Onigin a écrit:
Par contre, pour Shugen, d'après le wiki il s'est inspiré surtout d'un perso de Battle Royale (Kazuo Kiriyama), je ne connais pas l'oeuvre donc si ça parle à certains
Ha oui ! Moi ça me parle !
Alors oui je voit le lien entre les deux persos en terme de compétences mais ça s'arrête là.
Dans battle royale Kiriyama est un espèce de génie sociopathe, lui et Shugen partage le talent pour apprendre vite des autres et pomper leur technique avec autant de talent.
Kiriyama explose 3 mec en leur brisant les membres avec un bouquin sur l'anatomie qu'il venait de finir de lire ou encore copie la technique d'un expert en arts martiaux juste en encaissant un coup et on voit bien que Shugen utilise les techniques des autres Aseamon lors de son combat contre "simili-kenpachi" (j'arrive pas a retenir son nom et depuis que Schrö m'a mis ce nom en-tête j'arrive à l'appeler autrement ^_^).
Apres niveau caractère pas du tout, Shugen prône l'ordre et la justice même si ça l'amène a devenir extrême alors que Kiriyama est un sociopathe qui tire à pile ou face pour savoir si il participe au battle royale ou attaque le gouvernement et spoiler il commence par buter ses anciens "amis" en leur tendant un piège.
Bolin a écrit:
Mais oui c'est un manga d'action qui est fait pour bien divertir et il ne faillit pas à sa tâche.
Mais bon pour Gabimaru, le personnage principal, son background, ses motivations voire sa personnalité c'est quand même le minimum du minimum syndical
Onigin a écrit:
Pour Gabimaru le néant, c'est aussi un peu le néant pour son background. Enfin, c'est le minimum syndical comme tu dis
.
Alors là je suis surpris, oui effectivement c'est pas pousser a l'extrême mais je ne trouve pas ça dérangeant, je dirais même que j'apprécie beaucoup cette dualité au sein du personnage de Gabimaru.
Ça motive c'est juste revoir sa femme, mais à t'il besoin de plus ? Un homme prêt à tout pour revoir la femme qu'il aime perso ça me parle et me satisfait amplement comme motivation.
Concernant son caractère, j'aime cette dualité entre ses monologues intérieurs et ses actions. L'opposition entre ce que lui dit son Kokoro, qu'il commence juste à découvrir et à écouter, et une vie entière d'endoctrinement sur la philosophie Shinobi, ça laisse des traces ^_^.
Par exemple au début quand il affronte Sagiri pour s'enfuir, il arrête pas de se dire qu'il peut,voir qu'il doit la tuer mais préfère ne pas le faire car son cœur lui dit que non.
Ou alors quand il rencontre 2 prêtres et qu'il part du principe que leur histoire avec Mei ne le regarde pas, qu'il n'a pas a s'en mêler mais finit par protéger la fille, par pur instinct, à la mention des viols qu'elle a subit.