Nouveau Chapitre en dessous !!!
Tout le monde a l'air d'être là, c'est l'heure du commentaire !
Jackouille a écrit:
Un vrai chapitre de baston, très sympathique car mouvementé: ça bouge dans tous les sens, et on attend le vrai dénouement avec impatience...
Ca viendra, ça viendra ^_^
Le même a écrit:
Je viens de me souvenir que l'attaque Coupe-coupe je l'avais gagnée à Pokémon Rouge, ça permettait de sauter au dessus des buissons ou un truc comme ça...
M'en suis inspiré. Nostalgie à la pensée de ce petit bruit que faisaient les buissons en se faisant trancher... Il fallait que je le mette dans l'histoire, il en va de ma fan-attitude de Pokémon :d
roxas a écrit:
AAAAAARGH ! J'arrive trés en retard on dirait ! Aprés une telle période d'inactivité vous avez du e croire mort ou pire, mais non, je continà suivre ces fics !
Donc, ce chapitre se place pour moi dans les meilleurs. On y a, comment dire...tous les éléments d'un excellent chapitre.
Donc, il faut absolument continuer su cette lancée.
Et ce suspens...
Horrible !
Ca c'est de l'objectivité :) Merci pour ce message, ça met du baume au coeur !
meriadek a écrit:
Je suis content de voir que l'histoire avance de mieux en mieux pour les deux jeunes Parcourriers, avec une nouvelle technique de Isaac et une révélation: nos héros étaient surveillés ! ( Cela afectera donc les autres personnages ...?)
Bref, j'aime toujours autant cette fic, ( J'ai juste trouvé la référence à la commité de la claque un peu déplacé).
J'avais bien prévu d'inclure cette idée de surveillance constante dans l'histoire. Isaac et Raphaël vont comprendre que leurs actes sont épiés et qu'ils n'en sortiront pas en mentant...
Pour le Comité de la Claque, c'était juste la grosse mode à l'internat cette semaine là ^_^
Elwë a écrit:
Maintenant, je me demande ce qu'il va arriver à Wilfried...Suspens...
Vous le saurez dans le prochain Chapitre qui sortira demain sans doute !
Livre II : L’ère des Temps
Chapitre 5 : Pastèques !!!
Isaac et Raphaël avaient fui rapidement mais surement, en espérant de ne pas être suivis. Ils avaient laissé de pauvres gens s’entretuer, qui plus est sous leurs yeux. Autant dire que leur moral était au plus bas… Raphaël avait vite guéri de ses blessures grâce à des sorts de soins conférés par son ami. La question était qu’ils se posaient tous les deux était bien sûr : « Que faire ? Et où aller ? ». La logique voudrait qu’ils se rendent à la Capitale, au siège des Parcourriers, comme convenu avec leurs amis, qui ne sont même pas vivants si ça se trouve… En clair, c’était la dèche pour parler familièrement.
Mais s’ils se rendaient en ville, qui sait ce qui les attendrait ? Peut être cette Troupe de Choc les coincera quelque part ou aura donné l’alerte : des jeunes garçons connaissaient le moyen de surveillance utilisé par les Parcourriers. Que faire ?
-On se rend à la Capitale ou pas ? demanda une nuit Isaac à son ami.
-Je crains qu’on n’ait pas le choix…
Ils se mirent donc en route, demandèrent le chemin vers cette destination qu’ils convoitaient depuis le premier jour. Par chance, l’Ouragan ne les avait pas déposé très loin de la Capitale. A quelques dizaines de kilomètres de là se trouvait le fleuve Möl. Si on le remontait, on parviendrait directement à la ville tant espérée.
Isaac et Raphaël s’engagèrent sur les rives du cours d’eau. Il leur fallait encore une quinzaine de jours avant de voir les remparts de la cité. Rien à signaler dans ce voyage banal : quelques voleurs, des monstres, rien de grave quoi ! Mais bientôt ils purent contempler la ville.
