En ce jours du 11/11/12 me revoila pour le prochain chapitre qui j’espère vous plaira.
Chapitre 4 : Brain Pirate Wild-Doï s’élança avant même que l’adolescent ait fini sa phrase, après un bref « Je vous confie Monsieur ». Il leva son katana, et fonça en forme « ours » :
« Gang Black ! s’écria Kung brandissant son fusil d’une main, et son sabre de l’autre.
Une grande explosion survint, suivie d’un crissement métallique. Kung jura d’impuissance, le majordome s’en était sorti indemne. Les pirates restants se rabattirent sur Nimna et Ellipsys, les jugeant plus faibles, maintenant que le terrifiant garde du corps n’était plus là pour les protéger. Ils se précipitèrent grossièrement, mais certains arrivaient dans leurs dos, armés de petits rondins. Nimna réagit en un éclair. Elle se baissa, lança sa jambe en arrière, accompagnée de deux petites dagues qui vinrent se planter dans les jambes d’un attaquant. Alors qu’ils finissaient leur mouvement vers l’adolescent, elle sauta gracieusement en l’air et pointa son fusil vers le sol :
« Larmes noires ! »
Une bonne vingtaine de shurikens furent projetés vers le sol. Si certains furent évités ou parés, les pirates les plus proches furent cloués au sol.
Nimna atterrit. Déjà les pirates réattaquaient. Elle fit deux-trois mouvements, roula sur le côté et tira de nouveau. Juste avant de toucher sa cible, le shuriken se dédoubla :
« Le shuriken de l’illusion ! »
Un homme s’écroula. On l’attaqua par derrière. Elle fit glisser son poignard dans sa main et bloqua le coup. On la faucha, elle reçut un hématome au mollet. Elle lâcha un cri. Une lance surgit de nulle part. Elle parvint à l’esquiver, s’en tirant avec une blessure à la joue.
« Tissus caméléon ! s’écria t’elle »
Des draps et des tissus de couleur vive apparurent, la couvrirent, et elle se volatilisa. Les pirates se figèrent, surpris de sa disparition. Au moment où ils commençaient à s’intéresser à l’adolescent, elle s’écria :
« Larmes du serpent ! »
Des shurikens foncèrent en rase motte, positionnés en zigzag, comme un serpent. Un coup de feu retentit. Nimna se pressa le ventre :
« Ce n’est pas fini, murmura-t-elle le visage crispé, Bombe émotive ! »
Une boule remplie de shurikens éclata, mettant au tapis un bon nombre de pirates. Nimna commença à recharger. Alors qu’elle se baissait, pour éviter l’assaut grotesque d’un pirate, ce dernier reçut une masse pleine de piquants dans la poitrine. Il s’effondra, une marque bien présente sur son torse. Hakid redressa son engin, tira sur ses tiges et ses cordes, lesquelles étaient reliées à soit des masses pleines de piquants, soit à des fourches munies d’une ouverture sur un côté.
« Merci, souffla-t-elle, mais tu arrives à te battre avec ça ?
- C’est très compliqué, mais oui. Bon finissons-en. »
Il fonça sur ses ennemis en agitant ses armes. Deux pirates essayèrent de l’arrêter, mais il allait trop vite. Il virevolta et asséna un coup fatal. Il ne restait qu’une poignée de pirates. Hakid s’avança à toute vitesse, et Nimna s’écria :
« Tissu de larmes ! »
Elle projeta une grand voile au-dessus des survivants, et les cloua au sol avec des projectiles. Alors que ces derniers se tortillèrent pour s’en sortir, Hakid s’exclama :
« Les flammes virevoltantes ! »
Des petites boules de feu jaillirent des ouvertures de ses fourches. Alors qu’il s’éloignait, la chaleur s’intensifia d’un coup. Tous les pirates furent calcinés.
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Kung se redressa. Un mouvement attira son regard. Il eut juste le temps de se jeter à terre. Il se remit sur pied rapidement, et tira deux fois avec son fusil. Virtix s’effaça, évitant de justesse les tirs. Kung réattaqua, fendant l’air de son sabre :
« Propulsion, lança Virtix. »
La peau membraneuse de sa tête absorba de l’air, et l’expulsa tout d’un coup. Il fut projeté juste devant le pirate qui s’élançait :
« Tentacule urticant !, souffla t-il. Ses tentacules jaillirent à une grande vitesse vers la hanche de l’énorme pirate.
