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MessagePosté: Sam 14 Fév 2009 21:00 
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IKIGAMI, préavis de mort Tome 1:


L'histoire:

Dans ce pays, tous les enfants sont vaccinés à leur entrée à l'école. Mais un vaccin sur mille contient une micro-capsule qui explosera entre l'âge de 18 et 24 ans, causant la mort de la jeune personne.

Un fonctionnaire a reçu pour mission de délivrer dans sa circonscription l'Ikigami, le préavis de décès annonçant qu'il ne reste plus que 24 heures avant explosion de la capsule. En suivant de près ou de loin le sort des hommes et des femmes à qui il vient annoncer la mort, il en vient à se poser des questions interdites sur la légitimité de cette "Loi pour la Prospérité Nationale"

Dans ce premier tome, on découvre les rouages de l'administration entourant l'Ikigami, ainsi que la théorie politique derrière la Loi de Prospérité Nationale.
Les deux victimes de la Loi sont un jeune homme qui tente doucement de se relever après des années de brimades à l'école, et un chanteur de pop qui a abandonné ce qui comptait le pour lui dans l'espoir d'atteindre la gloire plus vite.

Mon avis:

J'ai trouvé ceci bien sympathique l'histoire de fond est interessante et est trés prometteuse,beaucoup de potentiel a exploré ca peut devenir quelquechose a voir l'a tournure que prendra ce manga mais au vu de ce pemeier tome c'est un premier tome faut mettre l'histoire en place ,j'adopte.

NABARI Tome 1 et 2:

Des ninjas, ca change de naruto ^^

Ces deux ^premiers tomes ne m'ont pas deplu mais ne m'ont guere entousiasmé non plus.
Des personnages interessants, des techniques interessantes enfin une surtout la technique du kira,un manga plus mur que le shonen classique ,c'est le debut ca se laisse lire.

JOJO golden wind Tome 10 :

arf apparrition du boss enfin surtout son stand lié au temps comme les gros stand de jojo du bon trés bon et je sais que ca continue dans le bon donc vivement le tome 11.

HS: j'ai été surpris de decouvrir une boutique vendant encore des mangas j'ai lu (quasi tout les jojo,captain tsubasa, et encore d'autres titre telle que rookies)je suis trés étonné de voir des j'ai lu enfin en tout cas dans le NOrd ^^:p


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MessagePosté: Dim 15 Fév 2009 18:23 
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Claymore tome 3 à 7 :
Bon, On a droit tout d'abord à un flash-back de la part de Claire. On se retrouve à l'époque où elle n'était qu'une gamine. Sa famille a été massacré et elle même est sauvé par une Claymore (tiens tiens ça vous rappelle rien) du nom de Thérèse la souriante qui se révèlera plus tard n'être que la plus forte Claymore de son temps. Donc on a la rencontre, la formation des liens entres elles et un bout de leur vie ensemble. Ensuite pour sauver Claire de brigands, Thérèse extermine cette bande de vauriens et enfreint ainsi la plus grande loi des Claymores : elles ne doivent pas tué d'humains. Elle est donc encerclé quelques jours plus tard par des compatriotes à elle qui sont ici pour l'exécuter. Mais Thérèse les blesse pour ne pas mourir et déclare qu'elle a décidé qu'elle vivrait aux côtés de Claire. Deuxième tableau, on a les numéros 2, 3, 4 et 5 qui sont réunis dans une ville d'où ils partiront (après avoir exterminé les démons) pour aller tuer Thérèse. A noter que la numéro 2 est toute nouvelle et qu'elle ne connait pas son corps ni ses limites. Arrive l'heure du combat, Thérèse défonce littéralement les numéros 3, 4 et 5 sans libéré son énergie démoniaque. Et après avoir blessé la numéro 2 du nom de Priscillia, elle s'en va. Priscillia ne supporte pas sa défaite et après avoir libéré 70% de son énergie démoniaque, elle cour vers Thérèse et celles-ci se battent de nouveau. Thérèse la terrasse et Priscillia qui a alors franchi les 80% fatidique lui demande de lui couper la tête pour ne pas qu'elle devienne une démone. Thérèse s'approche alors, Priscillia lui tranche les mains, puis la tête et devient ainsi ce qu'on appelle une exalté (une Claymore devenu Démone). Priscillia tue ensuite Irène (la numéro 3) ainsi que les deux autres dont le nom m'échappe. On revient au temps présent, Claire est convoqué pour participer à la chasse à un éxalté mâle (du temps où les Claymores étaient aussi des hommes). On apprend ici que Claire n'est autre que la Claymore la plus mauvaise de son temps. Sont également présente Hélène, numéro 22, Dénève , numéro 15 et Miria, numéro 6. Bon elles se font joyeusement laminés par l'exalté. Claire se relève et coupe 4 bras au démon. Elle y est arrivé grâce au fait qu'elle arrive à lire les mouvements de ses adversaires grâce à l'énergie démoniaque qu'ils libèrent. Par contre elle manque d'entraînement, ce qui explique sa faiblesse. Miria et Claire achève ensemble le démon. Ensuite on apprend que les quatre Claymores présentent ont déjà été au bord de l'exaltation et qu'elles ont une sorte de vaccin contre l'exaltation. En tout cas elles se quittent en se jurant qu'elles resteront en vie patati et patata. Claire est convié à une nouvelle chasse à l'exaltée mais cette fois avec Ophélia, la numéro 4! Celle-ci renifle chez Claire une odeur d'exalté, elle se décide donc de la tuer mais en jouant un peu avec elle. La véritable exalté arrive et c'est Ophélia qui se la farcie et par ensuite à la recherche de Claire, qui a perdu un brad et qui s'est séparé de Raki après un langoureux baiser. Claire est sauvé de justesse par Iréne qui en fait n'étais pas morte et qui va enseigné à Claire la technique du sabre faucon. Après quelques entrainement et un bras d'Irène récupéré, Claire repart et rencontre de nouveau Ophélia mais en mode exalté cette fois-ci.
Claymore s'avère être un manga très agréable à lire, bien ficelé, tourné...
Cependant, j'ai quelques points noir à apporter : Les dessins sont d'un fade que je n'avais jamais vu auparavant, les moments cruciales qui pourraient être sublime sont bâclés (comme le moment où Claire a failli s'éxalter),
Mais le tome 6 apporte un virage dans l'intrigue et le dessin même, on passe à autre chose que le scénario de base « chasse au démon et aux éxaltes ». Et le combat avec Ophélia est aussi très bien tourné. A la fin de ce tome, on ne voit pas bien où l'auteur veut nous amener, mais on sait pertinemment que si il continue dans cette voix, ça ne pourra que être génial. On est dans l'attente d'on ne sait quoi et je dois dire que ça donne envie d'aller acheter la suite de la série... Si seulement il me restait des sous...

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MessagePosté: Sam 21 Fév 2009 20:07 
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Bon j'ai décider de me mettre a la lecture d'un manga populaire et suite a une initiative de mettre les deux premier tome ensemble et tombant dessus par hasard je me suis mis a eyeshield 21 un manga a succes dont je ne connaisait presque rien.

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Je dois avouer avant de demarrer la lecture que je n'atait pas super attiré par ce manga,vu que les manga sur le sport en général ca m'attire pas plus que çà.
Aprés la lecture de ces deux premiers tomes je dois dire que j'ai bien accroché et le domaine du football américain ma foi et un sport passionant on aurait presque envie de s'y mettre.
Le fond est bien et les personnages aussi sont ma foi interessant ils ont bien doser pas trop lourd(j'avais un peu peur au sujet d'hiruma au vu de vos dire sur le forum vantant ses qualités j'avais peur d'etre dessus et qu'ikl soit un personnage redodantet me suis dit au bout d'un moment il va me lasser mais non c'est un excellent personnage (enfin je suis encore qu'au début).
Une esuipe de bras cassé avec des joueurs triés sur le volets (un peu au pif quoi xD^^)
Je me procure donc la suite car étant en plein match et étant complétement pris dedans:

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Le tome 3 et 4,fin du match et début du recrutement on va avoir une equipe qui commence a etre digne de ce nom avec des personnages recurrents avec chacun sa specialité.

Mon avis sur ces 4 premeirs tomes et donc que je vais continuer cette serie sur un fond de football americain trés intéssant pas banal et des personnages riche en couleur et trés bien exploités pour le moment ,un Sena pas trop niais,un bon equilibre, un hiruma excellent qui me fait bien marrer etc..


