Saint Seiya : The Lost Canvas - volume 2
Athéna envoie en Italie un détachement de Chevaliers de Bronze et d'Argent mené par Dôko (Balance) et Shion (Bélier) dans le but de découvrir le lieu où se trouve le Chateau d'Hadès. C'est ainsi que Tenma et Alone vont se retrouver de façon tragique.
Bref un chouette tome où la trame de la guerre se développe assez bien. C'est amusant de voir l'Armée d'Athéna en bon état de marche, chose que nous n'avions pas dans Saint Seiya Original (et pour cause^^). Les Spectres sont toujours aussi classes et nous avons un début d'Acte 1 je dirais.
Sur les mythes de la série, c'est assez sympa de revoir ainsi Jamir et le Puit aux Âmes. La petite opération d'infiltration avec Yato (Licorne) et Yuzuhira (Guerrière de Jamir) est fort bien trouvé. Vivement la suite!

Biomega tome 1

Où comment faire du Nihei, sans totalement en faire. *__*
C’qui est marrant avec cet auteur, c’est sa capacité à ne pas se renouveler. Là où certains pondent des œuvres totalement différentes à chaque fois, Nihei ne change quasiment pas de formule. Donc, ça n’étonnera personne si je dis que Biomega est un manga apocalyptique, noir de chez noir, extrêmement gore et violent, au héros dont les traits ressemblent étrangement à ceux de Killy, et où l’architecture est un plaisir visuel de chaque instant. Et ça n’étonnera personne non plus si je vous dis avoir adoré. C’est sans doute le genre en lui-même que je vénère, je ne me l’explique pas autrement. Le récit prend un malin plaisir à nous perdre dans les dédales d’une cité futuriste, développe des personnages… Enfin, essaye de les développer quand ils ne sont pas tués au bout de deux pages, évidemment. Nihei fait du Nihei, je n’en suis pas déçu le moins du monde.
Néanmoins, l’ensemble est moins énigmatique et fermé que Blame!. Bizarrement, les dialogues deviennent moyennement rares, et délivrent des informations pas si ambigües qu’on s’y attendrait. Le scénario est bien posé, le cadre de même : nous sommes en 3005, sur Terre. De plus, la dégénérescence des humains est expliqué "logiquement" par l’existence du virus N5S. Pour une fois, on ne semble pas totalement perdu, et les pages se lisent assez aisément, pour peu qu’on ait l’habitude de naviguer dans les planches hard-dark de l’auteur. Et puis, ne sont plus en scène QUE des êtres humains, des êtres synthétiques ou des monstres et zombies en tout genre. Non, ici, y’a un ours sniper ! En plus, il s’appelle Kozlov ! Ah ah, j’adore déjà ce grand-père si peu ordinaire, alternant le comique et le pathétique.
Enfin, il convient de faire un rapprochement avec Blame!. Le héros est ici employé par Toha Industries, autrement dit, les Chantiers Orientaux. L’arme du héros ressemble fortement à l’émetteur à Positron, et les drones ressemblent irrémédiablement aux monstres déjà aperçus dans d’autres séries… Il est à voir si Biomega s’inscrit vraiment dans la chronologie de Blame!. Si c’est le cas, le manga prendra sûrement une tout autre dimension dans les prochains tomes, que j’attends d’hors-et-déjà avec impatience, car ils pourraient contenir des clés supplémentaires à la compréhension globale de l’œuvre Niheienne.


Ikigami préavis de mort tome 1

"Bonne pioche !" C’est ce que je me suis dit après la lecture du premier tome.
Ikigami est, clairement, un très bon manga. De prime abord tout du moins. J’avoue avoir été pris dans l’ambiance générale, m’être accroché au scénario plutôt original, et au personnage principal qu’on voit trop peu néanmoins. L’idée de suivre la dernière journée d’une personne condamnée est un concept récurrent en littérature ou même en général, suffit de voir le roman d’Hugo pour s’en convaincre. Néanmoins, c’est le phénomène de société décrypté ici qui m’attire le plus. Voir les tenants et aboutissants d’un massacre tel que celui qui est décrit dans un Japon futuriste, et mettre en scène les moyens de faire passer ces crimes pour bonne cause, nous rapporte directement à des faits historiques et à des évènements quasi-semblables qui se sont déjà produits. "Pour le bien de la nation", bien sûr. Ce pan de l’histoire me passionne carrément plus que le reste.
Petite appréhension malgré tout : l’auteur se centre sur les derniers jours de jeunes gens recevant l’Ikigami, la description du mécanisme et de ses stratégies n’est qu’un détail secondaire. Dommage. De même, je crains que les derniers jours s’enchaînent sans véritablement observer une progression dans le récit ou dans la mentalité du personnage principal (quoi que, le premier tome laisse apparaître des possibilités de ce côté). En somme, j’ai peur qu’Ikigami préavis de mort subisse le syndrome des petites histoires à répétition, qui n’iront pas chercher plus loin que le bout de leur nez.
A voir. Je continuerai un peu. Ou pas.

