Tu as sacrément rushé le jeu ma foi pour en arriver à une telle conclusion. M'enfin bon, chacun joue à PKMN comme il l'entend après tout... C'est ce qui fait la force du soft.
Pour ma part, je n'en suis encore qu'au tout début, un poil plus du tutoriel histoire de situer. Et je dois dire que j'accroche sacrément. : D Pas sûr que que je tienne sur le long terme, mais voici mes impressions écrites. Pour rappel, je me suis contenté de regarder les trailers officiels sans aucun autre spoil histoire d'avoir une expérience de jeu qui sente réellement bon la découverte. Je ne sais donc quasi rien des nouveaux PKMN que je vais rencontrer (si ce n'est un ou deux à cause de vignettes youtube malheureuses...).
C'est tipar !
Ouverture directe sur le choix de notre avatar avec notre nom. Un peu déroutant sur le moment puisqu'en temps normal, cette demande a toujours été en association directe avec la présentation globale du jeu. Une approche administrative, presque froide donc, loin de la malice de la 7G où le professeur Euphorbe nous redemandait notre photo via webcam à cause d'une information mal passée avant notre emménagement. Cependant, une fois cette première étape achevée, nous revenons à la classique présentation de l'univers par le président Sheroz, en plein milieu d'un stade PKMN avec une foule en délire. Peu commun d'avoir un philanthrope dans ce rôle alors que nous avions eu jusqu'à présent toujours le prof local pour cette démarche, mine de rien, ça pose une autre ambiance (et toujours cette impression qu'il est le bad guy du jeu...). Et là, paf, au lieu de sortir un PKMN qui a été présenté dans un des trailers du jeu, voilà que le bougre nous sort une créature totalement inédite ! Son nom ? Son type ? Son 06 ? Mince, ça commence à peine et déjà je me prends une surprise en pleine face ! Viens ensuite l'arrivée de Tarak quasi d'entrée de jeu, là aussi, c'est rare d'avoir si tôt que ça la présentation d'un maître de la Ligue dans le récit. Ce dernier fait le show avec son Giga Dracaufeu qui impressionne la foule. En face de lui, un autre dresseur non présenté dans les trailers et au visage quelque peu masqué répondant au nom de Roy. Le match à venir à beau être amical, il semble vouloir tout donner pour cette confrontation au côté de son Duralagon. Le match est retransmis sur les écrans ce qui offre la transition toute trouvée pour découvrir notre avatar entrain de regarder le match juste avant l'arrivée de Nabil, l'éternel ami voisin de presque chaque version qui se trouve être accessoirement le petit frère de Tarak, histoire de ressortir quelques infos connues. Fait amusant, le jeune garçon possède déjà un compagnon PKMN, un Moumouton en l'occurrence, chose pas banale pour un rival. En bref, pour une phase d'introduction à l'univers, ça avait le mérite d'être du grand spectacle.
Arrive donc le moment où il est enfin possible de se balader histoire de faire le tour du propriétaire avec un petit aperçu de la route 1. Premier constat, c'est tout à fait charmant. L'environnement des foyers fait bon vivre et cette étendue campagnarde est bucolique au possible. Côté ambiance, c'est donc tout bon pour le moment. Après avoir constaté qu'un Moumouton sauvage jouait du coup de boule pour pouvoir passer une barrière qui le sépare d'une forêt plutôt dangereuse, passage chez le voisin où l'on découvre la chambre de notre ami et on constate trois posters illustrant les PKMN les plus populaires à Galar : Dracaufeu, Mackogneur et Ectoplasma. Des formes Giga à découvrir dans la suite du jeu ? Direction ensuite la gare pour accueillir ce grand dadais de Tarak qui serait d'après les dires de sa famille tout à fait capable de se perdre sur une ligne droite si on ne prenait pas la peine de venir le chercher. Mais autant être sympa avec lui car