Bon me sentant un peu obligéet je me devais deles lire en version papier:

FAIRY TAIL Tome 1 et 2:

Que dire a part que j'ai pris beaucoup de plaisir a lire ces 2 tomes,redecouvrir fairy tail qui a ces debuts m'avait veritablement emballé m'a ici toujours emballé un bon petit shonen qui se laisse lire aisement ou on retrouve de tout.
Meme si en ce moment il a une petite baisse de regime ,revoir les debuts de fairy tail m'a bien fait plaisir et avec de plus un cultissime chapitre 10 : L'arrivée d'Erza qui d'ailleurs m'ont fait plaisir en gardant Erza et pas Elza,les noms des autres reste assez similaires a part pour certains mais globalement la version francaise me semble a premiere vue pas trop mauvaise.

En tout casque du bon:

Claymore Tome 9:

Un peu trop de claymore a mon gout on nous les montre comme ca elle defile on s'y perd un peu et peu sortent du lot pour le moment selon moi mais cela n'engage que moi,bref pas pasionnant pour moi.

JOJO Golden wind Tome 7:

Du jojo comme d'habitude du bon ,Buccerati en combat que demander de plus de le voir manier stinki fingers toujours un plaisir,voir les stands s'activer toujours un réel plaisir.


Prochaines lectures a venir ANgel heart 24 et l'histoire des trois adolf volume 2(que plaisir d'avoir ce livre devant moi alors que j'ignorais sa sortie un bonne surprise du magasin^^)

Parce que l'arrivée de l'anime sur Game One m'a réveillé à propos de l'arrivée imminente de ce tome, parce que l'on a laissé les pauvres exorcistes dans une situation bien précaire au début des vacances il y a deux mois ; voici venir la lecture de ces derniers jours, le 45ème tome de One Piece mis-à-part...

D.Gray-man Tome 12



Résumer un tome de cette série peut se révéler un exercice très bref car j'ai toujours l'impression que Katsura Hoshino aime bien faire de ses tomes un bon gros condensé de bastons diverses et variées qui se déroulent à une vitesse affolante. Ce n'est pas là une critique de ma part, vu que cette caractéristique peut avoir son charme, mais je suis toujours déçu du peu de temps qu'il est matériellement nécessaire pour engloutir de tels tomes. Bref, ça passe toujours trop vite et ça laisse presque toujours sur sa faim en attendant le prochain tome. ~_^

Pour en revenir au tome en lui-même, Krory décide enfin d'éclater la tête à Jasdero qui lui aura préalablement bien amoché sa carcasse grande consommatrice de sang d'Akumas. Alors, le passage avec Eliade pour motiver à nouveau Krory, c'est bien sympathique mais je trouve quand même le twist final de ce combat un peu trop énorme par rapport au reste de la série, où certains ont quand même finis plus amochés que cela malgré des situation moins délicates. Krory possède heureusement un contre-coup par rapport à sa nouvelle forme mais il peut néanmoins trop facilement se targuer d'écourter les combats avec celle-ci. Au final, je ne suis vraiment pas trop convaincu pour l'instant par la pertinence de cette nouvelle forme pour Krory.

En revanche, j'ai bien apprécié le combat entre Allen et Tyki, bourrin à souhait et riche en levels-up apparemment de part et d'autres. J'apprécie ainsi la nouvelle forme de l'Innocence d'Allen ainsi que sa fonction de séparer l'esprit de Noah de l'humain qui en est habité. C'est assez intelligent et j'espère bien retrouver ce tour de passe-passe du clown couronné au détour d'un prochain tome. Par contre, je suis déjà plus circonspect de l'intérêt de déjà doter Allen d'une puissance comparable à un Maréchal selon Hevlaska...

Mais comme d'habitude, il n'y a qu'un personnage à mes yeux qui rend cette série si unique et qui éclabousse de sa présence les pages de ce tome, je veux parler de cette grande psychopathe de Road. C'est assez effrayant de voir comment cette gamine arrive très facilement à tirer la couverture sur elle alors que les autres personnages à côté tentent tant bien que mal de se tailler une reconnaissance auprès du lecteur grâce à des moments bien spécifiques. C'est normalement rare que cette série me fasse rire comme d'autres, mais là, à nouveau grâce à Road ; cela a été le cas à ma grande surprise. [SPOIL](Voir les têtes hébétées, ainsi que les réactions, de Lavi et Tyki après que Road ait embrassé Allen, ça n'a carrément pas de prix dans son genre. ^_^)[/SPOIL] Outre cela, son pouvoir au combat se révèle comme attendu un pouvoir très exagéré mais au moins, ça rajoute quelque chose à l'attrait déjà conséquent de Road. La fin est très marquante je trouve avec l'ultimatum de Road à Allen, j'espère bien que celui-ci se termine par un énorme final dans le prochain tome.

Au final, ce tome a constitué pour moi l'une de mes meilleurs lectures de cette série, tout simplement parce que l'étincelante Road impose son show tonitruant et spectaculaire sans être envahissant : un travail de très bonne facture en quelques sortes.