Une grosse bosse se forma à l’endroit de l’impact. Kung hurla de douleur et rabattit son sabre avec violence :
« Coupure explosive ! hurla t-il »
Il trancha net deux tentacules de l’homme-poisson, dont les yeux qui brillaient d’ordinaire redoublaient d’intensité :
« Tentacule de strangulation ! s’écria l’homme méduse, alors qu’un de ses tentacules, immense, jaillissait vers la gorge du colosse. »
Ce dernier voulut esquiver mais se fit alpaguer la jambe. Il chuta, et déjà Virtix réattaquait. Son corps d’apparence frêle se contracta, et il donna un grand coup de poing au pirate, qui s’écrasa de plus belle sur le sol. Kung pivota alors, et tira avec son fusil. L’une transperça l’homme poisson, lui coupant des tentacules. Il attaqua, aussi bien avec son sabre qu’avec son arme à feu, et s’en suivit un échange tumultueux, d’esquive et de parade. Soudain, prenant son sabre à deux mains, Kung beugla :
« La grande lame ! »
Il abattit son sabre à une vitesse incroyable. Virtix reçut une grande écorchure le long de son torse. Il fut projeté sur le côté. Une détonation retentit. Du sang coula du ventre de l’homme-poisson. Il se redressa tant bien que mal. Sa peau habituellement bleutée s’était teintée de rouge. Kung voulut l’achever, mais Virtix allait trop vite. Alors, de sa force vertigineuse d’homme-poisson, il bloqua le cou du colosse et l’envoya au loin, alors que lui-même se faisait éjecter. Kung s’égosilla :
« Le tranchement géant ! »
Il s’approcha de Virtix, allant le transpercer, mais ce dernier avait eu le temps de se préparer :
« Karaté des hommes-poissons, détonation aquatique! »
Le pirate fut obligé de stopper sa course, ne pouvant avancer, l’onde de choc de l’attaque étant trop importante.
Puis Virtix s’élança. Kung fit de même. Alors qu’ils arrivaient au point de collision, le colosse lâcha ses armes. La bosse qu’il avait reçue au début de l’affrontement était devenue violette, et la peau autour se craquelait de manière étrange :
« Il ne fallait pas me sous-estimer, déclara l’homme-poisson en armant ses tentacules, Karaté des hommes-poissons, la furie des tentacules ! »
Tous ses tentacules frappèrent le pirate, cinglant l’air. Le géant s’effondra dans un grand fracas. L’homme-poisson se retourna, en se pressant ses blessures :
« Tu sauras maintenant que la force ne vaut rien face à une attaque bien organisée, lança t-il en s’éloignant. »
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Wips Gorg considéra Wild-Doï d’un air interdit. Ce dernier s’était débarrassé de ses beaux vêtements, et ne gardait que des habits noirs de combat. Il prépara son sabre. D’un coup, il bondit, sa lame fila vers Gorg. Ce dernier para et contrattaqua, enchaînant des coups rapides. Subitement le garde du corps sauta en l’air, un saut d’une puissance incroyable :
« Le saut de l’ours ! grogna t’il en forme semi-humaine. »
Tout en étant dans les airs, il s’inclina, de manière à être parallèle au sol. Il retomba sur le sol, avant que le pirate au bouc ne puisse faire quoi que ce soit :
« Le choc de l’ours ! cria-t-il de sa voix grave »
Le sol trembla, en conséquence de l’attaque. Un nuage de poussière s’éleva, entourant le garde du corps. Une faucille-boomerang fila dans sa direction. Il l’évita en effectuant une pirouette en arrière, mais une deuxième arriva dans le sillage de la première. Le majordome para tant bien que mal, mais Gorg arrivait et s’écria :
« L’écorchure de la faucille ! »
Wild-Doï reçut alors une blessure à la taille, souffla et se mit en forme animale. Il chargea le pirate au bouc avec violence, ignorant les coups qui pleuvaient sur lui. Il se remit sous sa forme homme-animal. Il banda ses muscles et grogna :
« La frappe de l’ours !»
Il toucha le pirate au bouc, alors que ce dernier plaçait son poing sous ses côtes. Ils furent tous les deux éjectés de part et d’autre du hangar.