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MessagePosté: Dim 22 Fév 2009 13:04 
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D. Gray Man tome 1 :

Le premier mot que j’ai dit après avoir finit de lire : « sympa ». Mais juste sympa… Je dois avouer que c’était bien divertissant à lire, mais ça s’arrête là. Genre c’est le style de manga que j’achète quand je ne sais pas quoi prendre (Naruto, Eyeshield 21 et compagnie)… Enfin non pas comme Naruto. C’est tout de même mieux l’histoire à l’air plus, disons original. Les dessins sont aussi mieux. Seul défaut : les dialogues. Il y a des fois où ça m’a barbé, de chez barbé. Enfin en tout cas je continuerais volontiers de lire cette série « divertissante » et « sympa ».

Akira tome 4 :

Je dois dire qu’après la fin du tome 3 (Tetsuo qui va libérer Akira), je suis resté sur ma fin. Je voulais voir Akira, celui dont tout le monde parle, et qui serait un danger énorme pour l’humanité. Chose faite avec ce super tome. Je suis quand même déçu par quelque chose dans ce tome : la libération d’Akira. Plutôt bof le coup du « les soldats tirent dans sa prison est ça se fissure ». J’aurais préféré voir Tetsuo tout défoncer… Enfin bon on s’en fout, parce que après on voit Akira ! Et quelle surprise, Akira est un gamin. Je vais peut être me tromper mais je sens que ce n’est pas sa véritable apparence. Quand le médecin dit « il n’est pas encore tout à faire réveillé », j’ai tout de suite pensé à ça. Je me fais sans doute des idées, mais ce serait très plaisant que ça se passe comme ça :D
Ensuite s’en suit l’évasion de Tetsuo est son nouveau compagnon. Evasion plutôt rapide, ils n’ont pas combattus, est sont sortit avec classe. Après j’ai bien aimé, jusqu’à ce que… Tetsuo se prenne un missile de la gueule ! Maintenant je n’ai plus que cette question en tête : est il mort ? J’espère pas… Enfin je le découvrirais en lisant la suite pour le mois prochain (o{u plus tôt je sais pas si je vais pouvoir patienter ; je ne raconte même pas la fin du tome, je suis trop deg’ :P)

Card Captor Sakura tome 2 :

Quel excellent tome. Ah la la j’avais déjà vu certaines scènes dans l’animé quelques jour avant, mais c’est toujours aussi bon. Je trouve ça quand même un poil mieux dans l’animé, mais bon ça doit être le côté nostalgique. Enfin ça reste un manga comme je les aimes ^___^. Sakura est toujours aussi belle que dans le dernier tome donc un comme je l’ai dit un excellent tome. Malgré le fait que j’adore, je vais peut être stopper cette série un petit moment je la reprendrais quand j’aurais fini l’animé (une chose à la fois ça vaut mieux, des fois je m’embrouille un peu).

Berserk tome 1 :

Gore. C’est le mot pour qualifier Berserk. Et pour qualifier mon avis on pourrait dire jouissif à mon avis… Vraiment bon les combats. Pour une fois trop de baston ne tue pas la baston. Non car dans Berserk c’est tellement… gore et magnifique. Des beaux dessins, ça gicle de partout, moi j’aime bien. Si ce n’est les combats, l’histoire est pas mal. Elle n’est pas du tout développée mais ça s’annonce pas mal, surtout si ça continue comme ça.
Bilan Berserk c’est bien, et j’ai hâte de découvrir la suite pour encore plus de combats, pour voir l’histoire se développer, et connaître plus de choses sur Guts.

Jojo’s bizarre adventure the golden wind tome 4

La suite des aventures de Giorno (maintenant que j’ai trouvé où les avoir on va pas s’en priver). Rappelle de la fin du tome 3 : regard par la fenêtre affreux suspens. Ca prévoyait une bonne suite. Et effectivement ce qui a suivi c’était du bon. C’était un très grand combat (mon préféré depuis le début). Sex Pistols *____*. J’aime ce stand, j’aime son utilisateur. Mon personnage préféré. Son adversaire lui aussi je l’ai bien aimé. Il a rien lâché, et son stand était aussi pas mal (la classe quand les pierres ça lui fait un escalier ^^). C’était beau, très beau, et en plus le temps que ça a duré. Je dis plus rien là-dessus. Ensuite ils ont trouvés l’argent. Puis surprise : (non pas le fait que le chef Buccimachin soit lieutenant ; désolé si je vous ai choqué fan mais j’y arrive pas moi son nom) première mission, la fille du boss à protéger. Giorno va peut être pouvoir avancer grâce à cette mission… Ca donne envie de lire la suite ^^
Pour la suite du tome, on a le droit à un début de combat. On découvre un nouveau stand : Aerosmith. Bien sympathique ce stand d’ailleurs. Oups pardon on découvre deux nouveaux stand. En fait l’autre ne m’a tellement pas marqué que je l’ai quasi oublié. Faire rétrécir les choses, je pense qu’il y a mieux comme pouvoir. Enfin ça promet un beau combat quand même. Donc en gros vivement le prochaine tome.

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"Le réel me donne de l'asthme." - Cioran.


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MessagePosté: Mar 24 Fév 2009 19:41 
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Le changement tant attendu est enfin arrivé ! En effet, bien que le talent d'Hirohiko Araki nous éblouisse toujours autant même après une cinquantaine de volumes, une redondance s'installait tranquillement mais sûrement. Un autre tome de combats sans réelle avancée scénaristique aurait été de trop. Heureusement, ce n'est pas le cas ici et bien des choses changent.
Tout d'abord le contact avec le Boss et Buccellati, qui se passe mal bien sûr puisque Trish est enlevée par son propre père ! On découvre alors un stand du Boss (mais pas encore celui-ci) dont le pouvoir recèle bien des secrets mais qui est tout de même, aux premiers abords, difficile à comprendre. King Crimson, de son nom. Bien sûr, comme souvent, celui-ci a à voir avec le temps (les stands de Jotaro et Dio de la saison 3 avaient un pouvoir en relation avec le temps).
Une fois l'approche terminée, de nouvelles bases s'installent et de nouveaux mystères apparaissent, bien que tuer le Boss de la Passione est toujours la priorité de notre gang préféré.
On peut alors dire qu'une deuxième partie est débutée dans ce tome, dans cette Venise magnifiquement représentée, mais on se demande tout de même comment elle va être amenée. Avec Hirohiko Araki, rien n'est impossible et tous les moyens sont bons pour s'achapper de la ville.
Quoiqu'il en soit, les combats, le suspense, et bien sûr l'humour sont toujours au rendez-vous. Malgré quelques petites coquilles qui subsistent dans l'édition de Tonkam, le récit est toujours agréable à suivre. On en redemande, bien évidemment !

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Comme on peut s'en douter, L'Académie des Ninjas est une série qui se situe essentiellement dans une école de ninjas. Dans cette école se trouve Nikumaru, un étudiant petit, morfale, et donc très enveloppé, ansi qu'obsédé. Dans les lignes, il n'y a vraiment rien de glorieux, sauf que Nikumaru descend d'une génération de ninjas célèbres et qu'étonnamment, celui-ci excelle aussi dans ce domaine !
Il est ami avec Mako, une amie d'enfance, si sexy qu'on est curieux de savoir comment une telle paire peut s'entendre.
Bien sûr, avec de tels spécimens, rien ne va plus dans leur Académie ! Entre un professeur obsédé lui aussi mais néanmoins contre l'arrivée de Nikumaru dans l'école, un proviseur obsédé (eh bien !), père de Mako, dont les techniques pour donner la paye à ses salariés sont plus que douteuses, et un élève dont les ambitions sont proportionnelles à ses ratés, il y a de quoi faire des histoires et quiproquos !

Ne vous y trompez pas, L'Académie des Ninjas est majoritairement axé sur l'humour, n'y cherchez donc pas un Naruto bis. On se demande même après coup s'il n'y a pas autant de fan-service que de combats (surtout avec les techniques loufoques de Nikumaru).
L'humour est la direction prioritaire choisie dans cette série, il faut donc qu'il fasse mouche. En réalité, même si quelques moments peuvent volontiers faire sourire, la sauce ne prend pas. Mauvais point puisque la force du manga est censée puiser dans ce domaine. De plus, le dessin old-school qui n'est pas toujours très bien maîtrisé peut rebuter plus d'un. Qu'en ressort-il pour le moment ? En attendant les prochains volumes, on peut d'ores et déjà affirmer que cette série est mineure et n'a pas beaucoup d'intérêt, si ce n'est divertir. Mais le divertissement n'est pas encore de très bonne qualité.