Eyeshield 21 tome 20

Mon petit rendez-vous délire bimensuel.
C'qui est fichtrement bien foutu dans cette série, c'est qu'on y croit. Les trucs les plus abracadabrantesques sortis de derrière le derrière les fagots (si ce n'est plus) ne tiennent pas debout, mais on se dit "Ah merde, comment ils peuvent faire ??!!". En sachant très bien que Sir Murata nous dessinera une solution elle aussi incroyable... Que je croirais.
Au programme dans ce tome : un supra-homme supra-rapide qui a supra-trop-la-classe (personnellement, je trouve qu'il a surtout la classe d'une tanche), le zen des Nagas toujours en costume et dotés d'une cascade qui peut servir à visionner des films et Hiruma qui ne croit plus à la victoire. Et, en cadeau bonux aujourd'hui : Agon qui, COMME-DE-PAR-HASARD joue tout le match ce jour-là.
J'dois avoir été pigeon dans une autre vie, parce que malgré toutes ces énormités à en pleurer, je suis le tout avec plaisir ^^.

Fairy Tail tomes 1 et 2
Le manga évènement de l'année ! Wouhoouuuuuuuu !
Quand on lit Deu$ écrire que c'est un "One Piece-like", je trouve ça méchant, ça m'attriste même. Mais il a raison. Niveau dessin et personnages, y'a pas photo, y'a dessin (riez de me voir arrivé si bas) !
Dans l'ensemble, j'ai apprécié. Des gags qui me font sourire, des graphismes de bonne facture, à mi-teinte entre Dream Land pour certaines cases et "un autre manga que personne ne connaît", une édition impeccable.
Le truc avec les grandes séries shonens staïle One Piece, Bleach, Naruto (enfin, grand, c'est mal choisi comme terme :P), c'est qu'on ne peut pas facilement juger en un seul tome. Et là, c'est pareil. Les persos paraissent archétypés mais je vais attendre de voir une possible évolution. Par contre, gros défaut qui m'a géné, j'avoue : où est le scénario ? Pour l'instant, c'est mission sur mission, mais elle est où la toile de fond ? Dans notre manga commun à tous, même si pleins d'aventures se succèdent, on a le but de Seigneur des Pirates qui gère le tout. De même pour Naruto et son rêve à la con. Mais là, ben, rien.
En résumé, de bons atouts mais manque de scénario réel. L'évènement de l'année ? Une belle connerie. Une bonne surprise ? Sans aucun doute !


Voilà pour mes lectures mensuelles de cette semaine d'avant-hier (ou à peu près). J'ai passé Dream Land et Jojo's Bizarre Adventure qui m'ont enchanté sans déviation, et Me and the Devil Blues d'Akira Hiramoto.

Concernant ce dernier...
Topic à venir ^^ + d'autres (Japan je présume).

Edit ci-dessous : T'inquiètes, je gère ^^.

Retrouvez d'autres chroniques sur cet excellent manga ICI

Me and the Devil Blues relate la vie, quoique librement, du légendaire bluesman Robert Johnson.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est une très bonne occasion de lire ce manga et de découvrir en même temps l'homme qui est certainement le grand-père du rock !

Ici, le personnage principal se nomme RJ. Paysan dans le Mississippi de la fin des années 20, celui-ci se prête à une passion nouvelle : la guitare. Se donnant en spectacle dans une taverne, tous les samedi soir, RJ est malgré tout un piètre guitariste, comme le souligne un certain Son House. Mais c'est sans compter qu'un soir, alors qu'il se trouve par hasard sur un crossroad (un croisement), il va vendre son âme au diable !

Dès les premières pages, le ton est donné. Le blues a une forte connotation dans cette série, et cela se ressent beaucoup. L'auteur a su donner une vraie âme à son titre, et on peut dès le premier volume (!), affirmer que cette série va se placer dans les premières places des séries les plus "puissantes".
Le dessin, se mêlant parfaitement au thème, est certainement le plus approprié pour ce manga. Les points de vue et les mises en scène sont également époustouflants !
Intriguant, frissonnant, et avec de nombreux rebondissements, on ne sait jamais à l'avance ce qu'il va se passer. D'ailleurs, sur ce point, le superviseur de Me and the devil blues résume bien ce que chacun doit penser.
J'attends donc très impatiemment le prochain volume, en me demandant ce qui va se produire, et espérons toujours sursauter de surprise, tellement le récit est surprenant et s'accroche à être de qualité.