Parce que c'est finalement peut-être vrai, « après la pluie le beau temps »...
Neon Genesis Evangelion - Plan de Complémentarité Shinji Ikari vol. 4



Si le volume 3 m'avait déçu, le volume 4 m'a agréablement surpris alors que je m'attendais à une erreur sans nom au niveau de la composition. Autant l'écrire tout de suite, cette série est très certainement le spin-off officiel le plus fan-service EVER qu'il n'ait jamais été créé sur EVA. Ici, il n'est même plus question de brosser simplement le fan dans le sens du poil, c'est carrément le stade supérieur. Cela aurait pu me donner la nausée, un peu à l'image du volume 3, si il n'y avait pas eu un truc qui fait la différence au final entre un livre tout juste bon à lire aux WC, pour s'en débarrasser à l'endroit le plus commode, et le livre que l'on prend finalement plaisir à lire : la note humoristique retrouvée de l'auteur.

Avec ce volume 4, j'ai vraiment eu l'impression de retrouver ce qui faisait le sel des premiers tomes, un humour référentiel bien mené sur le matériau d'origine et une dose de non-sens dans les diverses situations qui font que c'est très plaisant de suivre des figures pareilles être utilisées à contre-emploi (cf. Gendô principalement à mes yeux). L'histoire tient toujours sur un ticket de métro mais au final, ce n'est pas ça le leitmotiv de la série, c'est plutôt une accumulations de diverses scènes de la vie quotidienne du microcosme de Tokyo-3 qui amène généralement à des détournements réussis. Mais bon, du peu de scénario qu'il y a dans la série, il y a quand même un sacré retournement de situation à la fin de ce volume... Sinon, c'est plaisant de voir apparaître dans une telle série des personnages très, très, très, très secondaires comme Sôryû Kyoko Zeppelin et à un degrés beaucoup moindre dans le caractère secondaire, le bonus dédié à Maya.

En conclusion, ce volume 4 fait disparaître mes appréhensions sur la série nées du volume 3 : on va certes toujours plus loin dans le fan-service mais l'auteur n'a pas oublié de revenir sur ses bases, à savoir une note humoristique qui a sa qualité pour elle.

Berserk – Tome 30

Suite des aventures de Guts, qui se retrouve pris dans la bataille entre les Kushans et les forces de la Papauté à Vitranis. La dernière page du précédent volume nous offrait le début de la revanche entre Serpico et Guts, qu’en est-il de la suite ?
J’ai somme toute bien aimé ce duel entre amis, où Guts fait preuve d’une ingéniosité sans précédent et sur des coups de hasard le plus souvent. Serpico aussi mérite vraiment son titre de renard quand on le voit valser entre les piliers pour finalement attaquer Guts sans pitié. On a donc un duel bien impressionnant qui ravira à la fois les fan-boys de Guts et Serpico, mais aussi ceux qui aiment voir de nouvelles relations se tisser à travers le combat. J’ai beaucoup apprécié.
La suite fait débuter la bataille de Vitranis avec l’intrusion dans les appartements des Nobles de Tigres kushanes affamés. Jolie scène de carnage où l’on voit bien que les Nobles sont des lopettes en robe. Mais tout de même, on ne ressent pas la même chose qu’à l’époque des premiers tomes. Je n’ai pas vraiment été dégouté par la mort de centaines de Nobles, alors qu’avant, j’en pâtissais pour observer des soldats se faire piétiner par Zodd. La série a radicalement changée, et cette impression ne fait que se confirmer avec la suite du tome : Guts massacre allègrement des créatures vraiment vilaines alors qu’avant, il ne faisait pas une hésitation en tuant des homes innocents. Serait-ce l’influence de la garderie qu’il trimballe avec lui depuis quelques tomes déjà ? La série s’est rendue moins brutale pour devenir juste du gore en découpant des Krakens par centaines. Et ça je n’approuve pas beaucoup quand même…
Vivement la suite, qui saura peut être rallumer le flambeau Berserk…

