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Luffy, t'es sûr que tu veux pas prendre Gina la très sexy ingénieur naval ?!! - Sanji
Chapitre 1147


Episode 1127
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Loup Loup Présente

Les chroniques de l'océan I :
Des vacances pas de tout repos


Introduction | Chapitre I | Chapitre II | Chapitre III | Chapitre IV | Chapitre V
Chapitre VI | Chapitre VII | Chapitre VIII | Chapitre IX | Chapitre X | Chapitre XI
Chapitre XII


Chapitre IX : l’érablière (Nami)

L’intérieur de la petite maison ressemblait beaucoup à celui du bateau. Simple, joli, original et conservateur. Inutile de spécifier qu’on s’y sentait tout à fait à notre aise. La première chose que fit Marika; nous indiquer le salon, une grande pièce espacée, recouverte d’une moquette épaisse sur laquelle nous nous assîmes. La seconde choses; partir et revenir les mains chargées de vêtements qu’elle lança au milieu de la pièce.

« Regardez la dedans, vous devriez trouver de quoi vous vêtir plus chaud que ces vêtements ridicules de pirates, dit-elle d’un ton peu aimable contrairement à l’attitude adoptée jusqu’à présent
Comment, pourquoi, essaya d’articuler Luffy
Ô, franchement, c’était évident, vous laissiez pleins d’indices. Vous arriviez de la mer, vous étiez assez intelligent pour ne pas attaquer un jaguar, vous êtes habillés comme des bouffons, vous portez des armes. Vous avez déjà vu des marchants des mers se promener avec trois katanas? Et le vent joue contre vous, j’ai un très bon sens de l’observation, de la logique et de la raison.
Ouais… Alors qu’est-ce que tu compte faire? demanda Zolo qui n’avait pas l’air de s’en faire pour deux sous.
Premièrement, de vous demander de changer de vêtements, ensuite d’être plus discrets, puis de profiter de votre présence pour que cette île vous paraisse agréable et dernièrement de quitter cet endroit pour ne plus jamais revenir, malheureusement. Les gens d’ici ont peur des marchants des mers qui se promènent avec des lances-pierres, dit elle non sans un sourire mais d’un regard des plus autoritaire
Hé bien, pour que cette île me semble agréable, déclara Luffy qui était déjà tout revêtu, ça prend un party!!! Et de la bouffe, bien entendu!
Euh, moi, je reste coincé à la première case, y a pas de linge assez grand pour moi la dedans, c’est sûr, dit Zolo
Je n’avais pensé à toi, fit Marika prise au dépourvu
Merci! rétorqua Zolo sous les rires moqueurs de ses compagnons
Je vais voir dans mon linge d’hiver, dit Marika en partant par un couloir»

