille vêtue de noir contrôlant le portail donnant l’accès à la Bibliotheca Mystica de Dantalian qui contient les livres démoniaques interdits. Ces livres peuvent conférer quelque chose d’immense à son utilisateur mais comme dans chaque bibliothèque, tout livre doit être rendu avant la date de retour…

Pour la première fois, le studio GAINAX décide d'adapter un light novel (faut bien suivre le mouvement, on va dire), et le moins que l'on puisse dire c'est que le rendu est relativement sympathique. L'univers de cette série est intriguant, Dalian est trop chou, les combats sont trop kewls (se battre avec des livres, la classe), et le studio fait un bon boulot au niveau de l'animation, en testant des effets par-ci par-là. En bref, un anime avec en potentiel qui ne demande qu'à véritablement exploser.
Statut : Je suivrai tout, sans aucun doute, car ça promet. D'ailleurs, Bullzor, tu fais pas ton fanboy de la GAINAX pour une fois ? :(

Voilà donc mon avis provisoire sur une bonne poignée des anime de cet été. Bien sûr, tout ce que j'ai écrit est hautement subjectif et parfois y a de la GROSSE mauvaise foi, mais si jamais ce post vous a donné envie de tester deux-trois séries, eh bien je serai très content.
Sur ce, j'attends les avis de mes camarades animefans du forum. o>

_________________
"Le réel me donne de l'asthme." - Cioran.


Dernière édition par JCC le Mar 2 Aoû 2011 18:27, édité 2 fois.

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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Mar 2 Aoû 2011 16:25 
The Endless Sorcerer
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Localisation: Dans une partie d'échec face à Beatrice


Ca fait longtemps que j'ai pas donné mon avis sur quelques animes. D'un côté, j'ai du mal à regarder des animes ces derniers temps. J'essaie de limiter au maximum ma sélection et donc qu'est que je vais bien pouvoir parler ? The World God Only Knows, Magicka, Denpa, C Money et oui, j'aime pas dire les noms en entier. Puis aussi des animes que j'ai commencé cette saison... Et je m'ennuie...

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Comme j'adore toujours commencer par la pire façon possible, autant balancer la bombe d'entrer histoire d'intéresser les amateurs qui pourraient me lire : Magicka n'est vraiment pas un anime extraordinaire.

Hum... J'entends les oiseaux crier... Bah, tant que ce n'est pas les cigales qui chantent !

Pour revenir à l'anime, je traine Magicka depuis une paire de temps, ça a peut-être joué. C'est dire, je l'ai fini bien une saison en retard (on est quelle année déjà ?!)
On m'avait présenté l'anime comme étant malsain et déstabilisant, je comprends. M'enfin, pour me déstabiliser, c'est pas la mort de Mami qui y arrivera. Soyons sérieux, assez prévisible "j'ai enfin des amies, ça serait bête mourir !". C'est le principal défaut que je pointerais du doigt de la série. Tout est très prévisible.
Mais qu'importe, car ce côté prévisible n'est pas si dérangeant car le tout est quand même bien amené, ça serait hypocrite de le renier. J'ai particulièrement aimé la descente en enfer de Sayaka, ainsi que le sacrifice ultime de Kyōko. Toute cette trame se voit de loin, mais à l'inverse de Mami, ça fonctionne bien et j'adhère.

Il y a tout de même des moments imprévisible, peu nombreux mais vraiment sympa : Le fait que les Magicka Girl ne soient plus humaines (j'approuve !); Madoka devient Dieu (WTF !); Mami est une folle capable de tuer Kyoko sans prévenir (ultime !).

Oui, le coup de Horuma ne m'a vraiment pas surpris mais là encore, tout est vraiment bien amené donc ça me dérange pas.

J'ai bien aimé aussi le fait que le générique soit complètement faux et trompeur. Autre le fait, que ça soit mignon, c'est le fait de présenter Madoka comme Magicka Girl. Bon, au bout du 4ème épisode, on s'est fait une raison et on devine que ça sera pour la fin. Un petit détail qui m'a bien fait sourire.

Bref, dans l'ensemble... J'ai trouvé certaines longueurs dans le récit, pas toujours été extrêmement captivé mais je peux pas dire que c'est un mauvais anime. L'anime est vraiment très bon, mais n'a pas réussi à avoir ce petit truc...

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The World God Only Knows...

...

J'adore, j'adhère, j'admire.
Rien que pour les openings, je pourrais regarder des saisons et des saisons. J'adore, j'adhère, j'admire complètement la musique, la mise en scène. Cela fait très longtemps qu'un opening ne m'avait pas fait un tel effet. Un véritable coup de cœur et Demon Slash qui raconte encore n'importe quoi :'(
Mais qu'importe, j'ai trouvé l'animation soigné, fidèle, presque sans fausse note. J'ai pratiquement toujours passé un agréable moment devant ces deux saisons, hormis un épisode où il ne s'est vraiment rien passé.
Keima... Ce Dieu...
J'attends impatiemment la prochaine saison et commencer une excellent arc.

