Le terme main de dieu est employé comme pour une intervention divine. Non pour dire que maradonna le dieu a marqué de la main, mais pour dire que maradonna a marqué grace a l'intervention d'un dieu. La est toute la différence.
Ensuite, il est vrai que durant sa carriere Pele été surnomé Le roi pele. Mais si tu t'étais bien renseigné, eh ben tu saurrai que le surnom que l'on lui a donner aprés sa carriere c'est le dieu du foot.
C'est vrai que pele a joué aux etats Unis, et donc s'est fait beaucoup de pognont, mais c'était en pré retraitre et avec d'autre objectif que la tune. Et il n'était pas mal pour lui d'assurér ses arrieres, tant de grands ont sombré aprés leur carriere (garincha....)
Quand a l'enormité de dire que les brésilien repondront ronie au lieu de pele.... tu dois connaitre trés mal le brésil pour dire sa. Pele est un dieu vivant au brésil. il ne viendrait même pas l'idée pour eux de comparer Pele a Ronie tant le focé est encore enorme. En parlant de sa, Zico( dont le seul tord est de ne pas avoir gagné de titre), garincha, Didi ou encore Tostao sont tous plus grand que ronie aux yeux des brésiliens. Même si je ne doute pas qu'a la fin de sa carriere, Ronie les aurra tous depasser (sauf pele bien sur).
Bon maintenant puique tu n'est pas convaincu je te laisse lire cette petite biographie du dieu du foot (source fifaworldcup. ecourté par mes soins) :
Citation:
Pelé. Le Dieu du football. "O Rei". L'homme de tous les surnoms. De tous les exploits, de tous les records. Le Brésilien est une icône. Un joueur qui n'a cessé d'inventer le football. Car au-delà des trois Coupes du Monde de la FIFA remportées - une performance jamais rééditée - ce qui caractérise Pelé est sa capacité à créer, à surprendre, à inventer à chaque seconde où il touchait le ballon.
Buteur incroyable, passeur de génie, dribbleur né, Pelé a fait rêver des générations entières. Si la " Seleçaõ " symbolise aux yeux de tous les amoureux du football le beau jeu par excellence, c'est à son numéro 10 de légende qu'elle le doit. [...] Il marque son premier but contre le Pays de Galles en quart de finale, puis un hat trick contre la France en demi-finale. Déjà, personne ne sait comment arrêter ce joueur qui possède toutes les qualités : technique, rapidité, opportunisme, intelligence… Sa classe éblouit. Contre la Suède, en finale, il se fend de deux buts somptueux. L'un sur lequel il se permet un coup du sombrero sur le dernier défenseur avant de reprendre de volée, l'autre sur une tête amortie qui file dans la lucarne du gardien suédois, médusé. Sigge Parling, défenseur scandinave, confiera plus tard : "Après le cinquième but, j'avais envie de l'applaudir."
A la fin du match, Pelé est porté en triomphe par ses coéquipiers. L'enfant qu'il n'a pas encore cessé d'être fond en larmes. Gilmar, le gardien de la Seleçaõ le console. De retour en club, Pelé brille de mille feux, écoeurant toutes les défenses du pays et devenant très vite une idole. 127 buts en 1959, 110 en 1961, deux Copa Libertadores (1961, 1962), deux coupes intercontinentales (1962, 1963), neuf championnats de Sao Paulo… Pelé gagne tout [...] Qu'à cela ne tienne : la "Perle noire" montre toute l'étendue de son talent lors de l'édition suivante. Au Mexique, en 1970, entouré de Jairzinho, Tostao, Rivelino, Carlos Alberto, il rayonne… Au cours de cette Coupe du Monde de la FIFA, retransmise en couleur par les télévisions du monde entier, le Roi soleil éblouit. Sa tentative de lob du rond central face à la Tchécoslovaquie, sa tête sur laquelle l'Anglais Gordon Banks effectue un arrêt miracle ou encore son grand pont sans toucher la balle devant le gardien de l'Uruguay, sont autant de gestes inédits qui laissent bouche bée la planète football. [....] Un mythe qui cumule les records à peine imaginables. En 1969, Pelé avait inscrit son 1000ème but dans un délire indescriptible au Maracaña. Six fois il a marqué cinq buts dans le même match, 30 fois quatre buts et 92 fois trois buts. Contre Botafogo en 1964, il inscrit même huit buts. Au total, 1281 buts en 1363 matches et 92 sélections internationales…
En 1974, Pelé s'éclipse de la scène footbalistique. Il revient un an plus tard, aux Etats-Unis. Un contrat avec le Cosmos New York pour "rendre le football vraiment populaire aux Etats-Unis". En 1977, il arrête définitivement. J.B.Pinheiro, ambassadeur du Brésil à l'ONU, déclare alors que "Pelé a joué 22 ans au football et durant cette période, il a fait plus pour l'amitié et la fraternité que n'importe quel autre ambassadeur". Comment le contredire ? Au Nigeria, un cessez-le-feu est décrété pour la venue de Pelé à Lagos en 1970. Le Président du Brésil lui décerne le titre de "trésor national" pour bloquer un éventuel transfert vers l'Europe. Dans la ville de Santos, le 19 novembre est consacré "jour Pelé". C'est l'anniversaire de son 1000ème but, inscrit au Maracana.