Pas de grandes fortifications mais une soudaine abondance de populace, massée en tas. On nommait couramment ce phénomène des bidonvilles. Les pauvres logeaient dans les terres, prêts à se faire massacrer par les premiers envahisseurs venus tandis que les riches habitaient les tours du centre ville. Saleté, pourriture, maladie étaient les maîtres mots de l’ambiance qui régnait dans ces bidonvilles. Par tout, des gens affamés faisaient la manche aux voyageurs de passage. Isaac et Raphaël n’y échappèrent pas mais comme ils avaient tout dépensé en denrées pour le voyage, ils durent laisser les pauvres enfants dans la disette.
Ce paysage continua durant plusieurs autres heures de marche. Les deux jeunes hommes se firent agresser plusieurs fois ; on les prenait pour des gens aisés malgré leurs vêtements usés et troués.
-C’est atroce, marmonna Isaac. Les Hautes Instances d’Ophéie ne font rien pour aider ces gens !
-Tu sais, peut être qu’ils n’ont pas que ça à faire. Il y a des guerres aux frontières, des émeutes partout, l’économie du pays est au plus bas… Ils ne peuvent se charger encore de ces villes miséreuses. Ne regarde pas et n’oublie pas notre mission. Si une personne te regarde d’un air étrange, comme si elle savait qui tu étais, dis le moi et on trouvera un plan.
Ils continuèrent à se frayer un chemin parmi les immondices et parvinrent à une nouvelle partie de la périphérie de la Capitale. Ils voyant à présent nettement le centre ville : ils se sentaient tout petits ! La Capitale en elle-même se composait d’une Tour gigantesque, immense, colossale, qui se divisait en plusieurs autres piliers de roches, tous habités. Des remparts avaient été édifiés à environ deux kilomètres des Tours centrales. Les Parcourriers en herbe passèrent sous l’arche formée par une massive porte incrustée dans les fortifications. Dans le centre ville, il faisait bon vivre, à l’inverse des périphéries. Des échoppes, des marchands survoltés cherchaient à vendre à tout prix leurs stocks. Des chevaliers poursuivaient des voleurs à l’étalage. Des Temples de la Religion Shantaha (
Voir dans L’Encyclopédie du Continent pour tous les Ages, bientôt chez vous ) hurlaient leurs prières matinales.
Et tout ce petit monde, cette populace entamait sa journée, banale et à la fois captivante.
-Hep !
Un morveux avec de la morve au nez avait tenté de dérober la besace (vide) de Raphaël.
-Sale gosse ! Reviens ici ! hurla ce dernier.
Pendant qu’Isaac riait aux éclats, quelqu’un les observait, tapi dans une ruelle sombre. A sa main gauche un colt argenté, à sa main droite, une lame effilée écorchant l’air. L’arsenal d’un assassin quoi ! Mais il n’attaqua pas et attendit…
Les deux garçons parvinrent enfin au siège des Parcourriers. C’était un grand monument, immense et qui occupait une place entière. Au centre de celle-ci, une fontaine illuminait les alentours en ce matin rayonnant. La surveillance était renforcée au possible en cette place forte : des gardes, des Parcourriers observaient sans cesse les passants. Au moindre geste suspect, il ne faisait pas de doute qu’ils fondraient sur la victime et l’emprisonneraient.
Isaac et son ami arrivèrent devant le guichet des renseignements. Une vieille bique tenait ce service et c’est avec une politesse incroyable qu’elle leur souhaita la bienvenue :
-…
-Euh… Excusez nous, commença Raphaël.
-…
-On fait quoi ? Elle semble être ailleurs… s’inquiéta Isaac.
Raphaël, lui, n’été pas aussi bienveillant :
-Oh la vieille ! Debout ! On te cause !
La concernée se redressa et demanda le plus naturellement du monde, un sourire niais aux lèvres :
-Que voulez vous ?
-On voudrait savoir si les Parcourriers Théodore, Martial et Wilfried étaient arrivés ici. Ils ont été nommés il n’y a pas longtemps.
La gentille madame jeta un regard hautain sur leurs habits en lambeaux et se mit à farfouiller dans ses registres.
