Sherlock Holmes

el-d-brokeur · Dernière édition par el-d-brokeur le Lun 17 Jan 2011 15:26, édité 2 fois.

~ Synopsis ~

Aucune énigme ne résiste longtemps à Sherlock Holmes ... Flanqué de son fidèle ami le Docteur John Watson, l'intrépide et légendaire détective traque sans relâche les criminels de tous poils. Ses armes : un sens aigu de l'observation et de la déduction, une érudition et une curiosité tous azimuts; accessoirement, une droite redoutable ... Mais une menace sans précédent plane aujourd'hui sur Londres - et c'est exactement le genre de challenge dont notre homme a besoin pour ne pas sombrer dans l'ennui et la mélancolie. Après qu'une série de meurtres rituels a ensanglanté Londres, Holmes et Watson réussissent à intercepter le coupable : Lord Blackwood. A l'approche de son exécution, ce sinistre adepte de la magie noire annonce qu'il reviendra du royaume des morts pour exercer la plus terrible des vengeances. La panique s'empare de la ville après l'apparente résurrection de Blackwood. Scotland Yard donne sa langue au chat, et Sherlock Holmes se lance aussitôt avec fougue dans la plus étrange et la plus périlleuse de ses enquêtes ...

~ Avis ~

Un Sherlock Holmes d'un genre nouveau où le réalisateur a voulu être en dehors des clichés que l'on a l'habitude voir (dans les précédents films) ou connaître (via ses histoires); ce qui n'est pas sans déplaire, bien au contraire.
On est tout de suite plongé dans le bain et dans l'ambiance de Sherlock Holmes des "temps modernes".
Le film est rythmé et filmé à la manière que sait faire Guy Ritchie. Notamment, dans le fait qu' avant les quelques scènes d'action où notre détective combat, la scène est déjà décomposée au ralenti pour mieux comprendre ses techniques et savoir comment et pourquoi il a fait telles attaques.

Bref, comme je vous l'ai dit, cette version 2010 de Sherlock Holmes m'a bien plu et cela ne m'a pas dérangé outre mesure de voir Sherlock Holmes pratiquer de la boxe ou combattre. Car, en plus d'être un bon fumeur (il fume la pipe dans le film), c'est un sportif accompli (boxe entre autre), ainsi qu' un mélomane averti qui pratique le violon. Tout ces critères ont été respecté et repris dans le film.

Une histoire que Guy Ritchie dépoussière donc, mais sans lui faire perdre de son authenticité "so british", ni son intelligence et son raisonnement accrue. "Ce film était l'occasion d'explorer la merveilleuse mythologie Holmesienne avec les moyens techniques actuels", explique la productrice Susan Downey. "Aujourd'hui, toute une génération ne connaît de Sherlock Holmes que le nom, tandis que les fans de longue date sont restés focalisés sur certains accessoires fétiches (le fameux chapeau), certaines répliques passées à la postérité ("Élémentaire, mon cher Watson"). Ils ne retrouveront pas cela dans le film, mais y découvriront des personnages beaucoup plus proches du matériau original, beaucoup plus dynamiques en terme d'action. Nous avons donné à ces histoires une ampleur inusitée et nous avons montré à l'écran ce qui n'était que suggéré dans les livres."

D'ailleurs, Guy Ritchie se représentait Holmes quand il était enfant "exactement comme il est aujourd'hui dans le film [...] Pour moi, il a toujours été intellectuel dans le corps d'un homme d'action. Il n'avait pas nécessairement les traits ni les manières d'un James Bond, mais maitrisait les arts martiaux."

On peut remarquer aussi dans le film l'énorme complicité qu'il y a entre Sherlock Holmes et son complice, le docteur Watson (cf plus bas sur la polémique). L'un ne peut se passer de l'autre. Avec Robert, nous cherchions un équilibre entre nos personnages. Il fallait qu'ils soient complémentaires. J'ai tenu à faire de Watson un professionnel un peu rigide face à un Holmes plus dilettante et excentrique. Conan Doyle montre à plusieurs reprises que l'efficacité du tandem repose sur leur soutien indéfectible et sur la force de leur amitié. Ce qui ne nous interdisait pas d'aller assez loin dans l'humour" développe Jude.