D’hiver? Il y avait une saison plus froide que celle-ci! Les pirates restèrent assis en rond, la mine déconfite d’avoir été découverts. Sauf Luffy, habillé de couleurs lui allant horriblement mal, un sourire crétin aux lèvres. Peu à peu, Moi, puis Pipo et Sanji commençâmes à fouiller dans le tas de linge. Finalement, nous nous revêtir tous à notre goût et en nouveauté. J’avais pris en général du vert forêt et du brun, un T-Shirt représentant un animal que je n’avais jamais vu qui hurlait à la pleine lune, un loup. Pipo pris du linge trois fois trop grand pour lui de couleur beiges et blanches. Sanji trouva du linge plus funky tirant vers le bleu. Chopper trouvait la température agréable et rien ne lui aurait fait, alors à quoi bon se changer. Lorsque Marika revint, son linge le plus long faisait des bons pantalons trois-quart à Zolo, qui avait complètement changé de style, le seul disponible. À présent, il était revêtu de linge du plus «smooth» possible sur la terre dans les tintes feu. En fait, il avait l’air d’un garçon qui porterait son linge d’il y a cinq ans, pour dire la vérité.
Une fois que tout le monde ressemblait à quelqu’un de normal ou presque, on s’était assemblés et installés et on se racontait nos histoires. Marika insista pour que nous commencions. C’est ce que nous fîmes : le fruit du diable et le sauvetage par Shanks de Luffy, le sacrifice de ma mère et mon travail pour Arlong, les parents et les mensonges de Pipo, Tony Chopper disait qu’il n’avait rien d’intéressant et Zolo dormait encore sur le canapé.
Marika elle nous expliqua qu’il y a de cela un peu moins de dix-neuf ans, alors qu’elle avait presque cinq ans, des pirates avait attaqué l’île. Mais pas des pirates comme Luffy; des brutes saoules de 200 livres chargées d’épées qui tuaient tout ce qui bougeait, voir leur compagnons. Raison pour laquelle les pirates étaient mal accueillis. À présent, tout le monde écoutait, Zolo s’était réveillé et nous prenions une mine compatissante. Marika avait une grande famille : deux grandes sœurs, et deux petits frères jumeaux. Hé bien, toute sa famille avait passée à la boucherie sous ses yeux de fillette. Tous sauf un de ses frères, le plus fétiche et fragile, dernier né, si petit que les pirates ne l’avait pas vu, caché dans son berceau sous la table renversé de la maison en feu. Marika, elle, avait du courir en tout sens et se cacher partout ou elle le pouvait. Cette nuit avait été le pire et le plus long de tous ces cauchemars. L’air sentait la chaire brûlé, elle entendait les villageois qu’elle aimait crier en se consumant dans l’élément motel qu’est le feu. L’île ressemblait a une charcuterie qui aurait explosée et enflammée. Marika se disant que les pirates ne viendrait pas la chercher dans les endroits déjà exterminés, elle rentra se cacher dans sa maison, ou elle trouva son frère. Elle alla le porter en douce à sa voisine qui avait survécu pour l’instant. Elle n’a jamais su ce que la voisine avait fait du petit garçon de quelques mois, car quelles que minutes plus tard, la femme était à ses pieds, traversée de balles et le petit gars disparut... Dans les semaines qui suivirent le départ des assassins, partis comme ils étaient venus, elle avait désespérément cherché le cadavre de son frère pour lui faire un enterrement digne de son nom mais elle ne l’a jamais retrouvé. Sur ces mots, une larme coula sur la joue de Marika. Nous la consolâmes mais elle nous assura qu’elle savait qu’ils seraient mieux au ciel. Zolo et moi ayant vécu se genre d’histoire la rassurâmes, elle avait raison. Tout ce qu’on pouvait faire, c’était honorer leurs mémoires. Zolo retira son capuchon en signe de compassion.

« Hé Zolo! Dit Luffy, T’as les cheveux verts!
C’est bon t’es pas obligé de m’insulter à chaque fois que je me découvre la tête, répliqua Zolo en perdant subitement son air attristé
Non, je veux dire comme Marika!»

Nous regardâmes tous Zolo et Marika un à la fois. Il avait raison.

« Et alors? Il y a un gars au Baratie qui avait d’horribles cheveux verts pâles et court et croyez moi, ce gars n’avait aucun lien de parenté avec moi!
Et beaucoup de monde sur cette île on les cheveux verts, orange ou même rose, dit indifféremment Marika en haussant les épaules
Hooo! On a trouvé une petite amie pour Zoli Chéri! Se moqua Sanji»

Mais il reçu une violente claque de… Marika ou moi, je sais pas qui l’a touché en première.

« Avez-vous fin? Demanda Marika
Ça commence, là, dit Pipo
Comment-ça, ça commence? Je veux manger maintenant! hurla Luffy»