-On a eu comme visiteurs il n’y a pas si longtemps que ça Martial, un de vos amis, accompagné d’un autre, nommé Arsène. Ce dernier n’avait pas de badge Parcourrier.
-Où sont-ils ? demanda Isaac, trépignant d’impatience.
-Je ne sais pas Monsieur. Si vous voulez mon avis, il vaudrait mieux vous doucher. C’est là votre priorité !
Et c’est ainsi que les deux garçons repartirent aussi raplapla qu’ils étaient venus. Mais Martial et Arsène étaient vivants, c’est l’essentiel.
-On va où maintenant ? demanda Isaac, dépité.
-On va attendre là, qu’ils reviennent.
Ils s’assirent à un banc de la place, conscients qu’ils étaient observés. C’est vers le début de l’après midi qu’enfin…
-Eh oh !!!
Tous les deux tournèrent la tête vers la voix : c’était Martial, avec Arsène ! Ils se précipitèrent et s’étreignirent rapidement. Martial semblait avoir pris dix ans : il paraissait vieux, usé. Des rides ornaient ses yeux sombres. Ses cheveux étaient lissés, sans doute avaient-ils trouvé un logement. Arsène, lui, était toujours le même : ses deux lames à la ceinture, son air supérieur. Si Martial avait l’air presque mort, lui n’en paraissait que plus vivant : il rayonnait !
Le groupe alla se rassoir sur le banc et ils parlèrent de leurs aventures séparées. Arsène avait été recueilli dans une ville à l’Est. C’était celui qui avait le plus de chemin à faire, puisque la Capitale se trouvait vers le sud-ouest du Continent. Il avait été bien logé et nourri. Martial était tout le contraire : catapulté en plein montagne, il avait du survivre comme il pouvait. Heureusement pour lui, la Capitale n’était qu’à quelques jours de marche. Il était ainsi arrivé le premier. Isaac et Raphaël apprirent aux deux autres que les Parcourriers sont surveillés incessamment.
-Il faudrait demander aux Hautes Instances si l’on peut retrouver Théodore, Wilfried et Judith grâce à ce système.
-Il s’agit qu’ils veuillent, c’est le seul problème. C’en est même un gros ! rétorqua Martial.
Mais comme ils n’avaient pas d’autre solution, ils migrèrent vers le Bureau pour les Parcourriers (PPP). Contrairement au guichet d’où venaient Isaac et Raphaël, le PPP était exclusivement réservé aux Parcourriers. Ils purent y entrer grâce à leurs portraits pris lors des nominations. C’était une grande salle, immense avec des colonnes à ne plus savoir quoi en faire.
-You Hou !
C’était Mickey ! Tous ouvrirent de grands yeux, médusés. Celui qui les avait abandonnés se trouvait là, bien portant. Il avait pris du poids à le voir.
-Ca va comme vous voulez ? demanda-t-il, un grand sourire aux lèvres.
-Euh oui, si ce n’est que vous nous avez abandonné…
-Oh mais c’est rien gamin ! T’en verra d’autres.
Il changea alors complètement de sujet :
-On m’a dit que vous aviez vécu des aventures extraordinaires.
-Oh oui ! S’exclamèrent-ils en cœur, sur un ton d’ironie, bien que Mickey ne le perçu pas…
-Venez, on va vous laver et vous nourrir !
Ils s’engouffrèrent alors dans un couloir souterrain, humide et puant. En ressortant, ils furent aveuglés par une lumière immense : ils se trouvaient sur une terrasse immense, baignée par le soleil. Ils étaient dans la Grande Tour, celle qui dominait la ville.
-Mais comment ? On n’a pas monté d’escaliers ! Comment peut-on être aussi hauts ?!
-Secret défense, ironisa Mickey. Les douches sont par là et le buffet par ici !
Isaac et Raphaël allèrent se relaxer tranquillement durant toute l’après midi, jouant avec les bulles des immenses jacuzzis. Le temps de quelques heures, ils oublièrent leurs tourments… Mais pas pour longtemps…
-Messieurs, suivez nous !
Un groupe de dix personnes venait d’arriver, des Parcourriers en costard-cravate avec une apparence de mafieux.
