Votre avis de recherche ? Salutations à tous de la part de l'auto-surnommé Silenus, pseudo à la référence évidente qui fera tilt chez les fins connaisseurs, je sais qu'il y en a ici, et qui, je l’espère, attisera la curiosité des néophytes vers l’œuvre dont est issu le personnage -3s de recherche google... ou pas après vérification, mais merde vous n'avez qu'à vous acheter une culture littéraire !- Petit indice il s'agit de SF. Pourquoi ce pseudonyme ? Parce que j'adule l’œuvre dont il est issu. Parce que j'aime le personnage éponyme. Parce que j'aime sa phonétique -manière pompeuse de dire que : foutre-cul, ça sonne bien ! Mis à part ça mon nom restera secret -c'est bien la peine de trouver un pseudonyme si c'est pour en casser l'intérêt d'entrée. Concernant mon avatars là encore je vous laisse chercher, c'est plutôt assez facile bien qu'assez éloigné du graphisme propre au support d'origine. Pour les plus japonisé d'entre nous mon groupe sanguin est O, la bonne poire universelle. J'approche doucement des milles ans d'existences... Oui bon ça va laissez moi rêver un peu. Les qualités et les défauts sont à mon sens des choses trop subjectives pour valoir d'être cités ici, on va dire que là ou certains me diraient détendu d'autres pourraient me dire mou etc. C'est un exemple. Pour ce qui est du physique je fait un mètre quatre-vingt cinq et suis blond aux yeux bleus, en voila bien assez pour vous laisser fantasmer en pensant m'apercevoir dans la rue.
Votre carrière dans la piraterie ?
Mais dans quelles rues me direz vous. Eh bien dans les magnifiques rues de Paris, plus belle ville du monde -n'en déplaise aux provinciaux et étrangers-, où je suis né un beau jour d"été le 18 août et où je vis toujours en continuant mes études à l'université, après avoir brillamment passé, il y a longtemps déjà, un bac S, du côté de la rive gauche est pour être précis.
Ce que vous faites entre deux pillages ? Eh bien, entre deux pillage je lis : des BD, des livres, la presse, des comics, des mangas -quelle surprise !-, j’essayerais de poster dans les différents sujets dédiés aux listings pour donnez une idée de mes goûts ; je lis de manière d'ailleurs relativement industrielle d'ailleurs ; je vais au cinéma, là encore fréquemment, je regarde des séries, j'écoute de la musique, activité souvent couplée à la lecture ou internet. Je joue également assez fréquemment aux jeux vidéos, enfin pas autant que je le voudrais étant donné que c'est une activité se révélant vite chronophage. Et je fais également un peu de sport ; Men sana in corpore sano disait le sage.
Qui sont les pirates qui vous ont inspiré ?
Étant donné que je n'ai pas déjà l'impression d'être sur mon lit de mort -occupé à écrire les mémoires de ma fascinante vie-, je me permet de renommer librement cette rubrique : les Pirates qui m'inspirent. Autant dire d’emblée que ça risque d'être la section de l'injustice puisque je vais certainement d'oublier du monde. Commençons par le cinéma, où je vais exclusivement parler de réalisateurs et notamment de Kubrick, Tarantino, Kitano qui sont actuellement mes réalisateurs préférés. Au niveau des comics je citerais Miller, Moore, Sakai ou encore Schulz ; en mangaka Oda, bien sûr, Otomo, Tezuka, Urusawa, Kishiro, Togashi et Araki ; pour les BD le couple Schuiten/Peeters et Bajram. Chez les écrivains Hugo, Dumas, Asimov, Simmons, Poe, etc. Et bien sur ce rajoute à tout cela un nombre innombrable de personnages qu'il serait trop long d’énuméré et trop fastidieux de tenter de se souvenir donc je m’arrêterais là pour cette rubrique Maintenant c’est l’heure du pillage !!!! -Capitaine! Capitaine! -Qui y a-t-il de si impérieusement important, moussaillon, pour que tu ose me déranger lors de mon sommeil ? -Désolé capitaine! Mais c'est que, capitaine, le soleil est déjà bien haut... -Et tu 'ose en plus le sarcasme moussaillon ? Viens en rapidement au fait, coquin, si tu veux continuer d’espérer échapper à la bastonnade. -Pardon capitaine. je ne voulais pas capitaine. sinon vous pensez bien capitaine. -Mais vas-tu en venir au fait moussaillon ? As-tu à ce point envie de substituer les requins à la bastonnade ? Pour que tu ne cesse ainsi de m'inonder de tes palabres, et tu sais si bien l'horreur que j'en ai ! -Bien mon capi... -Cesse-donc de m'appeler capitaine ! Les faits ! -Bien sire. Eh bien voilà : tantôt ; alors que je me