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Maiwai ~ Minetarô Mochizuki
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MessagePosté: Dim 1 Mar 2009 19:30 
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Last Quarter
Ai Yazawa
Mizuki rencontre un guitariste nommé Adam, et decide de fuire de chez elle pour vivre à ses côtés.


Gokinjo
Ai Yazawa
Mikako a pour rêve d'ouvrir sa propre boutique de vêtement.

Paradise Kiss les 4 premier volume (T__T)
Ai Yazawa
Caroline arrête ses étude pour devenir mannequin.


Les résumé sont de gros racourcis ^^ mais c'est totalement voulut. Vous devez bien vous doutez que la créatrice de Nana n'a pas fait que raconter ses histoires sans les pimenter par des rencontres, des sentiments, et des interactions intéressante entre les personnages.

Last Quarter n'est pas mon favoris, un brin trop mystique à mon gout.

Gokinjo:
Une vie de quartier, c'est exactement ça! Des gens plus ou moins proches, des amitiés et des amours qui se construisent au fil du temps. J'ai énormément aimé la façon de l'auteur fait intervenir ses personnages, et la manière dont elle les laisse tisser des liens entre eux. C'est un peu une de ses particularités, on a pas vraiment l'impression que ce soit elle qui les manipule, mais plutôt l'inverse. Cette impression est sûrement accentuer par le fait que les personnage se savent être des personnages.

Paradise Kiss:
Wouhou quatre tome et j'ai toujours pas pleurer ^____^. Le suite quand j'aurais finit la série ^^

Vivement Nana \o/
Je hais Ai Yazawa pour m'avoir transformé en fontaine ambulante, si ça continue je vais devoir faire un partenariat avec une marque de mouchoire bien connu.


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MessagePosté: Ven 6 Mar 2009 17:49 
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Localisation: Kiwamete Chikaku, Kagiri Naku Tooi Sekai Ni
Ce mois-ci, en plus d'Eyeshield 21, j'ai pu (enfin) commencer D.Gray- Man, incité par les commentaires de certains membres (et pas que de ce forum).

D.Gray-Man

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(vive les packs découverte \o/)

Dans le premier tome, on suit le voyage de Allen Walker, héros (vraisemblablement) de la série, et on fait connaissance des exorcistes, des akumas, de la confrérie et de l'innocence. L'ambiance du 19e siècle se transmet plutôt bien. Mais c'est surtout la trame de l'histoire qui se révèle intéressante.

Un but : vaincre le Comte Millénaire (qui dégage une certaine aura d'ailleurs). Les personnages, quoique classiques, sont bien charismatiques (notamment le génial Komui).

Dans le 2e tome, on assiste à une chasse à l'innocence. Je dois avouer que l'histoire de la marionette est bien touchante, comme j'en avais plus rencontré depuis quelques temps (dans d'autres mangas que One Piece je veux dire).

Après la lecture de ces deux tomes, j'ai eu l'impression de ne pas avoir fait un achat infructueux. D.Gray-Man paraît être une valeur sûre.

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MessagePosté: Sam 21 Mar 2009 00:37 
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Cyborg 009 - volume 1

Dans le but de créer une nouvelle forme de guerre, l'organisation mafieuse Black Ghost enlève 9 humains afin de les transformer en cyborgs. Chacun vient d’un pays différent et se retrouve doté d’un pouvoir particulier. Mais ces cyborgs vont décider de se rebeller contre leurs créateurs.

Voici donc l'oeuvre culte de Shōtarō Ishinomori enfin édité en France. Créé en 1963, ce shonen est à l'origine du concept de groupe de héros à la Japonaise. L'édition luxueuse de Glénat est très réussie et assez épaisse (320 pages) - le petit plus c'est le "marque page"^^

Si aujourd'hui ce manga est nécessairement légèrement désuet et a perdu l'impact de son originalité initiale, il reste un récit à la narration et à la dynamique remarquable. Le rythme est effréné et ne laisse aucun répit aux lecteurs et aux héros. Les dangers les plus fantastiques et extraordinaires nous attendent au fil des pages, et on se demande ce que Shōtarō Ishinomori va pouvoir inventer par la suite pour maintenir la barre si haute.
Les personnages sont évidemment parfaitement caractérisés et accrochent rapidement, ne nous laissant qu'une envie, découvrir davantage leur histoire et personnalité.

Bref un classique indémodable.

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MessagePosté: Sam 21 Mar 2009 13:42 
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Tales of Symphonia

zOMG c'est pas un manga ça c'est un jeu ! O_o

Un ami m'a prêté le tome 1 du manga qu'il avait acheté à un festival, me jetant ainsi dans le groupe des incultes qui ignoraient qu'un manga sur mon RPG préféré existait.

La minute honte passée, j'ai pu parcourir le tome et noter la quasi-similitude avec le jeu en ce qui concerne le scénario, ce qui peut faire sourire ceux ayant joué à l'opus. Une touche d'humour est également apporté dans le contexte de l'histoire. Si le scénario peut se révéler prévisible pour ceux ayant parcouru entièrement le jeu, il reste néanmoins agréable, car pour cette fois, nous ne sommes plus "acteurs" mais "spectateurs", telle une petite pause après un bon boss. ^_^

Bref, il s'agit d'un manga bien distrayant conseillé à tous ceux qui ont apprécié le jeu.

(Je rappelle néanmoins que l'auteur de ce post est 100% subjectif)

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MessagePosté: Sam 21 Mar 2009 18:38 
The old man
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Le Champ de l'arc-en-ciel

A la base une légende que se raconte les écoliers d'une petite ville où il est question de monstre et de tunnel.

Le récit est complexe car il nous balade à travers de nombreux personnages, du présent au passé et de la réalité au rêve. Tout se mélange mais amène petit à petit à l'origine de cette légende qui a marqué à vie plusieurs personnes.

C'est une histoire mystérieuse, sombre et violente, mais également onirique et mélancolique - Solitude, Amour et Vengeance en sont les thèmes principaux.

Il faut reconnaître la très grande maîtrise narrative de Nijigahara Holograph qui nous balade en nous perdant sans pour autant qu'on perde le fil du récit qui se poursuit avec une précision quasi diabolique.

Bref une excellente histoire et grand merci à Aoi Nan de me l'avoir prêté.

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MessagePosté: Sam 21 Mar 2009 21:00 
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Inscription: 06 Avr 2006
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Le 30 novembre dernier, en allant me coucher, je me disais que ce serait prêt pour fin décembre. Pas avant, parce qu'il fallait un petit délai, dû à la livraison. Ainsi, les vacances d'hiver m'auraient servi pour mener à bien ce projet.
Pendant la semaine entre Nöel et Nouvel An, je me suis dis que, la commande n'étant pas encore arrivée, il était désormais clair que mon projet se finirait courant janvier. Je me disais que j'aurai l'air un peu couillon lorsque je posterai enfin ce à quoi je m'acharne d'arriver depuis si longtemps, mais après tout, j'm'en tape un p'tit peu l'cocotier (précision : aucune animosité particulière envers ceux-ci, que leur nom soit béni et leur âme sanctifié).
Puis finalement, les vacances de février se sont déroulées, calmes, sans pour autant que je ne m'y mette. Si bien que, oui, je peux encore une fois dire que la flemme est la principale source de cet énorme retard dans mon planning. Mais bon, comme personne ne m'attendait, et que sûrement très peu de personnes ont remarqué le détail qui annonçait ce que j'allais faire... Peu importe, nous y voici (ou plutôt : j'y suis) arrivés.

