Yeah, c'est bien là le duel qui doit mettre le feu entre deux certaines personnes ça... Vont-ils s'étriper sous nos yeux ébahis pour notre plus grand plaisir ?

En tout cas, je prends mon ticket aujourd'hui pour le Kop dédié à Zapan, tout simplement parce que c'est un personnage qui se révèle marquant sur une très courte durée. Véritable ordure ambulante que l'on rêve de voir explosé par notre Cyborg préférée au début de la série, Zapan a déjà son attrait qui est bien souligné. Mais voilà, il fallait qu'il soit hors-normes et le Tome 5 est apparu pour réaliser ses vœux. Et là, à mes yeux, Zapan devient un personnage qui transcende de nombreuses conditions ; on en arrive ainsi à se demander si il ne mérite que notre dégoût ou bien si il mérite au contraire notre pitié. Zapan est un très bon personnage, bien performant durant le temps qui lui est alloué dans la série et qui suscite des ressentis plus que ambiguës chez les lecteurs.

Je laisse donc Zapan continuer son chemin vers la suite de la compétition (Message subliminal à qui de droit : Ne pleure pas, même si ce tirage au sort est horrible pour ta favorite ; ça a au moins le mérite de la mettre directement sous les feux des projecteurs ^_^).

Belle justif Leto ^^

Sinon

Je crois que vous avez admirablement dressé le personnage, messieurs..a ce quoi j ajouterais que je trouve Zapan interessant dans son cote concentré de haine et de violence mais il n'en est sacro saintement génial juste un bon personnage ( et juste dans Gunnm il y en a des meilleurs ).....

Mais bon SAndo ne m'inspire pas et Zapan j'aime bien alors vote Zapan..

Ah, enfin une occasion digne de ce nom de faire chauffer le traitement de texte !

Avant toute chose, une mise au point : moi aussi j'aime Zapan, pour toutes les raisons qui ont été admirablement citées par mon Letounet. Jamais je ne renierai la force et l'intérêt de ce personnage, qui permet au manga de prendre un tout nouvel essor.

Toutefois, j'adore Sando. Mais vraiment.
Parce que Sando est un être plein de contradictions, qui en font personnage à la richesse dont on ne soupçonnerait pas l'existence au premier abord. Parce qu'il est vrai que si on s'arrête au côté « guerrière à moitié à poil avec une grosse épée et un bras métallique qui poutre tout », on n'a pas vraiment envie d'aller plus loin.
Mais quelle erreur cela serait !
Premièrement, même si elle est court vêtue, faut pas se formaliser tant que ça dessus non plus. Si vos hormones vous chauffent trop à sa vue, ou si vos élans féministes s'indignent, songez au reste du personnage et tout cela s'effacera.
Tiens, puisqu'on en est à parler de l'aspect visuel de Sando, notons qu'elle fait partie d'une catégorie de personnage au graphisme classique mais qui a fait ses preuves : les « tout en courbes ». Il n'y a qu'à voir ses longs cheveux virevoltant et son long manteau a recouvrant. On peut ne pas y être réceptif, mais ça lui donne un style particulier, qui n'a pas son égal dans le manwha.

