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Avant-propos
Suite à un récent (re)visionnage d'Aliens, le retour, Alien 3, Alien: la Résurrection, Alien: Romulus, à ma préparation d' Alien: Earth, et de la publication du fil dédié à ce dernier, j'eus envie d'ouvrir un topic consacré à la saga ainsi qu'à Predator. Considérez donc ce fil comme un centre de discussions sur la franchise (chaque œuvre est brièvement présentée, n'ayant moi-même pas tout vu, lu et joué), bien que chaque production (que ce soit sur les grand et petit écrans, en bande dessinée, en roman, jeu vidéo, et plus) peut continuer à avoir son propre thread (comme je l'ai récemment fait avec Romulus et Earth). Sachez qu'un topic sur le premier film mettant en scène la créatures endoparasitoïde a déjà été créé par notre ami Leto II en 2009, mais face à son inactivité depuis 2010, je le dépoussière ici (avec l'aval d'ange, évidemment). Je ne compte pas non plus re-décrire, même d'un point de vue personnel, chaque film : Leto l'a très bien fait sur son sujet, ce serait comme présenter de mille manières différentes un mur blanc (ne vous attendez donc pas à de longs pavés, sauf si l'envie m'en prend, mais ça m'étonnerait). Promis, j'essaie de me démarquer de la présentation de mon voisin du dessus. Sachez également qu'au vu de la longueur de ce post (qui atteint la limite autorisée de caractères), j'étalerais la timeline complète des univers croisés dans un second post (et je la supprimerai de celui-ci), pour ne développer que les fondations d'Alien et Predator dans les sections ci-dessous (planètes, personnages, etc.). Quant à la complétion de la chronologie de sortie des différents oeuvres sur tous supports, j'étayerais sûrement ça aussi dans un second post. Oui, je sais, ce n'est pas bien de ne pas tout inclure dans un seul et unique message (on dirait une soutenance incomplète), mais comprenez, je suis un amateur. Je termine cette note en disant que je ne suis point un critique de cinéma et ne suis pas entièrement renseigné sur tous les cadres et contextes historiques ou géopolitiques que j'aborde (surtout dans le paragraphe qui suit), donc vous m'excuserez, je l'espère, des quelques coquilles à la dérive. IntroductionSagas cultes et incontournables du cinéma, Alien et Predator sont devenues des classiques de l'horrifique et de la science-fiction à partir de la fin des années 70, avec dans un premier temps la sortie du Huitième passager le 25 mai 1979 aux États-Unis - précédée deux mois plus tôt de sa novélisation -, puis celle de Predator le 12 juin 1987. Ces franchises ont non seulement baigné les années 80 et 90 de par l'angoisse et la peur qu'elles génèrent ainsi que la brutalité du Yautja et l'imprévisibilité du xénomorphe, mais aussi notamment propulsé (par chance, d'après elle-même) la jeune actrice Sigourney Weaver a un niveau de notoriété qu'elle n'aurait espéré, l'érigeant en modèle de la « Femme forte », « Incarnation de la lutte extraterrestre et anticapitaliste des corporations » (c'est en réalité un peu plus le cas dans le premier épithète cité). Arnold Schwarzenegger, lui, était déjà connu depuis son rôle du Terminator dans le titre éponyme, mais cette production a consolidé sa réputation et sa popularité. Pour comprendre davantage la recette de leur succès, il faut effectuer un bond dans le temps, en commençant avec le cas Alien : dans les années 50 et 60, la représentation des vaisseaux spatiaux et par conséquent de l'espace était assez "légère" et franchement incomplète dans les films hollywoodiens, comme « Planète interdite » de Fred M. Wilcox (1966), dont le contexte s'inscrivait davantage dans un cadre politique que de divertissement : la Guerre Froide était en cours, et les américains devaient impressionner le grand public pour montrer qu'ils seraient les premiers à quitter l'atmosphère terrestre (ce qui, on le sait tous, ne fut pas le cas) ; le tout avec un budget pas très élevé. Là-dessus, une vague de cinéastes appartenant à une nouvelle génération et souhaitant moderniser le processus productif et créatif des films déferle sur Hollywood dans un tsunami de pellicules aussi spectaculaires et mémorables les unes que les autres : le Nouvel Hollywood venait de naître. L'un des premiers coups de maîtres sera « 2001, l'Odyssée de l'espace », par Stanley Kubrick (1968), suivi de « Les Dents de la Mer », de Steven Spielberg (1975), puis de « La Guerre des Etoiles », de George Lucas (1977). Pendant ce temps, un réalisateur qui avait jusque-là baigné dans le domaine de la publicité fait son entrée au cinéma avec « Les Duellistes » (1977). Ridley Scott entre dans la partie. Durant cette période (1977-1979), Dan O'Bannon et Ronald Shusett (enfin, surtout Dan) écrivent un scénario se passant dans un huis clos, avec sept passagers ordinaires revenant de mission vers la Terre : tout semble parfaitement normal. Seulement, un huitième passager viendra bousculer leur vie, le fameux alien. Alors que jusqu'aux années 70, la plupart des réalisateurs, pour représenter une soucoupe volante, n'en font construire que quelques salles chargées de la représenter en studios, Ridley choisi de faire construire un véritable vaisseau dans les studios londoniens de Shepperton. Pour créer l'alien, le facehugger et les œufs, Ridley se rapproche du plasticien suisse Hans Ruedi Giger, à qui il confie leur confection, attiré par son style underground mêlant violence et sexe. Pour l'incarner, le nigérien Bolaji Badejo, repéré dans un pub de Londres en 1978 par le directeur du casting Peter Archer, est engagé : sa grande taille (2,08 m) et son tour de taille très fin convainquent la production (au départ, ils avaient essayé avec un cascadeur assez mince, mais son costume en caoutchouc lui donnait des airs de bonhomme Michelin). Il est décédé seulement treize ans après la sortie du Huitième passager et est