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MessagePosté: Sam 25 Oct 2008 19:01 
The old man
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Sélection parmi mes dernières lectures :

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Hokuto No Ken - volume 4
Ken et Rei se sont donc unis pour combattre la tribu des Crocs et ainsi sauver le village "aux fleurs" de cette menace constante qui plane sur lui.
Quasiment tout le volume est centré sur cette bataille et même si les Crocs sont légèrement plus dangereux que la bande punk lambda, le récit reste quand même orienté sur la sublimation de nos deux héros vraiment surhumains et seules les pires traitrises permettent aux Crocs de maintenir une certaine "pression" sur eux. Enfin c'est toujours un plaisir de voir évoluer nos deux héros et casser du méchant, ils ont quand même la classe ^_^
Une fois débarrassé de cette menace, on enchaîne avec l'entrée en scène d'un des 3 "frères" de Ken, le perfide Jagi, une crapule de la pire espèce qui relance les "Boss" à background et lié au passé de Ken. Un affrontement avec pas mal de relief en perspectif!


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7 Seeds - volume 4
On arrive au bout de la quête du refuge pour l'Equipe Printemps avec ce que cela implique en contextualisation de récit et mise en place futur de l'aventure. Toujours aussi sympa, cette équipe prépare donc son avenir avec l'énergie qu'on lui connaît.
Après cet "épilogue" (ou "prologue" ça marche aussi^^), le gros morceau du volume est consacré à la découverte d'une nouvelle équipe : Celle de l'Hiver. Et Franchement c'est encore du tout bon pour moi. Tamu-sama nous propose cette fois-ci un récit tragique et distillant de bout en bout une grande mélancolie et une profonde tristesse! Impossible d'en dire davantage mais avec ce nouvel arc Tamu-sama nous prouve qu'elle maîtrise parfaitement son univers même si comme elle l'admet elle-même via ses notes : "7 Seeds" c'est quand même une histoire un peu bizarre^^


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Larme Ultime - Vers la lumière
Lorsque j'ai acheté mes divers manga du mois j'ai été un peu surpris de la note mais je me suis dit que comme j'en avais acheté un certain nombre c'était normal qu'au final j'en ai pour une certaine somme, puis je me suis rendu compte que le prix de ce recueil était de 14€!
Surprise! Même si le prix est justifié vu que l'édition est très belle et que le bouquin propose pas mal de pages couleurs ainsi que des pages noirs et blancs avec quelques effets "couleur" d'assez bel effet. Enfin bref^^
Ce recueil n'est pas une suite à l'excellente série "Larme Ultime" mais propose des histoires se déroulant dans l'univers de la série et ayant comme acteurs des personnages inédits.
On retrouve le ton si particulier de "Larme Ultime" oscillant entre tendresse/candeur et cruauté/fatalité. Le mélange est toujours aussi particulier (tout comme le graphisme) mais j'accroche toujours autant. On a droit à 4 histoires : l'une met en scène des amoureux timides et maladroits, une autre un couple de collégiens fuyant la réalité d'une façon fort amusante, une terrible histoire de soldat sur l'absurdité de la guerre et enfin un conte onirique sur un monde étrange qui tente d'inverser le rapport pureté/désir entre enfants et adultes (avec cette superbe réflexion d'un enfant qui ne comprend pas qu'il puisse y avoir une différence entre ce que l'on pense et ce que l'on fait).
Enfin bref beaucoup aimé et ce recueil a l'avantage de ne pas nécessiter d'avoir lu la série "mère" pour s'y plonger.

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Dernière édition par ange bleu le Mar 28 Oct 2008 13:11, édité 1 fois.

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MessagePosté: Lun 27 Oct 2008 15:17 
The old man
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Je continue un peu avec les morceaux choisis de mes lectures :


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Claymore - volume 10
Début donc de la grande bataille du Nord!!!
Le volume est consacré dans sa grande partie à la première confrontation entre le contingent de Claymores et les Exaltés Eclaireurs. C’est efficace et surtout on peut admirer et découvrir de nombreuses Claymores dont certaines auront sans aucun doute un rôle important dans la suite de l’histoire.
On retrouve aussi Raki - qui avait disparu depuis pas mal de temps - dans une situation plutôt inattendue (O_o). Cela lui donne d’ailleurs un peu plus de relief, même si quelque part il reste toujours plus spectateur qu’acteur.
Le tome se termine par le début de la seconde confrontation Claymores/Exaltés qui n’a rien à voir avec la première ! Le « Grand Lion » est vraiment impressionnant, même si je ne peux m’empêcher de penser un peu à Zodd de Berserk^^
Quoi qu’il en soit une série toujours autant captivante avec un ton et une ambiance singulière.



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Berserk - volume 27
Volume charnière par excellence : il met fin à l’arc « Holy Evil War Chronicle Begins » qui a servi à poser la nouvelle donne de la série avec d’un côté Le Faucon et son armée d'humains et de non-humains luttant pour délivrer le continent de l’invasion Kushan et de l’autre Guts et sa nouvelle troupe s’ouvrant à la découverte du monde Spirituel et à son fonctionnement.
Si la découverte du Dragon de Feu était déjà un bon morceau, l’attaque du château de Midland en est encore plus excellent ! Difficile de choisir son camp maintenant, tellement des apôtres comme Locus et Irvin attirent la sympathie du Lecteur. Dans tous les cas ce passage reste un classique de cette nouvelle époque et permet d’y voir plus clair dans le rapport Griffith/Ganishka.
Ah vivement la suite !