Ensuite, et c'est la le point le plus important, Sando appartient à une classe de personnage très particulière, un postulat qui, à chaque fois qu'il est présent, donne lieu à de véritables perles. Il s'agit de la fille torturée, presque plus humaine, mais qui tente de le redevenir (exemple : Eve de Black Cat. Je dis ça parce que j'aurais tué pour écrire un pavé sur elle aussi). La plupart de ces personnages sont en plus doués d'une très grande force physique, ce qui amène la première contradiction : la force brute, la violence, contenue dans un écrin à l'aspect fragile et délicat.
Puisque l'on parle de fragile, croyez-vous que Sando soit si forte que cela ? Certes, elle poutre des géants de 15 mètres de haut et des épéistes de génie, mais est-elle forte ? Peut-elle exister seule ? Quel est le rôle de Mun-Su vis-à-vis d'elle ? Qui protège qui ?
N'oubliez pas que Sando est un être brisé, qu'elle a été sauvée des pires tortures par l'Angyo Onshi. On ne sait pas si elle était déjà comme ça avant qu'il ne la sauve, mais le fait est là : elle n''est quasiment plus humaine, dans le sens où on la sent constamment coupée du monde. Elle n'y existe que par l'intermédiaire de Mun-Su. Elle ne vit que pour et par lui.
N'allez pas croire néanmoins que ce fait, que les féministes extrémistes pourraient qualifier d'outrageant, lui convient. Sando rêve d'être forte. Elle veut (re)conquérir cette humanité à qui elle aspire mais qui s'échappe devant elle.
Et que fait-elle pour cela ? Elle se vend à l'ennemi. Oh, pas consciemment, non. Mais le fait est que sa quête de force et d'humanité la mènera dans le sillage du pire ennemi de Mun-Su. Elle ne connaît pas la véritable identité de son sauveur, mais dans son attitude envers lui, on sent un abandon total à cette personne, comme si elle était prête à tout lâcher pour atteindre son objectif. Et c'est là qu'elle commence à devenir forte : en acceptant sa faiblesse pour pouvoir mieux la surpasser.
Surpassement qui est intelligemment caractérisé par sa prise de parole. Jusqu'à ce moment là, Sando ne parlait pratiquement jamais, ce qui l'éloignait d'autant plus de l'humanité. Il n'y a que lorsqu'elle franchit cette étape d'abandon qu'elle commence à parler, tranchant avec son moi d'avant.

Ceci montre que Sando est un personnage qui suit volontairement, même si cela n'est montré que indirectement, une quête de réalisation de soi qui force le respect. Voilà tout le charme du personnage : partant d'une antinomie antinomie de force et de faiblesse, d'une guerrière implacable et muette, on en arrive à un être qui à force de se chercher finira par se trouver, quitte à devoir tout laisser derrière elle. Pour mieux le retrouver.
Sando est un être irréfutablement humain. Bien que ce terme puisse être employé quasiment à toutes les sauces, ici il met en relief la capacité que nous avons tous de nous réaliser. Quel que soit les moyens à mettre en œuvre, quel que soit notre situation initiale.
Votez pour la prise de conscience, pour le cheminement, pour l'aboutissement, votez pour Sando.

Je n’ai pas à rougir du duel de Sando : comme beaucoup, j’aime bien Zapan, SneV, Leto et Bullzor ont bien exhibé ses qualités. Parallèlement, je vous prie, Edgie a tout aussi bien mis en lumière les innombrables qualités de Sando, laquelle forme avec L’Ecuyer et Mun-Su un trio quasi parfait de héros, se complétant les uns les autres d’une façon que nul n’aurait jamais pu soupçonner.

Pour reprendre et compléter ce qu’a déjà écrit Edgie, Sando n’est pas qu’une forme, un trait, une poussière dans un univers qui la dépasse, elle porte aussi en elle un grand fond, une construction dégressive du personnage pour un revirement final d’une puissance exponentielle. Je vous jure, c’est impressionnant. Le regard chez elle joue un rôle à nul autre pareil, le regard de soi mais aussi le regard que les autres posent sur elle. C’est de l’empathie primitive : tout en elle n’est que sensation délayée dans un flux continuel de contradictions. Confinée dans un mutisme, incroyablement plus éloquent que cent paroles vaines, Sando s’exprime à travers ses yeux, car ses yeux reflètent sa vision du monde ; ils représentent tantôt l’effroi de son passé, tantôt l’espoir de son futur. Ses yeux, ce sont le combustible de son humanité, c’est ce qui lui permet de maintenir vivant son ultime lien avec Mun-Su par l’intermédiaire de L’Ecuyer.

La force physique qu’elle manifeste lors des combats qu’elle mène est le témoignage le plus patent de sa faiblesse mentale dans sa quête d’identité. C’est une compensation, une mesure nécessaire pour se préserver. L’ambigüité née de son statut de garde du corps est à double tranchant : Sando se positionne en tant que bouclier physique de Mun-Su, mais l’Angyo Onshi est son pendant psychologique. De cette dualité, on peut relever un fait notable dans l’élaboration de son personnage : elle ne protège pas son maître de gaité de cœur, elle le fait parce qu’elle n’a pas le choix, Mun-Su demeurant l’unique attache à un monde qui lui a tout pris. Le renversement opéré vers le milieu de Shin Angyo Onshi nous éclaire davantage encore sur la condition névrotique de Sando. Lorsque Mun-Su se fait plonger dans un sommeil léthargique, son adjuvante est bouleversée. Le croyant mort à jamais, elle sombre dans les interstices des ténèbres et, inconsciemment, retourne sa veste. Une certaine cruauté dans le traitement apparait à ce point du récit car ce n’est pas tant que Sando est perdue – même si perdue elle l’est sans concession –, elle voue surtout une profonde haine à celui qu’elle considère comme un traitre. Pour elle, Mun-Su n’avait pas le droit de partir aussi facilement. En tout cas, je l’ai toujours ressenti de cette manière, ce qui explique également pourquoi cette séparation m’a tant marqué.