[C-0]

Cela fait maintenant plusieurs looooongs mois que j'arbore un minuscule [C-1] dans ma signature, qui m'a titillé et énervé pendant tout ce temps. Aujourd'hui, je suis heureux de le dire malgré tout : voici ma 100ème critique sur ce topic.
Okay okay okay, vous penserez que c'est exagéré pour un si petit évènement. J'en conviens. Mais cet endroit reste mon topic favori, car j'y ai découvert bon nombre de séries que j'ai su apprécier (ou détester) à leur juste valeur.
Je suis content de ce que j'ai pour le moment accompli dans ce topic (j'en parle comme d'une quête, c'est assez amusant ^^). J'ai été critiqué, à juste raison généralement, et ça m'a permis de revoir mes jugements et modifier mes perceptions. Je pense que si j'ai réussi à améliorer ma syntaxe et mon expression depuis mon arrivée, c'est en grande partie grâce aux Dernières lectures Manga (Pas de Spoil et pas de One Piece)..

Après ce petit retour inutile, limite façon déclaration d'amour pour ce topic, je pense que je vais passer à cette fameuse centième. Elle n'intéressera pas grand monde, pas grave, n'est pas élitiste qui veut. J'ai mis un bout de temps à la mettre en place, simplement parce qu'il en a fallu pour réunir certains ouvrages que je souhaitais y mettre. Et puis, ayant vu les sorties des mois de février et mars, je me suis dis que j'attendrais jusque là pour pouvoir profiter de certains titres. Bref, tout ce qui suit a été lu par Ma Personne (et hop, une touche de narcissisme) dans les deux semaines (et demie, mais ne tergiversons pas sur les mots) dernières.
And now, let's go !


Boy’s Next Door

Je ne sais pas par où commencer… Tellement j’ai été secoué par cette lecture qui paraît pourtant si anodine parmi toutes celles qui vont suivre. Pour débuter, je vais peut-être vous donner quelques détails. Ce one-shoot regroupe trois histoires courtes de Shojo du même auteur, Kaori Yuki.
La nouvelle principale donne son titre au recueil. Et quelle nouvelle ! J’n’ai jamais été autant secoué en si peu de pages. En une centaine de pages nous est contée la relation liant Adrian, instituteur, assassin durant la nuit, qui subit un chantage de la part de Lawrence, gigolo voulant obtenir avec l’aide d’Adrian, sa liberté, et sortir de la maison close où il est employé (j’suis assez clair là ? ^^). Sauf que ce chantage ne va pas prendre, le facteur sentimental entrant en compte.
Je n’sais pas ce qui rend ce manga si attrayant… Moults détails m’ont plu. Les personnages notamment, sont excellents. Kaori Yuki a réussi à rendre Adrian pathétique à souhait, en rentrant dans son esprit : quelques minis flash-back sont disséminés dans le récit, et permettent de peindre un portrait d’un tueur torturé. Comme je les aime ^^. De cette façon, l’instituteur passe plus pour la victime que pour le criminel, et ça, c’est fort. Quant à Lawrence, je dirais qu’il ressemble aux classiques du genre, avec un look façon Train Heartnet que j’apprécie particulièrement.
D’un autre côté, je me dois de vous parler des sentiments dégagés. L’amour, ça se ressent plus que ça ne s’explique, et c’est exactement le cas ici. Mais au contraire de pas mal d’autres mangas du même type, ici, pas de scène d’intenses baisers et de "Je t’aimerai TOUJOUUUUUUUURS !!!". Au contraire, cet amour est suggéré et des ellipses ponctuelles permettent d’alléger le récit et de nous éviter cet écueil. Admirable, dirais-je ^^.
Enfin, gros point fort ici aussi, la narration. Les premières pages se passent après la fin. Vous savez, on voit l’aboutissement du scénario, et seulement ensuite on revient au début pour comprendre comment le tout en est arrivé là. L’attention du lecteur est ainsi d’emblée captivée. De plus, des passages oniriques, mettant en scène des fêtes foraines et des clowns, permettent de garder une aura de mystère tout du long, jusqu’à la fin. Fin qui d’ailleurs me paraît sublime, où je suis tombé dans le panneau du rebondissement final. J’ai été un peu naïf de croire au twist final, mais après tout, la longueur du récit et la complexité de prime abord des planches (les cases se superposent facilement dans les œuvres de cet auteur ^^) permet de prendre son temps à la lecture, et d’ainsi profiter pleinement des sentiments qui se dégagent, qui ont eu largement le temps de prendre toute leur ampleur. Rapidement, je passe sur autres récits qui composent ce volume. Ils n’ont quasiment aucun intérêt. Je retrouve ici des histoires presque à l’eau de rose, teintées de polar ou de fantastique, mais qui n’atteignent pas leur but. Trop floues pour la plupart, notamment à cause du graphisme très lourd du mangaka qui propose des cases superposées et des indications un peu partout sur celles-ci, rendant la lecture difficile. Et puis, simplement, on n’y croit pas une seconde, tant les réactions des personnages sont ridicules. Franchement, le gamin de seize piges qui croit qu’il est vampire parce que sa mère le lui a dit la veille au soir en lui faisant voir un tableau… Pathétiquement mauvais. Dommage que ces deux histoires font descendre le niveau du volume, car le reste était bon.
En bref, je n’aurais jamais cru autant être bouleversé par un Shojo de cette petitesse. Même si la deuxième partie du tome est inutile, et ce parce que je ne la relirais jamais, j’avoue que je reviendrais avec plaisir sur la première. Ca me donne presque envie de réessayer les autres mangas de Kaori Yuki, notamment Angel Sanctuary que j’avais boudé car trop complexes et brouillons. Une chose à dire : splendide !


Eyeshield 21 tome 23

A la limite, les deux tomes précédents étaient classiques pour la série, autant celui-là est à relever.
C’qui m’a marqué par rapport aux autres volumes, c’est que dans celui-ci, on a vraiment… Le pire d’Eyeshield 21. Encore d’habitude, on a le droit à de graaaaands moments de classe ou d’actions impossibles, à raison de deux ou trois par match, autant ici, on a le concentré de tout ce que la série a fait de pire : fin à la dernière seconde, Sena qui arrive toujours à courir, Hiruma qui arrive à courir assez vite alors que le chrono que connaît Agon date du début de la série, oubli total de Monta qui, certes, avait déjà brillé au début du match mais qui ne pouvait être oublié comme ça… J’en passe et des meilleurs.
D’un autre côté, j’adore. Parce qu’Eyeshield n’a jamais été autant qu’à ce moment du divertissement, et que cela me divertit facilement, rapidement. Impeccable en somme, étant donné que je n’ai pas trop le temps en ce moment pour me consacrer aux lectures. Donc, besoin de mangas rapides à lire et distrayants de suite. Quoi de mieux dans ces cas-là ? :P
En somme, c’est un tome représentatif de la série : de grosses ficelles auxquelles on ne croit pas une seconde, mais que j’adore toujours autant. Bwef, c’est Eyeshield 21.


Solanin tomes 1 et 2

Un groupe de personnes "recommandables" dirait que cette série est KRO MEUGNOOOO[…]ONE. J’avoue, l’expression sied bien à Solanin. La série est une bouffée d’air frais, malgré une apparente simplicité. Par contre, comme le tout appelle énormément aux ressentis du lecteur, il est peu facile d’en parler (ce n’est pas pour autant que je ne vais pas réussir à faire 30 lignes ^^).
Meiko et Taneda sont montés à Tokyo depuis deux ans (non pas qu’ils habitaient à un endroit dont l’altitude était inférieure à celle de Tokyo, ou qu’ils habitent dans un appartement au quatrième étage alors qu’ils vivaient auparavant dans une maison, non non, d’ailleurs, ils peuvent même habiter au Nord de Tokyo qu’on dirait quand même qu’ils y sont montés… En fait, ils se sont installés en capitale japonaise, voilà), et forment un couple heureux. Jusqu’au moment où Meiko va quitter son boulot par soif de liberté.
Le scénar’ tiendrait en deux lignes, si je n’étais pas parti dans un délire géographico-expressionniste. Bref. Le fait est que j’ai apprécié ces deux tomes à leur juste valeur.
L’atout principal : les personnages. J’ai retrouvé un peu les portraits que j’aurais pu lire dans Planètes. Autrement dit, des Humains au sens propre du terme, avec leurs sentiments et leurs problèmes, sans pour autant verser dans les larmes, ni être trop lourd. Bon équilibre en somme. Les questions se posent à Crack, Taneda and Cie, les réponses n’arrivent pas aisément. On pourrait s’ennuyer avec ce genre de scènes où ça se morfond à la moindre occasion, mais régulièrement l’humour s’intègre au récit pour former une cohérence sympathique et facile à suivre.
C’que j’ai r’marqué depuis quelques temps, c’est l’attrait des mangakas pour la musique. Je les savais friands depuis longtemps, notamment de musique européenne, et ça se ressent dans bon nombre d’œuvres : Gunnm (quelques références), Beck, 20th Century Boys, Nana (thème largement développé), Jojo’s Bizarre Adventure (faut-il préciser ? ^_^). Eh bien, c’est le cas aussi pour Solanin. La musique est omniprésente. Et même si celle-ci est plus développée sentimentalement que techniquement, c’est toujours un plus pour un lecteur adorant cet univers.
Quant à savoir pourquoi la série ne m’a pas marqué plus que ça, je dirais que je suis toujours réticent aux graphismes en partie numérisés, et aux fonds à petits carrés (pour une fois que l’édition de Kana n’est pas superbe, je note :P). Et généralement, c’est juste que je ne suis pas aussi réceptif à ce genre de manga qu’il ne le faudrait.
En somme, je vous le conseille. Rien d’exceptionnel, un bon moment à passer. Ca valait le (petit) détour.