Eye Shield 21 – Tome 24 :

Les Deimons Devil Bats se sont donc qualifiés pour la demi-finale qui les opposera à la dream team des Ojo White Knights. L’heure de la revanche a enfin sonnée !
La première partie du volume ne sert un peu à rien si ce n’est à introduire de nouvelles idées concernant le futur jeu de l’équipe à Shin, comme la possibilité d’axer le jeu complètement sur l’attaque. Pas plus à dire là-dessus à part que le concours d’intelligence frise des records de nullité niveau utilité dans le scénario… On connait la série comme on dit.
Par contre, le match tant attendu commence enfin avec les Devil Bats qui ne jouent que sur les passes longues. Le jeu marche jusqu’à ce que Sakuraba se mette au poste de Cornerback et détourne à chaque fois les passes d’Hiruma. Superbes effets ici, j’adore vraiment la perspective d’un Sakuraba vraiment efficace dans les phases de jeu. Pendant ce temps, Jumonji se frotte à Ikari, l’homme-chaine (-_-) et se fait rosser en beauté. Hâte de voir là aussi l’évolution de ce duel, puisque il va bien faire pencher la balance du coté gagnant pour la domination de la ligne. Et enfin, le duel tant espéré entre Shin et Sena n’a pu avoir lieu mais nul doute que dans le prochain tome nous y aurons droit.
Nous quittons donc ce math pour un score de trois à zéro en faveur des Devil Bats et attendons avec impatience la Baliste doublée de l’Everest-Passe des White Knights. Vivement la suite !

Me and the Devil Blues – Tome 4 :

Bilan mitigé, mais quand même plus positif que négatif.
D’un coté on a un scénario qui avance énormément en un seul tome. J’ai ici beaucoup aimé l’évasion spectaculaire de la Prison de « No-Alcool Town » avec tous les risques provoqués. Clyde est vraiment un personnage intéressant : la violence dont il fait preuve et sa vantardise me plaisent énormément, et conviennent tout à faire au personnage. La cavale peut alors commencer dans une forêt sombre et effrayante. Entre les chiens du Diable et les employés de Macdonald, rien n’aura été épargné à RJ et Clyde. Leur dernière position, dans le Juke Point, promet pas mal de bonnes choses, avec la menace de mort proférée par le chef du groupe de Noirs habitant l’endroit. J’ai là aussi énormément aimé cette ambiance d’oppression lorsqu’un Blanc pénètre dans un territoire Noir. Mêmes réactions et attitudes que si cela aurait été l’inverse. Le point de vue proposé est criant de vérité avec le racisme pur et dur (c’est triste à dire) que se livrent les deux camps…
Mais aussi ce tome m’a beaucoup déçu. Les trois chiens du Diable sortis de nulle-part sont vraiment risibles. On a quitté le coté « Manga limite réaliste » pour finalement revenir sur un concept de Shonen avec des « monstres sanguinaires dressés pour tuer, bigre ! ». Pas que la course-poursuite n’aura pas été palpitante, mais c’est qu’on ne met pas des éléments aussi fantaisistes dans un manga supposé être inspiré d’un fait réel !
Mais ce quatrième tome reste une réussit imparfaite, mais qui ne présente que du bon pour le tome cinq (dont je ne connais pas du tout la date de sortie…).

Ippo – Tomes 19 à 21 :