Après sa carrière, Pelé utilisera au mieux ce statut d'ambassadeur, tour à tour au bénéfice de son pays, de l'ONU ou de l'UNICEF. "Tous les enfants du monde qui jouent au foot veulent être Pelé. J'ai donc la lourde responsabilité de leur montrer non seulement comment être un footballeur, mais aussi un homme." N'est-ce pas là le rôle d'un Dieu ?
Coment peux-tu osé critiqué ne serai ce qu'infiniment Pele ???? Si tu aime ( et tu connais )le foot, tu place pele au dessus de tout (sauf si tu es argentin)
D'autre petite stat au cas ou tu aurrai quelque chose a redire :
1281 buts marqués en 1363 matches, record mondial de tous les temps
Elu Athlète du siècle par le Comité International Olympique (CIO) en 1999
Pour faire les choses bien, je te met la biographie de Maradonna, dont je n'ai jamais critiqué l'enorme talent et l'enorme génie. Et même si son talent est peut etre supérieur a celui de pele, il n'est pas le footbaleur parfait, tant le talent ne fait pas tout dans le football :
Citation:
Lorsque les Argentins voyagent à travers le monde, ils aiment à s’enorgueillir de leurs emblèmes nationaux : le tango, la viande, les femmes. Pourtant, il est un homme, un footballeur, qui met tout le monde d’accord. C’est Maradona, l’un des meilleurs joueurs que les terrains du monde entier aient jamais vu, et un dieu vivant pour tous ses compatriotes. Ce qui n’est pas étonnant, tant il est vrai que l’Argentine vit, respire et pratique le football comme une religion [...] Le 20 octobre 1976, alors qu'il n'a que 16 ans, Maradona fait ses grands débuts en première division sous les couleurs d'Argentinos Juniors, face à Talleres de Córdoba. C'est le début d'une carrière remarquable, qui s'achèvera 21 ans plus tard, le 29 octobre 1997, lors de la rencontre que Boca Juniors remporte 2-1 face à River Plate.
Son habileté, sa vision du jeu, sa vitesse et sa frappe de balle lui ouvrent les portes du succès dans tous les clubs où il évolue: Argentinos Juniors, Boca Juniors, FC Barcelone, Naples, FC Séville et Newell´s Old Boys (Argentine). Pourtant, c'est bien sous le maillot de l'équipe argentine que son talent éclabousse le plus le monde du ballon rond. Il y dispute 91 matches et inscrit 34 buts (le deuxième réalisateur de l'histoire des Albicelestes, derrière Gabriel Batistuta). En Argentine, il est tellement adoré que la fédération argentine (Asociación del Fútbol Argentino) a même prévu de retirer définitivement le maillot floqué du numéro 10 lors des prochaines apparitions de l'équipe. [...] De temps à autre, sa forte personnalité lui joue des tours hors du terrain. Mais Maradona est comme ça : on l'aime ou on le hait, il n'y a pas de demi-mesure. Ses détracteurs le disent capricieux, rebelle et indiscipliné et le considèrent comme un mauvais exemple pour la jeunesse. Il est vrai qu'il se permet de critiquer sans ambages le Pape lors d'un entretien télévisé. En revanche, ses fidèles admirateurs l'idolâtrent parce qu'il ne «tait pas la vérité» et qu'il ne «vend pas ses idéaux». Au niveau du jeu, malgré son aspect peu athlétique (il était plutôt petit et pas forcément svelte), Maradona réalise avec un ballon ce que personne d'autre n'arrive à faire. Michel Platini le confirme : «Diego effectuait des actions que personne ne peut imiter. Il fait avec une orange ce que je fais avec un ballon». Doté d'un pied gauche unique, Maradona présente aussi la particularité de tenir incroyablement bien sur ses jambes. Comme les équilibristes, il est capable de conserver une bonne stabilité même dans les situations les plus délicates. Enfin, sa frappe de balle est tellement précise que chaque fois que son équipe dispose d'un coup franc bien placé, les supporters commencent à fêter le but avant même l'exécution. La consécration du prodige argentin arrive quatre ans plus tard, lors de Mexique 1986. Diego y accomplit une performance dont personne n'avait jamais osé rêver jusque là. Ses cinq buts consécutifs face à l'Italie, l'Angleterre et la Belgique permettent aux protégés de Carlos Bilardo d'accéder à la gloire et à Diego d'être considéré comme le meilleur footballeur du monde. Un seul regret, celui de n'avoir pu marquer lors de la finale, face à l'Allemagne, remportée par les Sud-américains 3-2.