c'est lui qui nous fournira notre tout premier PKMN. C'est le moment tant attendu avec l'éternel dilemme de tout nouveau dresseur, qui choisir entre un singe, un lapin et un caméléon ? La présentation des trois PKMN avait là aussi le mérite de sortir un peu de l'ordinaire, véritables gamins turbulents et plein d'énergie, on peut voir ces trois petits loustics faire les quatre cent coups dès la sortie de leur Pokéball respective. Là encore, on est loin des PKMN ultra disciplinés des précédentes versions (exception peut-être des versions Noire et Blanche avec la chambre du héros sans dessus dessous, mais quelle idée de faire deux combats à la suite dans un espace si exigu...). L'hésitation n'est pas longue, mon avatar s'approche de son futur compagnon et un petit check patte/papatte plus tard, ce très cher bien que naïf CivetChariot inaugure ma future équipe. Il devrait faire un parfait adversaire pour le Dracaufeu de Tarak dans un avenir plus ou moins lointain... Nabil quant à lui récupère le starter supposé être dominé par le mien. Quant au petit dernier, il est récupéré par Tarak pour en faire un futur membre de son équipe, supervisé par Dracaufau lui-même. Damned, symboliquement, ça se place là. L'un des autres moments tant attendus sonne avec le premier combat contre le rival dans un 1 vs 2 histoire de bousculer un peu les habitudes, mais pour CivetChariot, rien d'impossible à force de charges et d'une flammèche bien placée. Il est temps de montrer le nouveau membre de la famille à notre mère. Seulement, horreur, le fameux Moumouton sauvage du début a cassé la barrière et vient de pénétrer en zone turbulente. Il faut donc sauver la toison du petit impétueux et c'est dans une forêt chargée de brouillard que nous avançons. Ou la manière de voir comment fonctionne la nouvelle approche dans les hautes herbes et du point d'exclamation indiquant qu'un PKMN est prêt à nous sauter dessus. Et de nouveau, nouvelle surprise, deux nouveaux monstres jamais vus me sautent dessus, rien de moins que le fameux piaf régional et son rongeur local. Deux PKMN avec une bonne bouille et aucune Pokéball en poche ? Mais zuteuh ! Fuir ou cogner ? Personnellement, je n'aime pas trop trop courir au contraire de CivetChariot, donc... On avance doucement, la brume se faisant de plus en plus épaisse, et là, sans crier gare, ce qui semble être le légendaire de ma boîte de jeu en version complètement déplumée s'avance vers nous. Un destin à la Cosmog ? Plutôt content si c'est le cas, ce dernier ayant eu une bonne introduction dans le récit de la 7G. Un combat s'engage alors, mais surprise, aucun assaut ne porte alors que le belligérant nous toise du regard et que le brouillard se fait de plus en plus épais à chaque coup lancé. Tarak viendra finalement nous sauver la mise et celle du Moumouton égaré. Un fois sortie de la forêt, il est temps d'aller voir maman qui nous confiera un peu d'argent de poche. à l'aube d'une nouvelle aventure...
Il est temps maintenant de revenir à la première ville histoire de refaire un peu le tour des lieux, ses boutiques et son inévitable centre PKMN. Sur le chemin, quelques PKMN parcourent les hautes herbes, des petits monstres qu'il est possible de combattre. C'est une petite révolution me concernant dans la mesure où j'avais fait l'impasses aux versions Let's Go Evoli/Pikachu qui proposaient le même concept. De nouveau, grosse surprise, plein de PKMN totalement inédits et inconnus au bataillon qui me tendent les bras et toujours aucune Pokéball en poche. Maaaiiiiiiiis... On bastonne un peu histoire d'entraîner un peu CivetChariot et de voir le cheptel local. Je découvre qu'il est possible à terme de capturer tout de même des PKMN dans les hautes herbes de manière plus classique et que c'est seulement par ce procédé que l'on