Le meilleur pour la fin comme on dit. Ippo ne cesse de m’impressionner par tant de légèreté, d’aisance et de maitrise dans le scénario. On répète toujours la même chose mais on dirait qu’il y a changement à chaque fois. C’est magique <3
Ippo a donc brillamment triomphé de Wolf, son adversaire le plus coriace jusque là. Le combat fut rude durant tout le tome 19, avec des coups spéciaux fusant de tous les côtés mais finalement, Ippo a su faire exploser son Gazelle Punch pour mettre Wolf à terre pour de bon.
La suite est donc le traditionnel inter-match avec cette fois, Takamura qui rentre en lice pour conserver son titre. Après moult difficultés, l’Ours de Kamogawa a su faire parler les poings et a mis au tapis son challenger, dans un bain de sang *bave*. Date introduit aussi la notion de Champion : un Champion n’est pas un adversaire normal dans la mesure où tout le public s’accroche à ses poings. Le vieux l’avait prévu : « Takamura n’ira pas au tapis et ce sera un KO » et voilà qu’il se met à prévoir le match prochain contre Ippo : « Ton poing est trop mou ». Cette révélation perturbe énormément notre héros qui se décide à tout donner pour le combat futur.
Et le voilà donc ce duel : la Finale du Tournoi entre Ippo Makounochi et Eiji Date, dans un duel où tous les coups bas fusent. D’un côté, Ippo offre d’étonnants réflexes avec ses mouvements du buste mais aussi un style de coups particulièrement efficace, à savoir les Bombes au foie. Date, lui, a un style de boxe très conventionnel, dont le seul atout se révèle être les vrilles Tire-Bouchons vers le cœur. Étonnamment, c’est Ippo qui domine de long en large cet affrontement. Mais vers la fin du tome 21, notre challenger se prend à hésiter : Date n’a aucune blessure malgré les missiles expédiés par Ippo. Et cette hésitation lui coute sa domination, avec une frappe vrillée de Date qui transperce la défense du challenger, et c’est le Down !
Hâte, hâte de voir la suite, jamais dans un tome d’Ippo j’ai tant été impatient de connaitre la suite de l’affrontement !


Prochaines lectures: pas trop en ce moment, puisque la majorité de mon budget est monopolisé par les Donjon, mais je pense avant tout combler les séries déjà entamés, à savoir xxxHolic ou Dorohedoro, et pourquoi pas Gunnm Last Order ?

Malheureusement c'est peut-être le dernier puisqu'il n'y a pas eu de nouveau chapitre au Japon depuis plus d'un an. Sauf si l'auteur planche sur un scénario terrible et que ça lui prend du temps (ah l'optimisme ^^).



Switch Girl !! tome 1

Mode on : Vous êtes bien coiffée, maquillée, avez des vêtements à la mode et faites attention à tous vos gestes ? ...

Mode off : ... Et dès que vous rentrez chez vous, vos cheveux sont attachés et le confort prime sur l'élégance ?

Si tel est le cas, aucun doute, vous correspondez à la parfaite Switch Girl !

Switch Girl !! nous présente une héroïne, Nika, au look parfait, charismatique et donc l'idole des autres filles. Jusque là il n'y a rien de révolutionnaire, sauf que ce manga nous dévoile une autre facette des filles, poussée à l'extrême chez Nika, puisqu'on peut observer qu'elle se métamorphose chez elle ! Une tenue style jogging arborant un neko (chat) au sourire narquois, des lunettes, un bandeau et des cheveux attachés rendent Nika méconnaissable. A cela ne faut-il pas oublier des manières quelque peu désuettes quoique utiles et économiques, sans oublier le relâchement naturel.
Ce mode "off", Nika se doit de le cacher pour que sa réputation ne tombe pas à l'eau, sauf qu'un nouveau venu dans son lycée, Arata, apprend son secret à une vitesse phénoménale (et avec un bon coup d'œil). Toutefois, Nika apprend elle aussi son secret ! En effet, Arata ne souhaitant pas avoir de relations avec les personnes de sa classe et notamment les filles, il lui suffit de mettre des lunettes pour en quelque sorte cacher sa beauté et faire de lui "le binoclard". Ces deux personnages atypiques doivent donc essayer de vivre avec leurs secrets, et finalement ce n'est pas si facile que cela !

Outre cet aspect original de Switch Girl !!, ce manga a un traitement égal aux shôjo les plus conventionnels, avec le garçon beau mais mystérieux, voire un peu ténébreux, l'héroïne amoureuse de celui-ci mais dont les rapports peuvent être difficiles et même conflictuels. Bref, le trip du mode on et off apporte une touche d'humour indispensable à la série. Mais cette fraîcheur a aussi une certaine limite puisqu'on a du mal à imaginer comment l'auteur va bien pouvoir exploiter ce potentiel qui est loin d'être infini.
A propos de l'auteur, un point est intéressant à noter puisque celle-ci s'inspire directement de faits réels, et plus précisément de sa vie privée et de ses expériences. Cela rajoute de la crédibilité aux propos et aux situations qui arrivent parfaitement à divertir le lecteur. Un bon tome 1 dont les situations ne demandent qu'à être toujours autant assumées, et qui sait peut-être poussées encore plus à l'extrême ?