le seul film dans lequel il est crédité. Côté Predator, la licence voit le jour initialement sous l'impulsion, début 86, d'une blague selon laquelle Rocky Balboa souhaite affronter un ennemi extraterrestre, dans ses films. La plaisanterie est alors prise au sérieux, et un script est écrit, passant d'une main à l'autre. Pour jouer le prédateur, est envisagé l'acteur Jean Claude Van Damme, sous le costume, mais ce dernier sera écarté du projet suite à ses critiques négatives sur celui-ci (le costume, pas le film). La mandibule, caractéristique symbolique de la créature, est conseillée par James Cameron au réalisateur de la Fox lors d'un voyage en avion. La production a alors lieu, et la pellicule sortira commercialement la quatre-vingt septième année du XXe siècle. Alors, me demanderez-vous : comment passe-t-on de deux espèces extraterrestres distinctes n'ayant connaissance l'une de l'autre et n'ayant rien en commun à Alien vs. Predator, dix-sept ans plus tard ? Deux ans après Predator, l'éditeur Dark Horse Comics réalise une bande dessinée dans laquelle deux monstres de l'espace se rencontrent : si, à ce moment-là, l'idée d'un AVP n'est pas officialisée, c'est parce que ledit éditeur avait déjà fait se croiser des personnages comme Superman et RoboCop, voire Batman. Donc pas de quoi sursauter. L'on pourrait penser à un simple crossover, qui prend cependant une plus grand ampleur en 1990 dans Predator 2, lequel présente un crâne de xénomorphe dans la scène finale, dans le vaisseau de la bête. Deux ans plus tard, en 1992, Alien 3 sort en salles, et devait voir le jour à la même période un AVP. Les producteurs d'Aliens lui barrèrent la route, estimant qu'un tel film provoquerait la chute de la saga Alien. C'est également Sigourney Weaver herself qui s'oppose au projet (et c'est aussi en partie pour cette raison qu'elle acceptera de revenir une ultime fois dans Alien: la Résurrection, cinq ans plus tard, afin d'empêcher une seconde sortie d'un potentiel AVP), devenant au fur et à mesure des films une coproductrice et plus seulement une actrice et déclarant qu'une telle idée serait « épouvantable ». C'est finalement en 2004 que le xénomorphe et le prédateur se croisent pour la première fois au cinéma, après une extension de jeu vidéo qui leurs sont dédiés en 2002. Cela lance cette franchise, qui se "terminera" quatre ans plus tard avec Requiem. L'universDe type science-fiction, la franchise se passe majoritairement dans le futur, même si certaines actions ont lieu quelques décennies ou siècles dans le passé (notamment Predator). Aux origines, un homme : Peter Weyland, qui fonda l'entreprise Weyland Corporation, en 2012. Quelques décennies passent, et la conquête de l'espace commence, menée par plusieurs grandes entreprises (dont la Weyland, qui fusionnera avec Yutani). Dans son emballage, Alien et Predator ont tout d'un Star Wars, à une exception : il n'existe pas une infinité de races extraterrestres, les humains étant les spécialistes de la colonisation Constituent ces mondes des cyborgs (des humains améliorés grâce à des implants cybernétiques), synthétiques (conçus et programmés pour se comporter comme des humains, mais restent des entités artificielles de corps et d’esprit), hybrides (des synthétiques, dans lesquels on télécharge une conscience bien humaine à partir d’un scan – et non une intelligence artificielle), androïdes (des humanoïdes biomécaniques qui imitent étroitement les humains tant dans leur apparence que dans leurs actions), humains, Yautja (les Predators) et xénomorphes (les Aliens). Et plein de biomes variés. (!) La chronologie complète de la franchise est disponible dans mon second et troisième messages, plus bas. Les planètesÀ venirLes vaisseaux, épicentre d'intriguesÀ venirLes personnagesÀ venirL'AlienÀ venirLes PredatorsÀ venirDans l'espace, personne ne vous entend crierÀ venirSur Terre, vous devenez la meilleure des proiesÀ venirL'inconnu et l'inhumain nous sont forcément hostiles ?À venirAlien & Predator, dans le transmédiaÀ compléterCe qui suit est un maigre récapitulatif (comprenez non détaillé de ma part, pour chaque opus) chronologique des sorties et publications de ces deux mondes que tout oppose. Ça ne débutera donc pas par les films, dont le premier est arrivé deux mois après le premier produit, le roman. Alien (roman — 29 mars 1979)
Auteur : Alan Dean Foster Éditeur : Warner Books Adaptation audio (10/12/2015): Narrée par Peter Guinness et publiée par Audible Studios Il s'agit de la novélisation adaptant le film éponyme, ajoutant des scènes coupées de l'originale présentes dans la version du réalisateur (director's cut). Pour la petite anecdote, l'œuf iconique que l'on voit sur l'affiche est en réalité celui d'une poule. The Book of Alien (ouvrage — 1er mai 1979)
Auteurs : Paul Scanlon et Michael Gross Éditeurs : Heavy Metal Communications et Titan Books (réédition) Ce livre contient des informations sur les coulisses de la production du Huitième passager, avec un accent mis sur la phase de conception. Il y regorge d'une multitude d'illustrations conceptuelles réalisées par Chris Foss, Ron Cobb, Ridley Scott et H. R. Giger, représentant les vaisseaux, les lieux et les créatures que l'on voit dans le film. Le livre contient également des images prises dans les coulisses, sur les plateaux et pendant le tournage, accompagnées de commentaires des différentes personnes qui ont travaillé sur le film. Alien, le huitième passager (film — 25 mai 1979)
Réalisateur : Ridley Scott Scénario : Dan O'Bannon Producteurs : Brandywine Productions et 20th Century Fox Le vaisseau commercial Nostromo et son équipage, sept hommes et femmes, rentrent sur Terre avec une importante cargaison de minerai. Mais lors d'un arrêt forcé sur une planète déserte, l'officier Kane se fait agresser par une forme de vie inconnue, une arachnide qui étouffe son visage.