And last but not least, on en revient toujours à cette histoire de sensation chez Sando. On remarquera que le regard, qui avait jusque là joué un rôle prépondérant dans la construction du personnage, est tout bonnement supprimé vers la fin du manga. Elle ne reconnait plus Mun-Su. Assassinée par sa rancœur, elle ne veut plus le reconnaitre. Définitivement, elle semble avoir perdu ses dernières traces d’humanité, dévorée par les ténèbres qui flottaient au-dessus d’elle depuis si longtemps. Or, c’est d’une dernière sensation, celle d’une lame tranchant la chair concrète de son maître, que Sando va parvenir à faire le chemin inverse, tout le chemin, ni plus ni moins, pour retrouver ce qui l’avait sans cesse fuit, l’humanité. Mais sa vie ne sera jamais facile, c’était écrit, précisément, c’est ce moment que choisit la tragédie pour frapper. Cependant, la cruauté a ceci de charmant qu’elle laisse toujours de l’espoir partout où elle passe : enfin, Sando pourra s’émanciper de L’Ecuyer, bouclant la boucle par la naissance d’une harmonie nouvelle.

PS : Ah, j'oubliais... évidemment, votez Sando !

Sando vs zapan,j'en connais un des deux le second mais deux belle justif de chaque coté.

j'ai rien a ajouté vu que j'ai rien a ajouté donc ou va me porter ce choix.
Je veux me laisser porter par sando ou les justif m'ont convaincu,meme si j'aime bien zapan mais cette semaine etant sur la porteur femme(je dois avoir mes chaleurs xD!!) je vote donc pour sando,

Bon je connais Zapan et je le trouve même très bien, ce saligo qui reviens encore et encore pour affronter notre Gally adoré. Reste que je préfére Den, mais là n'est pas la question^^

toutefois Sando m'a l'air vraiment vraiment bien, et je suis vraiment(oui encore) enthousiasmé à l'idée de lire enfin plus en profondeur le nouvel Angyo Shin.

De ce fait, et biiieeen...je préfére laisser la chance à Sando.

Vote Sando!

Vous allez rire.

Je viens de me faire l'intégrale du Nouvel Angyo Onshi. Comme ça, parce que j'avais rien à faire. J'ai dévoré la série, et j'ai complètement accroché.
Mieux, j'ai adoré.

Et le plus drôle, c'est que Sando...

C'est mon personnage préféré du manga.

Alors, on peut parler de gros coup de coeur. Sûrement. Mais aussi et surtout de révélation. Parce que Sando, c'est la douceur et la violence en un corps pourtant si plaisant. Sando, c'est aussi une tendresse à vous faire fondre une armoire à glace. Mais Sando, c'est aussi une énorme bourrine. Et tout ça, ça fait un mélange décapant.

Ajouter ensuite un énorme pavé de désespoir dans la recette, et l'on obtient l'un de mes personnages féminins préférés. Rien que ça.

Vote Sando.

Miam Je me régale de ce duel. Qui fait s'affronter deux très bons, que dis-je, deux excellents personnages. Zapan et Sando. Parc contre, où les persos de Shin Angyo Onshi sont destinés à affronter de très gros persos dès le premier tour ?

D'un côté, on a Zapan. Le Hunter Warrior de La Décharge. Celui qui, pour éliminer son ennemi a tué tout le monde. Quels qu'ils soient. Son envie de tuer Gally est plus forte que tout. Pour la tuer, il veut être fort. Lui qui est faible et qui refuse de se l'avouer, le voila forcé d'admettre que face à Gally, il n'est rien. Il n'est qu'un gravillon sur sa route. Mais, ça il ne veut pas se l'admettre. Il refuse de voir sa faiblesse. Il veut tuer Gally. C'est la seule chose qui le motive. Qui lui permet de se révéler, lui que sa faiblesse a si souvent fait chuter. Et, pour se relever, il ira jusqu'à s'approprier la toute puissance du corps de Berserk. Et finira pas tout détruire. Tout ce quoi à Gally tient, tout ce qui fait son quotidien. Allant même jusqu'à détruire Kuzetsu. Pour tuer Gally.
Il est tel un diamant noir. Que personne n'a poli à part lui même.

