L'Odeur de la papaye verte, de Tran Anh Hung (1993) :Mon favoris dans ce groupe.
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Lorsque j'ai écrit L'odeur de la papaye verte, je voulais parler du problème de la servitude qui est au coeur de la condition de la femme vietnamienne. Cette servitude étant très liée à la tradition et à l'éducation, elle se perpétue par un recommencement continuel. Ce mécanisme m'offrait naturellement une construction narrative en boucle que je n'ai finalement pas adoptée.
C'est ainsi que, tout en cherchant à maintenir cette idée de recommencement, j'ai préféré un récit en deux mouvements, dont le premier décrit le fonctionnement de cette servitude depuis son apprentissage, Jusqu'à son acceptation totale, érigée en tradition, en passant par le moment où, vieillissante et abandonnée par l'homme, la femme continue pourtant à le servir.
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http://archives.arte.tv/cinema/papaye/ftext/realis.htmJ'avoue craindre un peu pour ce film dans ce tournoi tant il semble éloigné des film qui ont pu passer. Pour ceux qui après avoir lut ce que j'ai mit ici le pense ennuyant, c'est bien loin d'être le cas, il y'a prés de ans que je ne l'ai pas revu et j'en garde un souvenir fort (et je le recherche histoire de le revoir) et malgré l'impatience qu'on a à dix ans, je ne m'étais pas ennuyée un instant devant.
Big Fish, de Tim Burton (2003) :J'adore, un des Burtons que je préfère avec "The Pee Wee's Bigs Adventures". Clairement pas à dégager tout de suite, ce film mérite d'aller plus loin. Et si vraiment ou il vous faut des arguments d'analysterie du film reporter vous au message de Leto. A priori ce film peut valoir en tant que psychanalyse de Burton, youpi youpi.
Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi, de Peter Jackson (2003) : Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours, de Peter Jackson (2002) :C'est beau et ça sent bon. Faut pas éliminer ça maintenant.
Psychose, d'Alfred Hitchcock (1960) :C'est culte, y'a la scène qu'a marquer le genre tout ça, m'enfin c'est chiant aussi. Surtout d'ailleurs. Je comprend son intérêt pour les gens qui analyse et cherche a comprendre le révolutions du cinéma, maintenant pour les gens qui regardent juste les films ça a trop mal vieillit. Du coup s'il devait ne pas passer ça ne me dérangerais pas outre mesure. Sauf que si lui ne passe pas ça implique que le dernier de mon classement passe, et ça se serait vraiment trop dommage.
L'Âge de glace, de Chris Wedge et Carlos Saldanha (2002) :Je ne l'ai vu qu'une fois et j'en garde un excellent souvenir. Je ne sait plus vraiment ce que ça raconte mais je me souvient qu'en tant qu'animatrice ce film m'avais fait du bien (et surtout le silence de l'ensemble des gosses pendant la projection). Pour l'instant j'ai bien envie de le garder, pas parce qu'il est excellent mais parce qu'il y'à pire.
Drive, de Nicolas Winding Refn (2011) :Le niveau zero du cinéma !
Et si encore sa musique pouvait le sauver comme veulent bien nous le faire croire certains, mais même pas.
Et j'ai payer pour "ça" ?!? A dégager !!!