Jojo’s Bizarre Adventure tomes 55 et 56

Okay, bon, j’n’ai rien à dire parce que c’est excellent.
Mais après tout, quand on adore, autant le dire, non ?
*Ouh Yeah !*
(Nota Bene : J’aurais pu faire la même critique pour le troisième tome de Dorohedoro qui m’est passé dans les mains, mais je préfère éviter cette redondance ^^.)


Vinland Saga tome 1

Makoto Yukimura… Je pourrais ici crier un "Je t’aaaaaime" retentissant, je pourrais aussi dire que je veux l’épouser, certes, mais disons-le sans détour : ça a déjà été fait. Du coup, je vais me contenter de parler de sa nouvelle série.
Ben, j’adore, encore une fois. Vinland Saga n’est pas un coup de cœur, sûrement car le récit ne fait que débuter et ne présente pas de finalité définie pour le moment, néanmoins, l’ensemble est d’excellente facture.
Pour un fana d’Histoire, je m’attendais à en connaître un peu plus sur les Vikings. Ce qui est le cas. L’auteur ne s’accentue pas énormément sur la vie de ces marins à temps partiel, mais le scénario permet de donner des bribes d’info au passage. Façon ludique de découvrir un univers bien souvent méconnu (non non, les Vikings ne sont pas tous des perdants qui coulent dès qu’ils rencontrent des gaulois à moustache).
Quant aux personnages et au dit-scénario en eux-mêmes, le tout est trop peu avancé pour d’hors-et-déjà tirer une conclusion. De bons points apparaissent déjà, comme les personnages hauts en couleur et, bien que ne révolutionnant pas le genre, sympathiques et attachants en un tome à peine.
Gros point fort pour finir : la réalisation. De magnifiques graphismes comme on en avait déjà eu le droit dans Planètes, dans une édition de fort bonne qualité (les pages couleurs… WTF qu’elles sont belles ! *__*).
En somme, j’attends la suite. Ca va être long. Très long. <__<’’


Kaos tomes 1 et 2

Comme d’habitude, Tezuka = bonne pioche (en sachant que l'équation Tezuka ≠ Bonne pioche est non-résolvable dans l'ensemble des réels).
Ce que je retiendrais en particulier du récit de ce jeune garçon, c’est une fois de pluch’ la force de la morale que le mangaka met en scène, sans pour autant délaisser le côté plaisir de l’œuvre. Ici, on voyage un peu partout dans l’univers, on rencontre bon nombre d’espèces diverses et variées, le tout avec un certain humour et un soupçon de tragique dans la relation Kaos-Daigo. D’ailleurs, cette relation impossible et si complexe peut être fortement rapprochée de celle entre les deux amis de L’Histoire des Trois Adolf. Pas la même intensité, loin de là, d’autant qu’elle est moins développée dans ces deux tomes pour laisser plus place à la réflexion sur les apparences et les jugements, mais c’est assez sympathique de pouvoir ainsi faire de tels rapprochements.
Il me fallait un bon Tezuka pour ma centième (pour peu qu’il en existe de mauvais ^__~). Bingo !


Number Five tome 1

Taiyou Matsumoto… Mon Dieu et vénéré Maître incontesté ? Possible.
Dire que cette série est déjà bizarre et tordue, ne serait que pur euphémisme. L’histoire de Number Five, sorte d’agent militaire-mascotte du Royaume dans lequel il vit, paraît pour l’instant très tordue. On sait peu de chose, si ce n’est qu’il a tué quelques hommes et un autre Number (le 9, tu sors !), et qu’il s’est enfui par la suite. Les autorités décident alors de l’abattre.
En un tome, j’avoue avoir été convaincu du flou artistique que peut mettre en scène Matsumoto. Et pour preuve : on sait peu de choses ici, mis à part ce que je vous ai dis. D’un autre côté, une foultitude de personnages sont présentés en très peu de temps, si bien qu’il est parfois compliquée de se rappeler des spécificités, caractères et détails accompagnant le parcours de chacun. L’auteur arrive de plus à bien varier les ambiances, passant de scènes de combat ou d’échanges verbaux intenses à des moments calmes et zen. Et même lors des scènes dites intenses, le trait de Matsumoto et le remplissage des cases font qu’il est difficile de vraiment se sentir happé par le récit : on a plus l’impression d’être dans un rêve, sans comprendre véritablement ce qui est en train de se dérouler. Dans ce sens, la série est une réussite.
J’n’ai pas encore grand chose à dire sur Number Five. Pour l’instant, Matsumoto s’impose comme un auteur toujours aussi barré et fort inventif. L’œuvre dont je parle ici est encore plus dur d’accès qu’Amer Béton ou Ping-Pong, pour autant, il y a du très bon, et je ne doute pas que je vais adorer la suite ^^.


Blue Dragon Ω Ral Grad tome 1

Derrière ce nom à rallonge se cache une œuvre récente de Takeshi Obata que j’avais commencé à suivre en scans avant d’arrêter rapidement. Histoire d’être sûr de ce que j’en pensais, j’ai préféré relire ce premier tome.
Ben non, ma mémoire ne m’avait pas fait défaut : c’est mauvais. Un shonen bourré de stéréotypes qui ne se justifient pas (héros débile, filles à poitrine largement mis en avant, combats), des graphismes certes fins, mais carrément brouillons lors des scènes d’action et vides en arrière-plan, un scénario qui avance trop vite pour que les bases du monde des ombres puissent être assimilées aisément (de ce point, la lecture en scans est préférable)… Et à côté de ça, j’avoue avoir du mal à trouver ne serait-ce qu’un seul atout. Peut-être l’ambiance pseudo-gothique, et encore, c’en est bien éloigné.
Ce fut rapide, heureusement d’ailleurs : Vous êtes le manga faible. Au revoir !


La submersion du Japon tome 1

Je n’sais pas vraiment ce qui m’a attiré vers cette série. Peut-être la couverture rouge clair avec un dessin attrayant, ou bien le titre digne de films de séries B diffusés le dimanche après-midi.
Pour le moment : avis mitigé. L’histoire est bien telle qu’on l’attendait, c’est-à-dire frôlant les séries B. Pour le coup, les mangakas s’occupant de ce manga mettent en scène les peurs communes et connues de tout Japonais se respectant : les catastrophes naturelles. Si bien qu’ici, c’est carrément les immeubles qui s’enfoncent dans le sol par un trou de la taille d’une balle de foot. Flippant. o__O’’
N’empêche que ça fonctionne, la tension monte au fur et à mesure qu’avance l’intrigue, et on pressent l’arrivée imminente d’autres phénomènes du genre. L’intrigue est un peu desservie par son graphisme parfois brouillon car usant de nombreux traits de mouvement et d’onomatopées.
C’qui m’attire déjà : le personnage principal dont je ne me rappelle plus le nom (en même temps, à part la fille et le vieux prof, ils se ressemblent tous ^__~). Il m’a fait logiquement penser à Neku Sakuraba de The World Ends With You, dans sa façon "J’écoute ma zik, me faîtes pas ch*er". On ne le voit pas beaucoup, car la deuxième partie du tome est centré essentiellement sur la mise en place d’un plan mystère et sur des données géologiques. Pour autant, il me semble que c’est à noter. J’apprécie pas mal ce type de persos, pour le côté je-m’en-fous-de-vous, mais surtout pour leur instabilité et imprévisibilité. ‘Fin, pas dans ce tome ^^.
Dur de se faire avis fiable après si peu de pages. Je verrai au deuxième tome, parce que c’est sympathique, mais ça peut devenir très lourd si l’auteur accentue le côté écolo en délaissant l’intrigue. Wait and see