GET BACKERS Tome 29 à 32


Et Oui je me suis remis à cette série, que bon nombre d'entre vous aime critiquer et cracher dessus. Personnellement ça doit faire la 4e fois que je relis toute la série d'un coup et bon sang, La 4e fois fut la bonne. J'ai enfin à peu prés réussi à tout situer et à comprendre toutes les techniques ainsi que leurs logiques. Et là franchement je trouve ça de plus en plus passionnant. Bon Ok on peut toujours cracher sur les Babes qui peuvent trainer selon les pages (de vous à moi j'ai vu pire). Mais l'essentiel est là. Surtout j'adore les histoires qui sont, à mon sens, des légendes modernes comme, le virus du vampire, les bras de la venus de Milo, ou l'épisode du chainon manquant qui étaient ma foi fort sympathiques.

Donc revenons à nos derniers tomes:
Les tome 29-30 fais la liaison entre les différents actes à savoir, l'acte 11 et l'acte 12 (qui est le dernier). Pour une fois la mission des get backers se solde par un échec cuisant. Himiko est capturé, 1 trahison et 3 autres kidnappings. Voilà a cela on ajoute un paquet de révélation bref on se prépare a defier le dieu du mugenjo, soit le boss final. Une sorte de Big Brother de l'immeuble.

Ce qui est très intéressant dans l'histoire c'est que bien que nos gentils héros...soit les héros ce ne sont pas les seuls à vouloir entrer dans Babylon city (The last Level). On a 3 groupes qui s'opposent: Les Voodooistes, Der Kaiser, et les Get Backers et leurs potes. Ça Fait un beau bordel très plaisant à suivre. Même si les théories sont toujours aussi confuses concernant certains concepts, comme l'existence de monde parallèles (même si on avait déjà touché a ça durant l'acte de la main de dieu).

Durant les tomes 31 et 32 ont découvres les grandes origines du temps perdu, ou du moins pourquoi on en parle. L'existence d'un pouvoir qui vole le temps, et qui laisse un stigmate a un œil (qui entre nous est tres classe). J'adore personnellement et c'est toujours avec un grand plaisir que je découvre plein de nouveaux personnages. On a le retour d'un certain Miroku (ou plutôt de 7), j’aime beaucoup ce personnage complètement schyzo.

Et Surtout j'aime vraiment cette dimension de power up qui n'est pas du tout traiter dans ce mangas ou du moins on n’a pas de séance d'entrainement comme dans les naruto/bleach/DBZ .Bien que les power Up existent ils sont toujours bien caché (comme le café de maria ou celui de pore). Et puis on découvre enfin la vrai forme des invocations d'Asclépios (pas sur du nom). Ça fait vraiment plaisirs de comprendre enfin en quoi consistaient les invocations de Ban quand il récitait sa prière.

Bref c'est vraiment un manga que j'ai redécouvert sous un autre angle depuis ma dernière relecture, et j'en prends beaucoup de plaisir

Bon, pour Dorohedoro, on m'a annoncé (avec le sourire) qu'ils n'en précommandaient pas et qu'il fallait les commander. En attendant qu'ils arrivent, j'ai acheté ceci (à mon petit frère) :

Keroro : Tome 12



(Au moins je pourrai me distraire sur le trajet de retour. Merci la STIB pour le service des retards)

Ce qui est amusant dans les aventures (si on peut appeler comme ça) de Keroro, c'est de repérer les multiples références que l'auteur a insérées. Sa principale inspiration provient de Doraemon, il n'est donc pas étrange que l'histoire d'interdictions rappele celle des "Panneaux d'interdiction" et de "L'oiseau à taxe sur le revenu" (Je ne sais pas si c'est déjà apparu dans l'édition française de Kana, ces deux gadgets viennent des tomes 18 et 22 si ma mémoire est bonne). La fête d'Halloween (le gros morceau de ce tome) met en scène : une Momoka dans une tenue qui rappele furieusement Nebilim de Tales of the Abyss et une Alisa Southerncross (Tiens ? Ca vous rappele rien ce nom ?).