Soudain Gorg se glissa dans le dos du majordome :
« Faucille silencieuse, murmura t-il »
Wild-Doï ne s’en tira que grâce à ses réflexes animaux incroyablement développés, mais reçut quand même une estafilade au torse. Il lança une de ses jambes en arrière. Son ennemi recula sous le choc mais repartit, arme au poing. Le pirate porta des coups d’une violence inouïe :
« Faucille noire ! »
Le sol s’effrita. Soudain une troisième arriva de nulle part, alors que le combat faisait rage. Gorg cria pour se féliciter de sa victoire, il effectua une rotation :
« La faucille victorieuse ! »
Il assena un coup, ré-ouvrant les blessures que le garde du corps avait reçu lors de son affrontement avec le chauve. L’autre faucille arrivait à toute allure. Wild-Doï inspira grandement, lâcha son sabre de ses pattes et gronda :
« La mâchoire de l’ours ! »
Il attrapa alors la faucille de ses dents pointues. Il ramassa son sabre, et alors que Gorg restait figé d’incompréhension, le catapulta dans les airs.
Ce dernier hurla de colère. Ses yeux s’écarquillèrent, ses veines palpitèrent, et ses yeux s’injectèrent de sang. Il sortit une quatrième faucille, les prit toutes dans ses mains d’un geste rapide, et les lança :
« Les comètes tranchantes ! »
Elles foncèrent à une vitesse beaucoup plus rapide qu’avant. Wild-Doï n’en para que deux et les autres vinrent lui blesser les jambes. Ses bras lui faisaient mal. La plaie que lui avait infligé son précédent adversaire s’était rouverte, et elle était profonde. Il se campa sur ses jambes, avisant le pirate au bouc fonçant sur lui, ses armes revenues dans ses mains. Alors que ce dernier lançait
:
« La frappe au croissant de lune ! »
Le majordome s’écria :
« Le rugissement de l’ours ! »
Il y eut une explosion. Wild-Doï s’en tira en roulant sur le côté. Il dévia de justesse une autre faucille qui fusait sur lui. Soudain une voix s’éleva :
« Aérolios, armes, masse ! »
Il y eut un bruit métallique, et Gorg reçut une boule de fer pleine de piquants. Hakid Zick passa par-dessus leur tête. Le pirate au bouc frappa le sol.
« Je peux vous aider, demanda le maniaque en souriant.
- Bien sûr, répondit Wild-Doï »
Ce dernier fonça sur sa cible en rugissant, et tenant son sabre d’une patte, l’abattit sur Gorg :
« L’estafilade de l’ours ! »
Son coup provoqua une onde de choc puissante, et le pirate reçut une entaille conséquente. Il parvint à se remettre sur ses jambes et contre-attaqua en projetant Wild-Doï sur le côté. Hakid fonça alors, esquivant les faucilles qui volaient droit sur lui, avec une agilité déconcertante. Il attaqua et glissa une fourche sous le menton du pirate :
« Fourche vive ! »
Ce dernier roula et lança ses faucilles de toutes ses forces. Elles arrivèrent droit sur lui, mais au dernier moment ses toiles se tendirent et il repartit droit sur Gorg :
« Vaporisation de l’huile, inflammation ! »
Une boule de feu d’un bon mètre de diamètre se forma et engloba le pirate au bouc. Le maniaque reçut une blessure à l’épaule. Alors soudain, il se mit à zigzaguer dans les airs, et se posa.
Wips Gorg revenait, de son pas pesant. Hakid s’apprêta à redécoller, malgré son épaule ensanglantée :
« Laisse-le moi ! »
Hakid allait répliquer, puis il hocha la tête. Le majordome s’élança. Il déjoua l’attaque de Gorg qui s’écria :
« Mais que gagnes-tu à m’arrêter ?
- Si je perds, tu t’en prendras à mon maître, grogna Wild-Doï tout en ferraillant avec vigueur.
Ils s’éloignèrent de quelques pas.
- Et ça te plaît d’être au service de plus faibles que toi ? s’écria le pirate, en réengageant le combat. »
Wild-Doï glissa sa lame à travers la garde de son adversaire, et envoya au loin les armes de ce dernier. Gorg écarquilla les yeux :
« La rage de l’ours ! »
Le garde du corps prit son sabre à deux mains, et dans sa terrifiante forme semi-ours, le tranchant violemment au torse :
« Il se trouve que j’ai des principes, gronda t-il, contrairement à toi. Ellipsys n’est pas faible et jamais je ne le trahirai ! »
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Ellipsys rouvrit les yeux. Le hangar était là, recouvert de cendres et de poussières, des armes tapissant le sol. Certaines parcelles de terrain étaient creusées ou fissurées, conséquence de combats tumultueux.