The Undertaker, t'as intérêt à assurer sur ton topic de Me and the devil Blues !! ^^

Ah toi aussi ? :P


Lecture de la première moitié de Septembre:


Ippo – Tome 14



Ippo face au Champion Poids Plume du Japon dans un match amical : énorme affrontement en perspective ! On nous avait promis une technique sensationnelle pour ce combat et l’on n’est pas déçu : les Tire Bouchons Vrillés de Date font des ravages chez Ippo. Faut dire qu’avec l’effet Crise Cardiaque de cette attaque, notre jeune prodige ne peut rien faire face à son mentor. C’est donc un Sparring à sens unique qui nous attend : Ippo se fait dominer de fond en comble, même ses légendaires droites n’abiment pas Date. C’est une défaite cuisante mais le jeune homme en sort grandit et jure de battre un jour Eiji Date et ses Punch Magiques !
La seconde partie du tome fait office de transition entre les combats du Club Kamogawa. On propose un match officiel à Ippo, contre Okita, classé cinquième au rang Japonais. Formidable occasion pour gagner des place set se rapprocher de Date pour lui faire ravaler son orgueil. Seulement, Okita est lui aussi un ancien Champion Espoir… Comme d’habitude, les passages de calme d’Hajime No Ippo sont des délices pour les lecteurs. Le rythme est léger, rapide, net, pas de passages lourds, de l’humour en masse dixit Takamura.
Puis vient enfin le combat contre Okita. C’est un rush que nous font les adversaires : le premier qui touchera l’autre gagnera un entrain décisif pour la suite du match. Très vite, Ippo prend l’avantage avec ses Punchs Pavés, mais Okita s’avère lui aussi un utilisateur des Tire-Bouchons. Un combat de gros Puncheurs s’engage alors et Keigo prend l’avantage grâce à ses feintes multiples. Ippo est acculé mais parvient à retourner la situation grâce à un formidable Uppercut ! Les effets des coups sont toujours aussi magnifiques à voir. L’auteur sait comment donner de la force à son Manga et ça transparait obligatoirement. ‘Suffit de voir la page de l’Uppercut pour s’en rendre compte.
La suite du match est somme toute prévisible : Ippo domine de plus en plus et finit Okita sur un Contre dévastateur. Ca y est, Makounochi est maintenant Cinquième du Japon en catégorie poids plume !
Ippo – La Rage de vaincre reste toujours un Shonen sportif vraiment génial à lire et découvrir. Là où Eye Shield 21 brille par sa prévisibilité, Ippo l’emporte par sa fraicheur, son rythme léger… Un chef d’œuvre.


Berserk – Tome 27



Beaucoup sur le Net disaient que l’Arc Troll était assez mou, notamment à cause de l’intégration trop importante de Schierke. Mais avec l’arrivée de l’Armure du Berserk, on revient aux sources : pur, dur, sanglant. Guts revêtit donc cet attirail maudit qui lui pompe sa colère au détriment de sa santé physique et mentale. On pourra regretter un Power-Up trop important et un peu facile à contrecarrer. ‘Suffit que la gamine reste dans le coin pour sauver le Guerrier Noir de l’étreinte de l’Armure, le tout saupoudré de sauts périlleux, arme à la main. Mais faut avouer que le visuel rendu par l’Armure dépasse de loin les défauts. A surveiller.
La suite est tout simplement génialement atroce. La Capitale est tombée aux mains des Kushans. La terreur est partout, les envahisseurs font la loi, les femmes sont utilisées pour des tests, les hommes comme esclaves de Guerre et les résistants sont pendus/décapités/ tués (accessoirement). Et là apparait un personne ô combien charismatique : l’Empereur de la Terreur Ganishka. Un monstre comme on en a rarement vu, même dans Berserk. Meurtres, viols, massacres, rien ne lui échappe. J’espère un approfondissement encore plus poussé de ce personnage qui le mérite amplement !
Le reste du tome est simple et tranquille avec la Troupe de Guts qui erre le long de l’Océan, afin d’embarquer Casca vers le Royaume des Elfes…



A venir:
-Fullmetal Alchemist tome 18 (*bave*)
-Finir Eye Shield 21 et réfléchir sur cette question: "Les revendre ou pas ? That is the question..."
-Continuer Gunnm, le tome 2 est en ma possession.
-Re-découvrir Fairy Tail
-Et pourquoi pas une nouvelle série ? Au choix: Dorohedoro/ Planetes/ Donjon/ ?

Bouclé jusqu'à la fin de l'année quoi ^^

Naruto 38



Un tome qui ne m'avait pas plu du tout en scan , et qui finalement est plutôt pas mal réussi en volume relié .
Tout d'abord , on a la fin du combat qui oppose Konoha (principalement Naruto) à Kakuzu .
Naruto l'achève avec son futon rasengan .
Puis étape de transition avec le retour à Konoha , où Tsunade met en garde Naruto sur l'utilisation de sa technique .
Et après , période Sasuke .
On le voit s'entraîner , puis il se sent plus balaise qu'Orochimaru et décide donc d'en finir avec lui .
Celui-ci l'emmène dans une dimension parallèle , là où a lieu le rituel d'échange de corps , mais finalement grâce à son sharingan (décidément , le sharingan peut tout faire ^^ ) , il réussit à retourner son sort contre lui , et parvient à lui prendre ses pouvoirs en l'enfermant en lui .
Puis , afin de vaincre Itachi , il décide de former une équipe avec d'autres prisonniers d'Orochimaru .
Il commence alors par libérer Suigetsu , le disciple de Zabuza Momochi (cf tomes 2 , 3 et 4 ) , puis libère Karin , une fille aux pouvoirs intéressants qui en pince pour lui (encore une ^^) .
Et enfin , à la fin du tome , il décide d'aller libérer Juugo , l'homme qui est à l'origine de la marque maléfique ...