Quatre ans plus tard, c'est au tour de l'Italie d'organiser la Coupe du Monde de la FIFA™, soit le pays que Maradona émerveille tous les dimanches sous le maillot de Naples. L'Argentine n'y brille pas autant que lors de l'édition précédente, c'est le moins que l'on puisse dire. Peut-être est-ce dû à la petite forme du «Pibe de oro», encore convalescent après une grave blessure à la cheville. Au premier tour, les poulains de Bilardo débutent sur une défaite surprenante face au Cameroun, puis enchaînent par une victoire face à l'Union Soviétique et un nul contre la Roumanie. Dès lors, Diego prend les rênes de l'équipe, bien épaulé par Sergio Goycochea, le gardien providentiel, et emmène ses coéquipiers jusqu'en finale en laissant en chemin le Brésil, la Yougoslavie et l'Italie. Mais les Sud-américains trébuchent sur la dernière marche, bien aidés par la puissance allemande. C'est Andreas Brehme qui fait s'évanouir le rêve d'une troisième victoire en Coupe du Monde sur un penalty litigieux transformé dans les dernières minutes.
C'est lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Etats-Unis 1994™ que Maradona porte pour la dernière fois le maillot ciel et blanc. La participation de Diego y est particulièrement courte, mais suffisamment longue pour déclencher un scandale. Après avoir atomisé la Grèce (victoire 4-0 avec un but du capitaine), l'Argentine dispose du Nigeria 2-1. Mais ce 25 juin 1994 va devenir l'un des jours les plus noirs de l'histoire du football argentin.
© Popperfoto En effet, Diego est contrôlé positif pour dopage à l'éphédrine, ce qui contraint la fédération argentine à le retirer de la compétition. «Ils m'ont coupé les jambes», s'indigne la vedette face aux caméras de télévision. Le coup sera trop dur pour l'équipe d'Argentine. Malgré la bonne prestation d'Ariel Ortega, jeune remplaçant de Diego, les Gauchos s'inclinent face à la Bulgarie et la Roumanie et quittent la compétition la tête basse.
Le 10 novembre dernier a été décrété par les Argentins le «Jour 10». Maradona a reçu un hommage mérité dans le stade de Boca Juniors, à Buenos Aires. L'équipe actuelle de l'Argentine, avec Diego à la baguette, a affronté une sélection de stars. Cette rencontre, qui a vu la victoire anecdotique des Ciel-et-blanc, a été marquée par deux réalisations, l'émotion et les larmes de Diego.
Pele en selection :92 sélections, 77 buts
Maradonna en selection :91 sélections (34 buts)
Tu dis que maradonna a gagné une coupe du monde a lui tout seul.... Si tu dis sa c'est que tu connais bien mal le foot. Aucun joueur ne peut gagné une coupe a lui tout seul. Il peut amené grandement une victoire, mais ne peut tout faire. Sans defense et avec maradonna, l'argentine n'aurrai jamais gagné la coupe du monde.
Tu dis : "Maradona a surclassé tout le monde dans un pays où ont évolué Kempes, Batistuta et tous les autres..... " et puis juste aprés tu dis : "Demande à un Argentin de te citer 3 joueurs...
Il te donnera à coup sûr Maradona, ensuite Riquelme, puis Messi, c'est dire comment Diego survole le tout.... " Sous entendant que l'argentine n'a pas connue une grande vague de grand joueur, ce que tu disait quelque phrase juste avant....
Et riquelme est loin de faire parti des plus grand argentin de tout les temps, tant il n'a rien apporté a l'argentine quand elle avait besoin de lui.
Pour ce qui est de buffon et Zoff (que je considére comme des trés trés grand goal), la différence c'est bien le faite que eux évolue(ait) derriere le meilleur systeme defensif de l'histoire du foot. Contrairement a Yachine qui lui a demontré l'entendue de son talent (pas toujours bien epaulé). Et pis comme j'ai dis, il est le seul goal a avoir reçu le titre de ballon d'or. Ce qui est amplement suffisant pour moi. Et même si les technique ont changé, c'est comme pour pele.
Pour finir, L'equipe la plus grande de tout les temps est bien celle de 1970, ou pele était bien entouré, mais je te rapel qu'il la gagné 3 foi ^^