Enfin, sur le fait qu'il ait choisi de mélanger différents récits et d'introduire d'entrée de jeu par exemple le personnage d'Irene Adler, Guy Ritchie répond : "J'avais peut être l'impression qu'adapter un seul livre était trop restrictif pour en faire un film, et que cela ne correspondait plus à ce que les gens attendent aujourd'hui d'une narration."

Bref, vous l'aurez sans doute compris, ce film est un très bon divertissement à voir. Un Sherlock Holmes revisité certes, mais en grande forme ! Guy Ritchie a t-il réussi son pari quand à cette nouvelle version (controversée) de Sherlock Holmes ? Seul l'avenir et les avis nous le diront ...
En tout cas, moi c'est tout vu ! ^^

~ En plus ... ~

► My name is Holmes, Sherlock Holmes :

Sherlock Holmes est né en 1887, sous la plume d'Arthur Conan Doyle dans Une étude en rouge. En quatre romans et cinquante-six nouvelles ("canon"), sa personnalité et sa faculté de déduction l'ont rendu célèbre.
Tel le Dr Jekyll, il échappe à son créateur pour mener son existence dans l'imaginaire populaire : on visite, à Londres, le 21b Baker Street, sa résidence.
Il apparaît pour la première fois au cinéma en 1905, sous les traits de Maurice Costello. Mais c'est Basil Rathbonne puis Peter Cushing ("Le chien des Baskerville", 1959, et une série en 1968) qui restent ses incarnations les plus célèbres. Et sur les variations qu'il a suscitées, il faut citer "La vie privée de Sherlock Holmes", de Billy Wilder et "Sherlock Holmes attaque l'Orient-express", d'Herbet Ross.

► Une polémique :

Robert Downey Jr a déclaré lors du show de David Letterman, que Sherlock Holmes était gay. Une affirmation lancée sur le ton de l'humour, pour répondre à une question à double sens du présentateur. Alors qu'il lui demande quelles relations entretiennent Sherlock et son cher Watson (interprété par Jude Law à l'écran), Robert répond du tac au tac : "Vous voulez dire qu'ils étaient homos ? C'est ce que vous dites ?". Hilarité du public, qui ne s'attendait pas à une réponse aussi directe.

Voici les propos exactes de l'interview :

Letterman: “Now, from what I recall, there was always the suggestion that there was a different level of relationship between Sherlock and Dr. Watson.”
Downey: “You mean that they were homos…”
Letterman: [Laughs.] “Well…”
Downey: “That is what you’re saying?”
Letterman: “In a manner of speaking, yes…that they were closer than just out solving crimes. It’s sort of touched on in the film, but he has a fiancée, so we’re not certain. Is that right?”
Downey: “She could be a beard. Who knows?”
Paul Shaffer: “What are they, complete screamers? Is that what you’re saying?”
Downey: “Why don’t we observe the clip and let the audience decide if he just happens to be a very butch homosexual. Which there are many. And I’m proud to know certain of them.”

Du coup, l'acteur enfonce le clou en exposant la théorie suivante : selon lui, la fiancée de Watson ne serait qu'une couverture pour cacher la véritable relation qui existe entre les deux personnages masculins. Il appuie même son argumentaire sur l'une des scènes clés de la bande-annonce, dans laquelle Holmes se bat, torse nu. L'occasion de demander au public de l'émission si oui ou non, Sherlock était un " homosexuel viril ".

Pourtant, le show de Downey Jr n'a pas amusé tout le monde. A commencer par les producteurs du film, qui selon une source rapportée par The Telegraph, seraient très énervé : "Robert ne s'arrête plus de parler de cette histoire comme de 'la plus célèbre histoire d'amitié homosexuelle de l'histoire' et rend les agents du studio très nerveux", a déclaré la source anonyme. Car la promotion du film, jusqu'ici centrée sur l'action, "n'a pas été vendue comme un Retour à Brokeback Moutain ", toujours selon la même source.