Un assez bon tome dans l'ensemble .

J'ai également lu Slam Dunk jusqu'au tome 12

Je vais pas mettre les images des 12 tomes ^^ .
Que dire de Slam Dunk ?
Mon manga préféré du moment , qui combine histoires de sport (basket-ball) , filles et baston .
J'aime beaucoup , c'est passionnant , avec une belle rivalité entre Hanamichi Sakuragi et Kaede Rukawa , me faisant un peu (beaucoup) penser à une autre rivalité d'un autre manga (celui que j'ai commenté précédemment ^^ ) .

Ah! ça fait plaisir!
si tu es deja sous le charme des 12 premiers volumes, tu vas vraiment tomber par terre pour les prochains
le niveau graphique s'ameliore enormement, et les matchs sont de plus en plus passionnant
t'as pas fini de prendre ton pied ^^

Bon sinon moi jviens de m'acheter et de lire les 2 premiers volumes de Fairy Tail:



je decouvre le debut de l'histoire au fur et a mesure
la lecture est agréable, l'aventure aussi, bien que pour l'instant il n'y a pas de "quete ultime", juste quelque missions amusantes, mais sans plus quoi
Mais bon, c'est le temps de mettre en place les persos et l'histoire j'imagine

Autre point, le style graphique est vraiment proche de One Piece, ça fait assez bizarre quand meme^^

Ensuite, les persos
jaime bien Natsu, bien qu'il soit un heros de shonen "type", c'est a dire debile, fort, gros bouffeur ,attiré par l'aventure etc...
Lucy aussi est un perso "type": sexy ,aime l'argent, pouvoir magiques, raleuse...
Les autres persos ne m'ont pour l'instant pas trop attirés, a part Grey et Erza biensur ^^

Pour finir, j'accroche bien a l'aventure pour l'instant et jespere que ça va continuer.

Maintenant faut attendre la sortie du volume 3.

Mayu est une jeune fille styliste, et qui vient de se faire larguer. N'ayant plus de logement, elle décide alors d'en chercher. Miracle, lorsqu'elle voit une grande maison de libre, c'est le coup de foudre ! A peine installée, elle remarque que la maison est plus petite qu'elle en a l'air. Mais elle ne va pas tarder à découvrir, suite à l'effondrement d'un mur, qu'une colocataire y vit ! Celle-ci s'appelle Yuka, une autre jeune fille pratiquant du free fight féminin, un sport de combat où l'on utilise toutes les techniques que l'on souhaite, librement.

Deux filles, deux personnalités différentes, de divers problèmes, voilà ce que nous pose ce premier volume d'Unordinary Life.
En effet, on observe que les deux amies ont toutes deux des problèmes de cœur, ainsi qu'une difficile situation dans leur travail respectif. Malgré cela, elles vont s'entraider et ainsi essayer de surmonter les épreuves qu'elles traversent et qui les attendront dans l'avenir.

Le dessin est assez particulier. On y retrouve un style spécifique, mais les visages sont souvent vides, et les décors quasi inexistants ! Un gros point faible qui, s'il avait été corrigé, aurait amélioré le plaisir de la lecture.

En attendant, le thème d'Unordinary Life est très intéressant à voir évoluer, tout comme la personnalité des deux héroïnes. Comme les auteurs y décrivent deux passions, la mode et le free fight, il est difficile de se lasser, du moins pour le moment, et ce n'est que le premier tome.
En fin de volume, on y découvre une présentation du free fight féminin assez intéressante.

Detroit Metal City tome 1 :



Je ne pouvais décemment pas ne pas parler de ce manga que j'ai lu aujourd'hui, tellement il m'a fait rire. Ça faisait longtemps qu'un manga ne m'avait pas fait rire comme ça. Avant toute chose, rendons à César ce qui appartient à César, si je n'avais pas lu cet article sur le blog du geektateur, jamais je n'aurais lu ce tome.

N'empêche que je ne l'ai pas regretté. Même si le schéma des chapitres est quasiment identique de l'un à l'autre (avec une ou deux légères variations), c'est tellement bien construit qu'on ne peut s'empêcher d'apprécier. Pour faire un résumé simple, le héros, Sôchi Negishi, est un jeune homme venu à Tokyo de sa campagne pour faire carrière dans la musique, genre pop suédoise rose bonbon gentillette. Sauf que par un hasard que l'on n'apprendra peut-être jamais, il se retrouve chanteur-guitariste-leader du groupe de Death Metal le plus en vogue à Tokyo en ce moment : Detroit Metal City. Tout repose sur l'opposition flagrante entre Sôchi et le personnage qu'il incarne au sein du groupe : Johannes Krauser II.