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MessagePosté: Jeu 30 Oct 2008 10:56 
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Oh-Roh :
Un One-shot de l'auteur de Berserk! Je ne savais pas qu'il y a avait ce genre de manga en 1 volume. Enfin bon je me suis laissé tenté après avoir entendu l'avis du vendeur (donc c'était pas à la fnac^^).
L'histoire en elle même raconte l'histoire d'un couple dont l'homme (Iba) est champion de Kendo et qui part sur le route de la soie. Un an plus tard, personne n'a de nouvel de lui et il a comme qui dirait disparu. Kyoko (sa fiancée) va à sa recherche et trouve dans le désert son médaillon. Au même moment, un tourbillon de nuage apparaît et Kyoko est aspiré. Lorsqu'elle se réveille, elle se retrouve en Asie en l'an 1212, en pleine période de domination mongole par Gengis Khân. On passe les mini-péripétie, Iba se retrouve général de Gengis Khân qui serait japonais. Un an plus tard, Kyoko donne naissance à un petit garçon. Gengis Khân veut ce garçon comme son héritier et envoie un de ces généraux aller tuer Iba. Le général est vaincu par Iba qui fini par vaincre Gengis lui-même mais sans le tuer. Au même moment, un tourbillon de nuage se déclenche pour revenir dans le futur. Gengis décide de se suicider car il a été vaincu et proclame Iba comme le nouveau Gengis Khân. Kyoko est aspirée et retourne dans le futur tandis que Iba devient Gengis Khân et promet que leur fils (Qubilai) sera un jour au Japon. Qubilai était un général mongol qui essaya toute sa vie en vain de rentrer au Japon...
Du point de vue critique, les dessins sont vraiment bon (en même temps c'est pas n'importe qui qui les a fait). L'histoire est bien tourné, même pas poussé sur les bords, sérieusement j'ai rien à dire, c'est vraiment bien fait et c'est magnifique! Je vous le conseille vraiment à tous!

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Claymore tome 1 :
Nouvel série, nouveau monde. Série choisie choisi grâce au vendeur encore une fois (décidément ceux qui sont pas de la fnac s'y connaissent) mais aussi parce que j'en entend quelque écho dans ce forum et sur ocean pie. J'ai donc décidé de tenté l'expérience. Premier tome, histoire de démon et de mi-démone mi-humaine qui s'entre-tuent. Pour l'instant rien de surprenant ni de spécial, la claymore (mi-démone mi-humaine) gagne 3 fois de suite et est ensuite appelé à tuer une de ses compatriotes qui a laissé le démon en elle dominait son corps. Claire, notre claymore, la tue tant qu'elle a encore un visage et un coeur d'humaine. A noter que Claire est accompagné d'un humain dont j'ai oublié le nom. Cet humain a vu ses parents et son oncle tués par un démon qui s'était caché sous la peau de son frère. De quoi faire des cauchemars quoi^^.
Bof, pour l'instant il se passe rien, on reste sur un vide. Les dessins sont pas mal mais pas exceptionnel non plus. En gros j'espère que l'histoire va arriver parce que là on est un peu en suspension et ne sait pas trop quoi pensé.

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MessagePosté: Jeu 30 Oct 2008 11:24 
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Kawamura a écrit:
Bof, pour l'instant il se passe rien, on reste sur un vide. Les dessins sont pas mal mais pas exceptionnel non plus. En gros j'espère que l'histoire va arriver parce que là on est un peu en suspension et ne sait pas trop quoi pensé.


Claymore joue essentiellement sur l'atmosphère et l'ambiance, tendance fatalité et tragédie sobre, plutôt que sur un pur registre péripétie - même si évidemment une trame plus complexe commence à apparaître au bout de quelques volumes.

Ce que je veux dire c'est que Claymore c'est un récit de façon générale assez linéaire et l’auteur cherche plutôt à mettre en scène l'inévitabilité des événements et des destins, plutôt que des aventures excitantes et trépidantes.

D’où un rendu très statique et figé par moment et une prévisibilité des événements (bah oui c’est la fatalité quoi). Il faut aimer goûter ce genre d’ambiance sobre et épurée - et non vide.

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MessagePosté: Sam 1 Nov 2008 13:10 
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Golden Wind 8

Après un septième tome très bon et rudement bien mené, l'attente de ce tome 8 se faisait ressentir, avec l'espérance que les choses bougent enfin du côté de la mission de l'équipe de Buccellati. Finalement, on aura le droit à un nouveau combat avant que cela ne se décante. Heureusement, le talent d'Hirohiko Araki nous aide une nouvelle fois à patienter en attendant que l'équipe n'arrive à Venezia. Et c'est un certain Melone qui vient pour enlever Trish, la fille du boss. Et son stand, Baby Face, regorge de surprises, et se présente même comme invincible.
Après le dénouement du combat entre Giorno et Baby Face, dont l'apparition n'était vraiment pas très utile, l'équipe de Buccellati se rend à Venezia sans avoir revu d'ennemis. Mais alors qu'ils arrivent enfin dans la ville, voilà que les vitres de leur voiture se mettent à geler, ce qui annonce la venue d'un nouvel ennemi ! Mista et Giorno sont alors les seuls à se trouver dans la voiture, le reste de l'équipe étant dans la tortue. Un beau duo se forme donc pour combattre un ennemi, et ici c'est la cas de le dire, bizarre, et dont le stand à l'air très dangereux et dont le pouvoir n'a pas l'air d'avoir délivré tous ses secrets !
Encore une fois on se demande bien comment les choses vont évoluer, et si on va enfin pouvoir voir le boss de la Passione, qui se fait attendre.


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Bienvenue dans la NHK 1

Bienvenue dans la NHK est une série tirée d'un roman japonais non paru en France, et qui est plutôt original. En effet, les deux auteurs ont la responsabilité de montrer les aspects d'un phénomène de société au Japon qui existe depuis plusieurs années : les hikikomori. Ceux-ci sont des personnes (souvent des adolescents et jeunes adultes) qui sont accablés par la société, et qui se réfugient chez eux, pendant plusieurs mois ou plusieurs années, et refusant de communiquer avec quiconque. Mais il ne faut pas les confondre avec les otakus, qui présentent la même pathologie mais qui sont des autistes, alors que les hikikomori ne le sont pas.
Les éditions Soleil prennent donc un risque en publiant cette série, car le thème de celle-ci risque de ne pas vraiment intéresser le grand public. C'est fort dommage, car en plus de dénoncer un phénomène très intéressant, l'humour y est très présent !