pourra capturer certaines créatures. Dans les faits, pourquoi pas, mais à terme, avec tous ces monstres qui se baladent face visible et avec qui on peut interagir, je me demande tout de même si ça ne va pas un peu parasité la traque classique. à voir... Lors de cette séance d'entrainement, un PKMN avec une aura jaune apparaît ! Whoat ! C'est quoi ? Pourquoi il possède cette aura ? C'est en lien avec le Gigamax ? Pourquoi les trailers n'en ont pas parlé ? Encore une surprise et du mystère à découvrir plus tard. Pas eu le temps de l'affronter, ce qui semblait être le rongeur local a disparu alors que j'avais bêtement quitté l'écran (et de toute façon, pas de quoi capturer la bête...). Je reviens à la première ville pour faire le tour des boutiques et du centre. L'horreur est à son comble, ils ne vendent pas de Pokéball. T____T MAIS SCROGNEUGNEUUUUUUUUUUUUU ! Par contre, un passage dans la boutique de vêtements m'a fait réaliser du pécule que m'a donné ma mère avant de partir. By God Arceus, mother, tu as hypothéqué la maison ou quoi ?! o_O Découverte du nouveau centre PKMN qui ressemble presque trait pour trait au niveau de l'agencement avec ceux des îles Alola, mais avec une touche forcément plus locale. Oh, et encore un tout nouveau PKMN jamais vu dans les trailers à un comptoir... Décidément, qu'il est bon de ne pas avoir été tenté par les leaks... <3 Dans cette même petite bourgade, on rencontre Sonya, la petite fille de la professeure Magnolia. Ancienne partenaire de Tarka durant leurs jeunes années, c'est elle qui nous confiera la nouvelle version Pokédex. Et qui dit Pokédex dit qu'il est l'heure de voir la prof locale. En chemin, Tarak nous enseigne le lancé de Pokéball avant de nous en confier quelques-unes. EN-FIN ! Tout juste le temps de récupérer les précieux sésames qu'un PKMN s'avance de lui-même vers moi, comme s'il venait me dire "Choisis-moi ! Moi, moi, moi !". Soit, c'est ainsi que la petite Goodogo rejoint les rangs, bien que calme de nature, elle sera à n'en pas douter une alliée de choix pour la capture avec son adorable frotte-frimousse. Mais de là, retour en arrière pour récupérer tous les PKMN de la route précédente et tenter de retrouver ce fameux PKMN à aura jaune. Après avoir récupéré plein de nouveaux compagnons, ce PKMN à aura refait son apparition. La capture s'effectue sans problème et je découvre que je gagne environ 139 W ! Joie ! Je ne sais pas du tout à quoi ça sert, mais c'est cool. Après cette longue session, il est temps de reprendre la route qui mène jusque chez la professeure Magnolia. Outre une route tout ce qu'il y a de plus jolie bien que classique, voilà qu'arrive mes premiers adversaires dont il est facile de se défaire. Pas grave, CivetChariot continue son oeuvre tandis que Goodogo m'aide à la capture. C'est là qu'arrive l'un de mes coups de cœur, son petit crâne jaune dépassant à peine des hautes herbes. C'est tout guilleret que je récupère le Jovial Crockflakes. Sa puissante mâchoire devrait être un atout de poids pour la suite de l'aventure. Arrivée en fanfare chez la Professeur Magnolia où avec l'aide de Nabil, il sera temps de prouver à Tarak que nous sommes dignes de participer à la compétition régionale pour devenir maître PKMN. Mon rival me lance trois PKMN mais Crockflakes, CivetChariot et Goodogo font un travail remarquable. Au terme de ce combat, Tarak est convaincu de notre potentiel et nous notre sésame ultime pour futurs champions : une lettre de recommandation signée de sa main. Qu'elle ne fut pas le moment choisi pour que deux étoiles météores tombent du ciel juste dans la cour de la professeure. On raconte que ces étoiles tombent du ciel à ceux qui un rêve à réaliser, et comme par hasard, elles sont la clé pour Dynamaxer les PKMN. Le hasard, les choses, toussa, toussa...