Regardez/Lisez The World God Only Knows et vous guéeriez du cancer !

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C. Money fut un petit coup de cœur sur le moment.
L'œuvre possède un univers riche, vraiment très riche. Il y a plein de fric partout, c'est dire ! En parlant de l'argent, c'est la base de la série. Le principe est simple mais bien pensé. Un autre monde capable d'influencer la réalité suite à des affrontements basé sur l'argent. Plus on perd de l'argent, plus cette perte influencera notre réalité. Afin de rajouter un peu de challenge, les attaques coutent de l'argent.
Hormis cette aspect combat très séduisant, les personnages restent affreusement classique.

Le héros est le héros type. Plein de doute, considérant "son arme" (ça doit avoir un autre nom mais bon) comme humain et donc une relation se crée et blabla bla. Bref, on retrouve un thème original encadrer par une mise en forme très classique mais sympathique.

Mais ça se regarde vraiment bien car le tout est attachant et intriguant. Je ne peux que conseiller.

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Denpa Onna, l'anime que j'attendais le plus chaque semaine.
La série m'a charmé aussi rapidement que l'héroïne. Faut dire, j'ai téléchargé le premier épisode selon pour découvrir qui était cette fille ! Et maintenant que j'y pense et que j'ai du recule. Je ne sais que dire sur cette série.

Sérieusement ! Ca part dans tous les sens, mais ça marche. On se laisse porter par les personnages et voir les relations évoluer. Les personnages sont géniaux, tous ayant une personnalité bien marqué qui fait qu'on les apprécie et s'attache rapidement. J'ai adoré avancer dans l'anime dans le noir, sans savoir ce qu'il allait se passer à l'épiso... la scène suivante.

Un anime extrêmement rafraichissant qui a pour défaut une fin... Mais... Euh... Elle est où ?!
Parait-il qu'il manque un épisode...
Moi, je pense surtout qu'il manque une seconde saison.
Bref, on passe vraiment un bon moment. <3


Attaquons maintenant les animes que je regarde cette saison et il y a du lourd !
...
Attaquons maintenant l'anime que je regarde cette saison et il y a du lourd !

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Baka to Test to Shoukanjuu Ni!

YES ! YES !

Content. Juste extrêmement content de retrouver cette série.
Il y a rien à redire, elle est devenue parfaite. On retrouve tout le charme de la première saison en mieux. Au vue des 4 premiers, je n'ai qu'à espérer que ça continue comme ça. Mais je sais parfaitement que non... Ca va être encore plus grandiose.


Le reste des animes ne m'intéresse pas. Rien d'extraordinaire.
J'ai bien tenté de commencer Yuru Yuri pour une seule chose : son début et fin de générique.
Sais pas... J'aime bien mais c'est tout. J'ai regardé difficilement l'épisode 1, fait de nombreuses pauses durant le 2 et mis à la poubelle le 3.

J'ai été plus difficile avec The IDOLM@STER pas réussi à regarder un épisode en entier.

Ah oui, il y a tout de même autre chose que j'ai regardé ... ça !

...

T____________________________T

Le générique m'a tué ! Higurashi, c'estça ou ça ou bien encore ça !

Un univers enfantin qui est juste incroyablement malsain !
Bon, bon. Faut que je comprenne un truc, ce n'est que des OAV qui vont aller dans le même délire l'autre qui était déjà sortit, il y a fort longtemps. Mais tout de même, avoir un épisode où on a des fantasmes qui s'enchainent encore et encore.
Je sais plus si j'avais un sourire amusé ou nerveux durant l'épisode.
Par contre, je me demande si DEEN invente ou bien ça vient des bonus du VN...

Bref, malgré que je considère pas vraiment ça comme du Higurashi, c'est sympa et un peu perturbant de voir de tels situations avec ces ... personnages.

Après tout... le prochain sera peut-être mieux : magical girl, professeur qui veut tuer avec une soupe, robot balançant des lasers, fée, power ranger...

TOT

_________________
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PyroVision


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 Sujet du message: Re: L'Antre du Fanboy
MessagePosté: Mer 3 Aoû 2011 21:27 
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Localisation: Comme la vérité, ailleurs.
Certains reviennent sur le topic pour reprendre les rênes alors que je tentais de m'en emparer et pour quoi ? Même pas une quinzaine de critique ?
Le vrai fanboy d'anime va revenir bientôt et même si il lutte pour suivre pas mal de séries, le vrai est du genre masochiste, il reviendra bientôt et il n'y aura pas du lourd mais de la souffrance.

Ce post est du flood totalement assumé mais je le rééditerais pour mes critiques.
See you next time !
;-)

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