Iron Wok Jan ! R tome 1

Yakitate Ja-pan !! est une reprise des schémas standards du shonen, en les déformant et les tournant en ridicule. Une très bonne initiative que cette parodie. Alors quand un auteur semble dessiner une reprise de Yakitate, on ne peut pas dire que ce soit un compliment.
Dans cette série, on suit les aventures de Jan Akiyama, "prêtre revenu des enfers" (bonjour les formules pompeuses n’ayant aucun rapport avec le sujet), qui décide de devenir le premier cuistot chinois du Japon. Peu gagné car y’a plein d’ennemis, et patati et patata
J’ai trouvé l’ensemble de très moyenne facture. Du déjà-vu, ça ne paye pas. On retrouve les recettes extravagantes, les juges très inventifs (bien qu’ici, beaucoup moins classes, d’autant qu’ils sont une dizaine, de suite, on a plus de mal à s’y accrocher), les épreuves abracadabrantesques… Et encore, dans une moindre mesure, car en seul tome, on a eu le droit à deux épreuves, et qui ne sortaient pas foncièrement de l’ordinaire : faire des nouilles, faire une recette avec des œufs… Passionnant. Mais ne crachons pas dans la soupe trop tôt, son homologue boulanger n’était pas foncièrement plus original dans les premiers tomes. Quoi que.
De plus, j’ai une impression de vide immense en lisant Iron Wok. Peut-être parce que le tournoi commence directement sans qu’on ait le temps de connaître les différents protagonistes, et parce que ceux-ci paraissent bien plats de cuisine (oh oh ! On commence très fort dans les jeux de mot là !). Aucune idée d’où proviennent les différentes recettes notamment : alors qu’Azuma nous fait partager ses découvertes, en sortant quelques répliques impossibles à interpréter, permettant ainsi de créer une certaine tension et quelque petit suspense, ici, tout déboule l’un après l’autre. Pas moyen de juger à l’avance, mais on sait bien que Jan va gagner. D’où une mauvaise impression de surenchère basique sans aucun talent scénaristique. Où est l’intérêt si on n’est même pas pris dans l’action ?
Pour finir, je mettrai en balance le graphisme très brouillon du mangaka, qui enchevêtre parfois plusieurs cases, rendant l’ensemble peu lisible. Si déjà on ne s’intéresse pas à l’intrigue, alors que dire quand on a en plus du mal à lire ? ^^
En somme, très moyenne expérience. A côté de ça, j’ai trouvé depuis longtemps ma référence. D’autant que la cuisine chinoise, j’n’aime pas, et que le pain, j’adore. Chauvinisme-powaa ? Sûrement ^^.


Hunter X Hunter tome 25

Pas mal pas mal… Togashi reprend du poil de la bête, et ça fait bien plaisir d’avoir eu deux tomes de sa série phare en moins d’un an (ou à peu près).
Le tome 24 que j’ai en ma possession est mal imprimé, car la seconde moitié est semblable à la première. J’veux dire, Kana a imprimé deux fois les mêmes planches. Du coup, j’ai été un peu déboussolé au début, mais on s’y fait vite. Parce que le scénario avance beaucoup, et deux cent pages se déroulent en quelques secondes. Et pour cause, on a le chronomètre régulièrement pour nous rappeler à quel point les actions se font rapidement. J’aime bien ce petit dispositif, j’ai l’impression de vraiment rentrer dans le monde de Gon and Cie. Concernant le tome à proprement parler, je dirais que Togashi nous sert de bons chapitres, parfois avec sa fâcheuse habitude d’alterner dessins moches et de qualité. Pour autant, c’est efficace, et on redemande. Trop rien à dire de plus finalement, Hunter X Hunter, c’est Hunter X Hunter.
A dans un an (soyons positifs) !


Aqua Knight tome 1

Ah oui ! Ca, ça fait plaisir ! Glénat avait promis une année consacrée à Kishiro, et j’avoue que ça commence de fort bonne manière.
On tranche totalement avec l’univers de Gunnm dans cette petite série. Un monde aux limites de la féérie, des monstres et orques comme moyens de locomotion, un "Monde de la mer’" duquel on tombe quand on arrive au bout. S’il y a bien un truc qui est discernable : Kishiro sait créer des environnements propices à l’aventure pour développer ses récits. Une évasion de tout instant, c’est le gros point fort d’Aqua Knight.
Concernant l’intrigue en elle-même, j’ai trouvé un peu lent, ce qui n’est pas un avantage quand on sait que le manga ne s’étale que sur trois tomes. Pour autant, et paradoxalement, on a l’impression que le tout se lit assez vite, sûrement dû aux textes peu présents, et les chapitres qui défilent (20 chapitres en un bouquin, wouaw). C’est rapide, mais lent. Une sorte... d’escargot à réacteur nucléaire. Ouais, c’est bien trouvé comme comparaison !
Bon, je vais me faire plaisir dans ce dernier paragraphe, en parlant de l’intermangalité (hop ! Un néologisme, un !) qui existe, ou tout du moins, que j’ai cru percevoir. J’entends par là, que j’ai eu l’impression, en découvrant des lieux, des personnages ou autres, de voir des clins d’œil à d’autres séries. Et pour cause : le visage d’Ashika dans quelques cases me fait fortement penser à celui de Gally telle qu’elle est représentée dans la Fata Morgana ; la thématique du monde plat m’a toujours fasciné (me demandez pas pourquoi, mais j’adore cette idée directement issue du Moyen-Âge ^^), si bien que je me raccroche directement à Narnia, et en moindre mesure, à la planète Shadok ; la Difunde La Alegria et les scaphandres qui rappellent obligatoirement Gunnm ; le squelette qui, à coups de blagues jouant sur le changement de point de vue, me fait penser à un mix hardcore de Brook et du Chevalier Squelette de Berserk ; Lulya qui, de la façon, me fait penser à Dame Farnèse en un peu moins lourde ; le graphisme (évidence, quand tu nous tiens). Tous ces petits trucs que je relève sont sûrement désuets, d’autant que ce peut être le cas dans bien d’autres séries. Peut-être parce que je savais qu’Aqua Knight était une série "secondaire" de Kishiro, et donc que je l’ai lu moins ardemment.
Bref, je sais que bon nombre de ces comparaisons ne tiennent pas la route, mais finalement, c’est bien ce qu’on ressent à la lecture qui est important. Alors, pourquoi pas ? ^^ Une très bonne surprise, et un agréable moment de passé.


Gunnm Last Order tome 11

Kishiro, c’est bon. Parfois, tout peut être résumé en une unique phrase.
Très bon tome, qui se recentre sur les combats du ZOTT. J’avoue que j’aime moins ces parties, car faisant partie des nouveautés porteuses moyennement d’intérêt dans la suite de Gunnm. Pour autant, j’ai passé un bon moment, notamment avec le mini flash-back de Zekka qui permet de couper un peu avec l’enchaînement de testostérone des chapitres précédents (pas d’bol, ça recommence juste après).
Quant au retour de Gally, je suis mitigé. A première vue, je n’ai pas su profiter de l’instant tel qu’il venait. Parce que l’action se déroule sur trois pages : le chaos est créé par le robot de Jupiter en un chapitre, la puce de Gally est envoyée, et deux pages après : Wouhou ! She’s back ! Ca ne m’a pas marqué plus que ça, sûrement car les deux tomes sont sortis à intervalle relativement court, et parce que ce rebondissement aurait mérité une montée de tension plus longue. Bref, deuxième lecture n’est jamais de trop (je me mets à écrire des maximes ? o__O’’).
Bon tome, assez éloigné de ce qu’on a eu auparavant, mais qui reste plaisant à suivre. Mention spé’ à la double page de présentation de l’arme de Xazi : juste E-NO-RME.