Le personnage principal, Satô, présente tous les critères d'un hikikomori et de ce qu'il ne faut surtout pas devenir, sous prétexte que la société oppresse ceux-ci. Malgré tout Satô commence à entrevoir la lumière du jour après quatre ans d'hibernation chez lui quand une certaine Misaki sonne chez lui...
Un projet est alors en cours d'élaboration : quel sera le résultat final de ce jeu érotique qui, dixit Yamazaki, un ami de Satô, va révolutionner le genre ? Peut-on sortir de l'hikikomori ? Bienvenue dans le manga qui va répondre à ces questions, et, bienvenue à la bonne lecture humoristique !

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MessagePosté: Jeu 6 Nov 2008 20:38 
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Localisation: intelligence du mal...c'est pas un lieu sa mec
DEATH NOTE TOME 1-2-3
un univers magnifiquement sombre vrément pas decu de les avoir acheter l'ambiance et plus sombre que dans l'anime et on rentre vrément dans l'histoire et on peu plus s'arréter d'enchener les bulle (et les méttre aussie) bien que avoir déja tous les animes je redécouvre avec un grand plaisir et je suis toujours aussie surprie de vois les dessien magifique de takeshi obata et le scenario de Tsugumi Ōba
vrément éxelent
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tome 9-10 de naruto
qui sont eux aussie trés bon bien que je vais éssayer de finir la serie death note avent de reprendre naruto j'ai hate de la reprendre

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«VOS GUEULE» Aïzawa, tome 11, chap 93, death note Rossoneri
[retiré car le site moe.mabul.org est considéré comme infecté par des virus]


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MessagePosté: Dim 9 Nov 2008 14:00 
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Dreamseekers tome 1

C’est la couverture qui avait attiré mon œil dans le magasin : d’un beau rose-violet en dégradé, avec en prime une fille au nez cure-dent, et un ciel ombragé par d’étranges formes allongées. Et puis, le titre me rappelait une fan-fiction que quelques canards roublards avaient écrit.
Post-lecture, j’suis d’avis mitigé. La série provient d’un auteur français, et on sent de suite que le tout en pâtit un peu. En rapide :
-un scénario classique : un mec se retrouve dans un monde différent, ça rappelle Dream Land en moins bien (ici, pas de retour possible à la réalité, du coup, la plupart des actions sont téléphonées)
-des dessins moyens : les visages sont horriblement simples (nez = point, wouaaaaaw !) et j’ai bien peur que l’ordinateur soit utilisé de manière bien trop intensive (les proportions sont parfaites, peu de trames)
-une palette de personnages ennuyeuse et un héros ‘’français’’ avec un nom sorti-de-derrière-les-fagots/pourri/à-la-con (choisissez votre préféré, tous fonctionnent) : Trem Van Voërkje
Et à côté de ça, disons que les points forts ne sont pas légion… Certains protagonistes attirent quand même l’attention, comme Olminta dans le genre plein de mignardise et la commandante dans le style cruauté froide. Ah ! Et puis Zeus, il m’a bien fait rire aussi ^^. Mention spé aux scènes avec monstres, qui sont dans l’ensemble magnifiques, et à l’édition, très correcte pour un prix abordable, et le blog de l’auteur fourni en plus. Oh yeah !
En bref, série sympathique bien loin des niveaux de ses concurrentes, mais qui mérite le petit détour… Si vous avez du temps à perdre.


Japan

J’étais bien enthousiaste à l’idée que le premier manga de Maître Miura (ne lésinons pas sur les mots, pas d’chichi entre nous) puisse sortir, même si ce n’est qu’un one-shoot. Un poil déçu, mais je m’y attendais.
Y’a quelques défaut qui pointent le bout de leur nez et qui gâchent un peu le tableau festif qu’aurait pu être cette lecture. On peut rigoler à quelques énormités (la fille qui reconnaît d’un coup d’œil l’armée de morts-vivants de Carthage, à mourir de rire), ce que j’ai fait (même si je suis soi-disant un mort-vivant, vous avez capté le jeu de mots pourri). Les coïncidences ne sont pas non plus pour me plaire, notamment dans l’introduction où la leçon d’Histoire se transforme drôlement en prémonition. Autre petite incohérence qui m’a tiré un sourire : l’oubli vite fait du monde d’avant. Les petits gamins têtes-à-claques japonais ne se posent pas la moindre question, si bien que le côté un peu fantastique du récit se trouve enterré au bout de quarante pages. De même, le premier vieux japonais rencontré qui ne s’étonne même pas de l’ignorance de ses concitoyens est un peu out (mais rendons lui grâce, disons qu’il était encore sous le choc, qu’il s’était drogué peu avant car dépressif, et qu’il est toujours malade en carriole, et qu’ainsi il a souhaité abréger le débat pour cuver… De ce point de vue, la scène est de suite plus compréhensible !).
Un autre point dominant tout le long du one-shoot, c’est sans doute la fierté d’être japonais. Quasiment tous les dialogues tournent autour de ce sujet, si bien que ça en devient chiant. J’ai eu l’impression un peu que Kentaro Miura a voulu laisser un message de patriotisme staïle ‘’Soyez toujours fier d’être japonais’’. Et puis, on a le droit au classique aux méchants zaméricains. Les messages politiques ou pseudo-politiques ou macroscopiquement politiques concernant l’Histoire ne me plaisent pas du tout, même si je n’ai pas cherché à résoudre la question du pourquoi du comment du qui-qu’est-coupable : ça n’as pas vraiment sa place dans ce genre de manga. Tant et si bien que la fin quelque peu courte m’a paru ridicule avec le drapeau et le nouveau nom du pays, cherché trèèèèèèès loin (c’est un Guts-bis, on pouvait soit s’attendre à ça soit à ‘’Tripes’’ ou ‘’Massueàclous’’, ça aurait claqué d’autant plus). M’enfin, ne crachons pas sur tout. Si des incohérences et du chauvinisme ont pris place dans ce tome, faut avouer que j’ai adoré découvrir un monde en désolation, quelques scènes bien bourrines ou salingues. Comme Berserk. Japan, c’est un ersatz, avec des voitures, de Berserk. Et j’ai trouvé intéressant de voir les racines de Guts (Miura a l’air d’apprécier les grands costauds bourrins apparemment). Et puis, les graphismes *__* (évidence quand tu nous tiens).
En bref, c’est un premier manga d’un maître, et les défauts seront corrigés dans le grand frère de Japan. Sympathique lecture dans l’ensemble.