Après que le docteur de bord lui retire le spécimen, l'équipage retrouve le sourire et dîne ensemble. Jusqu'à ce que Kane, pris de convulsions, voit son abdomen perforé par un corps étranger vivant, qui s'échappe dans les couloirs du vaisseau…Alien Game (jeu de société - 1979)
 Producteur : Kenner Products Distributeur : Twentieth Century Fox Film Corporation Le but du jeu est d'être le premier joueur à faire passer l'un de vos trois astronautes par le Nostromo jusqu'à la navette spatiale Narcissus. Vous utilisez également votre Alien pour éliminer les astronautes des autres joueurs.Alien: The Illustrated Story (roman graphique — juin 1979)
Auteur : Archie Goodwin Crayonnage : Walt Simonson Ancrage : Mark A. Nelson Lettrage : John Workman Colorisation : Polly Law, Bob K. LeRose, Deb Pedlar et Louise Simonson Couverture : Walt Simonson Éditeur : Heavy Metal Communications et Titan Comics (réédition) Adaptation en roman graphique du film éponyme. The Officially Authorized Magazine of the Movie Alien (magasine promotionnel — décembre 1979)
Créateur : Jeff Rovin Auteur : Richard Meyers Éditeur : Warren Publishing Alien (jeu vidéo — novembre 1982)
Designer : Doug Neubauer Développeur : Fox Video Games Éditeur : Fox Video Games Support : Atari 2600 Première adaptation tout support confondu de l'univers d'Alien. C'est un jeu de labyrinthe dans le style de Pac-Man où vous contrôlez un humain qui se déplace dans les couloirs d'un vaisseau spatial et doit éviter les extraterrestres adultes et détruire les petits œufs extraterrestres. Alien (jeu vidéo — 1984)
Designers : Paul Clansey, John Heap et Garry Hughes Développeur : Concept Software Éditeur : Argus Press Software Supports : Commodore 64, ZX Spectrum, Amstrad CPC Jeu d'aventure où vous êtes responsable de tous les membres d'équipage du Nostromo. Tout commence par la mort d'un des membres de l'équipage par l'alien, ce qui reflète la mort de Kane lorsqu'il donne naissance au xénomorphe dans le film. Vous déplacez les personnages sur une carte représentant le vaisseau sous forme de grille, tandis que les personnages recherchent l'alien. La carte est parsemée de divers objets utiles tels que des filets, des incinérateurs, des pistolets et des bonbonnes d'oxygène. Vous pouvez ordonner à l'un des membres d'équipage de ramasser ces objets et de les utiliser en cas de besoin. Aliens: The Computer Game (jeu vidéo — 1986)
Producteur : Brad Fregger Développeur : Activision et Mr. Micro Éditeur : Activision (USA) et Electric Dreams Software (UK) Supports : Commodore 64, Apple II et ZX Spectrum Il s'agit d'une série de six mini-jeux reliés entre eux par des séquences graphiques interactives, à la manière d'un jeu d'aventure, bien que la seule interaction possible consiste à faire avancer le dialogue, affiché dans des bulles. Les mini-jeux sont principalement des séquences d'action qui consistent à piloter un vaisseau depuis Sulaco jusqu'à la surface de la planète, à reconnaître des équipements et à combattre des extraterrestres. Aliens (magasine promotionnel — 1er juin 1986)
Journalistes : David McDonnel et Carr D'Angelo Éditeur : Starlog Press Magasine promouvant le Retour. Aliens (roman — 1er juin 1986)
Auteur : Alan Dean Foster Éditeur : Warner Books Adaptation audio (10/12/2015): Narrée par William Hope et publiée par Audible Studios C'est, pour la seconde fois, le novélisation du projet cinématographique éponyme, qui ajoute aussi des scènes "exclusives" également visionnables dans l'édition spéciale du film. Aliens, le retour (film — 18 juillet 1986)
Réalisateur : James Cameron Scénario : James Cameron Producteurs : Brandywine Productions Distributeur : 20th Century Fox Après 57 ans de dérive dans l'espace, Ellen Ripley est secourue par la corporation Weyland-Yutani. Malgré son rapport concernant l’incident survenu sur le Nostromo, elle n’est pas prise au sérieux par les militaires quant à la présence de xénomorphes sur la planète LV-426 où se posa son équipage… planète où plusieurs familles de colons ont été envoyées en mission de "terraformage". Après la disparition de ces derniers, Ripley décide d'accompagner une escouade de marines dans leur mission de sauvetage… et d’affronter à nouveau la Bête.Aliens: The Official Movie Book (ouvrage — décembre 1986)
Auteur : Alan Dean Foster Éditeur : Warner Books Adaptation audio (10/12/2015): Narrée par William Hope et publiée par Audible Studios Ce livre comprend une brève adaptation en photonovel du film, ainsi que des articles sur plusieurs des principaux acteurs et membres de l'équipe et leurs rôles dans le film. Outre les informations écrites, il contient une multitude d'images exclusives des coulisses, ainsi que plusieurs posters détachables. Predator (jeu vidéo — 1987)
Développeurs : Software Studios, System 3, Pack-In-Video, Klon, Source et GlenHills Graphics Éditeur : Activision, Superior Software, The Hit Squad et Pack-In-Video Supports : Acorn Electron, Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, BBC Micro, Commodore 64, Nintendo Entertainment System, MSX et ZX Spectrum Vous vous glissez dans la peau de Dutch Schaefer. Il peut utiliser ses poings, une mitraillette ou des mines comme armes, chacune d'entre elles disposant d'une quantité limitée de munitions. Chaque fois que vous quittez un niveau, un écran cartographique apparaît, vous permettant d'accéder aux niveaux adjacents à celui où vous vous trouvez. Predator (roman — 1er juin 1987)
Auteur : Paul Monette Éditeur : Jove Books Tout comme son confrère Alien, le premier volet de Predator est d'abord sorti discrètement en roman avant d'entrer dans les salles obscures. Cette version ne contient cependant pas de scènes ajoutées liées à un director's cut, mais quelques différences notables. Aliens: Alien 2 (jeu vidéo — 10 juin 1987)
Développeur : Square Soft Éditeur : Square Soft Support : MSX Aliens: Alien 2 est un jeu de tir à défilement horizontal sorti exclusivement au Japon, basé sur le film du même nom. À l'origine, le jeu devait également sortir sur la Famicom, mais cela ne s'est jamais produit. Predator (film — 12 juin 1987)
Réalisateur : John McTiernan Scénario : Jim et John Thomas Producteurs : Davis Entertainment, 20th Century Fox Distributeur : 20th Century Fox Le commando de forces spéciales mené par le major Dutch Schaeffer est engagé par la CIA pour sauver les survivants d’un crash d’hélicoptère au cœur d’une jungle d’Amérique Centrale. Sur place, Dutch et son équipe ne tardent pas à découvrir qu’ils sont pris en chasse par une mystérieuse créature invisible qui commence à les éliminer un par un. La traque commence.Aliens: Outbreak (série de bandes dessinées — juillet 1988/juillet 1989)
Auteur : Mark Verheiden Crayonnage : Mark A. Nelson et Ron Randall Ancrage : Mark A. Nelson Lettrage : Willie Schubert Couvertures : Mark A. Nelson Éditeur : Dark Horse Comics Dix ans après la destruction de Hadley's Hope sur LV-426, Newt est patiente à Feildcrest Home, un établissement psychiatrique. Hicks reste enrôlé dans les Marines coloniaux, mais il est rejeté par la plupart des membres du corps, qui le considèrent comme porteur d'une infection extraterrestre après sa quarantaine de plusieurs mois à son retour sur Terre. Newt et Hicks sont tous deux tourmentés par des cauchemars qui leur rappellent leurs expériences sur LV-426.