Maintenant, une petite mise en garde. Puisque le ressort comique principal du manga est le Death Metal, faut pas s'attendre à un humour très fin. Il est basé sur le viol, le meurtre, l'irrespect total de tout et tous ces trucs caricaturaux qui font le Death Metal. Ce n'est donc pas vraiment tout public, mais si vous n'êtes pas rebutés par la vulgarité, ça vaut le coup. Mention spéciale à la manager du groupe, dont la musique de ce dernier fait toujours un effet, heu, particulier.

La vache ! Il a réussi à atteindre le taux de dix "Fuck" à la seconde !

Death Note – Tome 12



Suite et fin de Death Note, une série qui aura beaucoup fait parler d’elle par ses fabuleux débuts. Les adversaires vont se rencontrer, les pions bougent, le monde tourne. Comment va se dérouler la fin magistrale de ce Manga ? Si vous n’avez pas lu cet ultime volume, arrêtez vous là, je ne m’amuserai pas à baliser le Spoil.
Light et Near vont donc se rencontrer le 28 Janvier afin de boucler définitivement l’affaire Kira. Light veut asseoir sa domination sur le monde tandis que Near veut surpasser L en capturant le tueur aux milliers de victimes. Mello, lui, enlève Takada pour déséquilibrer son rival. Sera-t-il l’inconnue de ce dénouement ?
Tout d’abord, on peut remarquer quelques similitudes avec la scène tragique du tome 7. Le contexte n’est pas vraiment menaçant mais les auteurs sont parvenus à insuffler une ambiance vraiment morose au dessin et aux scènes. L’effet d’angoisse n’en est que plus fort. Comme lors de la mort de L, on s’attend à un trépas mais de qui ? L’arrivée de Mikami ne change rien à la sensation d’étouffement. Théâtral, le procureur arrive, le Death Note à la main, la victoire au bout des lèvres… Les noms y sont inscrits, la mort les attend dans quarante secondes…
Et bien non. Par un habile procédé, Near a fabriqué un cahier faux qu’il a ensuite modifié avant de faire changer le vrai, mais en fait c’était un simple cahier de SVT et Boucles d’Or s’est retrouvé avec des décès à côté du système nerveux chez l’Homme… En clair, les auteurs nous perdent complètement jusqu'au fameux « Ah oui c’est vrai, j’y avais pas pensé ! Ha ha ha ! Sacré Near ! C’est qu’il est pas bête ! ». Il n’a pas le charisme de L mais son intelligence et son sérieux font de lui un atout de la série.
Bien sûr, Kira/Light/L exulte et crie au scandale. C’est un coup monté ! Ce n’est pas lui ! Il n’a rien fait ! La folie le gagne peu à peu. Rien n’y fait, Near est implacable. Même les beaux discours du beau gosse ne changeront rien : Light a perdu. Sa première défaite restera la dernière. Dans un état second, Light en vient à supplier tout le monde de l’aider, même s’ils sont morts. Un personnage aussi fantastique que Kira est réduit à l’impuissance totale sans son cahier ; c’est pas rien.
Et la Conclusion de cette saga ? Ryûk, présent massivement dans les pages inter-Chapitres, donne le coup de grâce à Light, pleurant toutes les larmes de son corps. « Tu vas mourir d’un crise cardiaque dans quarante seconde et tu es le mieux placé pour le savoir, pas vrai Light Yagami ? ». Les policiers ont pitié, Near s’en tape, Mikami est anéanti, Ryûk se marre et Light prononce un « merde » symbolique dans sa chute…
Rideau de l’inégale série qu’est Death Note. Un des mangas les mieux vendus en France s’achève sur une fidèle de Kira priant son défunt Dieu… Si les derniers tomes étaient un peu mollassons, je ne me lasse pas de relire cet ultime épisode, en attendant le hors série treize ou l’on apprendra le vrai nom de L (Lucien Lagrange pour les impatients). Morale de l’Histoire : ne donnez pas de pomme au monsieur à la tête de mort…


Fullmetal Alchemist – Tome 18



Suite des aventures d’Edward et Alphonse dans le Grand Nord d’Amestris. Winry a été prise en otage par l’Alchimiste Kimblee ; Scar, Marcoh, Yorki et May sont en fuite et Riza fait une drôle de découverte qui pourra sans doute changer le cour de l’Histoire.
Comme le dix-septième volume, celui-ci propose un lot délicieux de révélations. Pride n’est en fait que Selim, fils adoptif de Bradley, lui-même Homonculus. Riza est dorénavant surveillé par le garçon de l’Ombre… Le camp des gentils perd des effectifs, que ce soit le Lieutenant ou Winry, retenue par Kimblee. Le dialogue s’installe entre Ecarlate et Fullmetal. Kimblee est parfaitement conscient de sa folie mais veut l’exprimer jusqu’au bout. Ca c’est le bon esprit !
Je ne rajouterai rien de plus si ce n’est que le tragique prend de la valeur avec une Winry paisible face à Scar. Toujours aussi sympathique, FMA convainc toujours le lecteur. Vivement Décembre pour connaitre le passé de Van Hohenheim.