Jojo's Bizarre Adventure tome 54

Ce que j'apprécie particulièrement dans cette arc des Jojo's, c'est sans doute le côté sombre. Dans les parties précédentes, les ennemis se prenaient quarante beignes et leur compte était réglé. Tandis que dans cette partie, les ennemis meurent à chaque combat : Baby Face à cause de la moto, les deux précédents à cause du train et de l'éparpillement de leurs corps... Et même ici, le lieutenant ou colonel Pericollo, qui doit se suicider pour la cause. Ce besoin de morts vient sûrement du fait que l'intrigue se place dans la mafia et que la pitié n'a pas de place. N'empêche, c'est la plus grande différence avec les autres parties de la série, et j'adore.
Pour le tome en lui-même, du Jojo's classique : des combats recherchés, des pouvoirs sortis d'un chapeau de magicien, et une nouvelle énigme qui se met en place. Du bon.

J'en ai lu quelques autres, dont la suite de Me and the debil Blues (*___*), le dernier Yakitate Ja-pan !! et son possible remplaçant, j'ai nommé Detroit Metal City. Mais... pas envie d'en parler. Na !

Edit ange : Ah bon, j'avoue que je ne savais pas. Je croyais que Japan était définitivement dessiné avant Berserk... De même, j'ai vu Oh-Roh et Oh-Roh Den, mais je ne savais pas qu'il y avait un lien scénaristique (j'ai remarqué que le duo de mangakas étaient à chaque fois à l'origine de ces oeuvres). Merci pour les précisions, je jetterais un coup d'oeil aux autres tomes de la dite-trilogie ^^.

Edit 2 : Comme d'hab', je me ramasse dans les explications d'ange bleu ^^. Désolé, j'avais pas bien lu.

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Dernière édition par The Undertaker le Dim 9 Nov 2008 14:41, édité 3 fois.

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MessagePosté: Dim 9 Nov 2008 14:20 
The old man
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Euh JAPAN n'est pas le premier manga de Kentarō Miura.

Ce One-Shot date de 1992 (Berserk était commencé depuis 3 ans) et c'est surtout un projet qui visait à faire se rencontrer Miura (au dessin) et Buronson (au scénario). Et Buronson est vachement connu pour ses incohérences et ses grosses ficelles^^;

De même JAPAN fait parti d'une "trilogie" (mais pas au sens scénaristique) dessinée par Miura et scénarisée par Buronson : Oh-roh "Le Loup Roi" (1989), Oh-roh-Den "La Légende du Loup Roi" (1990) et JAPAN (1992). Et tous les trois sont dispos chez Glénat.

Edit : j'ai bien dit "pas trilogie au sens scénaristique" (bien que Oh-roh et Oh-roh-Den soient liées scénaristiquement) >_<

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MessagePosté: Lun 10 Nov 2008 16:16 
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To Love tome 1

To Love - Trouble - est la seconde série de Kentaro Yabuki qui sort en France, après Black Cat. Toujours en cours au Japon, et publié dans le Weekly Shônen Jump, la particularité de cette série est que son thème soit une une comédie sentimentale. Chose étonnante après que l'auteur se soit attaqué au pur shônen de combat avec Black Cat.

Lala est une princesse extra-terrestre venant de la très connue planète Deviluke. Celle-ci fugue de cette planète pour ne pas subir de rencontres imposées par son père avec des prétendants qui veulent se marier avec elle. La fantasque princesse va alors se trouver sur Terre, téléportée dans le bain de Yuki, un lycéen au fort caractère mais extrêmement timide avec les filles. La vie de ce pauvre garçon va par la suite de cette rencontre inattendue devenir plus compliquée à gérer, où les quiproquos et les problèmes en tout genres affluent sur lui.

L'originalité de To Love est qu'en plus de proposer ce qu'une comédie sentimentale le peut, un brin de fantastique et de combats typiques du genre shônen en ressortent, de quoi attirer la curiosité sur ce manga. Le dessin, bien maîtrisé ainsi qu'agréable et reposant, devrait ravir les fans du genre ecchi. Mais si vous ne l'êtes pas, vous pouvez tout de même vous rabattre sur le peu de combats que ce volume propose, ce qui finalement n'est pas pour le moment digne d'intérêt.


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Me and the devil blues tome 2

Après un premier tome exceptionnel, on attendait énormément de ce second volume de Me and the devil blues. Est-il dans la continuité du premier tome ? Que nous réserve donc cette suite ?

RJ, toujours en compagnie de Clyde Barrow, un criminel aux grandes ambitions, se retrouvent à vivre quelques mésaventures, très bien menées et qui montrent avec brio les tensions sociales et raciales de l'époque.
Des intrigues se mettent également en place, et toutes donnent des frissons ! En effet, Clyde et RJ se retrouvent dans une petite ville perdue qui a pour habitude de piéger et faire partir/tuer ceux qui boivent de l'alcool (loi de la prohibition), et de pratiquer des lynchages ! Tout cela est mené par un habitant très mystérieux qui a l'air de contrôler toute la ville.

Encore une fois, Me and the devil blues surprend par ses situations, et ne manque pas de nous amener à frissonner, à avoir de l'impatience pour savoir la suite de l'histoire, et à se demander même ce qu'il va se passer dans la page suivante. Bref, ce manga s'impose comme l'une des meilleures lectures que ce mois d'octobre nous propose en termes de sorties mangas.
Malgré tout, ce second volume n'a pas la même saveur que le premier tome, qui lui était légèrement supérieur, sûrement car cette série prend une tournure scénaristique que l'on attendait pas du tout même arrivé aux 3/4 du premier tome. Mais gageons que la suite nous réservera bien des surprises !

Concernant l'édition, malgré quelques parasites noirs, elle est plutôt bonne, excepté la mauvaise surprise que de constater que le rouge des tranches se met également beaucoup sur les doigts et donc sur les pages blanches, ce qui n'était pas très voyant avec le bleu de mon premier volume.

