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Great Teacher Onizuka

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Mercimercimercimercimercicimeralbertmercimercimerci! Merci d'avoir créé une telle œuvre, j'en pleure de bonheur!!!
J'ai passé 3 jours à lire GTO non-stop et c'est comme si je ressortais d'une putain de séance de cinéma. Quel manga, mais quel manga!
Je ne sais pas par où commencer pour commenter ces 25 tomes.
Le scénario redondant mais néanmoins ultra bon. A chaque fois c’est la même : une personne a des problèmes, fout la merde car a une blessure terrible, Oni débarque et libère le cœur de la jeune personne a sa façon avec ses méthodes qui déplaisent pas au sous-directeur. Il frôle la mort ou a de graves blessures et chaque fois, la victime pleure, s’ouvre et découvre qu’elle a des amis.
J’avoue que même si on connaît déjà les méthodes du héros, je ne me lasse jamais de voir ses gueules, ses techniques, ses actions délirantes. Toutes les situations dans lesquelles se retrouve Onizuka m’ont fait marrer.
Il faut dire aussi que le dessin est ultra bon. Le héros nous tire de ses gueules parfois a ne plus le reconnaître ! Bref, la grosse marrade tout le long du scénario, mais aussi quelques larmes (j’avoue !).
Mais GTO, c’est avant tout du délire.
En dessous de cette histoire, il y a un message passé par l’auteur : Onizuka s’incruste dans un domaine qui n’est pas le sien, remplit de règles et de valeurs, et lui il démonte tout ça, il prouve que l’éducation ne passe pas par les livres mais par une création de souvenirs inoubliables. Petit à petit il « sauve » la 3e-4. Elle qui s’était enfermée sur elle-même, n’ouvrant a personne.
Oni le dit bien dans Shonan 14 Days : « j’ai seulement frappé sans cesse, à la porte de leur cœur fermés. Qu’ils choisissent d’ouvrir la porte ou non ne dépendait que d’eux. Je leur ai juste donné un petit coup de main. »
Au bout du compte, une personne à problème détient toujours un cœur au fond de lui. Un prof ancien Yankee, pervers et mal élevé, qui malgré tout, protège ses élèves comme ses petits frères, c’est beau non ?
Contrairement à cela, on remarque que les autres, profs ou personnes proches des enfants, sont, on va dire, les « méchants ». Leur normalité font qu’ils sont moins humains je trouve, plus égoïstes et malsains. Et cet Onizuka qui vient les bousculer dans leur petit monde, provoque chez eux des sentiments horribles allant de la détresse jusqu’à l’envie de meurtres.
Au fond GTO est peut-être une leçon de vie sur les valeurs morales, l’amitié, l’amour, le partage aussi.
L’image présentée plus haut, est simple mais remplie de fraicheur ! Je ne sais pas, rien qu’en la regardant elle me donne le sourire.
Bien sur je pourrais en étaler des tonnes sur cette œuvre mais j'ai reçu trop d'informations dans mon cerveau en trop peu de temps/ Alors je préfère en mettre peu maintenant mais de qualité (car j'ai en tête ce qui est bon) plutôt que d'en mettre masse après pour ne pas dire grand chose de plus en fin de compte.
Finalement même si tout fini tout beau, c’est vraiment des histoires comme celles-ci qui me donnent la pêche !