Apparemment, les producteurs se seraient bien passés d'une telle interprétation. Même si, au vu des premiers chiffres du film au box-office américain , il semblerait que Sherlock Holmes ait trouvé son public, qu'il soit gay ou hétéro. Ni une ni deux, Robert Downey Jr en profite pour en remettre une couche, décrivant, toujours selon The Telegraph, son personnage et Watson comme "deux hommes qui deviennent colocataires, se battent beaucoup et partagent un lit".

► Quelques anecdotes :

- Ce Sherlock Holmes est le premier film mettant en scène le célèbre détective à sortir dans les salles américaines depuis la comédie Elementaire, mon cher... Lock Holmes (1988) avec Michael Caine.

- Avant d'être la maison de Sherlock Holmes dans le film de Guy Ritchie, le décor avait servi pour celle de Sirius Black dans Harry Potter et l'Ordre du Phénix.

- L'univers de Sherlock Holmes n'est pas complètement étranger à Jude Law, qui avait tenu un petit rôle dans un épisode de la série Sherlock Holmes, au début des années 90. Le héros y était d'ailleurs joué par Jeremy Brett, dont Robert Downey Jr. s'est beaucoup inspiré pour composer son personnage.

- Très logiquement, le tournage de Sherlock Holmes, adapté de l'oeuvre so british d'Arthur Conan Doyle, s'est déroulé à Londres, en Angleterre. D'ailleurs, il est à noter que Londres est la troisième ville au monde où se tournent le plus de films.
Plus de 600 films ont Londres pour cadre. Citons par exemple : Mary Poppins, Orange Mécanique, Frenzy, Da Vinci Code, Coup de foudre à Nothing Hill, 28 jours plus tard, Harry Potter à l'école des sorciers, Brannigan, Le monde ne suffit pas ou Sherlock Holmes (version 2010) ...

► Une suite ?

Il se pourrait qu'il y ait une suite, mais sur ce point Guy Ritchie répond : "Je ne sais pas trop. On va déjà attendre de voir comment le film fonctionne auprès du public et, ensuite on avisera.".
En tout cas, le personnage de Moriarty (l'ennemi juré de Sherlock Holmes) n'a pas dit son dernier mot : "C'est un marionnettiste de l'ombre, et un égal de Sherlock Holmes. L'avenir nous dira ce que Moriarty nous réserve".

Ichigo

Un sujet comme ça... ne me donne guère envie de voir le film, comme disait quelqu'un que je connais je préfère les ressentis par rapport a une œuvre qu'un déballage d'information de douze pied de long, que Londres soit une ville ou on tourne plein de film, qu'est-ce que ça change? Holmes gay et alors? On est dans gala? et ainsi de suite.

Ce n'est donc pas ce sujet qui m'a amené a voir le film, qui revisite avec dynamisme le personnage de Sherlock holmes, peut être un peu trop spectaculaire d'ailleurs, mais c'est revendiqué par le film, qui n'a jamais prétendu être une reconstitution fidèles des livres de Doyle.

On a donc un Robert Downey junior assez fantasque, tout comme l'était le personnage, avec ses hauts, ses bas et ses changement incessant, le tout dans un mélange de génie morbide car lorsque Holmes n'a rien a faire il se meurt littéralement d'ennui.
Par contre Jude Law en Watson est lui beaucoup moins crédible, toujours a couteau tiré avec Holmes, avec un éternel je te déteste mais je t'apprécie quand même. Il ne sert guère qu'a épater la galerie et a casser du sous fifre ici et là, quant il n'est pas le sujet de raillerie de Holmes.

Dans mes souvenirs Watson était un personnage assez perplexe et admiratif de Holmes, là dans le film il est en compétition avec lui en essayant sans cesse d'être plus malin, mais jamais sans grand succès. J'imagine que filmographiquement le personnage devait perdre beaucoup en saveur si jamais il n'était cantonné qu'a un rôle aussi passif.

