
Comics publié depuis 2002 par Image comics au US, en France depuis 2005 par Delcourt.
Dessin de Cory Walker dans un premier temps(1-7) puis par Ryan Ottley sous la direction de Robert Kirkman au scénario.
Introduction :(ou synopsis, c'est selon)Omni-man, héros le plus puissant de tous les temps, défenseur de la terre, protecteur des faibles.
Mais pour Mark Grayson (voyez la référence) il est bien plus que cela, il est Nolan Grayson, son père.
A l’approche de la majorité Mark se fait une joie, enfin il va avoir ses pouvoir, enfin il va marcher sur les traces de son prédécesseur et devenir Invincible.
Reprenant alors le flambeau paternel, mais connait-il toute la vérité sur ce dernier ? Pas si sûr.
Développement :(Un simple guide des personnages)Mark Grayson/
Invicible
Un ado comme les autres, il va au lycée, et lorsque ça n’est pas le cas bosse dans un fastfood miteux, ses parent pensent que ça va lui forgé le caractère.
Lui attends patiemment son heure, ses pouvoirs, la cape et les responsabilités qui vont avec sans vraiment se rendre compte de la tâche qui l’attends.
Nolan Grayson/
Omni-man
Arrivé il y plusieurs année de ça sur terre à un âge déjà bien avancé il dit venir de la planète Viltrum.
Depuis son arrivé il n’aura eu de cesse de combattre le crime où qu’il soit.
Debbie Grayson

Mère de Mark et femme de Nolan, c’est pour elle que ce dernier a pris une identité civile.
Elle est humaine.
Cecil Stedman

En charge des superhéros, il intervient en cas de grande crise, c’est pour ainsi dire l’homme de l’ombre du gouvernement américains.
Principal interlocuteur de Omni-man il est en charge de l'attribution des mission de celui-ci.
The Guardians of the globe 
Groupe de superhéros le plus puissant au monde, ils sont une représentation de la JLA.
Conclusion :(Mon avis, indispensable comme à son habitude)Disons le franchement ce comics ne réinvente pas le genre, mais sait se montrer moderne dans la forme comme dans le fond, ici exit tous les fioritures habituelles et dispensables qui parasite depuis trop longtemps nos lecture made in USA (
"in america").
Le récit bien que simple à ses début se développe rapidement sans jamais tombé dans le piège manichéen, certes il y a l’opposition des gentils et des méchants mais l’univers d’Invincible est fait principalement de nuance de gris et nous le rappelle constamment.
Mais si une telle narration est possible c’est seulement grâce au parti-pris de l’auteur ayant choisi de mettre les personnages au seconds plan et ne les faisant intervenir qu’au grès de l’intrigue,
Ils ne sont pas prétextes à l’histoire mais les outils de cette dernière, ce qui change pas mal des autres productions.
Ça ne veut pas dire pour autant que les protagonistes sont creux, au contraire, c’est juste qu’ils livrent leurs secrets seulement en cas de nécessité.
C’est sans doute cette difficulté à se dévoilé qui leurs donnent une dimension si humaine et ceux quelques soit leurs pouvoirs ou origines.
Au final Invincible me semble être une valeur sur de ces dernières années, un incontournable.