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MessagePosté: Dim 16 Nov 2008 19:58 
Ô-Totoro
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Détective Conan tome 58

Comme toujours, chroniquer la sortie d'une des aventures du détective bigleu et affreusement complexé par sa taille est ce que je fais de mieux en matière de régularité sur ce topic. Sans doute parce qu'il y a toujours des choses à redire dessus, même si c'est souvent l'identique rengaine de la précédente fois. Souvent.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai beaucoup aimé ce tome-ci. Dingue. Des années de souffrance à voir Gosho Aoyama écorcher son manga pour enfin voir mes attentes en partie conquises. C'est dans des moments comme cela que j'ai l'impression de rajeunir, à lire avec plaisir un volume de la série. C'est aussi là que je retrouve les raisons qui font que j'ai beaucoup affectionner ce manga, qui possède malheureusement des tares énormes et ineffacables, qui le font passer pour un canard extrèmement boiteux, alors qu'au fond ce n'est pas si mal.
Voilà plus de quinze tomes qu'Aoyama nous ressortait sans grande verve sa formule "miracle", l'éculant et la dépossédant de toute humanité, rabaissant les moments forts de ce que pût être Conan : un manga policier aux meurtres malsains (même si pas dénués d'un certain sens moral), aux personnages par moment hauts en couleur (Aï Haibara, l'Insaisissable Kid, Kogoro Mouri, les membres de l'Organisation, pour ne citer qu'eux) et à l'histoire assez recherchée pour qu'on veuille connaître la suite. Pourtant, depuis quelques temps c'était la même rengaine, des meurtres sans âme en veux-tu en voilà, une construction calquée sur un même modèle, tremblotante et usée, et une répétition ad nauseam des situations. Avec ce cinquante-huitième tome, Gosho Aoyama semble avoir repris conscience que ce qui faisait l'attrait de sa série n'était pas l'enchaînement comme à l'abattoir des enquêtes aux similitudes trop prononcées et aux mécanismes trop connus pour être ne serait-ce qu'intéressantes, mais que c'était les Hommes en Noir et leurs apparitions au climax très prenant et à l'avancée de l'intrigue. Ce brave homme nous a enfin entendu, car après des tomes indigestes où il essayait de faire passer une pilule douloureuse par la distillation d'éléments propres à faire bondir l'intrigue, il centre ce présent volume sur l'histoire. Ca peut prêter à rigoler, mais lorsqu'on suit la série depuis aussi longtemps que moi, c'est une joie sans borne qui m'étreindrait presque. Je suis au moins récompensé pour avoir attendu pendant tant d'années un tel cadeau de sa part.

Des défauts, il en subsiste. Ne nous voilons pas la face. Quelques incohérences, ou des scènes trop poussives prêtent à grincer la dent (des membres du FBI qui obéissent à un gamin de sept ans plus intelligents qu'eux ? Mouais, heureusement qu'Akai est là pour redorer le blason du Bureau Fédéral parce que sinon ils seraient des guignols). Un héros depuis toujours tape-cul par sa surface trop lisse (la perfection est irritable, il faudrait penser à l'épaissir -même si je conçois qu'un des gimmick fort du manga est sa capacité à tout comprendre en quelques secondes). Et une gestion hilarante du temps, qui fait que la centaine de meurtres qu'on a vu dans le manga est sensée s'être passée en quelques mois. Les journées sont courtes, les saisons se succédent frénétiquement. C'est dans un moment comme cela qu'on se dit qu'une version deluxe du manga ne serait pas superflu, déblayant la masse d'affaires inutiles ou inintéressantes pour n'intégrer que celles participant à l'avancée de l'intrigue et les plus originales uniquement (celles du Kid par exemple) ; une vingtaine de tome bien garni en allant chercher quelques inutiles de temps à autre, ça aurait plus de gueules que soixante tomes avec plus de la moitié à jeter, non ?

Mais au final, on retient forcément que l'auteur déficelle assez bien (une agréable surprise, qu'on se le dise) son sac à merde de noeud d'intrigues qui faisaient passer un chat noir pour un chat multicolore, et qu'il revient à une dynamique feuilletonesque assez inattendue dans Détective Conan, mais qui prend irrémédiablement aux trippes. Les apparitions des Hommes en Noir, vampirisant en grande partie le tome, ainsi que leur mise en scène très sombre (une vraie réussite de ce point de vue là, la gestion de cases presque entièrement noires), font qu'on se passionne presque pour l'affaire. Pour une fois, Shinichi Kudo ne fait pas cavalier seul ou avec son chien nommé Hattori, et épaule un autre grand ténébreux cool, Akai, et mine de rien on est heureux de ne pas voir le héros dans tous les coups.
Et enfin, le final ferait penser qu'Aoyama est prêt à sacrifier de ses bons personnages pour faire avancer le schmilblick, et ça, on l'attendait depuis longtemps.

Continue mon gars, t'es sur la voix de la guérison ! On ne te pardonnera pas les derniers tomes indigérables, mais ça fait rudement plaisir de revenir à la bonne époque, et de pouvoir affirmer que Détective Conan est malgré tout un bon manga, aux défauts énormissimes, mais avec des qualités. C'est le vieux fan aigri qui parle ici.


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MessagePosté: Sam 29 Nov 2008 12:42 
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Ippo – Tome 16