promenais sur le pont en direction de la cambuse, en quête de nourriture car je n'avais pas mangé depuis la veille au soir et que les heures hautement matinales aux quelles j'ai dû commencer mon travail, ainsi que les appétissantes gamelles de mes compagnons, avaient aiguisé mon appétit et tout guilleret à l'idée de mon futur repas, je rencontrai M. votre second. La méfiance éteinte par l'image de ce que j'imaginais un futur festin, ce me mettait décidément en joie, je lui fit part de mes projets. Celui avec qui je discutai, hier encore, des gourmandises de la terre ferme que nous pourrions goûter lors de notre prochaine escale, se mit soudain à me sermonner sur les sept pêchés capitaux tout en divaguant sur le fait que, selon lui, on travaillait mieux le ventre vide. Je m’éloignais alors bien vivement de ce lugubre personnage ; tout en lui faisant comprendre que ce n'était pas ma faute si la mer lui avait fait rendre son dîner de la veille. -Mais qu'ai-je donc, dans mon encore si courte vie, fait de suffisamment horrible pour que les dieux t'envoient à moi invétéré bavard ? -Votre si courte vie de pirate, faite de forfanterie, doit y être pour quelque chose. Sire. -C'était une question rhétorique matelot! Maintenant abrège moi le récit de ta matinée, j’abrégerais d'autant tes souffrance futures. -Bien je vais tacher de me dépêcher ; autant que faire se peut. -Autant dire peu d'entrée ; tu m’épargnera autant qu'à toi des espoirs biens inutiles et tant de déconvenues. -Sire ; sans vouloir vous manquez de respect si vous ne cessez de m'interrompre dans mon récit vous risquez de perdre de votre précieux temps. -Hum... Tu as raisons de toute manière j'aurais tout le temps de t’apprendre le respect plus tard. -Après donc la rencontre de M. votre second et de nombreux autres membres d'équipage qui finirent de m'affamer, j'arrivais prés du grand mât et de la grande hune un marin me héla "Navire, navire à l'est" -Un navire ? Eh bien quoi de plus normal de trouver un navire en mer ? Et c'est pour cela que tu ose me réveiller et m’assommer de tes paroles, alors même qu'hier nous avons fait cale pleine avec un riche navire marchand ? et c'est avec cette information ô combien capitale que tu espère échapper à la bastonnade ? -Tout à fait capitaine, c'est que le bâtiment arbore assez fièrement à ses mats un pavillon marqué d'un D... -Un D dis tu ?! en est-tu sûr ? -C'est que j'ai eu l'occasion de le vérifier de mes propres yeux, ceux là même que vous regardez d'un air vitreux en ce moment... -Mais ne pouvais-tu pas le dire plutôt moussaillon ? Enfin, après toutes ces années passées à sillonné les mers de ce trop vaste monde je le retrouve ; enfin cessent mes errances ; enfin il est à nouveau à portée de ma voile,enfin il est à porté de mes yeux et cette fois il y restera! Ces années d'attentes on fini d'aiguiser les couteaux de mes forbans, d'aiguiller le talent de mes barreurs, d'affermir la force mes matelots, de creuser ma faim ; le plat principal est cuit les serveurs sont prêt le festin peu commencer! Tout le monde sur le pont! Barreurs à bâbord toutes et gardez cap sur ce maudit bâtiment! Maintenant matelots comme officiers je demande votre attention à tous, vous qui m'avez suivi dans cette aventure, sachez qu'elle touche à sa fin et peut être l'idée de cette conclusion vous pétrifie-t-elle de peur et peut être moi aussi suis-je pétrifié comme le bois sur lequel je m’appuie ; mais il n'y a désormais plus d'échappatoire autre que la mort et si ce bateau doit sombrer à l'encontre de ce bâtiment que vous voyez à l'ouest poindre de l'horizon, car oui nous irons à sa rencontre, sachez que vous sombrerez avec ; sur ce navire là bas il n'y pas de prisonnier, sur celui là on gagne sa place seulement par la force. maintenant voyez ce doublon d'or une fois de retour à terre lui, et ces frères toujours dans ma bourse, feront de vous un homme riche, respectable avec si vous le voulez femme et enfants, maintenant voyez comme je le cloue au mat avec sa fratrie, de ce mat seul l'un d'entre vous pourra le décrocher, seul un d'entre aura l'occasion de jouir de cet or, seul l'un d'entre pourra partir, si il le souhaite, de ce navire en homme libre, riche, honorable ; messieurs ce doublon reviendra à qui lancera le premier grappin au bastingage de ce bateau! A l'abordage !
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