COmme à l'accoutumée, Keroro se lit facilement car c'est léger et drôle, et celui-ci ne déroge pas à la règle.

(La prochaine fois que je posterai ici, ce sera pour Dorohedoro)

Detroit Metal City tome 4.

Après une volume trois en demi-teinte, ce nouveau tome de Detroit Metal City se devait de faire remonter la pente.
Alors, le Satanic Emperor était-il une mauvaise idée ou un passage nécessaire pour la suite des évènements ?

Subséquemment avoir lu la totalité des chapitres composant ce quatrième volume, on peut répondre à ces questions, et en faire une interprétation. En effet, les trois quart des chapitres servent à poursuivre et finir l'aventure du Satanic Emperor, le dernier quart restant étant concédé aux chapitres indépendants.
Avec des histoires peut-être un peu plus "gentillets" et un humour qui se consolide légèrement, la longue série de chapitres du Satanic Emperor (12 en tout, soit un volume entier) se révèle globalement assez moyenne, avec tout de même quelques surprises et des sourires nullement forcés. L'auteur nous gratifie nonobstant de certaines mises en scènes très bien pensées, et des dessins très agréables à voir.
Viens par la suite quelques chapitres indépendants, ces chapitres-là qui font de Detroit Metal City un manga si singulier et hilarant. Dès lors que l'on attaque cette fin de lecture, le plaisir revient, avec des gags poussés à l'extrême en une seule fois et non en continue comme cela pouvait être le cas avec le Satanic Emperor. On est même amené à forcément rigoler, ce qui sauve in extremis notre argent déboursé pour avoir notre plaisir bimestriel.
Malgré tout, peut-être que le Satanic Emperor était un passage nécessaire à la survie du manga, un côté qui nous montre les limites de cette série, et qui fait ressortir ce qui en fait sa réussite, c'est à dire des histoires courtes, d'un chapitre, pour des gags plus percutants. Et attention à ne pas tomber non plus dans le n'importe quoi !
Au prochain tome, pour espérons un très grand moment de détente.

Claymore - volume 13
Le tome s'ouvre sur la confrontation avec Riful de l'Ouest, toujours égale à elle-même - je suis quand même rassuré^^
C'est l'occasion pour Claire et ses compagnes de prendre des nouvelles du Monde qui a pas mal changé l'air de rien.
Ensuite nous suivons le parcours de Clarice et Miata dans leur chasse à travers le pays. Ce couple assez inattendu reste assez intéressant à suivre bien qu'un peu glauque par moment^^
Enfin nous finissons par des chapitres annexes consacrés à des histoires passées de certaines Claymores. Une façon de creuser leur background sympa et ludique ^_^
Bref vivement la suite.



Saint Seiya : The Lost Canvas - volume 3
Le début du volume est consacré aux aventures de Tenma (Pégase), Yato (Licorne) et Yuzuhira (Guerrière de Jamir) dans le Royaume des Morts qui devraient durer un certain temps a priori.
Le reste (et gros) du tome est consacré à l'assaut contre le Sanctuaire du groupe de Spectres mené par Minos du Griffon, l'un des 3 Juges. C'est le Chevalier d'Or des Poissons, Albafica, qui est la vedette de ce tome et son duel contre Minos est d'une magistrale puissance! Le travail sur le développement du Mythe des Poissons (version Saint Seiya) est je trouve une grande réussite et le combat est dynamique, épique et riche en émotions.
Au final un tome encore meilleur que le précédent et qui confirme tout le bien que je pense de cette série *_*

Mon cosmos s'est enflammé!!!


Saint Seiya : The Lost Canvas - volume 4
Nous retrouvons nos 3 héros (Tenma, Yato et Yuzuhira) qui poursuivent leur aventure dans le royaume des morts à la recherche d'un certain arbre, indispensable à Athéna dans la guerre contre Hadès.
Centré sur cette quête, le tome met en scène également Asmita le Chevalier d'Or de la Vierge, lié à cette quête.
Un tome moins intense que le précédent mais qui fait avancer de façon significative la trame du récit.