Hicks est contacté par un supérieur nommé Perkins, qui lui ordonne de se présenter au colonel Stephens au quartier général du MILCOM après avoir visionné un disque vidéo montrant un vaisseau spatial des garde-côtes s'approchant d'un navire abandonné, le Junket, qui dérive dans l'orbite terrestre. Les garde-côtes envoient une sonde pour enquêter. À l'intérieur de l'épave, la sonde révèle un cadavre, des trous brûlés à l'intérieur du vaisseau et les mots « kill us all » (tuez-nous tous) peints avec du sang sur l'un des murs. Une activité est observée par le détecteur de mouvement de la sonde, une charge explosive est mise en place et l'épave est détruite.Aliens: This Time It's War (jeu de société — 1989)
 Éditeur : Leading Edge Games ALIENS est un jeu pour un ou plusieurs joueurs qui recrée les principaux conflits du second volet. Le jeu propose plusieurs batailles, ou scénarios, dans lesquels les joueurs incarnent différents personnages du film (Ripley, les Colonial Marines, Burke et Newt) et tentent de survivre à leurs rencontres avec les Aliens. Il existe trois scénarios, qui peuvent être joués indépendamment ou l'un après l'autre, afin de simuler l'intégralité du film.Predator (série de bandes dessinées — juin 1989/mars 1990)
Auteur : Mark Verheiden Crayonnage : Mark A. Nelson et Ron Randall Ancrage : Mark A. Nelson Lettrage : Willie Schubert Couvertures : Mark A. Nelson Éditeur : Dark Horse Comics Dans une ville de New York ravagée par la chaleur, une réunion secrète entre deux chefs de gangs, Lamb et Carr, est interrompue par un agresseur inconnu. Répondant aux rapports faisant état de coups de feu, les détectives Rasche et Schaefer ignorent les ordres leur enjoignant de rester à l'écart et pénètrent dans l'immeuble abandonné où ils découvrent les deux gangs massacrés ; seul Carr a survécu au carnage et parvient à s'échapper avant que Rasche et Schaefer ne puissent l'arrêter. Le capitaine McComb arrive et réprimande les deux officiers pour avoir désobéi à l'ordre de ne pas pénétrer dans les lieux, les avertissant de ne pas s'occuper de l'affaire et les informant que les « fédéraux » s'en chargeront.
Quelques jours plus tard, une autre attaque vise un stand de tir de la police de New York, ne laissant en vie que le réceptionniste non armé. Rasche et Schaefer pénètrent à nouveau sur les lieux sans autorisation et sont confrontés au général Philips de l'armée américaine, qui prend les détectives à part et les presse de ne pas poursuivre les meurtres. Schaefer ne se repent pas, surtout lorsque Philips mentionne qu'il connaissait le frère disparu de Schaefer, Dutch. Après la réunion, Rasche et Schaefer retournent sur les lieux du massacre de la mafia pour chercher des indices. Schaefer entre seul à l'intérieur et est attaqué par le tueur, une silhouette gigantesque qui le jette brutalement par la fenêtre, mais pas avant que Schaefer ait réussi à arracher le casque du suspect. Rasche emmène son partenaire blessé à l'hôpital, où les médecins révèlent qu'un mystérieux dispositif métallique a été fixé à l'arrière du cou de Schaefer et menace de sectionner son artère carotide s'il est retiré.Aliens: Nightmare Asylum (série de bandes dessinées — août 1989/mai 1990)
   Auteur : Mark Verheiden Crayonnage : Den Beauvais et Roger Casselman Ancrage : Den Beauvais Lettrage : Bob Pinaha et J. David Jackson Couvertures : Den Beauvais Éditeur : Dark Horse Comics À la suite des événements d'Aliens: Outbreak, Hicks, Newt et le synthétique Butler, endommagé, se sont embarqués clandestinement à bord d'un drone cargo automatisé nommé The American, après avoir fui une Terre infestée d'aliens.