Marika eu les cheveux ventilés vers l’arrière par Luffy. Il est vrai qu’on n’avait pas pris le petit déjeuné, ni la collation du matin, ni celle de l’avant-midi, ni la pause goûté… Elle sourit et nous conduisit à la salle à manger… un restaurant, oui! Il y avait d’innombrables tables rondes revêtues d’une nappe carottée rouge et blanc, éparpillées dans la grande salle aux murs et planché de bois. Les fenêtres filtraient la lumières par des rideaux aux motifs d’oies et d’enfants qui semaient le blé, brodés aux extrémités, s’agitant doucement sous la délicate brise des vitres entrouvertes. Un piano attendait un joueur dans le coin de la salle, un violon endormi sur son clavier. Au foyer dans lequel crépitait un feu, un chien dormait roulé en boule sur un tapis représentant des feuilles pointues d’un arbre inconnu à nos yeux. Sur chaque table, une lampe à l’huile, un bouquet de fleur et une miche de pain. Nous nous installâmes sur les tables. Luffy, Zolo, Marika et moi à une table et Sanji, Pipo, Chopper à une autre. Marika prit les commandes mais les menus étant d’une langue étrangère, elle nous servit tous la même chose : une tranche de jambon, des oeufs brouillés et des fèves au lard, et un pot de bacon par table. Toutes nos assiettes baignaient dans une substance dorée et sucrée. Sanji n’arrêtait pas de répéter qu’il voulait la recette, Luffy se lichait les doigts et délectait tout tranquillement, Zolo remercia Marika mais ne mangea pas énormément car le sucré lui tombait sur le cœur après une journée sans manger, étonnamment je demandai une deuxième part, Pipo était aux anges et Chopper ne mangea que les fèves et le pain, il ne voulait pas avoir l’air d’un carnivore. Pendant un instant, nous étions tous accotés sur les dossiers des chaises, l’air complètement stupide d’une personne repus et contente.

« Marika, je sais que ça à l’air niaiseux, dis-je en pensant à voix haute, mais peut-être que Zolo est ton frère?
Non. Mon frère ne s’appelait pas Zolo et je ne pense pas qu’il est pu survivre seul à deux mois, traverser l’océan et revenir dix-neuf ans plus tard.
Désolé, je ne voulait pas te faire de la peine.»

Elle avait raison, c’était irréaliste. Zolo avait sûrement été laissé par des gens plus proches de l’île où il a grandi. Alors que je réfléchissait en regardant mon assiette vide, les autres commençaient à s’agiter.

« À quand le dessert? Demanda Luffy
Suivez moi dehors, répondit Marika»

Nous sortîmes à l’extérieur, prêts à affronter la température avec notre nouvel tenue. Marika nous mena par un sentier de boue et de terre à travers le champs jusqu’à la lisière d’une forêt. Il y avait des tonneaux, des planches de bois, des lames de couteau recourbées, des anses de métal, de la corde.

« Pour manger, il faut travailler, dit Marika, ça vous fera de quoi à faire et ça va m’avancer dans mon boulot.
C’est de l’exploitation! Se plaignit Luffy
Oui, répondit indifféremment la jeune fille, quand il y a de la main d’œuvre, autant en profiter!
On va être payer comment? S’essaya Sanji
En dessert.
Quand est-ce qu’on commence? S’exclama Luffy
Et bien il faut d’abord fabriquer les barils en équipe de deux.
D’acc!»

Luffy se plaça avec Zolo, Pipo avec Chopper et Sanji, Marika avec moi. Après une demi-heure de travail, la première équipe avait fait cinq tonneaux, étant de loin la plus forte physiquement, la deuxième quatre, ils étaient plus nombreux, et mon équipe deux. Ne riez pas, nos barils étaient parfaits!!! Une fois tous ces contenant fabriqués, c’est le moment que Marika choisi pour nous dire qu’on en a besoin d’un seul! Je crois que Luffy serait tombé sans connaissance s’il n’y avait pas eu du dessert au bout de tout ça… Ensuite, avec les mêmes équipes, il fallait…

« Récolter de la sève de quoi!? Redemanda Luffy pour la cinquième fois
D’é-ra-ble! criait Marika
D’érableu?
De la sève d’érable, tout court!
D’érabletoucour?
D’érable!!! Point!!! s’exaspéra la jeune fille
D’érablepoint?
On y va-tu ramasser cette sève d’érable? demandai-je
Ha, d’érable! dit Luffy, il fallait être plus clair!»

Il y eu un instant de silence

« C’est quoi ça? dit Luffy»

Nous partîmes tous à rire. Il était stupide mais drôle!
Chaque équipe partit avec une lame et un seau pour récolter la sève après que Marika nous ait expliqué comment faire. Ça avait air assez facile… on se trompait. Seul l’équipe de Sanji réussit à faire couler un peu d’eau sucrée dans leur pot. Et la mienne, bien sûr, car je suis avec Marika. Par après, on versa notre commun de sève dans le plus beau baril que Marika chauffa sur le feu environ deux heures. Notre dessert, on le mériterait! Une agréable odeur de sucre nous envahit. Deux hommes qui passaient par là saluèrent notre nouvelle compagne.