Ecole bleue tome 1

J’dois vraiment aimer les séries de petites histoires courtes, parce qu’en voilà encore une, dites donc !
Le problème avec ce type d’œuvres, c’est l’inégalité. Un chapitre va être excellent, les deux suivants à pleurer, le suivant exécrable, avant de retomber sur une petite perle… Dur alors de se faire un avis sur l’ensemble.
Car ici, c’est tout à fait ce schéma qui est reproduit : la première intrigue tient en dix pages et ne permet pas de s’y intégrer pleinement, tandis que la dernière est particulièrement truculente, bien que mettant en place des stéréotypes un peu gnangnan (la fille qui veut se faire remarquer du seul homme qui ne la regarde pas, classique).
En somme, on passe du tout au tout en très peu de pages, et très rapidement. Le dépaysement est bien là, parce que plusieurs époques sont visitées (point original à souligner, il faut avouer que le Moyen-Âge tranche sacrément avec les forêts du Japon contemporain). Un bon instant d’écoulé, sans plus.


Un collège fou, fou, fou Kimengumi tome 1

No way, I hate this one.
Dire que c’est un Reborn² serait pur euphémisme. Parce qu’après tout : le scénario est brouillon, la plupart des garçons se ressemblent, entraînant confusion et non-compréhension de la plupart des planches, le manga ne mise que sur l’humour, lourd qui plus est. J’ajouterai que les cases sont petites. Pas un problème généralement, pour peu que le mangaka sache organiser ses cases. Mais là, celles-ci se superposent régulièrement, des indications sensées être drôles bouffent les seuls espaces libres, les onomatopées assez imposantes n’aidant pas…
Je ne saurais dire si c’est vraiment ce genre de série qui ne me plaît pas, ou si je m’évertue pour une raison obscure à les descendre toutes sans concession. N’empêche qu’une fois de plus, convaincu je ne suis pas (Yoda inside, une pointe d’humour de mal de mal ne fait point).


Enfant soldat tome 1

Plus jeune, ce fait avéré de l’existence d’enfants enrôlés de force dans les armées m’avait choqué. Alors j’n’ai pas hésité à m’y attarder plus longtemps avec ce nouveau manga.
Et oui, on peut s’y attarder. Parce que franchement, on est pris aux tripes par le récit de la vie d’Aki Ra. On peut remarquer d’ailleurs que les œuvres autobiographiques pullulent ces temps-ci. Ca n’est pas un mal.
Le scénario se déroule donc au Cambodge, pendant la guerre qui opposa l’armée de Pol Pot à celle du Viêt Nam, au début des seventies. Le fait que je ne connaisse pas ce pan de l’Histoire Asiatique joue dans ma perception : j’ai beau apprécier cette œuvre pour l’intérêt qu’elle porte littérairement et historiquement, je ne peux pas concrètement et parfaitement rentrer dans l’intrigue. Si intrigue il y a, car une biographie, quand elle est fidèle, n’a pas toujours un but divertissant, heureusement même. Du fait, Enfant soldat étant une œuvre qui a pour principal intérêt la reconstitution de la vie d’un gamin impliqué dans ce conflit, ne parvient à me toucher tel que cela devrait l’être.
Pour autant (spéciale casse-dédi à EnOd, s’il lit ces mots ^^), je ne regrette pas cette lecture. Justification : j’aime l’Histoire. Et pour n’importe quel féru d’Histoire (enfin, moi en particulier, je ne sais pas si tous sont comme ça, je ne voudrais en aucune manière faire croire à une façon d’être collective, ou certains penseraient de suite à une secte), en apprendre ne serait-ce qu’un peu plus sur une situation somme toute méconnue, est toujours porteuse de sens. C’est pourquoi, à l’image de Gen d’Hiroshima, bien que certains passages soient lourds car sombrant dans trop de larmoyance ou de fiction (l’ours qui passe au dessus d’un câble de mine, j’étais juste MORT DE RIRE tellement je n’y croyais pas. N’empêche que si ça s’avérait vrai… ^__~), l’ensemble reste instructif et didactique.
En résumé : une œuvre qui souffre d’une méconnaissance globale de l’épisode historique qui y est lié, mais qui fait preuve d’un grand intérêt. Par intérêt (et non curiosité, car le scénario m’est un peu égal, en finalité), je me procurerai la suite.


Cyborg 009 tome 1

Finissons avec un classique, je vous prie.
Sacrée bonne idée de la part de Glénat, que de rééditer la série culte qu’est Cyborg Zero Zero Nine. Aux côtés d’Astro Boy et autres –divers-que-vous-compléterez-sans-soucis-, ce sont des monuments de la bande dessinée japonaise que nous allons découvrir avec ces nouvelles éditions dites Deluxe. M’enfin, ne crachons pas dans tout le potage, c’est déjà admirable qu’on puisse accéder à certaines de ces séries.
En tout cas, ce premier tome fut fort divertissant à lire. Certes, les aventures des rebelles du Black Ghost sont dépassées et font maintenant vieillottes, mais il disons-le : à l’époque, ça devait avoir de la gueule. Quoi que ça en a encore de nos jours, mais avouons qu'après avoir lu Bleach, on a déjà tout vu dans le domaine des trucs incroyables-qui-n'ont-rien-à-faire-dans-un-scénario. Alors des dinosaures metalliques, franchement, c'est ridiculement minuscule (grande nouvelle : J'AI REUSSI A CASER UNE PIQUE BLEACHISTE DANS UN MANGA DES ANNEES 60 !) ! Mais attention, je ne compare pas les deux oeuvres, elles n'ont strictement rien à voir. C'est sûr qu'à l'époque, on savait faire des scénarios au moins (PIQUE²).
Mais si quelques uns ont encore une grande âme d’enfant, c’est clairement le dépaysement total que ces trois cent pages de dessins en noir et blanc. La surrenchère est présente, les personnages aux pouvoirs désormais classiques semblent un peu plats. Il n’empêche qu’on se laisse porter, et que le plaisir de la lecture et de la découverte prend le dessus sur le reste.
Quant à la réalisation en elle-même : Shotaro Ishinomori a été assistant de Tezuka, et ça se sent. Bonjour les vieux dessins des années soixante, là où le dynamisme se fait dans de petites cases, d’un trait épuré et fin, avec de nombreux gros plans sur les visages des protagonistes… Saisissant, sans que je sache dire véritablement pourquoi.
Bwef, je ne vais pas m’étaler plus que nécessaire, je l’ai déjà bien assez fait. En un mot comme en mille : culte.



Sur ce, je pense avoir rempli mon objectif : faire des pavés pour que personne ne lise ce message. L'essentiel, c'est que j'ai pris plaisir à l'écrire, aussi long que cela fut. En espérant malgré tout que cela plaisent à quelques uns ^^. Une dernière chose à ajouter :
FINI !

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MessagePosté: Sam 28 Mar 2009 18:21 
The old man
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Eh ben joyeux anniversaire Undertaker ^__^
Je vois que tu n'as pas lésiné pour fêter cela en beauté ^_^
Pour ma part j'enchaîne donc très modestement.


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Saint Seiya : The Lost Canvas - volume 1
Nous voici propulsé 200 ans dans le passé pour découvrir la guerre contre Hadès qui fit rage à l'époque de Dôko (Balance) et Shion (Bélier).
"Tout est un éternellement recommencement", voici une maxime qui va à merveille à la guerre éternelle entre les Dieux et que la série semble décider à suivre pour mettre en évidence le côté inéluctable du destin de ces êtres réincarnés et de leurs guerriers.
Bref c'est du Saint Seiya dans toute sa puissance : histoire d'orphelins, amitié contrariée mais éternelle (le trio est particulièrement génial même si évident), Gold Saint toujours aussi classe ("Stardust Revolution") et bien sûr Pégase!
De toute façon l'ultime chapitre d'Hadès de Saint Seiya nous avait révélé cet Eternel Recommencement donc ça ne m'étonne pas du tout.
Dans tous les cas cet apéritif m'a mis en appétit ^_^

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Hokuto No Ken - volume 7
Le Roi entre en scène.
Ken et Cie ont finalement délivré Toki de la prison de Cassandra. Le début du tome nous fait découvrir en détail ce personnage étonnant qui traine dans son sillage une fatalité dont vont être frappé certains personnages.
J'adore la façon dont cette fatalité est amenée : l'étoile de la mort et les traces de cheval. Je ne m'en lasse pas.
Bref ce tome sonne la première confrontation entre Ken et Raoh à l'issue tragique.
La suite!