Puis vint Nimna, avec sa belle chevelure, se tenant le ventre avec insistance, suivit de Virtix et de ses tentacules, moins nombreuses qu’à l’ordinaire. Ce dernier semblait assez fatigué mais ne se plaignait pas. Wild-Doï arriva en dernier, en piteux état, en compagnie de Hakid sur son veliobe :
« Alors plus d’aile ? demanda Ellipsys. On a changé d’engin ?
- Non contesta Hakid. Tout est dans ma caisse métallique. Je ne peux plus bien voler pour le moment, alors je roule. De toute façon, je suis déjà très fatigué.
- Vous allez pouvoir vous reposer bientôt, déclara Ellipsys. Mais avant, je désire vous montrer quelque chose. Pour vous faire regagner des forces ; que diriez-vous d’un pain aux cerises ? Il paraît que vous aimez ça, ajouta-t-il en effectuant un clin d’œil à Nimna. »
Hakid rit de bon cœur :
« Et bien ! vous êtes bien informés ! »
Il en prit un morceau, et tous rejoignirent la diligence. Wild-Doï prit les commandes malgré son piteux état. Leur trajet était de courte durée. Ils descendirent alors sur une petite crique égarée, qui donnait sur une grotte. Un bras de l’océan passait à l’intérieur de celle-ci et par intervalles réguliers, en engloutissait la moitié. Ils s’avancèrent vers l’entrée.
Alors le maniaque eut un cri de stupeur. Une masse d’outils spéciaux et de matériaux de toutes sortes les attendait, occupant une grande partie de l’espace qui restait à sec lors des crues :
« Mais qu’est-ce-que ? questionna Hakid bouche bée.
- Nous vous avions bien dit que la commande était un peu spéciale, répondit Ellipsys fronçant les sourcils d’un air impérieux. Faites-moi un navire. Surprenez-moi…
- Incroyable, souffla Hakid, époustouflé par la diversité des matériaux.
- Ah…, et bien sûr, si il vous manque quelque chose, demandez moi, il me reste encore 15 millions de Berry…
- Mais qui êtes-vous ?
- Ellipsys Alkin. L’héritier de la famille des Alkin. Soyez heureux, j’ai dépensé presque la totalité de ma fortune pour vous. Heureusement que ma famille avait gardé de bons fournisseurs Vous commencerez demain. Je vous demande 2 semaines, pas un jour de plus possible, on peut vous aider si nécessaire.
- Hum…. très bien.
»
Il voulut regarder les matériaux à sa disposition, mais tomba de fatigue avant même d’avoir pu effectuer le moindre pas.
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Le premier jour fut assez chargé. Les villes étaient en effervescence, depuis la disparition du maniaque. Il fallut ramener des plans, qu’Hakid avait laissés chez lui. Nimna s’en chargea, étant la meilleure en dissimulation, et la seule opérationnelle. Hakid réussit à faire venir deux autres charpentiers de l’île, qui n’avaient, d’après lui, aucune inventivité, mais qui étaient assez bons pour les reproductions. Il demanda qu’on lui procure des toiles d’Inctionx, typiques de l’Ile. En effet, cette matière était particulièrement adaptée aux différentes toiles des navires. C’était pour cela, d’ailleurs, que les Marines l’avaient installée sur cette île. L’aérodrome était lui aussi composé de cette matière.
Il répertoria rapidement des matériaux qu’il avait, s’interrogea sur les dials, qu’il n’avait jamais vus auparavant. Ellipsys lui expliqua les différents effets qu’il connaissait, bien qu’il n’y en ait pas énormément.
Hakid s’émerveilla. Il questionna encore l’adolescent sur le type de navire qu’il souhaitait. Ce dernier ne voulait qu’un navire original. Il ajouta juste qu’il désirait avoir de la place pour des meubles et de belles peintures, héritages de sa famille, qu’il n’avait pas pu quitter.
Les travaux commencèrent. La construction alla bon train, le charpentier était très organisé, et ses assistants attentifs. Wild-Doï et Virtix, une fois remis, leur donnèrent un coup de main. Hakid, absorbé par son œuvre, ne dormit presque pas. Ce ne fut qu’au bout du 13ème jour, alors que le délai approchait, et que le navire était enfin terminé, que le maniaque s’effondra.