J'ai également vu le film en VO et c'est très particulier, car Robert Downey Junior est américain, et que d'un moment a l'autre son accent British (cet accent que j'aime tant chez nos voisins) varie du très bon au très approximatif, en parallèle de la difficulté des scènes tournée, ce qui donne un mélange parfois étrange.
Mais le film en VO vaut le coup d'oeil rien que pour voir Robert Downey Jr s'exprimer en francais dans le film, c'est assez hilarant, même si je n'ai pas bien compris le pourquoi de la présence de la langue de Molière a ces 2 moments du passages du film (si c'est parce que "l'ennemi" est français, c'est dur a avaler car il a un des pires accents qui soit et est même limite incompréhensible).

Pour ce qui est du scénario c'est du très classique, on est face a un quelque chose d'apparemment fantastique et inexplicable, mais il est certain que la logique de Sherlock Holmes l'emportera. Lord Blackwood en grand méchant de l'histoire est moyennement convaincant, surtout par la minuscule présence qu'il a dans le film, on ne fait guère que le croiser, dur de s'étoffer donc.

Mais ce qui frustre vraiment, et que je déteste dans un film, c'est que celui ci tirant vers la fin on vous vend déjà la suite... c'est là le plus gros reproche que je fais au film, qui au lieu d'être un tout devient du coup une simple introduction:

Moriarty est bien là dans le film, dans l'ombre, agissant pour lui même, mais il ne se révèle qu'un tout petit peu sur la fin, avec suite au prochain épisode, alors qu'il aurait fait un bien meilleur nemesis que le pauvre Lord Blackwood.

En voyant qu'il avait été fait par Guy Ritchie j'ai été assez surpris, tant le film ne ressemble pas a ses films habituel, car il a adopté un style très classique.

On pourrait croire que je critique énormément, mais je ne serai pas si intransigeant sur mon jugement en général, car le film ne porte pas des ambitions démesurée et se veut spectacle et très accessibles, tout en reposant sur les calculs et manœuvres de Sherlock holmes et de ses ennemis. C'est un excellent divertissement si vous ne savez pas quoi allez voir pour vous divertir.

Captain Karma

"Hey je vais voir Sherlock Holmes ça te dit de venir ?"

Aïe, depuis la fin Janvier les films que je voulaient voir commençaient à se multiplier et Sherlock Holmes n'était pas forcément celui qui me tentait le plus, et pourtant j'ai failli passer à côté d'un sacré divertissement !

Le film a en effet deux objectifs : divertir et surtout rajeunir un peu l'image de l'enqueteur le plus connu au monde et de son associé. C'est donc avec une très grande assurance que Robert Downey Jr et Jude Law incarne les rôles de Sherlock Holmes et le Dr Watson. RDJ comme dans tout ces autres rôles impose tout de suite une cool-attitude avec cette fois-ci un soupçon de flegme anglais.

Les acteurs sont surtout desservis par des dialogues croustillants qui ne plongent jamais dans la vulgarité mais qui sont pourtant parfois très crus. Bref j'adore voir les diverses disputes/dialogues/blagues entre le duo de détective.

Côté histoire même si dans l'ensemble je l'ai bien aimé je dois avoué que (SPOILLLLL) je n'ai compris que après le film que le méchant qu'on voyait dans l'ombre n'est pas celui avec une dent qui part en sucette. J'ai donc un peu tout compris trop tard mais ne boudons pas notre plaisir, le film rempli aisément sa tache.
Même si la première heure est assez lente puisque principalement constitué d'enquête j'ai adoré deux scènes en particulier celle des scène de combats décomposés. Et là j'ai du mal à comprendre pourquoi personne n'a trouvé bon d'intégrer au moins une troisième scène de ce genre un peu plus tard dans le film. Je croyais vraiment que ça allait devenir un running joke et qu'à la fin lors du combat sur le pont Sherlock n'arriverait pas à réaliser son plan de combat. Enfin bon c'était vraiment des scènes que j'ai adoré car avec de super ralentis et surtout très bien rythmés.