Ippo – Tome 15



Les aventures mensuelles de notre boxeur favori continuent toujours, sans presque jamais décevoir. Jamais un sentiment d’ennui n’a percé durant ma lecture de ce quinzième tome. Tout est bon, tout est sagement dosé, tut est parfait, ou presque.
Ippo vient donc de battre Okita et passe ainsi cinquième des Poids Plume du Japon. Son match servant d’ouverture à celui de Date, le Champion prend la relève et démontre sa puissance fulgurante devant des journalistes émerveillés. Ippo est encore loin de son niveau mais ne rêve que de le battre.
Pendant ce temps, en Thaïlande, Miyata s’entraine dans le but de parfaire un contre dévastateur. Mais il se heurte rapidement aux conditions de combat du pays. Les juges avantagent les Thaïlandais, c’est normal, mais Ichirô en pâtit obligatoirement. Par une coupure de journal au Japon, Morikawa nous amène complètement dans ce mini-Arc, à suivre les péripéties du rival éternel. Ce passage n’augure que du bon, avec un Miyata reboosté, ses contres plus forts que jamais (le Jolt *_____*). Vivement la suite avec un Ippo qui va devoir se frotter à Alexandre Wolf Zanguief, un des meilleurs boxeurs national d’origine russe.
Toujours des adversaires en masse, mais il est toujours plaisant d’imaginer Ippo face à ces nouveaux arrivants.


Gunnm – Tomes 2 à 4



Je poursuis mon petit bonhomme de chemin dans la série, guidé par les MPs incessants de Monsieur L. Un très bon premier tome m’avait fait apprécier la légèreté de cette série. Qu’en est-il des trois suivants ? Gally réussira-t-elle a s’imposer dans mon pavillon des plus grands héros du Manga ?
Un peu ouais. La cyborg est tout simplement parfaite dans son rôle. Elle est à la fois naïve, maladroite, touchante mais aussi violente, boudeuse ou invivable. Egalement, son design s’est bien amélioré en ces quelques volumes : ses peintures de guerre sous les joues, ses yeux, son nez… Tout est très bien mené pour rendre le personnage attachant et aimé de tous types de lecteurs/lectrices.
Parlons du scénar’ maintenant. Gally a vaincu le méchant Ver Mangeur de cerveaux et fait connaissance avec Yugô, un jeune garçon de la décharge qui rêve de voler jusqu’à Zalem. Très vite, Gally en tombe amoureuse mais un dramatique évènement va tout changer, que ce soit l’héroïne ou son mentor, Ido. Jusque là, rien à redire, c’est parfait. Mais voilà qu’arrive les compétitions de Motor Ball. Je pensais qu’on allait y avoir droit durant à peine quelques Chapitres mais c’est en volumes que se compte cet Arc. Je commence sérieux à m’en lasser, avec des types plus louches les uns que les autres et une Gally totalement méconnaissable. L’auteur fait prendre un tournant à la série qui ne me plait pas vraiment, même si Jashugan claque bien dans son rôle de Champion. Heureusement que la fin du quatrième volume augure un renouveau dans la série avec la fin des courses de Gally…
Constat un peu mitigé donc. Les deux premiers volumes sont tout simplement géniaux avec une action nette, précise et palpitante. Mais les suivants sont franchement lassants et trop longs pour une simple compétition. En espérant que la suite rattrape tout, Monsieur L. m’en a parlé discrètement.


Eye Shield 21 – Tome 16 :



Tome décisif dans ma lutte contre Eye Shield 21, un Manga trop inégal et franchement niais au possible.
Les Deimon Devil Bats sont face aux Seibu Wild Gunnmen. Hiruma fait front contre Kidd et son Shotgun, Sena contre son ami d’enfance Rikû et Monta face à la locomotive humaine Tetsuma. On avait promis un match inégal entre des Seibu surchauffés et des Deimon proches du zéro absolu question potentiel de victoire.
C’est dingue comme les auteurs font de Rikû une guest-star sortie de nulle part. D’accord il est toujours en retard, c’est pour ça qu’on ne l’a pas vu en Amérique, mais bon… Sortir un éventail de possibilités dans un personnage très classe, c’est trop inattendu pour être vrai. Mais comme on est dans ES21, on finit par y croire. Je crois que le personnage n’existe que pour fournir à Sena un rival possible en termes de vitesse. Mais bon, passons.
Ensuite, grosse surprise qu’on aurait même pas prédit, Musashi est de retour ! OMFGWTFBBQ ?! Mais qui l’aurai cruuuu ?! Et le père à Sena est en fait le président des Etats Unis et Cerberus était la doublure de Vince dans Lost !!! Et le Gen a même eu le temps de se raser. Mais rappelons que le temps n’est pas illimité. Donc Musashi se rase à la vitesse de la lumière ! Donc il a un rasoir Mach 4452 et une Ferrari qui va à la vitesse de la lumière + 1 seconde. Arf O_o . Mais bon passons.
Passons aux bons points maintenant. Alors alors… Attendez je vais trouver… Le type qui décapite les poteaux de clôtures ? C’est plus de la mauvaise herbe qu’autre chose… Kidd qui a peur devant les Deimons ? Oui ça peut être un bon point pour souligner les gros efforts de Deimon. Mais aussi pour faire saliver le lecteur devant la fin imminente du match. Ou pas.
En Conclusion, ce seizième volume d’Eye Shield 21 n’a qu’une seule bonne chose, sa couverture. Pour seulement 6 Neuros 50, vous aurez un florilège d’inutilités, de trucs gros comme ça et surtout : des « Yahaaaaaaaaa ! Tous au Chrismas Brawl xD lol ptdr mdrrrr kikooo ». *Smile*