Saint Seiya : The Lost Canvas - volume 5
Grâce à Tenma et ses compagnons, Asmita a finalement réussi à fabriquer le Rosaire scellant l'âme des Spectres (artefact qui sera utilisé par Shaka de la Vierge dans "Seiya Saint").
Néanmoins pas de repos dans cette guerre : le Sanctuaire reçoit la visite du Spectre ultra puissant Kagaho du Bénou. Aldébaran, Chevalier d'Or du Taureau, est son adversaire.
Ce combat occupe quasiment tout le tome. Une confrontation toute en puissance et en personnalité, les deux adversaires étant de sacrés têtes de mules qui ne renoncent jamais.
Bref une nouvelle fois excellent de bout en bout.


Sinon me voilà à jour avec la publication française.

Aujourd'hui est un jour béni mes frères !
En ce vendredi 22 mai à 15 h 23, j'ai enfin reçu ce que je convoitais tant. C'est trop beau, je vais pleurer.

Dorohedoro : Tome 1



C'est une évidence, la lecture en volumes reliés est nettement plus agréable que les scans. Si Dorohedoro est déjà une bombe en scans, je ne vous dis pas ce que ça donne en volumes reliés, quoique j'ignorais que le traducteur de Dorohedoro n'est autre que...Sylvain Chollet. Ca ne vous dit rien ? Et One Piece ça vous dit quelque chose ?

On peut se sentir un peu surpris par le découpage scénaristique de Dorohedoro, voire même rebuté. Dès le début, on nous plonge dans une scéance de ce qu'on pourrait croire d'anthropophagisme, suivi d'une décapitaion en règle, le tout assaisonné d'un homme à tête de crocodile, une fille complice, de la fumée noire, des portes qui apparaissent comme par magie (Haha trop drôle), une ville-décharge, et un homme dans la gueule du croco.

Humour efficace, même un peu noir, déconnades, scènes de vie quotidienne, magie, caïman. Voilà un peu ce qu'est Dorohedoro, une série qui ma immédiatement conquis. (Et c'était pas gagné vu comment le nom se prononce)

Dorohedoro : Tomes 2 & 3



Et j'enchaîne les Dorohedoro !

Le tome 2 commence par nous mettre en scène un autre évènement glauque de Hole : "La nuit des morts-vivants", où on se rassemble pour abattre et purifier les zombies, morts victimes des mages. La partie de chasse est presque à la limite du jeu, où on récolte les plaquettes pour gagner des prix, comme si c'était un jeu de foire ! (Sans parler des goodies officiels)

Jolie entrée en scène de Shin et Noi, les deux compères qui n'hésitent pas à parier même lorsque la situation ne semble pas s'y prêter. Un duel face à Caïman qui nous révèle un peu plus sur l'homme-lézard, mais qui nous amène également un autre mystère ! Très orienté action, tout en étant bourré d'humour.

Le tome 3 envoie nos deux compères dans le monde des mages, tandis que les choses avancent du côté de la bande d'En : Kikurage, Risu, bande des yeux en croix, passé trouble de Nikaido, réminiscence...En se met en colère et c'est la saison des champignons.

Tout ça rend le tome 4 encore plus attendu ("Rupture de stock." qu'ils disaient...).

Tales of Symphonia : Tome 2



Les choses accélèrent dans ce tome-ci ! Le groupe de l'élue se frottent à Sheena, les sceaux sont brisés, et pas moins de 3 Cardinaux Désians trouvent la mort (Magnius, Kvar et Rodyle), Colette perd peu à peu de son humanité, Remiel révèle la destinée de Colette ainsi que ses véritables desseins, avant de se faire tuer par Kratos, qui lui-même s'avère être un ange, Judgement, Yggdrasill, les Rénégats entrent en scène, Yuan explique la vérité concernant le Cruxis et les Désians, tout le monde embarque pour Tethe'alla, et rencontre fracassante avec Zelos.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'on enchaîne à grande vitesse tous les évènements du jeu. Moi-même je suis un peu déçu que l'on ait pas au moins commencé par sceller un pacte avec Ondine. On peut comprendre que l'auteur ait visiblement choisi de représenter cette partie à grande vitesse, étant donné qu'elle ne révèle pas énormément de choses. Néanmoins, le tout reste très fidèle au jeu, et il est toujours agréable de repérer les différences et les similitudes.

Bref, un tome tout en vitesse qui annonce une belle perspective pour Tethe'alla.