De l'autre côté, on a Sando. La garde du corps de Mun Su. Celle qui doit protéger le physique de Mun Su.
Sando est forte. Incontestablement. Avec une épée dans la main, elle ne craint presque personne. Elle n'a plus que les combats et vit au travers d'eux. Protéger Mun Su est tout ce qui lui reste. C'est la seule chose qui la maintient à la vie. Alors, elle se bat. Vit dans le combat. Vit pour le combat. Vit par le combat. Un combat pour protéger Mun Su. Et pourtant, Sando est bien loin de ce portrait.
Car Sando est faible. Incontestablement. Dès qu'elle ne se bat plus, on voit ressortir toute sa faiblesse. Sando n'a plus qu'une chose qui la rattache à la réalité. Sans Mun Su, elle n'est plus humaine. Elle est humaine lorsqu'elle est avec Mun Su car Mun Su la voit humaine. Elle ne parle pas. Jamais. Elle s'exprime de par ses yeux. Qui dise sa vérité. Qui montre son lien avec Mun Su. Qu'elle ira jusqu'à effacer, bien qu'inconsciemment, lorsqu'elle croira ce dernier mort. C'est à ce moment, qu'elle se remettra à parler. Parce qu'il est plus facile de cacher la vérité derrière de vaines paroles.
Sando est comme un diamant blanc. Que les autres ont poli.

Finalement, vote Sando.

Bon je voterais vilma (puisque le sondage n'est pas encore mis mais dort et deja je vote vilma barbe noire a deja eu son heure de gloire meme si j'aime beaucoup) en face vilma qui m'a fait rellement accroché a last order,un personnage plein de charisme et qui au debut me semblait un personnage secondaire landa m'a literrallement scotché par son charisme et sa prestence de plus elle nous gratifie d'un flashback monumentale.
Vilma est un de mes perso feminins preféré tout manga confondu elle pourrait même l'emporter fac a erza pour ma part c'est pour dire la grandeur du personnage.

Maintenant pour les details je laisse le soin a gunmmiens de le faire il le feront beaucoup mieux que moi.

Disclaimer : L’auteur de ce billet tient à préciser qu’il est parfaitement contre le suicide, car il part du principe que pour se suicider, il faut avoir au préalable entièrement raté sa vie. Or, pour entièrement rater sa vie, encore faudrait-il d’abord la vivre entièrement. CQFD.
Si, suite à la publication de cet article, devait être observé un phénomène de disparition des membres de ce forum, son auteur ne saurait être tenu pour responsable. En revanche, si une recrudescence des suicidaires sur ce même forum devait être mise à nue, l’auteur se sentirait beaucoup moins seul.
Que mon testament loue mon désarroi face à l’élimination de Sando ! Parce qu’après une telle tragédie, plus rien n’a de sens…


Dans les lueurs sombres de ta vie, toi qui lis ce précis bien placide, reposé tout contre ton insouciance, as-tu déjà songé à la mort ? Quel soubresaut cela pourrait-il bien provoquer que de voir s’éteindre une lumière qui scintillait depuis si longtemps au sein de ton corps ? Quelle liberté encore que de jouer et de disposer de ton bien le plus précieux comme tu l’entends. Toi qui parcours ces lignes de tes yeux reconquis, ou frêles par le souci du quotidien, si ce poids te ronge aussi, et que jamais plus tu ne pourras supporter ce labeur qui s’éveille à tes sens délabrés, le suicide alors te tend les bras : plonge et deviens la noirâtre douceur de mourir en vain. Toi qui te dis que cette société est pourrie, que ces mots sont dépêtrés, qu’enfin se perdre et se détruire, voilà le vrai bonheur, partagé avec le plus profond mépris. Toi cet être, suis ces quelques conseils qui éclaireront ton chemin aux mille embûches, te précipitant vers la première joie : la bûche.

Immole-toi par le feu, brûle tes inquiétudes : retrouve ta voie en perdant la voix. Offre-toi un moment de plaisir intense sous une pluie d’étincelles. Pour qu’au moins une fois dans ta vie, tu puisses briller et imposer ta lumière au ciel.