Edit: C'est le tome 18 Deu$ ^^ Je savais que tu avais des doutes sur FMA mais j'en suis convaincu à présent. Tant pis comme on dit, chacun ses gouts. Mais c'est déjà bien que tu ais donné ton avis :')
Pour ES21, je suis bien conscient du traumatisme que j'ai infligé au Gourmet. Après avoir lu les tomes 16 et 17 sur One Manga, je me suis dit que c'était vraiment en rase mottes. Mais après, je trouve que le niveau remonte bien, avec le match contre les Spiders. Mais ce sera pour une autre fois dans ce sujet...

Pas moi en tout cas.
Je me suis ennuyé comme c'est pas permis lors de la lecture de ce tome 17...
Seul bon point, Selim qui est en réalité Pride.
A part, ça, c'est vraiment chiant et ennuyeux.
J'étais pas trop convaincu par Full Metal Alchemist, maintenant je crois que je vais carrément arrêter, parce-que ça ne m'emballe vraiment pas du tout, je n'ai quasiment aucun plaisir à la lecture des tomes.
Maintenant la question est: comment je vais faire pour me débarasser de ces tome...



Si une certaine personne voit ça, je crois bien que tu verras encore moins la lumière du jour sur le Red Apple.

pour ma part c'est les tome 1-2-3 de naruto je sais je suis en retards mais sa va je suis vraiment vraiment pas decu les livre nous rien a voirs avec l'anime
sa prend plus au tripe



et les tome 12-13 (édition de luxe) de city hunter
je conseille a tous city hunter car c'est vrément génial

Parce qu'il n'y avait pas que le onzième tome de EVA à bien mettre en valeur la série dès sa sortie aujourd'hui...

Neon Genesis Evangelion - Plan de Complémentarité Shinji Ikari Tome 2



Il n'y a pas à dire, j'apprécie de plus en plus cette série suite à la lecture de ce tome, qui est tout bonnement étonnant à bien des égards. L'auteur arrive ainsi à développer une histoire généralement drôle, parfois conventionnelle quand même mais avec des inspirations parfois géniales qui interpellent le lecteur dans le bon sens. Pour l'histoire en elle-même, une mystérieuse organisation apparait dans ce tome et tente d'entrer en contact avec le centre de recherche où travaillent Yui et Gendo Ikari, recherches dont on ne connait toujours pas la nature. Afin de réaliser ce dessein, Ritsuko envoie Kaoru dans l'établissement du fils Ikari afin de nouer des liens avec lui. La fin de ce tome est plus conventionnelle pour ce genre de produit dérivé vu que l'on a l'installation de Shinji & Asuka chez Misato et encore un voyage de scolaire de développé, avec son lot de passages fleurs bleues qui vont bien. De même, on n'échappe pas aux scènes de pur fan-service qui sont un rituel quasi-obligatoire dans de telles parutions.

Si ce tome m'a beaucoup plu, c'est parce que l'auteur transforme de façon étincelante l'essai entrevu la dernière fois sur sa faculté à détourner de manière très efficace la mythologie de EVA. C'est simple, l'auteur reprend à son compte des éléments très divers de la série soit pour nous faire sourire, soit pour nous amener là où ne s'y attend pas. Connaissant la faculté du lecteur à anticiper des évènements par rapport à la série, l'auteur arrive à nous prendre très souvent à contre-pied et arrive ainsi à développer une histoire qui lui est propre sans être ennuyeuse, bien au contraire.