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Alors qu’Alexander « Wolf » Zanguief se dévoile, Ippo est de plus en plus soucieux de Naomicihi, surnommé affectivement Vomichi. En effet, la nouvelle recrue du Club doit passer son teste pro dans un match contre d’autres lycéens. Entre le stress et les adversaires, c’est mal parti pour le petit. Mais avec l’acharnement de l’entrainement de Kamogawa, il parvient quand même à se hisser parmi les Pros, comme Ippo, deux ans avant lui. Séquence émotion pour notre héros, si heureux de voir les efforts de son apprenti enfin récompensés !
Mais si vous volez de m’émotion, ce tome seize bat tous les records ! En effet, Ippo est à deux doigts d’abandonner sa carrière de boxeur pour souci familial. En effet, sa mère manque d’aide pour tenir la boutique familiale depuis qu’Ippo ne vie que pour la boxe. Notre héros est en proie à un dilemme terrible : soit il arrête son sport favori, où il est très bon, pour s’occuper de sa mère et reprendre le local de pêche de son père. Ou alors, il continue la boxe mais il sait très bien qu’un incident comme ça se reproduira. J’avoue avoir été ému quand Ippo pleure une nuit, sur son bateau et lamente de ne pas vouloir arrêter la boxe.
Mais c’est sans compter sur Umezawa qui rapplique pour faire part à Ippo de son rêve : il veut devenir Mangaka et faire une œuvre sur son ami, le jour où il sera devenu un Champion de Boxe. Donc, pas question d’espérer arrêter la boxe pour Ippo ! Umezawa se propose d’aider pendant quelques temps la mère du prodige afin de lui faire prendre du repos. C’est donc qu’Ippo revient au Kamogawa Club avec la ferme envie d’en découdre contre son prochain adversaire Saeki surnommé Speed Star en raison de sa vitesse fulgurante. Un affrontement entre une Brute épaisse et un fin tacticien qui aime s’exposer pour sentir son corps s’évader.
Mais Ippo pourra-t-il vaincre ? Il est en cruel manque d’entrainement et Saeki est au top de sa forme. D’autant plus que Speed Star place dès le début notre héros en situation délicate.
La suite en Décembre pour voir la conclusion de ce match !

Berserk – Tome 28

Guts et les siens sont désormais en route vers le Royaume des Elfes, où Casca pourra trouver la chaleur et le bonheur, et pourquoi pas sa mémoire ? Car le Skull Kinght avertit Guts : la jeune fille marquée pourra redevenir comme avant grâce au Roi des Elfes ! Mais le veut-elle vraiment ? C’est là le dilemme posé par l’énigmatique personnage.
Mais cette intervention appelle aussi à la crainte pour l’Armure du Berserker : si Guts l’emploie à tord et à travers, il perdra toute son humanité et deviendra encore moins humain… C’est là le destin de celui qui se trouve sur le seuil et qui revêt cette armure maudite.
Pendant ce temps, Casca découvre un jeune garçon plus que mystérieux. Il erre sur la plage, nu, muet, le regard vide et profond à la fois. Par un instinct sans doute maternel, elle le recueille et très vite, le gamin se familiarise avec Guts et sa bande. On remarquera une certaine ressemblance avec une famille lors de la rencontre entre le petiot et le Guerrier Noir. Simple coïncidence ? Rappelons que l’enfant des deux marqués avait été défiguré et avait disparu lors de l’Incident de la Tour des Châtiments. Est-ce le même ? S’est-il réincarné ? Le mystère reste entier.
Mais la suite de ce tome ne laisse pas à la réflexion : le petit groupe se trouve pris dans un débarquement de créatures Kushanes. Des Crocodiles envoutés par dizaines se ruent sur la cabane où la troupe s’est abritée. Guts, Serpico et Isidro, soutenus par Schierke, en font voir de toutes les couleurs aux envoyés de Ganiskha ! Notons la superbe et redoutable Farnèse trembler de peur devant un crocodile avec sa jouliiiiie dague toute mimi, pendant que Guts tue les reptiles par dizaines :P
Après, les sous fifres, c’est u tour d’un monstre mi-poisson, mi-éléphant, de faire son apparition. Makara, car c’est son nom, est redoutable ; sa force physique est terrifiante et Guts ne peut résister devant la Bête qui sommeille en lui. Il est contraint d’activer son Armure du Berserker. Et là… *_______* C’est une tuerie monumentale ! Guts hache tout ce qui bouge, crocodiles, tentacules et autres, le tout dans un fracas et une atmosphère glauque au possible. J’avoue que Miura surprend par cette magnificence à faire se mouvoir Guts. On se croirait dans un God of War avec un petit homme qui bouffe, éventre, tue des monstres dix fois plus grands que lui. Juste énoooooorme :P
La fin du tome est somme toute assez banale mais promet beaucoup avec une rencontre entre les Faucons et le groupe de Guts. Bon, certes, on ne se croirait pas dans Berserk avec des scènes assez… Bizarres… Comme par exemple Schierke qui se recouvre de mouettes et qui parle d’amour avec Sonia <_< Et vas-y qu’on va sauver des enfants Kushans des marchands d’esclaves pas gentils… Espérons que l’auteur saura bien gérer ça pour ne pas tomber dans le trop mignon (on est dans Berserk mince !)

Eye Shield 21 - Tomes 17 et 18

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Suite du match contre les Gunnmans qui ne m’avait pas vraiment emballé. On finit donc avec un point d’écart pour Seibu qui leur donne la victoire. Mais non, Deimon est encore là : un match de rattrapage <__________< J’avoue que c’est finement joué pour faire croire à une défaite sans conséquence mais voilà quoi… C’est gros, trop gros. Jamais dans Eye Shield 21 quelque chose ne m’a semblé si mal jouée. Il devait y avoir d’autres moyens de faire ça quand même. Ou pas.
Enfin bon… La série continue avec l’arrivée d’un personnage assez sympathique à observer : Akaba, THE vrai Eye Shield 21 ! The one, the best. C’est un personnage vraiment marrant à voir évoluer avec sa rivalité constante avec Kotaro qui provoque pas mal de situations agréables. C’est pour ainsi dire la seule chose qui m’a poussé à continuer l’aventure ES21.
Pour l’instant, je dois dire que le match contre les Bando est très bien mené, avec un Akaba vraiment à l’aise dans son rôle de prédateur absolu sur le terrain. J’ai bien accroché à la technique sans fin du Spider’s Web et également à la rivalité entre Kotaro et Musashi. En attente du tome 19, qui j’espère continuera dans cette lancée.