Si tu es tantôt plus timide, que de tes pensées résonnent des événements plus tacites, que tu raisonnes comme un solitaire, comme un chat au fond de sa litière, si toi aussi tu souhaites te reconquérir au travers de tes travers, pour mourir en paix, loin de tout, loin des rivages insolites que tu as jadis refoulées de tes pieds foulés ; si tout cela évoque en toi une quelconque nostalgie, ou de tendres refrains qui sonnent ainsi que des estocades sans frein, alors choisis la pendaison.

Pendu par la tête, suspendu dans l’air, que ton corps ne touche plus terre : tu t’élèves une dernière fois, pour briller au firmament. Te voici transcendé, te voici le maître absolu de ton geste résolu. La corde peut être ce lien qui t’unit à toi-même ; dans un souffle inaudible, enfin tu t’accordes le repos.

De toutes les joies, une seule est juste : la mort qui s’ajuste à ton désir de partir. Vois ce que la vie t’a laissé : que de ténébreux désarrois – un toit, une maison, des souvenirs ? Ce n’est pas une raison. Ne te laisse pas emporter par le courant insondable de cette peste infâme qui empeste le drame. Il n’y a rien qui puisse te sauver de ta route fatale, bien vite se teinte déjà la chère déroute, qui parfume de ses relents salés ton univers dessalé. Si chez toi aussi, l’extinction suscite une tanière rassurante, trucide-toi d’une taillade amusante.

D’un coup, tu t’arraches à la vie : une coupure au poignet, est-ce une fin poignante ? Le sang qui surgit de tes veines recouvre toutes tes peines : entends, tu pars vers des rives moins grises. Ressens cent sensations qui encensent tes sens.

Aucune de ces joies ne te convient, Ô toi qui surviens à l’antithèse des mœurs ; et pourtant tu meurs. Qu’une tumeur te tue, c’est le hasard, ne reste pas telle une statue, et provoque ta chance, que dans l’anse de l’au-delà, tu lances tes railleries à la lasse populace. Jamais tu n’as su te baigner de bonne heure dans le courant raffiné du bonheur ? Cesse de te tourmenter à tout mentir, et observe la vraie mort de face, comme tu mords à pleines dents dans une glace.

Noie tes grains de chagrin dans l’eau claire du lac circulaire. Eclaire tes dernières inspirations, tout baigné enfin dans une empathique exclamation. A ton tour, sans détour, étale ta vie aux reflets luisants d’une eau limpide qui s’illumine aux projections lunaires. Comme uni avec toi-même, communie avec ton existence. Et dérive loin des rives.

De tes yeux, tu regardes mais ne vois pas, que la futilité enveloppe ton essence. Alors pour t’initier à l’art du suicide sublime qui sublime le simple suicide, voici dans un bric-à-brac, toutes les méthodes qu'il t'incombe d’expérimenter. Si tu aimes les bals, que cet art t’emballe, utilise une balle. Fais sauter ta cervelle qu’elle serve elle aussi : décore ton corps de sang et de neurones éclatés. Si tu aimes les voitures, qu’elles te font gausser à tel point que tu perds tes moyens tout entiers, dans ce cas, choisis l’accident : explose-toi toutes tes dents. Fonce dans un mur, brise sous une brise celui qui obstrue ta vision, évade-toi de la cloison qui t’enferme dans ce torrent de prison. Si tu es faible, fragile en plus d’être débile, ne te fais guère de bile : enfonce-toi vingt cachets que tu cachais dans tes carnets secrets. Il n’y a de belle mort que celle qu’on se crée.


PS : Je ne suis pas rancunier, et je le prouve en votant Vilma !

Vilma... Ce n'est plus un personnage, c'est carrément une institution à elle seule. En effet, est-ce qu'il faut vous le rappeler nécessairement avant de voter ?
Vilma Fachiri poutre outrageusement ! ©
En effet, je suis faible, je n'ai pas pu m'empêcher de relâcher ça à nouveau... Sincèrement, des personnages de ce calibre là, on en trouve rarement. Si vous ne la connaissez pas, il est très simple de comprendre l'ampleur du personnage : il arrive à éclipser Gally pendant près de deux tomes, ce n'est réellement pas rien. Et quelle présence... Magique, tellement celle-ci mêle tout ce que l'on peut attendre d'un personnage que l'on souhaite marquant.