Il ne se réveilla que quelques heures plus tard, à l’aube. L’île grouillait de marines, et Ellipsys avait spécifié qu’il fallait partir ce jour-ci. Ils se réunirent donc juste avant 8 heures du matin, à l’entrée de la grotte. Les deux charpentiers repartirent alors, généreusement payés, heureux d’avoir aidé le célèbre Hakid Zick.
Le charpentier leur demanda d’attendre un moment puis il revint, le navire le suivant.
Un navire totalement différent.
Son avant était incurvé vers l’avant, construit avec du bois d’un noir profond. De part et d’autre du bateau, s’élevaient deux ailerons, ornés de magnifiques dorures, desquels partaient les voiles. De nombreuses cordes les reliaient, de façon à ce qu’elles puissent changer de position en un instant. On pouvait modifier leur inclinaison à l’aide d’un câble. Puis leur regard se posa sur une grande coupole de verre, située entre les ailerons, qui offrait un magnifique panorama des alentours. Le dôme était un peu surélevé, on voyait parfaitement la barre, et on pouvait y mettre au moins 4 hommes. L’arrière du bâtiment était rectiligne, de façon à offrir une bonne vue arrière. On aurait dit un oiseau volant droit sur sa proie :
« Je vous présente l’Albatros des Ténèbres ! Sa forme avancée permet de filer bien plus vite, si on sait bien l’utiliser. De plus, grâce à un système de pression, nous pouvons aller sous l’eau, jusqu’à 2000 mètres de profondeur.
Les voiles se replient facilement, mais de toute façon elles ne craignent ni l’eau ni le vent. Grace à leur grande mobilité, l’engin peut même voler. J’ai meublé l’intérieur moi-même, mais vous allez pouvoir modifier certaines choses…
- C’est absolument magnifique, lâcha Virtix. Comment as-tu fait ça ?
- Eh bien … J’ai longuement étudié les œuvres des plus grands constructeurs de nos jours, et en y ajoutant de la technologie et un peu de ma science… Evidemment, il est d’abord conçu pour aller sur l’eau.
- Vous avez fait du très bon travail, déclara Ellipsys. Je suis satisfait.
- Merci. Les dispositifs d’attaque sont disposés à l’avant, dans les ailerons. Ils sont simples, mais je me suis dit que ce n’était pas une priorité. Venez ! »
Il les conduisit à l’intérieur du navire. C’était d’un luxe tranquille, des peintures couvrant les murs. Le navire était en fait constitué de 3 niveaux : le principal, c’est-à-dire celui du milieu, où se trouvait la salle à manger, une salle de bain, et 4 chambres, munies de cloisons coulissantes, pour plus d’intimité.
Le niveau d’en dessous était réservé à la cuisine, un stockage des matériaux, et il y avait aussi un espace réservé à une future infirmerie. Enfin le dernier était situé aux ailerons, ce qui ne laissait place qu’à un homme pour différents réglages, et le dôme en verre.
Ils se rassemblèrent dans la salle à manger. Ellipsys prit la parole :
« Tout d’abord, j’aimerais remercier Hakid Zick, pour nous avoir construit un si magnifique navire. Merci Hakid !
»
Tout le monde applaudit :
« Mais avant cela je devrais vous féliciter d’avoir mené à bien la mission que je vous avais confiée il y a peu ! Oui je suis heureux. Et c’est pour ça que j’ai décidé de fonder un équipage de pirates !
Duquel vous ferez tous partie, évidemment.
Ils échangèrent des regards interloqués.
«
Oui. Cela va nous permettre d’arpenter les mers, de plus je suis recherché. Donc j’annonce à ceux présents ici : mon ex-majordome Wild-Doï, Virtix notre navigateur, Nimna notre dissimulatrice et cuisinière, Hakid le charpentier, et moi-même, votre capitaine Ellipsys Alkin, je le dis devant ce vaisseau, l’Albatros des Ténèbres, nous sommes des pirates ! Nous sommes… … les Brain pirates ! »
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En effet j'aurai pu mettre seulement qu'il était intelligent, mais je me suis dit que sa lui ouvrirai encore plus de possibilité qu'un étre normal... Les exemple de Crazy sont assez juste...
Par contre pour notre ami Homes, je n'ai malheureusement lu qu'une seule de ses aventure...( une étude en rouge )
Je me suis inspiré d'autre roman pour mon histoire.
le prochain chapitre sortira le 18/11/12,( l'effet vacance a encore frappé !

) du moin normalement...
Toute les critique sont les bienvenus !
