Un final classique, donc. Même s'il sonne un peu en faux final. Du suspens, j'aime!
Un truc me fait toujours légèrement tiquer, dans les scènes finales de ce genre: tous les gentils sont sains et saufs. Tous. M*rd, est-ce que ce serait abuser que de faire mourir ne serait-ce qu'un seul clampin? Comment croire en la survie de gens restés
around the clock into the cloaca, une heure durant dans l'estomac d'un superprédateur gros comme une montagne? Et on va dire que je chipote, mais comment un oiseau peut-il encore voler après s'être fait transpercer de part en part par une centaine de projectiles? Sans parler de
ce genre de détail. On est bien loin de
ça, j'm'excuse du peu.
M'enfin, une bonne scène avec le repas final, faut admettre.
Et le twist final avec Teppei. Mon Dieu que c'est bien fait. J'avais beau avoir lu le spoiler, j'en suis resté comme deux ronds de flan. Just. Epic.
Time for interpretation, I say
-Soit l'image montre ce qu'il y a à montrer, et on a affaire à un foutu cannibale, ce qui fait le lien avec ce que j'avais dit il y a quelque mois de cela, sur Chiyo et le tabou de l' "homme-ingrédient";
-soit l'ennemi a lancé un "Appétit" sur Teppei. Pour m'appuyer sur ce que je dis, la scène m'a fait tout de suite penser à celle du "Dinner of King". Mais une fois encore, cette attaque se basant sur l'envie de manger, on en reviendrait au cannibalisme. De plus, on vient de voir que cette attaque transforme la pauvre cible en boulette de viande, comestible. Cette vision, avec les accompagnements étincelants et le plat appétissant (humph. Mon dieu que c'est dérangeant de dire ça d'un macchabée), ne serait-elle pas liée à une forme perfectionnée de l'énergie d'Appétit?