Pour donner un ordre d'idée, les premiers chapitres du tome avec l'apparition de Kaoru sont tellement imprévisibles qu'ils en deviennent géniaux à mes yeux. En effet, l'auteur s'appuie sur la relation très ambiguë entre Shinji et Kaoru afin d'aller très loin sur cette simple blague dont le thème est "Kaoru drague Shinji". Ecrit comme ça, je pense que ça doit paraitre très bête de prime abord mais par une alchimie particulière, l'auteur arrive vraiment à nous amuser de manière très originale. Voir l'association de Reï et Asuka pour ramener Shinji "dans le droit chemin" est quelque chose de très explosif, surtout avec leur version très fantasmée des relations entre deux jeunes garçons... ^_^ Sinon, le traitement de Gendo Ikari me met toujours autant d'étoiles dans les yeux, c'est un vrai tour de force de la part de l'auteur de faire de ce personnage une figure comique aussi réussi.

Bref, cette série me plait de plus en plus, notamment pour son originalité très prononcée ainsi que l'intelligence des thèmes abordés. On ne s'ennuie réellement pas à lire un tel tome et on en arrive à attendre très impatiemment la sortie du prochain. Comme d'habitude avec ce genre de lectures, les personnes qui ne sont pas habitués aux références ici utilisées ne trouveront pas un intérêt quelconque avec ce livre. En revanche, si on est intéressé par le sujet abordé, ce tome se révèle être une lecture très divertissante.

Eyeshield21 tome 21 :



Très bon tome d'Eyeshield !
On avait quitté l'equipe de Deimon alors qu'Hiruma annonçait qu'ils avaient deja perdu le match en étant menés 32-0 a la mi-temps...
Grande surprise c'etait bien sur une feinte, puisqu'Hiruma nous devoile ensuite sa tactique visant a tromper Nagas...

Grand moment pour moi, Yukimutsu, mister big crâne ou fuckin' chauve, reussi l'exploit de marquer un touchdown, imité ensuite par Jumonji...
ça fait plaisir de voir des persos de second plan etre mis en valeur a ce point !
J'ai trouvé le passage avec Yuki très "emouvant", car il realise enfin quelque chose sportivement parlant...

Autre moment d'"emotion", le flash-back des frères Kongos... Sympa de voir comment Unsui a souffert du don qu'a reçu son petit frère, j'ai kiffé aussi.
Sena se met lui aussi au niveau puisqu'il parvient a gener Agon grace a sa vitesse et son explosivité.

Moment culte : Monta est clairement le seul qui se fait largement bouffé par son adversaire, c'est-a-dire Ikkyu, il propose une super tactique maxxx pour marquer un touchdown. La tête d'Hiruma a ce moment est juste mythique !!!! J'ai trop rigolé ^^
Mais il accepte quand meme, et a la fin du tome il balance une super passe visant Monta en lançant une superbe citation très fidèle a la serie, je vous laisse la decouvrir.

Enfin, le detail qui ne sert a rien, qui coute 50 cents de plus, qui marche a moitié (bon c'est joli quand meme ^^).... Les superbes Lunnettes Eyeshield21 pour mater des pages en 3D, c'est sympa =) Merci Glenat !

En resumé, excellent volume qu'il ne faut absolument pas manquer si vous etes fan, ou pas....

Jackals tome 1


Que dire? J'ai été choqué quand j'ai vu la première page, "choqué" dans le sens où je ne m'attendais pas à voir une tête tranché dès le début T T. Après quand j'ai vu d'autres têtes tombés j'ai commencé à rire^^. Les combats s'enchainent et les tranchages de corps aussi^^. Il est courant de voir une tête tomber de temps à autre. Les flics sont corrompus, le maire aussi, bref toute la populace est pourrie jusqu'à la moelle.
2 gangs se font la guerre: Gabriella et un autre gang coréen.
Ces gangs font appel aux tueurs professionnels, les Jackals.
Les Jackals se sont des tueurs surentrainés qui essaient de survivre chaque jour, ils accomplissent des contrats pour se faire de l'argent.
Le héros est Nichol, un jeune homme armé d'Alligator une énorme arme qui ne tranche pas les ennemis, elle les dechire. On le suit dans ses missions, en le regardant tuer des gens parce qu'ils sont méchants, il tombera sur Abraham, membre de Gabriella dit Green Eyes et le tuera.
Lors d'une de ses missions, il rencontrera Foa un autre Jackal armé de Requiem une épée plus large que celle de Cloud^^. Foa vient de tuer la proie de Nichol et forcément les deux commencent à se battre. Ils seront interrompus par 2 membres de Gabriella, Gazzo un grand noir baraqué et Hans un blon efféminé. venus venger Abraham Green Eyes. Ils s'allieront bien évidemment et Nichol sera sur le point de tuer Hans lorsque Gazzo qui se battait contre Foa et qui a perdu un bras pendant son combat interviendra et demandera à Hans de prévenir Isaac le Ténebreux qu'il s'est sacrifié pour venger un ami. Il demandera à Hans de mettre une fleur explosive dans sa veste ce que Hans fera. Gazzo enserrera Nichol et lui dit qu'il sera lui aussi du voyage. C'est ici que le tome 1 se termine.

J'ai bien aimé ce tome même si le scénario n'est pas très développé, on se croirait dans un Mortal Kombat.
J'espère que le Tome 2 sera meilleur