• Pakunoda : Je ne connais pas cette concurrente, j'imagine que le faible ratio d'épisodes de l'adaptation animée de sa série d'origine que j'ai pu voir ne m'a pas laissé cette occasion. Je n'ai donc pas à l'occasion un a priori sur elle, même si j'en ai sur sa série en général, et j'attends de voir si ses supporters répondent présents (et il y en a pour sûr) afin de voir de quoi il en retourne.
• Konata Izumi : Un personnage drôle et amusant, aux gimmicks qui fonctionnent bien sur la durée, et qui... bah, Konata n'a pas besoin d'un listing d'une bonne grosse tonne de raisons pour me plaire vu que c'est grâce à des choses simples qu'elle y arrive. Alors oui, ce n'est pas un monstre de complexité qui fera fondre vos neurones si c'est ce que vous souhaitez préserver dans ce GT, mais il n'empêche qu'elle se distingue dans son registre de manière convaincante (au travers d'un thème pas forcément abordé sous cet angle) avec une bonne humeur communicative (après tout, c'est bien là l'essentiel de ce style de série). Bien évidemment, j'espère que notre camarade l'HaruhiIST s'en tirera sans trop de dommages de ce groupe.
NB : vu que pour certains, ce genre de personnage est une cible potentielle vu son support d'appartenance supposé, je signale à tout hasard que Konata n'est pas originaire initialement d'un anime mais d'un
manga (donc la sémantique hype qui colle pour se défausser sans trop se mouiller, bye \o/). Mais bon, ça reste secondaire devant l'adage « Il n'y a pas de fumée sans feu » : si Konata a sa popularité, fatalement...
• Naoto Sugawara : Concurrent que je ne connais pas, à voir si il y a des échos qui émergent le concernant.
• Blackjack : Du peu que j'en ai lu, ça m'a beaucoup plu. Un concurrent qui en a sous le capot pour passer à mon sens ce groupe de qualification.
• Yukari Hayasaka : À l'instar de Konata, c'est l'une de celles dont j'ai la plus grande crainte pour ce groupe, donc je me penche plus longuement à son sujet. Si derrière votre écran, vous n'êtes pas insensible à ce que peut produire Ai Yazawa,
BINGO, Yukari a des chances de vous plaire. Si la simple notion de Shôjo vous file de l'urticaire, ça va être déjà quelque peu plus compliqué. Si on doit sortir une analogie simple, on pourrait dire que Yukari ressemble à Hachi dans leur destinées. Si la seconde plonge sans le vouloir dans le monde de la musique, la première rejoint celui de la mode. Yukari est une lycéenne qui travaille dur pour intégrer une grosse université, principalement pour faire plaisir à sa mère. Le hasard étant taquin, elle se retrouve à rencontrer un groupe de jeunes stylistes de son âge, qui la voyant dans la rue ont décidé d'en faire leur modèle (rien que ça). Être mannequin pour des stylistes bohèmes sur les bords, ça ne semble pas être un bon coup pour Yukari qui refuse jusqu'à... l'arrivée du prince charmant, ou du moins le gars appelé à remplacer le précédent qui est dans sa classe, en la personne de Georges (ouaip, le gars s'appelle normalement Jôgi mais ça fait plus cool selon lui d'être appelé de la sorte). À son contact, Yukari va bien évidemment se retrouver dans une valse de sentiments tous plus colorés les uns que les autres et va devenir une adulte, comme si ce n'est pas touchant. Yukari est un personnage que je trouve sympathique en soi et dont j'espère bien évidemment la survie aujourd'hui.
Ce n'est pas moins de trois personnages que j'aimerais voir passer ce groupe, à savoir Konata, Yukari et Blackjack. Autant que faire se peut, il sera difficile de préserver leur chance à tous mais je voterai dans la soirée en conséquence.