-Nous savons qui vous êtes. Vous avez tous disparus dans un intervalle de temps identique. Nous désirons savoir où vous étiez. Qui plus est, Messieurs Lloid et Twem, vous avez été rendus coupables du meurtre d’un Parcourrier, le dénommé Stanislas et de blessures mortelles sur la personne de Murdock, un soldat impérial.
Ils n’osèrent protester et se laissèrent guider. Les hommes les conduisirent dans une salle de torture, où des sièges avec des chaines trainaient. Ils étaient dans la merde, pour parler vulgairement !
-Très bien, commença le chef du groupe.
C’était un homme vieux, soixante ans environ. Un bouc poivre et sel, une crinière de cheveux blancs, un colt à la ceinture : voilà tout ce qui dépassait de lui.
-Racontez-moi tout honnêtement.
-Très bien… soupirèrent-ils.
Ils déballèrent tout depuis le début. Au fur et à mesure des révélations, les évènements leur revenaient à la mémoire : le départ, les Criquets, Arsène, Trolwn, Helmut, Black, Napoléon, Nueco, l’Ouragan…
-Et voilà, nous avons du sortir de votre système de surveillance durant quelques heures après cette tempête.
-Vous savez… Je suis expérimenté dans l’art du mensonge et de la vérité. Votre récit, vos actes, votre aventure, tout ça, c’est que du…
Ils furent presque accrochés à ses lèvres, tant ils voulaient être innocentés !
-… C’est que du vrai !
Ils hurlèrent de joie ; enfin, surtout Arsène et Martial. Isaac et Raphaël avaient encore le coup du meurtre sur le dos… Ils racontèrent alors leur aventure : les Castors, les Piverts, Stanislas, Irvin, Murdock…
-Vous ne mentez pas mais ce que vous avez fait reste impardonnable ! Même si les méthodes employées par Stanislas étaient peu envisageables, les actes comme ça sont sévèrement punis ! Vous allez être épargnés cette fois mais sachez que votre Troupe sera la première mobilisée en cas de guerre !
-Mais il faut qu’on retrouve Judith ! Et les autres, Wilfried et Théodore !
-Taisez-vous Monsieur Twem ! Aboya le chef d’une voix qui fit taire le garçon. Nous savons où se trouve Wilfried, il se dirige en ce moment même vers nous. Il vient juste d’accoster sur le Continent ! Pour Judith, si elle a été enlevée par des voleurs, ils doivent la cacher, on ne la trouvera pas si facilement. Enfin, Théodore est introuvable.
-Vous voulez dire qu’il est mort ? Paniquèrent-ils.
-Non, même lorsqu’un Parcourrier est mort, nous savons où il est.
-Vous n’allez pas nous faire taire concernant le système de localisation ?
-Pourquoi donc ? Tout le monde le sait !
Ils furent surpris et se sentirent stupides tout d’un coup…
-Allez-vous reposer à présent jeunes hommes. Nous reprendrons cette discussion demain.
Le soleil commençait à tomber par delà l’horizon. Les lampions accrochés dans les rues les laissaient vivantes, comme en plein jour.
-On l’a échappé belle hein ! Plaisantèrent-ils.
-Oh oui !
-Hep !!!
Quelqu’un d’autre avait voulu dérober la besace (pleine cette fois) de Raphaël. Pas un gosse, ni un morveux, ni des voyous de périphérie : un jeune homme, d’environ vingt cinq ans. Beau gosse, mais à la fois un peu tête à claques, il avait un air snobinard qui déplaisait à Isaac. Un révolver dans sa main gauche menaçait Raphaël. L’objet brillait d’une lueur argentée mais le plus étrange, c’est que Raphaël ne savais pas quelle en était la nature. Il était le plus intelligent de la bande mais cet objet était inconnu pour lui : un calibre étrange, une gâchette incrustée d’un signe spécial et inconnu, un percuteur original et un canon splendide, comme confectionné par des forces supérieures.