A venir :
-Me and the Devil Blues, dont j’ai feuilleté le premier tome
-Boucler Gunnm et Eye Shield 21 avec l’approche des « soussous » de Noël (soit dans un mois)
-Une nouvelle série qui je pense sera XXX Holic pour son côté mystérieux du premier volume, lui aussi survolé en librairie.
Quant aux Fairy Tail, je ne boycotte pas Pika, c’est juste que j’ai mieux à acheter :)


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MessagePosté: Sam 29 Nov 2008 13:12 
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Real :
Tome 1 et 2 :

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ça fait maintenant un bon petit moment que j'ai terminé la lecture de ces 2 tomes, mais il faut dire qu'avec cette serie il faut mieux prendre son temps étant donné le rythme auquel ils paraissent... Donc j'y vais bien lentement, et meme si c'est dur, on va dire que ça me permet de garder un peu de suspens...

Deja, gros point positif pour moi, le prix du tome est entièrement justifié. Rien que quand on ouvre la 1ere page de chaque manga, on tombe sur une magnifique double page couleur, mais le mieux, c'est que se ne sont pas les seules ! Il y en a 2 ou 3 en plus dans le tome, et deja qu'on avait des magnifiques dessins, on les voit sublimés grace a de superbes couleurs ! C'est vraiment que du bon.

Ensuite venons-en à l'histoire.
3 personnages principaux, avec chacun leur problèmes et difficultés, mais une chose en commun : la passion du basket. Tomomi Nomiya, un bon joueur de basket un peu voyou qui se fait renvoyé de son lycée, Hisanobu Takahashi, la pourriture de service qui se nourrit du malheur des autres, et Kiyogaru Togawa, un jeune handicapé, ancien sprinteur, qui souhaite quitter son equipe d'handi-basket, qu'il trouve mediocre...
3 personnages complétements différents, mais j'imagine qu'au fil des tomes, on ne peut que s'attacher a eux. Je ne vous en dit pas plus concernant ces persos (ça veut dire : "allez tous achetez les tomes ^^), mais les destins de Togawa et Takahashi sont super emouvants, et on ne peut qu'eprouver de la pitié pour eux... snif*...

Voila, maintenant je vais suivre leurs "aventures" avec un bon petit rythme, et leur evolution respective va vraiment etre intéressante. Mais il y a un truc que je me dis de plus en plus, si Real etait l'oeuvre principale d'Inoue, peut-etre qu'on aurait eu un truc encore plus extraordinaire que le monstre qu'il est deja...

Real est un chef d'oeuvre, et Takehiko Inoue est un Dieu.

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MessagePosté: Dim 30 Nov 2008 01:06 
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Il y a peu... c'était... le... Beaujolais Nouveau ! Eh ouais !
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Allons bon, il fallait que je marque l'évènement en faisant critique digne de ce nom ! Une ptitsa critique de rien du tout, mais que je vais essayer de faire tzarrible, juste pour le plaisir.


Les Gouttes de Dieu, tome 4

Vous comprendre aisément, O mes frères, que je me DEVAIS de commencer ce post par les aventures de Shizuku. Qui de mieux pour entamer les réjouissances concernant le vin ?
Pas moi en tout cas, parce que j'ai, somme toute, peu de choses à dire de ce volume. Toujours de petits intermèdes sympathiques dans l'apprentissage du fils prodige, notamment l'épisode du père filoux que j'ai bien apprécié, bien qu'un poil classique. Mais le point le plus important à retenir ici, c'est que la véritable intrigue se met en place. Car enfin, les (quasi) quatre livres entiers d'introduction sont terminés et on entre dans le fil principal, j'ai nommé la recherche des Apôtres.
Pour le moment, j'avoue que la manière de chercher fait débile au possible. "Oh, tiens donc, je tombe par hasard sur un tableau qui correspond exactement à la description ! Mais zut alors, le peintre ne sait plus de quel vin il s'agit ! Comme c'est dommaaaaaage !". Y'a mieux, niveau développement scénaristique.
En bref, rien à dire, mais content magré tout. J'espère juste que les intermèdes ne recommenceront pas à chaque fois entre les séances de recherche des Apôtres (au vu des paroles du notaire, normalement, les épreuves devraient maintenant s'enchaîner, mais, ne jurons de rien).


Princesse Résurrection, tome 1
(*Une main se lève dans l'assemblée*)
Quel rapport avec le vin ? demande un petit curieux circonspect.
Aucun. Si ce n'est que le sang, c'est rouge comme ces fluides alcoolisés, et qu'Halloween n'est pas si loin que ça. Puis, j'avais envie de faire une dédicace particulière à Liloo. Donc : dédicace particulière à Liloo (même si tes tronçonneuses sont destinées à autre chose que couper des fils dans un manoir...).
Nous voici devant un Shonen pur et dur, mais quelque peu original et sympathique. En résumé de résumé, un gosse renaît en buvant le sang d'une vampire. Il doit désormais boire régulièrement le sang de la petite fille pour survivre, ce qui entraîne son admission en tant que larbin auprès d'elle. Rien d'exceptionnel, si ce n'est que le scénar' serait du genre à plaire à Bullzor (tout du moins, je présume).
En vrac : dessins moches et problèmes de proportions, cadrage classique et gros nichons présents, perso stéréotypés et fan-boyisme au paroxysme du possible. Génial. Néanmoins, j'ai pris du plaisir à lire ce premier volume.
First good point : les actions. Le déroulement est assez intriguant et je me suis fait surprendre à un étonnement de certains passages. Je vous citerai la princesse qui met l'feu à son manoir, ou les poissons qui font dévaler une maison sur pilotis du haut d'une colline pour avoir l'avantage. Franchement délirant par moment. Même la scène où, toujours la princesse, est accrochée au poteau, prête à être sacrifiée, se révèle foisonnante de petites idées (le retournement par le discours, le fait que celle-ci soit en hauteur, créant un effet de superiorité par rapport aux poiscailles...). Bref, ça peut parraître désuet dans l'ensemble, mais y'a quelques perles à relever.
Second good point : l'humour. C'est couillon de dire ça, mais je me suis bien marré par moments. Notamment avec l'androïde, dont les apparitions sont régulièrement trippantes. Pour le fun, je vous décris une scènette : la princesse dit avoir besoin de nouveaux serviteurs, car elle risque d'être attaquée par d'autres monstres. Quand elle parle de "serviteurs", elle pense bien évidemment à des morts qu'elle ferait revivre pour les avoir totalement sous contrôle. Sur quoi, l'androïde-femme de ménage va chercher un chat mort qu'elle veut sauver ^^. Ca n'en a pas l'air, mais j'ai bien rigolé à la vue du sac à puces présenté de façon larmoyante à la princesse.
En résumé, une très sympathique découverte que je suivrais je pense avec plaisir. Pour une fois qu'un nouveau Shonen m'interpelle en bien :P.