L'équipage découvre que le vaisseau transporte des aliens vers une destination inconnue. Après avoir tué les extraterrestres, le vaisseau se dirige en pilote automatique vers un poste militaire commandé par le général Spears, qui élève et tente d'entraîner des extraterrestres à combattre leurs propres congénères sur Terre. Il est décrit comme impitoyable et plusieurs personnages le qualifient de fou. Tout au long de l'histoire, on découvre que Spears est extrêmement paranoïaque quant à sa propre sécurité et à celle de ses extraterrestres, et qu'il est prêt à sacrifier ses propres troupes sans hésitation.Aliens vs. Predator (histoire courte — novembre 1989/janvier 1990)
   Auteur : Randy Stradley Crayonnage : Phill Norwood Ancrage : Karl Story Lettrage : Pat Brosseau Couvertures : Chris Warner et Dave Dorman (ce dernier, pour la variante) Éditeur : Dark Horse Comics Alors que les pilotes Tom Strandberg et Scott Conover du Lector s'ennuient et commentent la situation sous la forme d'une conversation introspective sur la nature et la technologie, un vaisseau-mère Predator passe à toute vitesse (pris pour une météorite par les pilotes) transportant une reine xénomorphe captive, dont les œufs sont récoltés afin d'ensemencer des planètes avec du « gibier » et préparer ainsi les Predators inexpérimentés à leur initiation à la chasse aux xénomorphes. Le chef du groupe de chasseurs, Broken Tusk, se prépare pour la chasse avant d'être alerté par un subordonné que son collègue Predator Top-Knot a récemment remporté un combat lui donnant le droit de choisir leur terrain de chasse. Top-Knot finit par défier Broken Tusk, mais il est vaincu par ce dernier.
Broken Tusk choisit la planète Ryushi pour mener sa chasse, sans savoir qu'une colonie humaine s'y est établie. Top-Knot mène quant à lui une autre chasse sur une planète marécageuse que le groupe a ensemencée de Xenos. Après une escarmouche victorieuse contre les créatures, Top-Knot fait couler le sang d'un subordonné.
Ce one-shot peut être considéré comme la première histoire, le premier support sur lequel se rencontrent les deux monstres hostiles. Divisée en trois parties (la quatrième couverture ci-dessus est une variante) publiées dans la série d'anthologie Dark Horse Presents, tome 1, numéros 34 à 36. C'est aussi la première bande dessinée (initialement publiée en noir et blanc) les mettant en scène, bien avant les films qui les officialiseront dans le monde du cinéma, quinze ans après. À l'origine, durant la période de leur publication, afin de masquer la véritable nature du crossover, les deux premiers volets ont été présentés comme Aliens et Predator, respectivement, le titre complet étant retenu jusqu'au troisième et dernier volet. L'histoire courte fut réunie dans le numéro 0 de la série de bandes dessinées Aliens vs. Predator, en juillet 1990, de Diana Schutz, puis intégrée plus tard dans la série intégrale Aliens vs. Predator. Cependant, la nouvelle a été réimprimée séparément de la première série Aliens vs. Predator une fois, dans la bande dessinée promotionnelle à tirage limité Aliens vs. Predator: Special Collector's Edition en 2010, incluse exclusivement avec les exemplaires de l'édition Hunter du jeu vidéo Aliens vs. Predator. Predator 2 (jeu vidéo — 1990)
Développeurs : Oxford Mobius et Arc Developments Éditeurs : Image Works, Konami et Mirrorsoft Support : Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore 64, DOS, ZX Spectrum Aliens: Female War (série de bandes dessinées — juin/octobre 1990)
   Auteur : Mark Verheiden Crayonnage : Sam Kieth Ancrage : Sam Kieth Lettrage : Pat Brosseau Couvertures : John Bolton Éditeur : Dark Horse Comics Immédiatement après les événements d'Aliens: Nightmare Asylum, Hicks et Newt retrouvent Ripley à bord de la station Gateway, où Newt lui reproche de les avoir abandonnés sur le Sulaco. Afin de tenter de sauver leur relation, Ripley explique comment elle a été emmenée de force du Sulaco plus de dix ans auparavant par un homme nommé Hankerson, qui dirigeait une expédition scientifique sur LV-426 et avait besoin de son expertise pour aider son équipe à collecter des données de navigation transférables à partir de l'épave du vaisseau extraterrestre. Alors que Hicks et Newt restaient en hibernation à bord du Sulaco en route vers la Terre, Ripley et ses ravisseurs, un petit groupe de marines épuisés par la guerre, étaient en route à bord du Harrison vers une lune qu'elle croyait détruite.
À leur arrivée, Ripley et quatre des marines de Hankerson, Falk, Tully, Masters et Olney, ont atterri sur la face cachée de la lune et se sont dirigés vers l'épave à bord d'un véhicule blindé. Les marines ont ensuite poursuivi leur chemin à pied tandis que Ripley restait dans le véhicule et leur donnait des conseils tactiques. Au cours de l'expédition, Masters est tombé dans un trou, déclenchant une source d'énergie électromagnétique à l'intérieur du vaisseau extraterrestre qui a activé un lien télépathique entre Ripley et l'épave, lui fournissant les trajectoires, les champs stellaires et les coordonnées permettant de localiser le monde d'origine des Aliens. Olney a été attaqué et tué, ne laissant que deux marines en vie pour combattre une horde d'Aliens. Hankerson vint chercher Ripley pour obtenir les informations de navigation qu'elle venait d'acquérir, mais il révéla qu'il avait prévu de sacrifier son équipe pour élever des spécimens vivants. Il fut alors abattu par Falk pour sa trahison. Ripley, Falk et Tully ont ensuite décollé à bord du module d'atterrissage et ont fait exploser l'A.P.C. depuis l'orbite, détruisant tous les spécimens restants avant de se perdre dans l'une des colonies extérieures, pour réapparaître dix ans plus tard avec un plan visant à débarrasser la Terre de son infestation massive d'Aliens.Aliens vs. Predator (série de bandes dessinées — juin/décembre 1990)
Auteur : Randy Stradley Crayonnage : Phill Norwood et Chris Warner Ancrage : Mark Propst, Brian Stelfreeze, Karl Story Stine Walsh et Robert Campanella Colorisation : Monika Livingston Lettrage : Pat Brosseau Couvertures : Phill Norwood, Mike Mignola et Dave Dorman Éditeur : Dark Horse Comics Peu après, une capsule étrange atterrit sur la planète Ryushi, près de la colonie d'élevage de rhynths de Prosperity Wells, qui attend actuellement l'arrivée du Lector pour le transport du bétail. Alors que la capsule commence à pondre des œufs, elle est détectée par les scanners longue portée du ranch, et Machiko Noguchi, l'administratrice remplaçante de Hiroki Shimura, en est informée. Machiko entretient des relations tumultueuses avec le personnel du ranch et est contrainte de calmer un groupe de travailleurs qui se plaignent auprès de Shimura d'une augmentation des réductions salariales.