Niveau effets spéciaux même si ils sont rares ils sont très bien utilisés (surtout pour les décors) et sont une valeur ajouté à ce spectacle d'un peu plus de deux heures.
Pour la suite même si elle est déjà fortement annoncé ("On va attendre de voir si le film marche", la bonne poire) j'aurais bien aimé voir le chien des Baskervilles, l'un des rares livres que j'ai lu mais qui m'avait charmé à l'époque. Il y aurait de quoi faire une bonne intrigue je pense, du moment qu'il garde la même recette que pour ce film.

Une recette qui marche à merveille entre l'action trépidante, les deux acteurs principaux et leurs répliques croustillantes et une ambiance charmante. Un excellent divertissement conseillé à tous.

Have fun !

Chopper le Hobbit

Que voit je MAL, des critiques plutôt négatives pour certain
Je suis allé le voir hier après les cours et je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce film et je le recommande à tous.

Un Sherlock Holmes avec de l'humour comme cela, ça ne se voit pas tout les jours, de plus l'intrigue bien que parfois si complexe que l'on en perd le fil et passionnante et bien construit.

Autres point positif, l'action : bien que parfois légèrement violente, certaine scènes sont digne d'un film d'action.

Bon c'est à peu près tout, et si vous n'avez rien à faire aller le voir ( en fait aller le voir tout cours ).

Bullzor

J'ai trouvé ce Sherlock Holmes plutôt sympa, c'est un film qui justifie sans trop de peine sa vocation de bon divertissement. Le duo Robert Downey Jr./Jude Law possède une bonne alchimie à l'écran et sur un registre qui leur est plus personnel, ils s'en tirent bien avec leurs rôles respectifs car leurs divers numéros de cabotinages vendus par le film passent bien. Le quota de scènes qui en mettent plein la vue est respectable, ce n'est pas tant les scènes d'action qui m'ont marqué à ce sujet que les scènes de baston expliquées et en slow-motion avec Holmes.

Il y a néanmoins un point qui m'a déçu à propos de ce film, c'est son manque de personnalité forte. Le duo Holmes/Watson tient la route en lui-même, mais on aurait pu leur coller un autre nom que cela ne m'aurait pas choquer. De même, dans la dynamique du film, si Guy Richie avait carrément zappé de donner une séance finale d'explications sur les ressorts de l'intrigue à travers les déductions de Holmes, cela ne m'aurait pas choquer car je n'avais pas tilté qu'il y avait une intrigue à ce niveau (jusqu'à ce que Holmes explique les procédés de Blackwood, je pensais que le seul plan de l'intrigue se situait sur sa capture). Vient ensuite le problème de la VO, où j'ai carrément rien compris de certaines lignes de dialogues du géant qui parlait Français, et dont on ne sait même pas pourquoi il s'adresse de la sorte à Holmes. La boîte de sous-titrage aurait pu nous faire une fleur avec ces passages et nous offrir leur travail ici aussi.
:Luffy hilare:

Sherlock Holmes est un bon divertissement à voir en ce moment, bien calibré pour plaire à tout public, mais peut-être justement trop bien calibré pour être en adéquation avec l'air du temps que la personnalité de l'ensemble s'estompe quelque peu. En tout cas, ça mérite une confirmation dans une suite dans quelques années si Moriarty traine dans le coin.

el-d-brokeur

Bullzi a écrit:

Vient ensuite le problème de la VO, où j'ai carrément rien compris de certaines lignes de dialogues du géant qui parlait Français, et dont on ne sait même pas pourquoi il s'adresse de la sorte à Holmes.

Tout d'abord, il faut bien évidemment voir le film en VO pour apprécier cette séquence à sa juste valeur !
Alors il faut savoir deux choses sur cet aspect de la partie française dans le film ... En tout cas, une chose est sûre : si elle y était c'est qu'il y avait une raison ^^

- La première chose : Même si pour nous Sherlock Holmes est en tout point britannique, il s'avère qu'il est le petit-neveu du peintre français Horace Vernet (1789-1863). C'est Holmes lui même qui le révèle. Dans "L'interprète grec", il affirme en effet : "... ma grand mère était la sœur de Vernet, le peintre français. L'art dans le sang peut s'épanouir des façons les plus diverses ...". (cf Sherlock Holmes et la France)

- La deuxième chose : Robert Maillet - qui joue le rôle de Dredger dans le film - est un lutteur et un acteur acadien (cf acadie). On peut le voir aussi dans le film 300 dans le rôle de L'Immortel géant.

