Pour cette semaine, ça passe quand même un peu mieux que la précédente mais il reste deux ou trois choses qui font que tout n'est pas rose dans la situation actuelle. Les premiers instants entre Naruto et Nagato m'ont ainsi plutôt déçu car la réflexion qui en découlait était presque surréaliste même pour la série, « laisse-toi mourir pour arrêter cette chaine de haine », c'est quand même space de lire ça avec des personnages qui ont l'air réellement convaincus par ce qu'ils disent... Heureusement que le recours à Kyubi ici vaut le détour pour mettre à mal les desseins de Nagato.
Seleniel a écrit:
J'ai bien aimé le recours à Kyuubi pour résister à Nagato. Celui-ci semble complètement dépassé. Quelqu'un sait ce que signifie le signe dans la pupile de Naruto d'ailleurs?
C'est bien de celui-là dont-on parle ici ?
Si c'est bien celui-là, je pense que c'est pour souligner le fait que Naruto ait recours au chakra de Kyubi alors qu'il est en train d'utiliser le chakra du mode Ermite. Si ce n'est pas de ça dont il s'agissait ici, désolé. ^_^ Par contre, la seconde partie de l'entretien après que Naruto ait relâché quelque peu sa colère m'a plus plu. En effet, je trouvais ça plus intéressant de voir Nagato essayer d'ébranler les convictions de Naruto qu'il a reçu de Jiraya. C'est quand même spécial de voir que Jiraya est presque dépeint comme un doux idéaliste pas très en prise avec la Real Politik.
Quant au flashback de Nagato, je suis conscient que Kishimoto doit être le plus ouvert possible au niveau du lectorat, mais quand même, là... on se demande réellement si il n'aura pas plus appuyé le côté violent de la scène, vu que ça a été apparemment un traumatisme pour Nagato. Ce qui m'a le plus déçu, c'est la réaction des ninjas de Konoha. J'imagine que c'est juste parce qu'ils sont de ce village et qu'il faut continuer à cultiver le mythe des « bons » et des « mauvais » villages dans le monde des ninjas, on est obligés de se voir infligés de telles scènes pas très cohérentes. Ils sont en guerre, ils butent n'importe qui et n'importe où, ils ont du remord presque aussitôt après... Mouais, ils sont bien philanthropes pour des soldats quand même.
Maintenant que l'on a la première raison aux fondements de l'idéologie de Pein, je suis impatient de découvrir quel est le second traumatisme dans le domaine.