Alors que le Lector entre dans l'orbite de Ryushi, la navette d'un groupe de chasseurs Yautja atterrit à l'horizon de Prosperity Well, sous la direction du chef Broken Tusk. À la tombée de la nuit, les ouvriers Ackland et Jame Roth découvrent des Facehuggers morts et un troupeau de rhynths hébétés. Ackland lui dit de remettre les Facehuggers au docteur Kesar Revna, médecin de la colonie, mais de mentir en disant qu'ils les ont trouvés dans la gorge d'Iwa afin d'éviter une quarantaine.Cette série inclue les trois histoires précédemment décrites, tout en y ajoutant quatre autres. Aliens: Advent/Terminus (bande dessinée — juillet/août 1990)
 Auteur : Paul Guinan et Anina Bennett Crayonnage : Paul Guinan Ancrage : Paul Guinan Lettrage : Willie Schubert Couvertures : Paul Guinan Éditeur : Dark Horse Comics Synopsis d'Advent : Sur une planète inconnue, Wellington Frick, playboy ruiné et explorateur néophyte, arrive sur le site d'une pyramide de style égyptien, déterminé à en découvrir les trésors. Il est accompagné de sa « secrétaire » synthétique Belle, de son garde du corps cyborg Emil Zorn et du journaliste indépendant Posada, avide d'histoires. En explorant les profondeurs de la structure, l'équipe finit par découvrir une chambre au trésor abritant trois cadavres et plusieurs œufs. Ils sont soudainement attaqués par des xénomorphes, et Belle est détruite.
Synopsis de Terminus : Bien que le groupe repousse les deux assaillants restants, Frick, désireux de s'emparer de son trésor, et Posada, qui a besoin de son scoop, retournent à contrecœur dans la salle. Frick se précipite vers le trésor tandis que Zorn est tué en combattant un Xeno. Réalisant les intentions perfides de Frick, Posada l'assomme et lui vole sa trouvaille. Ce dernier se réveille peu après et est attaqué par un Facehugger.
De retour sur le vaisseau, Posada est tuée par un troisième xénomorphe qui s'était introduit à bord auparavant. Pendant ce temps, un deuxième vaisseau transportant d'autres malheureux arrive au premier plan de la pyramide.Aliens: Countdown (bande dessinée — septembre 1990/octobre 1991)
 Auteur : Paul Guinan et Anina Bennett Crayonnage : Paul Guinan Ancrage : Paul Guinan Lettrage : Willie Schubert Couvertures : Paul Guinan Éditeur : Dark Horse Comics Synopsis : Lors de l'abandon de la Terre par le gouvernement, tel que décrit dans Aliens: Outbreak, trois marines coloniaux restants, qui ont établi leur base dans un commissariat de police abandonné à New York, fouillent les locaux d'une entreprise de recherche biologique voisine à la recherche d'explications sur l'invasion. Les trois marines sont une officière nommée Sylvia, surnommée « Silk », qui aurait pu évacuer la Terre vers l'une des colonies mais qui a choisi de rester pour combattre les insectes, et deux autres soldats qui ont été déclarés « non essentiels » et abandonnés lors de l'évacuation : Tom et Phil Sandberg, le narrateur de l'histoire.
Au lieu d'indices, le trio découvre que le bâtiment est infesté d'extraterrestres et qu'un employé décédé a déclenché un dispositif d'autodestruction nucléaire avant de se suicider. Avec seulement 53 minutes restantes, les trois protagonistes se précipitent à travers le complexe et retournent au commissariat de police voisin pour tenter de rejoindre leur vaisseau de transport et s'enfuir.
Après s'être frayé un chemin à travers les Aliens dans le bâtiment, ils rencontrent d'abord un groupe de camarades marines « non vitaux » devenus mercenaires charognards, puis tombent sur le repaire de la reine Alien de la région, et enfin rencontrent un ancien policier nommé Robertson à côté de leur vaisseau accidenté. Robertson, qui vit désormais à quelques kilomètres de là avec quelques familles essayant de survivre, leur fournit des informations sur la base qui leur donne une chance de se mettre à l'abri de l'explosion.
Malheureusement, les choses se déroulent ensuite comme dans toute histoire typique d'Aliens...Predator 2 (film — 21 novembre 1990)
Réalisateur : Stephen Hopkins Scénario : Jim et John Thomas Producteurs : Davis Entertainment, Lawrence Gordon Productions, Silver Pictures et 20th Century Fox Distributeur : 20th Century Fox Los Angeles 1997. Le détective Mike Harrigan et son équipe luttent contre toutes sortes de trafiquants. Bientôt, un tueur invisible et invulnérable décime leurs rangs. Mike mène son enquête et découvre que Los Angeles est devenue le terrain de chasse d'un prédateur venu d'un autre monde…Predator 2 (roman — 1er décembre 1990)
Auteur : Simon Hawke Éditeur : Jove Books C'est la novélisation du second film Predator. Voilà. Predator: God's Truth (bande dessinée — décembre 1990)
Auteur : John Arcudi Crayonnage : Rob Walton Ancrage : Armando Gil Lettrage : Rob Walton Couverture : Dave Dorman Éditeur : Dark Horse Comics Au cœur du parc national des Everglades, en 1926, un prisonnier évadé est poursuivi par trois gardes envoyés à ses trousses, tandis qu'un Yautja observe la scène à distance. Lorsque l'un des gardes se sépare des deux autres, il est attaqué par le chasseur des marais. Entendant un coup de feu à proximité, le garde en chef se précipite, mais se retrouve soudainement pris au piège que le prisonnier avait tendu.