Le lendemain matin, la professeure Magnolia nous confie nos nouveaux bracelets Dynamax. Phénomène que l'on ne pourra effectuer que dans des endroits très précis riches en énergie. Il est temps maintenant de partir et de prendre le train pour la prochaine destination Nabil et moi. Après un au revoir à nos mères qui nous confient à chacun un équipement de camping, le voyage commence. Seulement, il est vite interrompu à cause de Moumoutons qui bloquent la voie de chemin de fer. Obligés à alors de poursuivre le chemin à pieds en pleine terres sauvages. Avant de parcourir cette nouvelle étendue, Sonya nous rattrape pour nous confier une boite PC nous permettant de changer de PKMN à tout moment sans passer par un centre PKMN. Wouf ! Révolution ! Temps maintenant de fouler le sol de cette contrée. Et je dois dire qu'il y a là quelque chose d'assez... "Grisant". Alors ouais, la topographie du lieu n'est pour ainsi dire pas folle, mais n'empêche, pourvoir déplacer la caméra comme on veut, voir les PKMN qui se promènent à leurs guises, ces terres n'usurpent pas son appellation de "sauvages", du moins pour cette première approche. La météo n'est pas tendre et nous accueille avec de la grêle. Un peu plus loin, c'est la pluie et la foudre qui nous réceptionnent. Les PKMN sont nombreux et il est plutôt impressionnant de croiser un Onix sauvage de fort belle taille. Qu'elle n'est pas la surprise de découvrir que certains PKMN du coin ont plus du double en expérience que mon cher CivetChariot. oO Et en plus, on m'indique que la bête est trop grosse pour être enfermer dans une Pokéball. Qu'est-ce donc que cette diablerie ??? Son Dracossouffle met KO en un coup Crockflakes. Pas le choix, il faut fuir sous peine d'une sévère dérouillée. Un aspect du jeu absolument surprenant et qui n'est pas sans me rappeler dans une certaine mesure Xenoblade Chronicles et certains de ces monstres vivant paisiblement leurs petites vies mais qu'il ne faut surtout pas déranger sous peine d'une correction sévère. Pas le choix, il faudra revenir plus tard pour se frotter à certains boss locaux et ce ne sont pas les Excavarennes du coin qui viendront me contredire... Mais il est temps maintenant de s'essayer à un de ces fameux raids Dynamax. Je valide un peu trop vite et prends CivetChariot pour un combat m'opposant à un Tiboudet avec le très énervant talent Endurance qui permet de monter de 1 niveau sa défense à chaque coup reçu. Le combat risque d'être potentiellement long. L'ordi me confie trois dresseurs de soutien avec un Dimoret, Mélofée avec Ceinture Force et Malamandre. Ensemble, il est temps de vider entièrement la barre de vie de l'adversaire pour avoir une chance de le capturer. Et ouch, c'est que c'est puissant un PKMN Dynamaxé. Par chance, la Malamandre de l'équipe parvient à brûler d'entrée de jeu l'âne de boue, mais pas sûr que je puisse tenir un match jouant sur l'endurance face à un tel adversaire. Les coups dynamaxés de mon compagnon font assez mal, mais pas de quoi tomber à la renverse non plus. Mes frères d'armes temporaires tombent comme des mouches et je finis moi-même par céder. Par chance, l'esprit nekketsu habite l'IA qui m'accompagne et revient en piste alors même que je ne peux rien faire, si ce n'est encourager l'équipe. La brûlure a finalement raison de la bête, c'est le moment de tenter une capture qui fort heureusement fonctionne. Yes ! Plutôt audacieuses ces joutes, un peu longues, mais pas inintéressantes...
Mon début d'aventure s'arrête là !
Bien sûr, je n'en suis qu'au début, mais pour le moment, mon avis est super positif. J'attends bien sûr de voir sur le plus long terme certains aspects avec le potentiel risque de redite dans ces terres sauvages, mais dans l'absolu, mon plaisir est total. Alors ouais, il y a tout de même des aspects sur lesquels j'ai des doutes comme le fait de se cogner à des PKMN visibles à l'écran alors qu'on était en quête d'une bête cachée dans les herbes. J'émets aussi un petit doute sur les raids Dynamax qui risquent d'être un poil trop long à mon goût. Je tire aussi une petite larmichette dans la mesure où je ne trouve absolument aucun PKMN inédit dans la zone où je me trouve, pourtant très riche en PKMN divers et variés. Il faut croire que CivetChariot, Crockflakes, Goodogo, Armantiérie, Ange Dailica et Amandar seront pour longtemps mes compagnons d'aventure. Pas que je m'en plaigne pour le moment, je les aime bien ces loulous. Quoiqu'il en soit, le jeu parvient à être tout de même plutôt agréable en dépit justement d'une technique pas forcément joyeuse, et en ça, c'est un petit exploit. J'attends maintenant de voir où le scénario va me mener et j'ai hâte de rencontrer de nouvelles bouilles à capturer et à affronter. En fait, le vrai gros point noir me concernant, c'est le multi-exp impossible à désactiver. Pour le moment, je n'ai quasi utilisé qu'un seul de mes PKMN pour mes combats et mes captures, et comme l'expérience est partagée, je n'ai pas vu l'utilité de changer de PKMN. Forcément, d'un point de vue diversité, ce n'est pas foufou. :/ Mais bon, je n'en suis encore qu'au début de mon aventure, il ne tient qu'à moi d'apporter un peu de variation à mon jeu.
Galar ! Me revoilà !
_________________
Love Like You - générique complet
|