Ce message ne serait rien, rien du tout de rien du tout, si je ne parlais pas de la série du moment, qui offre aussi son lot d'hémoglobine et qui se lit toujours avec autant de délectation, j'ai nommé...

Gunnm Last Order, tome 10

Hm, c'est bon ! Ce tome fait zizir. J'attends depuis moins longtemps que certains, mais... Mais... C'est Gally quoi, merdeuh ! <__<"
C'est peut-être ce volume qui me réconcilie définitivement avec Last Order. Non pas que je n'appréciais plus la série, mais les tomes six et sept étaient moyennement mauvais. Le flash-back de Vilma était certes monstrueux, mais un doute perisistait encore : est-ce que Kishiro pourrait garder un niveau stable dans le fil principal de l'histoire sur Jéru ? J'veux dire, les tomes huit et neuf étaient des enchantements, encore faut-il que ce regain dans le scénario persiste, et que le tout ne se ramolisse pas dès le volume suivant, tel un flan qu'on aurait trop chauffé. Et ça n'est pas le cas.
Le flan est ici sucré et acide, fort et délicat, sublime. Le retour de Desty Nova, la mise en valeur de Ping Uh, les scènes avec Sechs (un remake de Gally-Jashugan ? Symboliquement, ce serait TRES fort), le cliffhanger de fin dosé assez finement pour nous laisser en bouche sans être pompeux... C'est bon, c'est Gunnm, je ne sais toujours pas quoi dire sur cette série, sûrement par manque de recul, mais c'est indéniable : j'en veux encore !


Voili voilou pour ce petit post orienté symboliquement vers le liquide rouge. Je me permettrai de finir sur une citation de ma découverte du moment, à défaut de la cyborg nationale :

"N'est pas mort ce qui à jamais dort, et au cours des siècles peut mourir même la Mort."
(En espérant que Glénat ne reparte dans son hibernation prolongée, même si on peut prendre cette citation pour un espoir ^^)

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MessagePosté: Dim 30 Nov 2008 19:01 
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Depuis le temps que je ne suis pas revenu ici ^^

FULL AHEAD! COCO 07/08/09
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Où nos amis pirates sont partis pour l'archipel des Aragnes poursuivre leur quête du trésor de Falcon et y feront la connaissance de la famille Vrubam et leur Methatérium Guile.

Après une petite méprise tous sympathisent et les Vrubam leur apprennent l'éxistance d'"Immacula", un groupe de Old Blood voulant montrer la supprématie de leur race par la force.

S'en suit les séparation et la recherche du trésor amène la bande vers la capitale : Etouv.

C'est là que nous apparait le passé de Peat le cuistot, fiancé de la princesse du royaume.
Seulement Un complot est en marche là-bas et "Immacula" va y jouer un rôle.
Leur Première cible :LE capitaine Spado et le red skele

Y'a pas à dire, j'aime toujours autant cette série qui parait chez Doki doki.
Humour/aventure, Hideyuki mène sont petit monde dans de folles aventures au bon humour (la transformation miraculeuse de Backchi en femme ^^)et à l'exélente action( et là on en voit des morts :Ussop big gloup: ). Si on en apprends beaucoup sur le passé de Peat, j'espère que l'on en saura également beaucoup sur Immacula dans le prochain tome. En tout cas ça va bientôt saigner...

_________________
C’est en creusant sa tombe que KDZ est tombé sur les règles du forum et une horde de zombies assoiffés de cervelles .


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MessagePosté: Mar 2 Déc 2008 20:32 
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Fullmetal Alchemist Tomes 12 à 18

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Vu le retard pris depuis que j'ai commencé cette série, le rattrapage de la parution française a très vite ressemblé à un marathon vu le nombre de tomes alors à lire. Que dire si ce n'est « À Central City, rien de nouveau » : FMA n'est décidément pas une série qui arrive à m'intéresser malgré le nombre de pages qui s'allonge. Que ce soit le scénario ou bien la majorité des personnages, tout ou presque me laisse de marbre dans ces volumes. Ah si, il y a bien le récit de la guerre d'Ishbal raconté par Riza qui a su quelque peu m'intéresser ; quant au reste du scénario... Pour les nouveaux personnages, il y a bien Olivia Amstrong qui tire son épingle du jeu. Mais encore une fois, quant au reste... Je ne vais pas écrire que cette lecture a été une déception, c'est plutôt une confirmation à mon sens quant au fait que je n'apprécie toujours pas cette série.

D.Gray- Man Tome 13

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Attention, ça va être le jour et la nuit entre les deux commentaires.
:Luffy hilare:

En effet, à l'inverse de FMA, j'attendais plutôt impatiemment ce tome pour avaler sans plus tarder la suite de la baston monumentale entre les exorcistes et les descendants de Noé qui se déroulait alors ; surtout avec un cliff au tome précédent qui ne pouvait annoncer que des bonnes choses avec une Road plus psychopathe et dérangée que jamais. Eh bien, je n'ai pas été déçu par ce tome, qui reste un bon condensé de bastons agréables à suivre. Pèle-mêle...
• La petite « quête » intérieure de Lavi assure l'essentiel pour le personnage et lui donne enfin un développement qui n'avait jusque là jamais été abordé malgré l'évidence de la chose imposée par son statut.
• Comme d'ordinaire, fall in love devant l'impact de Road sur le récit. (C'est qu'elle prend sévère quand même dans ce tome la petite. ^_^)
• La « résurrection » de Tyki, un beau petit déluge visuel devant mes yeux ébahis...
• Voir de quoi le Maréchal Cross est capable dans le feu de l'action, c'est assez impressionnant pour rester ancré dans mes mythes associés à la série.
Un tome 13 qui assure toujours autant l'essentiel, que demander de plus ?
:Vogue Merry:

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