Le fugitif le nargue et s'apprête à le tuer, mais il est soudainement transpercé en plein cœur par un tir de Plasmacaster. Le garde et la créature échangent un regard, puis le Predator imite « ce n'est pas très amusant » et s'en va, emportant avec lui le cadavre du condamné. Le garde poursuit en racontant qu'il a démissionné le lendemain, et bien que personne ne croie son histoire, il jure que c'est « la vérité ».Predator 2 (série de bandes dessinées — février/juin 1991)
Auteur : Franz Henkel Crayonnage : Dan Barry et Mark Bright Ancrage : Randy Emberlin Colorisation : Lurene Haines et Monika Livingston Lettrage : Gail Beckett et Mike Heisler Éditeur : Dark Horse Comics Ceci est la novélisation du second film Predator. Aliens: Reapers (bande dessinée — avril 1991)
Auteur : John Arcudi Crayonnage : Simon Bisley Ancrage : Simon Bisley Couverture : Frank Miller Éditeur : Dark Horse Comics Synopsis : Au cours d'une expédition audacieuse, un groupe de grands humanoïdes verts (vraisemblablement les « Reapers ») explore l'intérieur d'une ruche xénomorphe. Repoussant une attaque de grands xénomorphes bestiaux, probablement issus de Reapers infectés, l'équipe d'expédition finit par affronter une monstrueuse reine aux proportions gigantesques. Les Reapers s'intéressent aux œufs de la reine et en récupèrent plusieurs. Un Facehugger tente de maîtriser un Reaper, mais ce dernier dévore la créature avec avidité. De retour sur leur planète d'origine, les Reapers arrivent sur un marché et découvrent que les ovomorphes et leur contenu constituent une forme de cuisine pour les autochtones.Predator: Cold War (série de bandes dessinées — septembre/décembre 1991)
   Auteur : Mark Verheiden Crayonnage : Ron Randall Ancrage : Steve Mitchell Colorisation : Chris Chalenor et Rachelle Menashe Lettrage : Clem Robins Couvertures : Brian Stelfreeze Éditeur : Dark Horse Comics Dans les contrées reculées et désolées de Sibérie, un objet mystérieux de grande taille tombe du ciel, attirant l'attention d'un chasseur local nommé Taro, qui est rapidement tué lorsqu'il part enquêter.
L'objet tombé commence à émettre de la chaleur et des radiations, qui sont détectées dans une station de pompage de pipeline située à proximité. La petite garnison de soldats russes de la station, dirigée par le lieutenant Ligachev, part à la recherche de la source des mesures, mais elle est également décimée par un ennemi invisible, seul Ligacheva survivant à l'incident. Les radiations émises par l'objet écrasé sont également détectées par l'armée américaine, qui déduit des mesures sismiques que leur source est probablement tombée du ciel. La nouvelle parvient au général Philips, qui a été mis à l'écart depuis l'incident du Predator à New York six mois plus tôt. Réalisant que l'objet est presque certainement un vaisseau Predator qui s'est écrasé, il commence immédiatement à constituer une équipe pour entrer secrètement en Russie et enquêter sur le site. À cette fin, il envoie son subordonné, Smithers, recruter le détective Schaefer du NYPD, sachant que son expérience directe avec les Predators s'avérera probablement inestimable.Aliens: The Alien (bande dessinée — novembre 1991)
Auteur : John Arcudi Crayonnage : Tony Akins et Paul Guinan Ancrage : Paul Guinan Couverture : Paul Guinan Éditeur : Dark Horse Comics Synopsis : Le président des États-Unis et ses ministres sont convoqués à la station Gateway, où ils doivent rencontrer le « Pilote » extraterrestre qui, seul, est en train de remodeler la Terre à l'aide d'un dispositif de terraformation depuis l'orbite. Cette rencontre est en réalité une tentative d'assassinat visant à libérer l'humanité d'un potentiel asservissement.Aliens: Genocide (série de bandes dessinées — novembre 1991/février 1992)
   Auteur : John Arcudi Crayonnage : Tony Akins et Paul Guinan Ancrage : Paul Guinan Couverture : Paul Guinan Éditeur : Dark Horse Comics Synopsis : Alien 3 (jeu vidéo — 1992)
Développeurs : Perfect 10 Productions et Teeny Weeny Games Éditeur : Acclaim Entertainment Supports : Game Gear, Mega Drive, Master System Predator 2 (jeu vidéo — 1992)
Développeurs : Perfect 10 Productions et Teeny Weeny Games Éditeur : Acclaim Entertainment Supports : Game Gear, Mega Drive, Master System Predator: The Bloody Sands of Time (série de bandes dessinées — février/mars 1992)
 Auteur : Dan Barry et Mike Richardson Crayonnage : Dan Barry Ancrage : Chris Warner Colorisation : Gail Beckett Lettrage : Gail Beckett Couvertures : Dan Barry et Chris Warner Éditeur : Dark Horse Comics Un étrange carnage dans la jungle nicaraguayenne, dont un soldat américain est tenu pour responsable, conduit son défenseur, l'agent de la CIA Griggs Irving, à se souvenir d'incidents similaires survenus au Sud-Vietnam en 1968 et en France pendant la Première Guerre mondiale.Aliens: Harvest (Hive) (série de bandes dessinées — février/mai 1992)
   Auteur : Jerry Prosser Crayonnage : Kelley Jones Ancrage : Kelley Jones Colorisation : Les Dorscheid Lettrage : Clem Robins Couvertures : Kelley Jones Éditeur : Dark Horse Comics À bord du Dolomite, Julian Lish tente d'échapper à un xénomorphe synthétique lors d'un exercice d'entraînement de routine. XL-1, le xénomorphe synthétique qu'elle a affectueusement surnommé Norbert, est finalement rappelé par le Dr Stan Mayakovsky pour jouer à aller chercher la balle avec Mac, le chien du vaisseau. On apprend que Stan, expert en cybernétique, a été diagnostiqué d'un cancer en phase terminale et qu'il dépend du xéno-Zip, une substance illégale de plus en plus difficile à trouver, pour soulager la douleur alors qu'il approche de la fin de sa vie. Julie, une voleuse hors pair, a exploité sa dépendance à la drogue pour le recruter, lui et son vaisseau, dans le but de se rendre sur la planète A6 454 infestée d'Aliens infiltrer une super-ruche de xénomorphes et récolter un lot de gelée royale, l'ingrédient de base du xéno-Zip, qui vaut des millions sur le marché noir.