Hokuto No Ken - volume 8
Ce volume s'ouvre sur le premier duel contre Raoh, celui qui désire prendre la place des Dieux dans le Ciel. Ce combat en deux temps est très intense et impressionnant par son économie d'effet : les assauts vont droit au but et ce côté direct accentue l'impression de puissance des combattants.
La seconde partie du volume est centré sur les derniers jours de vie de Rei (Etoile de la Justice du Nanto) qui va devoir faire face à une ancienne connaissance : Yuda (Etoile du Charme du Nanto).
Cette histoire qui nous dévoile le passé de Mamiya est tragique et désespérée au possible!
Vivement la suite!



Angel Heart - volume 27
Après un volume 26 très intense au niveau action et scénario, avec avancée des éléments de la ligne rouge de la série, ce nouveau volume fait retomber la pression en nous proposant une jolie et touchante histoire d'un père qui désire retrouver sa famille perdue il y a 20 ans.
Le récit alterne grands sentiments et humours avec cette approche si spécifique à Hojo.
Angel Heart toujours un beau voyage au coeur de la famille et des êtres de solitude.

J'ai lu ce manga en entier l'année dernière, et il est vraiment court (il n'y a que quatre tomes je crois) et beaucoup d'évènements du jeu sont zappés pour ne laisser place qu'aux grands évènements, dont certains n'ont pas été amenés de la même manière que dans le jeu (comme la scène avec Mithos et Altessa, vous verrez) et c'est vraiment dommage.

Si il y'a bien un manga dans le genre qui est meilleur en terme de respect, c'est bien Tales of The Abyss. Par contre j'arrive pas à trouver le tome 3, ca m'enerve un peu :/

Jojo's bizarre adventure: Tome 1,2,3,4,5



Il y a un début a tout me direz vous ^_^
Bon voila je viens de finir les 5 premiers tomes, soit la saga Jonathan Joestar.

Tout d'abord, merci à Eclypse, le valeureux capitaine de la Speedwagon Foundation, qui m'a initié à la lecture de ce manga.
Il m'a d'ailleurs prescrit de m'accrocher lors de ces premiers tomes et il n'avait pas tort le bougre!

Alors que dire?
Pour commencer, je ne m'attendais pas du tout a ce genre de scénario, qui met pas mal de temps a démarrer. Je découvre un héros qui n'en est pas un. Un Jojo se faisant harceler, voler ses proches, sa famille, tuer son chien, etc... Bref, je voulais qu'il réagisse!

Et il y a l'histoire de ce masque de pierre, qui apparait au début et qui disparait pour après réapparaitre et devenir un élément clé de l'histoire.
Et ce "Xiandao", très bien amené et change un peu du Haki, Chakra, Nen, Cosmos.
La renaissance de Dio a chaque fois qu'il tombe, ne m'a pas émerveillé. Je n'aime pas trop l'éternel retour du méchant, ça en devient un peu agaçant.

Jojo évolue, devient plus fort, mais reste gentleman. On en revient a cette histoire de conviction, détermination qui rend Jojo un être dangereux et puisant pour Dio. Finalement, j'en suis devenu triste quand vint sa mort (celle de Jonathan). Mais sa mort m'a "plu" car elle n'est pas héroïque, il ne balance pas un coup final surpuissant a la Sangoku, Luffy, Naruto. Non, il meure dans l'anonymat, sur un bateau, tué par un Dio (enfin sa tête) pathétique qui ne veut décidément pas crevé.

Ce qui m'a réellement plu dans ces 5 premiers tomes:
-Le scénario qui commence lentement mais qui, une fois mis en place, est très bien ficelé et s'achève dans une note dramatique.
-Le "Xiandao", technique utilisant la respiration pour être plus fort, habile, etc...
-Le dessin, qui m'a tout particulièrement plu, me rappelant le design de Ken le survivant. Nous au 19e siècle et l'ambiance sombre coïncide a merveille.
-Les combats, où se n'est pas le plus fort, puissant, immortel, qui gagne mais bien le plus réaliste. Jojo nous l'a prouvé a plusieurs reprises.
-Le fait que la mort de Jojo entraine la naissance d'un autre Jojo (j'ai lu entièrement le tome 5) donc on découvre un nouveau Jojo.

D'ailleurs, Joseph Joestar me plaît déjà, alors que j'ai mis un peu de temps a m'attacher a Jonathan.
Bref, je vais maintenant me lancer dans la saga Joseph Joestar.