Bref, tout ça pour dire que Guy Ritchie a donc fait parler volontairement Sherlock Holmes, il connaît décidément bien son sujet il faut bien l'avouer ... ^__~

Bullzor

El-d-brokeur a écrit:

Bref, tout ça pour dire que Guy Ritchie a donc fait parler volontairement Sherlock Holmes, il connaît décidément bien son sujet il faut bien l'avouer ... ^__~

Au delà du fait que l'acteur soit en ancien catcheur canadien de la WWF, il n'y a rien qui justifie scénaristiquement à mon sens que le géant parle Français. Que Holmes lui réponde dans cette langue, cela ne m'a pas choqué, mais l'échange, approximatif selon ma mémoire, « -Tu parles Français ? - Je ne suis pas Français. *Pif Paf* » appelle une explication sur les origines du géant et on ne l'a pas du tout. Le géant est-il réellement Canadien ou Québécois comme le suggère la nationalité de l'acteur derrière le personnage ? Est-ce que c'est un ancien de la Légion, qui sait, vu sa carrure et son emploi ? Rien, pas un mot là-dessus. Pourtant, on a un tel passage qui appuie bien sur ce point, c'est quelque peu bête de ne pas nous donner la clé de compréhension par la suite. C'est certes une broutille mais il n'en demeure pas moins que ça reste involontairement un point d'interrogation que l'on garde en tête à la fin du film.
:Luffy hilare:

Ryuk Of Darkness · **Inscription:** 29 Nov 2008 **Messages:** 968 **Localisation:** Harvest

Eh bien eh bien, que c'est satisfesant d'allez voir ce Sherlock sous les traits de notre cher Robert Downey Junior.
C'est une des choses qui me plait le plus chez lui, il donne cette touche d'humour et de "stoïcisme" à ces personnages, toujours en train de prendre les choses du bon coté et à faire de l'humour même quand ça va mal!

L'histoire en elle meme est tres bien, l'intrigue est bien menée, on cherche desesperement les secrets de Lord BlackWood sans réponse sauf lorsque Holmes nous explique, alors tout devient plus clair.
Sacré sens de l'observation et un savoir faire exceptionnel, on peut dire que l'adaptation ne change pas ce mythique personnage^^
Les scènes de combats sont vraiment belles, j'ai un coup de coeur envers celles où on a les ralentis, c'est vraiment génial à voir.

Je depenserais facilement une place de cinema dans le deuxieme volet si celui-ci se dessine de la meme façon.

madino

Salut!

J'ai vu ce film hier soir et franchement il vaut le coup^^

De l'action, de l'humour et surtout du suspense!!

C'est un bon moment passé devant ce film et je le recommande à tous et toute

Et qui sait s'il y aura une suite!?

GoldenWeek · **Posté:** Sam 13 Mar 2010 03:37

Personnelement, j'ai aimé le film, vraiment une distraction mais pas plus.

l'histoire : un classique avec un debut, une intrigue, un dénoument et bien sur, une question en suspend pour assurer la suite qui se fera je n'ai pas de doute la dessus.

Je souhaite surtous parler de l'acteur principal : etan fan de Robert D jr, l'ex bad boy (problem de drogue et alcool), il fut viré de la série Ally McBeal à la fin de la 4 saison pour tous es tracas avec la justice, revien de loin (de tres loin avec ses 3 ans de mise à l'epreuve) et nous donne une prestation (pas la meilleur de sa carriere) satisfaisante. A savoir que c'est un excellent chanteur aussi et il a participé, pluôt joué dans le clip de I Want Love d'Elton John.

Sa complicité avec le Dr Watson est bien mise en evidance durant tous le film, pour l'histoir d'homosexualité, je penche vers le coup de pub classic afin d'interesser les gens au film et de faire parler les gens du film et de Bob jr.

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