« Salve, Marikae! Est novis navis in mari?
Salve. Navis amicibus est.»

Nous tournâmes tous lentement la tête vers Marika, l’air incrédule, en attendant un explication. Elle nous regarda joyeusement, comme si de rien était.

« Quoi? Demanda-t-elle
C’est quoi cette langue? Répondit Pipo en question
Du latin. Sur cette île, on est très conservateurs.
Pourquoi tu nous parle dans notre langage à nous?
Quand je vous aie entendu crier l’autre nuit, j’aie compris que vous parliez la langue commune, notre langue seconde.
Et qu’est-ce qu’ils ont dit, eux? Demanda Zolo
Ils ont remarqué la présence de votre bateau et m’en informait… Tiens, c’est prêt!»

Elle nous présenta le met, un horrible moton brun collant après sa cuillère, et le versa sur la neige, non sans une exclamation de Sanji qui détestait gaspiller de la bouffe. Elle prit une branche et la roula dans une tracée du «dessert» pour ensuite se la mettre dans la bouche. Il n’y avait pas de limite à la conservation! Nous l’imitâmes.

« INCROYABLE!
FABULEUX!
SUBLIME! »

Il y eu un moment de silence.

« C’est quoi? demanda Luffy d’un air particulièrement idiot
C’est ce que l’on nomme de la tire d’érable!
De la cire d’oreille? Ouach!»

VLAN! Je venais de couper court à la conversation. Ou bien étais-ce Marika? Décidément, elle me plait cette petite! D’accord, si on fait le calcul, elle à presque vingt-quatre ans, donc cinq ans de plus que moi. Pour en revenir à la tire, c’était vraiment excellent! Sucré à soit et fondant dans la bouche. Sanji exigait à présent un livre de recette rustique et un érable sur le vogue Merry. Marika nous donna chacun trois coupes remplies du délicieux dessert, qu’on aurait plus appelé des petits seaux, un pour maintenant et deux en réserve. Mais Luffy n’avait rien compris. Il avait tout mangé les siens, plus ceux de Zolo pour qui le sucre donnait mal au cœur et un de ceux de Pipo sans son consentement. Mais après, Luffy afficha un air particulièrement dégoûté et plutôt verdate.

« Je me sens pas bien, pas bien du tout…
J’ai bien essayé de t’avertir, mais tu t’es goinfré trop vite! Le sucre d’érable n’est bon quand quantité limitée! Déclara Marika.
Espèce de porc! Et toi Zolo, arrête de jouer avec tes coupes! Que dira Marika chérie quand elle verra ça? S’énerva Sanji.
Je dirai qu’on n’a pas le droit de fumer dans un érablière, dit Marika sans même se retourner. »

Puis elle se leva, arracha sa cigarette à Sanji et la flanqua violemment dans une bûche taillée en rond qu’elle recouvrit de neige avant de la jeter.

« Je te dirais presque que c’est dégoûtant et que tu es affreux à voir avec une cigarette, continua-t-elle.
Dis-moi le donc!
C’est dégoûtant et tu es affreux à voir avec une.
Tu l’as pas dis au complet.
J’ai dit que je te le dirais presque!»

Bien envoyé. Vraiment, elle va aller loin dans la vie! Personne ne c’était rendu compte que pendant ce temps j’avais torturé Luffy avec un bâton de tire.

« Allez Luffy, dit Marika en s’accroupissant près du capitaine, tu voulais un party, tu vas en avoir un.
Cool! S’exclama Luffy tout en se redressant et en perdant subitement sa teint verte.»

Tous les autres eurent une réaction à peu près semblabe. Marika nous fit retraverser le champs où se promenait à présent quelques oiseaux de basse court, y compris de magnifique faisant qui firent baver Sanji. Elle nous ramena dans la maison-resto.

« C’est le paradis, ici, murmura Sanji, une belle fille et de la bouffe à volonté…»



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