Un sens dramatique ? Vilma en possède un très poussé, ses liaisons dangereuses avec Victor (NB : Le personnage de Last Order, pas l'autre auxquels certains auront pensé ^_^) sont mortellement belles à suivre. Un sens de l'intensité ? Rarement on a atteint un tel niveau avec ce type de personnage, son implication dans un cadre immensément grand qu'elle domine pourtant de toute sa taille est ahurissante. Un sens de l'humour exploité ? Certes, Vilma, ce n'est pas celle qui se paye le luxe d'être une mitrailleuse de vannes en puissance mais elle possède quelques runnings-gags qui valent le coup à mon sens. Un sens aiguë de l'action ? Ça, Vilma l'a assurément. À l'instar des personnages de sa série d'origine, dans un degrés supérieur qui effleure la perfection innée de Gally, Vilma a un style étonnamment esthétique dans ses différents combats. C'est beau, étonnamment beau à voir se dérouler sur quelques pages.

Mais bon, Vilma, c'est avant tout pour moi l'un de ces personnages qui vous prend littéralement aux tripes. Même si sa présence dans la série est loin d'être celle qui est la plus longue, elle est l'une de celle qui m'a profondément marqué dans Gunnm et Last Order. Vilma est la quintessence à mes yeux de ce que l'on peut appeler un personnage qui s'impose de lui même de par ses qualités intrinsèques, en conséquent...
Sauvez Vilma, l'un des personnages féminins qui marquent le GT#3 de leur simple présence !

Allez on sort l'argument le plus important d'entré de jeux :



Franchement rien que ça, ça doit donner envie de voter. Bon je ne connais pas le personnage d'en face donc je ne peux dire que BN est supérieur à lui (surtout que d'après les justifications c'est pas n'importe qui), mais je peux dire que Teach est un des meilleurs personnages de One Piece... Ou tout manga confondu. Pourquoi est-ce qu'il a gagné le GT deuxième du nom ? Ce n'est pas par hasard je pense. Cela prouve bien ce que je dis =). Alors je disais... mais pourquoi est-il aussi populaire ? En apparence il fait pitié (on dirait un clodo), bref aucun classe au premier abord. Mais alors serait-ce pour la phrase plus haut ? Peut être. Non pour moi ce qui fait l'attrait de Barbe Noire c'est son côté gentil/méchant qui croit en les rêves. Regardez à Jaya il aide Lufy et co, leur remonte le morale, juste avant d'essayer de les capturer. C'est ça que j'aime chez lui. Sinon on pourrait citer le côté "Luffy II", sur le côté nourriture et attitude (deux gamins quand il se battent ^^). Son fruit du démon... Les ténèbres ça le fait un max, non ? Surtout la tête qu'il a avec !



Et puis c'est un homme qui a un plan. Un plan qui l'a préparé il y'a des années. SOn côté machiavélique si on veut. Son plan donc... devenir seigneur des pirates. Pour ça il a été prêt à tuer un de ses coéquipiers, à capturer Ace, à devenir capitaine corsaire (ce qui pour moi s'appelle vendre sa fierté de pirate...), prêt à tout ! Et encore nous ne savons pas ce qu'il fera ensuite vu que depuis Ace Vs Barbe Noire on ne l'a pas revu si à ID mais bon je n'appellerais pas ça revoir, j'attends la bataille contre BB là on pourra l'admirer (hâte !) ^__^ J'adore ! =D



Il a vraiment l'air d'un clodo, hein ? Je vous l'avais dit ;) Bref on s'en fout ce côté clodo, méchant/gentil, son plan et tout ce qui suit c'est ça qui fait de lui ce qu'il est : soit le deuxième personnage le plus charismatique de One Piece (Pipo the best comme toujours !). Votez donc Barbe Noire ! (argument : la couleur :P)

J’ai déjà dit que le fait que le gagnant du GT ne devrait jamais être éliminé parce qu’il a gagné le GT. C’est toujours vrai.
Mais je n’ai jamais dit que je voterai pour lui si en face il y avait un personnage qui méritait amplement de le battre. C’est encore et toujours vrai.

Et c’est aujourd’hui que ça tombe.