Aliens: Tribes (nouvelle — avril 1992)
   Auteur : Steve Bissette Crayonnage : Dave Dorman Ancrage : Dave Dorman Colorisation : Dave Dorman Couverture : Dave Dorman Éditeur : Dark Horse Comics Une escouade de marines coloniaux d'élite spécialisés dans les opérations d'éradication des xénomorphes arrive à la station spatiale médicale TodLab LXI en réponse à une infestation qui a coûté la vie à une grande partie du personnel à bord, laissant les quelques survivants en danger de mort. L'escouade est équipée d'une unité Berserker, une fusion cybernétique entre un humain et un robot de combat lourdement blindé, spécialement conçue pour neutraliser les infestations graves de xénomorphes. Le Berserker, dont le nom de code est Shitkicker, est pratiquement imparable une fois activé. Il est donc maintenu sous sédatifs puissants dans l'un des laboratoires de la station pendant que le reste de l'équipe, composée de « Tunnel Rat », « Point », « Ears » (le spécialiste des communications) et leur sergent « Leader », se prépare à lancer son offensive dans la ruche. L'équipe déploie des dispositifs de surveillance dans toute la station, tandis que Rat installe plusieurs dispositifs d'implosion Baby Boomer sur la coque du TodLab, conçus pour détruire complètement la station après un compte à rebours défini, garantissant ainsi la destruction des xénomorphes même si l'équipe est tuée. L'opération est supervisée par le commandant de l'équipe, dont le nom de code est « Bort », qui orbite autour de la station dans un vaisseau de commandement, tout en surveillant les signes vitaux de chaque membre de l'équipe via des transmetteurs de données personnelles.
Alien³: Alone (bande dessinée — mai 1992)
Auteur : Jerry Prosser Crayonnage : Hoang Nguyen Ancrage : Paul Guinan Colorisation : Chris Chalenor Éditeur : Dark Horse Comics Sur une planète en quarantaine, un homme est assis seul dans un sanatorium, abandonné en raison de la maladie dont il souffre.
Dans un flashback, il raconte comment lui et les autres patients mis en quarantaine avec lui — un père et sa fille nommés Roger et Anne — ont découvert un vaisseau qui s'était écrasé sur la planète. Espérant que l'engin soit encore capable de les emmener hors de la planète, le groupe a enquêté, mais n'a trouvé qu'un seul œuf de xénomorphe à bord. Après avoir ramené l'étrange objet à l'asile, Roger a mystérieusement disparu. Le narrateur a ensuite retrouvé son corps dans un couloir délabré, la poitrine ouverte. Peu après, Anne a également disparu, ne laissant derrière elle que son ours en peluche préféré, gisant sur le sol, couvert de sang.
Alors que son histoire rattrape le temps réel, le narrateur, déplorant d'être désormais seul sur la planète, est découvert par le xénomorphe adulte dans sa chambre. La dernière case montre un gros plan saisissant des mâchoires baveuses de la créature qui s'apprête à lui mordre la tête.Alien³ (film — 22 mai 1992)
Réalisateur : David Fincher Scénario : Vincent Ward Producteur : Brandywine Productions Distributeur : 20th Century Fox Seule survivante d'un carnage sur une planète lointaine, Ripley s'échoue sur Fiorina 161, planète oubliée de l'univers, balayée par des vents puissants. Une communauté d'une vingtaine d'hommes y vit. Violeurs, assassins, infanticides, ce sont les plus dangereux détenus de droits communs de l'univers. L'arrivée de Ripley va les confronter à un danger qui sera plus fort qu'eux.Alien 3 (série de bandes dessinées — juin/juillet 1992)
  Auteur : Steven Grant Crayonnage : Christopher Taylor Ancrage : Rick Magyar Colorisation : Matt Webb Lettrage : Jim Massara et Clem Robins Couvertures : Arthur Suydam Éditeur : Dark Horse Comics C'est une adaptation du même long-métrage. Aliens: Newt's Tale (bande dessinée — juin/juillet 1992)
 Auteur : Mike Richardson Crayonnage : Jim Somerville Ancrage : Brian Garvey Colorisation : Gregory Wright Lettrage : Pat Brosseau Couvertures : John Bolton Éditeur : Dark Horse Comics Après la mission désastreuse sur LV-426, Newt rêve dans la baie d'hibernation de l'USS Sulaco pendant son voyage de retour vers la Terre, revivant une fois de plus son pire cauchemar.
Aliens: Earth Hive (série de bandes dessinées — 1er septembre 1992)
Auteur : Steve Perry Couverture : Den Beauvais Éditeur : Bantam Spectra (US)/Millennium (UK) Aliens: Nightmare Asylum (novélisation de la série de bandes dessinées éponyme — 1er avril 1993)
Auteur : Steve Perry Couverture : Dave Dorman Éditeur : Bantam Spectra (US)/Millennium (UK) Si vous constatez que j'ai oublié des ouvrages, films, jeux vidéo ou que sais-je, n'hésitez pas à me le signaler en réponse (si jamais vous vous apercevez de l'existence de ce topic, que vous daignez le lire et qu'en plus vous avez l'extrême motivation d'y répondre). Je vous n'en remercierai jamais assez. De toute façon, il y a peu de chance que quelqu'un ne lise cette phrase.
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"C’est peut-être parce que j’ai peur, et qu’il me donne du courage." Bilbo le Hobbit : un voyage inattendu, Gandalf.
Dernière édition par Demons Fire le Dim 26 Oct 2025 06:28, édité 3 fois.
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