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MessagePosté: Sam 28 Mar 2009 19:34 
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The Undertaker a écrit:
Number Five tome 1


Oui c’est vraiment une très bonne série et qui semble malheureusement un peu méconnu. Vu la réaction du libraire quand je lui ai demandé le 1er tome je pense que c’est réellement le cas. C’est peut-être dû au prix, parce qu’en général le bouche à oreille fonctionne bien pour ce genre de série de science fiction psychédélique.

Je suis au troisième numéro et la série ne s’essouffle pas pour l’instant, au contraire la fin du troisième volume est pleine de suspense. Je suis d’accord avec toi sur la difficulté de la lecture, il faut être attentif à tous les détails pour ne pas être perdue et surtout faire attention aux clés données par les dessins, il a beaucoup de symboles qui se répètent.

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MessagePosté: Ven 10 Avr 2009 20:05 
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ANGEL HEART Tome 26 :

Toujours du bon du trés bon ,même si au final rien d'innovant dans ce manga on suit les aventures de nos héros avec un grand plaisir,quel tombeur ce falcon.
Bref du hôjo on s'en lasse pas.

Et j'ai cru me souvenir d'une certaine citation(hum hum grillé par LELAMA sur le coup).

BERSERK Tome 30:

Ouep,ben berserk, je dois avouer que ca ne m'enchante plus comme a ses debuts, ca reste trés bon mais j'ai plus l'entrain de mes débuts,cet aspect noir et dur perd un peu de son ampleur, je trouve.
De plus, c'est de la redite mais la nouvelle troupe de guts ne vaut pas l'ancienne,enfin en meme temps le manga evolue c'est une bonne chose plus ou moins .

BLEACH Tome 31 :

Bon je suis l'anime et donc un peu d'avance sur cele boucain euh bouquin,dejà en anime ca m'avait un peu gonflé mais en livre ben en fait aussi (moins car ca va plus vite),j'aime pas trop cet arrancar,il me laisse relativement indifférent,de plus on est impatient de voir le ichigo vs grimmjow ce qui nous dit pour le reste ,allez abreg on veut du sang ^^

CAT'S EYE Edition deluxe Tome 8:

Ah, encore du hôjo,ben j'ai bien aimé vu que j'aime bien.

GUNNM LAST ORDER Tome 11:

Euh, en fait je ne l'ai pas encore lu je crois,il traîne pourtant depuis un moment *pas taper pâs taper*,a vrai dire je ne sais même plu ou il est *en train de creuser sa tombe*, j'ai égaré Gally......non c'est bon je l'ai retrouvé,je le lis sous peu.

EYESHIELD 21 Tome 24:

J'ai eu du mal a le trouver celui là (5 magasins dis diu).
Bon,je suis vraiment fan de ce manga,qui pourtant au debut,ne m'attirer vraiment pas,je suis dans ma periode eyeshield(faut tenir pour pas lire les scans ,)
Un tome ou j'ai vraiment rit avec les pourtes ouvertes chez ôjo,on a quand même une belle brochette,le meilleur ,le quizz avec onihei m'a bien fait delire ce quizz et en plus j'ai penser a EnOd qui est au centre de tout les attentions avec un sakuraba et un otawara en soubrette(décidement le mois d'avril c'est ton mois ^^)
Sinon,pour en revenir au sport,je vois pas comment il vont gagner ce match,les ôjo sont vraiment au top,j'ai hate de poursuivre ce match.


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MessagePosté: Mer 15 Avr 2009 11:31 
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Dorohedoro, Tome 7

Ça enchaine chez Soleil, pas moi qui vais me plaindre... Apres le petit subplot "tourte" riche en n'importe quoi, on repart sur l'intrigue principale et ce tome a l'avantage de toucher a tous les personnages. Caiman et Nikaido se foutent joyeusement sur la gueule... L'intervention conjointe d'As et d'un mystérieux bonhomme permet donc a Nikaido de se sortir de l'emprise d'En... Un peu déçu / perturbé du fait que cela est duré si peu de temps (Nikaido chez En je veux dire), j'imagine qu'il y aura des répercussions plus tard. As est probablement dans la zone, va falloir faire profil bas, d'autant que les deux héros ne peuvent pas retourner sur Hole. En parlant de ceux-la, Caiman règle ses comptes avec son amie, le passage où il lui fait le "rituel" est bien mené... Et a propos de Caiman, cette seconde personnalité est toujours aussi troublante, quelle lien a-t-elle avec le Némésis de En et comment agit-elle exactement ? Cela reste toujours autant confus pour moi...

Cotee Noi et Shin, les passages avec Kasukabe et Cie sont vraiment très sympa, J'aime vraiment toujours autant les interactions avec ces personnages, Noi et Shin sont une valeur sure, mais le Doc et les autres prennent de la consistance et je ne peux que m'en réjouir... Cliff de fin multiple, les Yeux en Croix sont pas tous manchots, ça fait plaisir, mais vu la gueule de Shin, ils risquent de dérouiller sec ! Kasukabe a l'air aux prises avec un zombie de son ancienne femme. Peu clair pour l'instant, j'imagine que ce sera plus développé par la suite...

Risu continue lui aussi ces recherches, on tombe enfin sur des gars un peu costauds chez les Yeux en Croix, la bande que l'on retrouve dans les Raws en ce moment en fait... Ils sont bien sympa, mais je trouve que graphiquement, on retombe un peu toujours dans le même genre et c'est un peu dommageable... Le coté système D de leur organisation fait toujours plaisir a voir et nul doute qu'on va un peu plus avancer quand a la compréhension de ce groupe, qui reste toujours un peu sibyllin.

Bref un tome qui fait bien avancer l'histoire mine de rien, un peu dispatché partout, mais du coup, on progresse bien sans laisser une partie de l'intrigue a la ramasse. Un tome un peu moins comique que d'habitude (quoique le bonus...), mais qui nous fait avancer vers le coté "dark" de l'œuvre et qui se recentre sur les grandes inconnues (Caiman, Nemesis, Yeux en Croix). Encore et toujours au poil comme manga...!!!

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L'Habitant de l'Infini, Tome 23

Chez Manji et ses potes, on se retrouve dans un tome digne des 13 et 14 avec tabasses a tout va.

Petits intermèdes avant cela, On retombe sur Burando, qui a l'air de s'être calmé et le dialogue avec Manji tape assez juste. Meguro et Tampopo sont pas sorti de l'auberge et sont vraiment au milieu du feu... Shira nous prouve encore une fois que c'est une enflure d'un degré juste insoutenable, comme si il était encore utile de nous le rappeler... Samura fait peut-être un peu dans le too much avec ce perso, mais enfin... Les 12 de l'itto-ryu ont toujours Habaki au train, reste a savoir si la confrontation aura lieu, si c'est le cas, les 6 démons devraient assez facilement avoir le dessus, mais vu qu'Abayama fera tout pour eviter l'affrontement...

Le gros du volume, c'est bien sur l'assaut du château. Parfois un peu abusé, ça marche quand même pas mal. Anotsu et ses potes se fatiguent et s'est assez bien mis en scène, on voit qu'ils vont au plus pressé et qu'en face, il n'y a aucunes personnes susceptibles de résister durablement. J'ai bien aimé le fait que ce n'est pas entrer qui va s'avérer compliqué, mais bien l'inverse et a ce niveau la, le coté épuisement est bien montré, ne serait-ce que graphiquement. Bon sinon c'est un assaut qui ne rime a rien, mais qui est digne d'Anotsu, c'est violent et ça fait peur, le discours tenu est propre au perso, de ce point de vue la, ça fonctionne, d'autant que la résistance en face est juste pitoyable. Samura finit enfin par sacrifier un de ses perso, "7 samouraïs style". On devrait avoir un chapitre de déchainement de la part de Baro, d'autant que ca a l'air d'être un sacré monstre quand même...

Tome un peu trop bourrin, mais on va vers la fin, c'est un peu la préparation au feu d'artifice final. Mention spéciale a la couverture, simplement sublime. Les dessins restent toujours de très belle facture, comme d'hab' avec Samura.

Encore des lectures qui font du mal au portemonnaie et du bien aux yeux...

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« Si durant l'intégralité d'une rotation terrestre, l'utilisation d'un fusil d'assaut modèle kalashnikov n'a pas été jugé nécessaire, alors on peut dire que, d'une manière platonicienne, cette journée était ''bonne'' ».


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