Si hier il y avait un duel particulièrement retord, celui d’aujourd’hui est le plus gros de ce premier tour. Non seulement parce que Barbe Noire est le lauréat de la précédente édition, mais en plus Vilma est excellentissime. Sans vouloir paraître faire le jolie petit fanboy en cosplay, hurlant toutes les paroles des OST de Gunnm (d’abord parce que ça n’existe pas, vous croyez que je n’ai pas cherché avant ? ><), d’ailleurs, Kaelhula Sangwiss est un peu l’un des personnages qui m’ont fait accroché définitivement à Gunnm Last Order, tout comme Gally l’avait fait avec Gunnm.

C’est dire.


Mais à y regarder de plus prêt, on voit que les deux personnages sont deux manières d’aborder un seul et même type de protagonistes : celui du mythe. Même si nous ne sommes pour le moment pas très avancé concernant Barbe Noire, on peut dire qu’il appartient à la catégorie des mythes qui n’ont pas à être expliqué, pour former justement leur côté mythique. Au contraire, Vilma est mythique par son flashback, son passé, son expérience. Les deux tomes 8 et 9 de Last Order ne font qu’asseoir son mythe sur un piédestal irrévocable. On peut aimer les deux manières de parler de la chose, l’une privilégiant fortement le mystère, moi je me prononce définitivement pour la recherche et la complexité du personnage, qui parvient à ne pas le rendre lisse tout en en effritant nullement la portée.
C’est là que Vilma est réellement forte et poignante, par la découverte de son vécu qui permet de la voir différemment, de comprendre le pourquoi du comment, d’entrevoir le potentiel scénaristique et de combat qui ne pourra pas être gâché.
Il est, en outre, intéressant de voir la tragédie du personnage, qui est pris dans un tourbillon d’évènements qui ne pourront conduire qu’à une seule destinée cynique et contre-utopique qu’elle a toujours essayé de vaincre (impossibilité de lutter contre l’avenir...) ; car si cela apporte de l’Emotion au protagoniste, cela lui permet aussi de ne pas se cloitrer dans le désespoir, car on sait qu’elle s’en sortira, qu’elle s’en remettra, qu’elle surpassera tout pour devenir ce qu’elle est : mythique.
BN et Vilma sont tous deux des personnages « discrets » dans leur manga, mais la plus grosse proportion d’apparition revient à la Vampire, qui a peut-être moins de répliques cultes que son adversaires, mais dont les actions semblent infiniment plus lourdes de conséquences, plus denses, plus fortes.

Alors j’espère. J’espère que Vilma ira plus loin, parce qu’elle le mérite amplement. Et si vous ne me croyez pas, lisez Last Order pour vous en rendre compte.


PS : Bullzor, donne moi le nom de celui qui a fait cette magnifique colo de Vilma *o*. Et merci d'avoir fait passé Zapan, on a eu notre récompense grâce à EnOd et son pamphlet sur le suicide !

aujourd'hui, un duel très difficile se présente devant moi.

D'un côté, un vampire féminin qui va passer du côté des humains
De l'autre, un pirate très grand et très puissant.

le choix va être très dur car les deux possèdent de très bons arguments.

Vilma est vraiment un personnage dont le passé est très bouleversé pour son amour pour un vampire mais aussi pour la protection d'humain. c'est vraiment un personnage clé du manga.

Barbe Noir est aussi un personnage qui a du répondant avec notamment ses nouveaux pouvoirs. il est vraiment impressionnant.

malgré les arguments de barbe noir, mon vote va pour cette chère Vilma!!!!.

Ca c'est franchement dégueulasse! Ce duel est ignoble à mes yeux. avant le tournoi, c'était tous simplement deux de mes chouchous absolus. Deux que j'espérais voir dans les 8 derniers. Que parmi cett liste fermée personnelle des 8 derniers 2 s'affrontent au premier tour, je suis dégouté!!

Du coup je me laisse la journée pour réfléchir... Et je regrette vraiment de ne pas avoir eu un des deux dans les précédents duels, même dans le précédent. D'ailleurs j'ai voté Zapan parce que Sando... Aaaaahhhh (baillement sans fin). Et quand je regarde le tableau qu'on vient de mettre en place, je suis pas emballé (que Kusanagi que je soutiens vraiment dedans). Bref, là le GT produit pour moi son premier vrai drame... J'hésite donc, avec pour l'heure quand même un plus pour Barbe Noire. A méditer...