Xehanort a écrit:

Goemon Ishikawa pour ceux qui ne connaissent pas.
Oda puise dans l'histoire japonaise pour la scène du bouillon. Le parallèle entre l'enfant et les 9 fourreaux rouges est plutôt sympa.
Intéressant. Merci pour le partage.
Bunta a écrit:
Suite à ce chapitre, j’imagine Oden s’éteindre un peu à la manière de Barbe Blanche. Je le vois bien réussir à tenir l’heure dans cette marmite, encouragé par la foule présente et ses fourreaux face à cet exploit. L’heure fatidique arrivant à son terme et les fourreaux sortant alors de la marmite, on découvrirait que Oden (après avoir prononcé ses dernières paroles) a déjà succombé mais en restant debout et portant cette planche jusqu’au bout.
En effet, ce serait pas mal d'avoir ce parallèle avec BB.
Mais au-delà du possible (ou non) clin d’œil à BB, ce qu'il faudrait aussi retenir, selon moi, c'est le symbole.
Oden, debout dans une marmite d'huile bouillante, décide de porter tout seul le fardeau de son pays. Lui l'héritier qui aura longtemps fui l'héritage familiale (déterminisme, quand tu nous tiens), décide de tout prendre sur lui (au sens propre comme au figuré) et endosse les maux de son pays (le traitement du clan Koruzuki ainsi que le ''Sakoku'' ou politique isolationniste du pays).
En portant les 9 Fourreaux rouges - ses plus fidèles alliés -, il leur confie cette ultime mission: penser les plaies du pays à travers l'ouverture des frontières.
Du coup, j'y crois de moins en moins à l'hypothèse d'un traitre car ce serait extrêmement cruel après son immense sacrifice. Et si Kaido, à l'instar de Big Mom, avait tout simplement des moyens technologiques avancés pour espionner les gens?
J'attends avec impatience de connaître les
dernières paroles d'Oden.