Un autre colt dépassait de sa poche, plus classique cette fois. L’homme mélangeait du neuf avec du vieux en toute élégance. Un chapeau de cow-boy ornait son crâne et lui donnait un air mystérieux au possible. La partie supérieure de son visage demeurait cachée mais sa bouche dégageait une impression de désinvolture totale. Une lame effilée et une armada de couteaux à sa ceinture complétaient son attirail. Vous l’aurez compris, cet homme était celui qui épiait Isaac et Raphaël lors de leur arrivée. Et vous l’aurez capté également, ce n’était pas un newbie du métier : malgré leur expérience en tant que Parcourriers, les jeunots n’avaient pas senti l’arrivée du voleur.
-Casse-toi ! Avertit Martial.
-Euh… Laisse-moi réfléchir… Non.
C’était un peu comme une déclaration de guerre : Martial s’élança, dégaina sa lame et l’abattit sur le voleur. Ce dernier para le coup avec son révolver et décocha une balle vers Isaac, qui l’évita au dernier moment. Oui, les balles de colt à l’époque n’allaient pas très vite. De plus, les Parcourriers ont des réflexes immenses. Une bataille générale commença, avec les forces de l’ordre en plus ! Le voleur montrait une aisance hors du commun et une décontraction parfaite : il insultait ceux qui loupaient leur attaque et riait aux éclats devant Martial plein de coups. Le brigand combattait tout en gardant son chapeau sur la tête, comme pour les narguer. Les soldats qui arrivaient en masse ne faisaient pas mieux, loin de là : déjà six blessés dans leur camp pour aucune égratignure côté voleur.
Isaac était le plus impliqué dans la bataille : cogner quelqu’un de prétentieux, qui plus est un voleur : il le fallait ! Ils se retrouvèrent rapidement en duel sur un étalage de pastèques. Le voleur savait utiliser le terrain à son avantage : il projetait souvent du jus dans les yeux d’Isaac afin de l’aveugler. Un coup de poing finissait le garçon. Puis la bataille continua en se lançant des pastèques les uns aux autres : un carnage en clair. Surtout que la marchande ne l’entendait pas de cette oreille et balançait des pastèques partout autour d’elle, en espérant les calmer. Un concurrent s’en reçut une et les marchands entrèrent dans la bataille à leur tour !
Le voleur expédiait des balles à volonté avec son révolver étrange. Il ne rechargeait jamais, ce qui énervait Isaac.
-Coup-Coup Slash !
Cette fois en revanche, le brigand s’en pris plein la face et dut sortir sa lame effilée. Le combat continua sur les toits puis entre les tours du centre ville. La moindre erreur conduisait à une chute de quelques centaines de mètres. L’adversaire d’Isaac avait le dessus, pas le moindre doute là-dessus : il envoya plusieurs fois le garçon au tapis. Mais il y eu une fois de trop : Isaac tomba de haut, très haut, trop haut ! Il parvint néanmoins à trancher dans le vif son opposant avec son Coup-Coup Slash. Ce dernier fut déstabilisé et Isaac dévoila sa nouvelle technique :
-La Maison Venteuse ! Terre ! Plante ! Câble !
Son bras se mit alors à briller et un engin bizarre y apparu : c’était une sorte de brassard vert. En fait, c’était une plante. Celle-ci tissa une liane vers le voleur et s’y accrocha ! Les deux adversaires tombèrent alors ensemble…
Le sol se faisait de plus en plus proche et rien ne pouvait les stopper. La fin, ils allaient mourir s’ils ne faisaient rien. Isaac sortit alors son épée et la fit tournoyer en hurlant :
-Coup-Coup Waves !
La chute fut ralentie et Isaac se ramassa lamentablement contre un stand de… pastèques ! Utilisant ses dernières forces, il fit atterrir « en douceur » le voleur contre un autre stand, mais d’ananas cette fois. Avec sa liane, il balaya les échoppes, le voleur toujours au bout… La plante disparut alors par manque d’énergie et le brigand alla s’éclater contre un mur, le visage en sang…
Note de l'auteur: Pas de Wilified, mea culpa... La Maison Venteuse se dévoile enfin, retrouvailles... A + pour le prochain Chapitre !