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kING D Zanza Présente
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Salut à toute la racaille, qu’elle soit jeune, âgée, maudite des eaux ou non. Je me présente, KING D Zanza, conteur. Je vais vous raconter l’histoire d’un des nombreux pirates qui vécu de grandes aventures rien que pour réaliser ses rêves. Lui et son équipage écumèrent toute leur vie Grandline et ont rencontrés des personnes connues, dont le célèbre Luffy au chapeau de paille, celui qui est devenu depuis le second seigneur des pirates…
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Chapitre XXVIII : COMBAT
ABREGE
Ziggy avait du mal à lutter contre la force et
l’agilité de Cujo. Il se retrouva plusieurs fois à terre mais se
relevait toujours.
Cujo : Abandonne, je suis plus fort
que toi, ça se voit. Ziggy : C’est que je n’ai pas envie
de me battre moi. Cujo :
Parce que sauver sa vie n’est pas une bonne raison de se battre ?
Ziggy s’assoie et souffla un bon coup sous le regard
interrogateur de Cujo qui observait bien ses mains au cas où
celui-ci tenterait en traître le coup des fils tranchants.
Ziggy : Pourquoi tu
en veux autant à un homme comme Dalton. Cujo : Je t’ai déjà dit que cela ne
te regardait pas. Ziggy :
SI !! Cela me regarde ! Si je me bats, c’est pour sauver ce royaume
ET Dalton.
Cujo s’assoie à son tour et réfléchis. Puis il
regarda Ziggy droit dans les yeux.
Cujo : Comme tu le sais, j’ai été
élevé ici par mes parents. Et Dalton les a tués ! Ziggy : Impossible ! Je ne te crois
pas ! Cujo : Oh ! Pas
directement ! Mes parents étaient médecins et pendant le règne de
Wapol, ils furent persécutés. Ziggy : J’en suis désolé… Cujo : Et c’est Dalton qui les as
fait capturer et amenés à Wapol ! Et cet enfoiré de « bouffe tout »
les a fait exécuter !!! Au départ, j’ai fait parti de l’équipage de
Quatro pour pouvoir tuer Wapol de mes mains mais Dalton a pris sa
place et le peuple souffre toujours !!! Ziggy : Idiot… Cujo : *se relevant brusquement et se préparant à
frapper Ziggy* Comment !!??
Cujo fonça tête baissée
vers Ziggy, prêt à lui envoyer un coup de poing magistral mais le
médecin se releva et sauta en l’air.
Ziggy : SPIDER COCCON !!!
Cujo n’eu pas le temps de réagir que Ziggy fit de grands
gestes avec son gant gauche et saucissonna son adversaire qui se
retrouva tel une momie.
Cujo : *tombant à terre*Merde ! Enfoiré !
Ziggy : T’en fait pas,
Seul le gant droit est fait de câbles tranchants. L’autre sert juste
à immobiliser… Maintenant, tu vas m’écouter. Je vais te dire ce qui
s’est passé depuis ton départ. Cujo : Et comment pourrais-tu la
connaître l’histoire. Ziggy : Parce qu’une amie me la
racontée… ______________________________ Grottes de Willem, sortie ouest
:
Ebony :
L’imbécile ! A quoi ça a lui a servi de faire ça ! Evony : Soeurette… J’ai… mal…
Ebony : Evony, tu es
réveillée. Comment tu vas ? Evony : Je peux même plus bouger le
petit doigt. Et pas un seul beau mec pour me faire du bouche à
bouche… Elle est où l’autre fille ? Tu l’as éliminée ? Ebony : Tu parles, on s’est fait
laminés en beauté, et en plus elle nous a sauvé la vie. Evony : Alors on a une dette de vie
envers elle. Comme avec le capitaine… Tu sais ce que ça veut dire.
On va l’aider, c’est notre honneur qui est en jeu. Ebony : T’as raison, on a assez
servi le capitaine Quatro, mais elle a clamsé. Evony : Dommage…
Elle m’aurait conduit à n°5680… HA ha ha ha ! ??? : Y’a toujours moyen !
Les deux sœurs se retournèrent. Elles n’en crurent pas leurs
oreilles mais la voix provenait de derrière l’amoncellement de
rochers qui bouchaient l’entrée de la grotte.
Elie : Pulvériser tout ce qui
rencontre mon courroux ! METEOR STRIKE !!!
Les rocher
semblèrent exploser sous la force du coup et Elie ressorti alors de
la grotte avant qu’un nouvel éboulement ne se produise.
Evony : Cette fille
m’en bouche un coin… Elie
: Maintenant que tout le monde est en vie, je vais y aller.
Ebony : Attends, j’ai une
dette envers toi pour avoir sauvé ma sœur et moi ! Elie : Tout ce que j’attends de
vous, c’est que vous filiez le plus loin possible de cette île et
que vous arrêtez la piraterie comme vous la pratiquiez jusqu'à
présent. C’est tout. Tâchez de ne plus me gêner. Bye !!!
Les
deux jeunes femmes n’eurent pas le temps de réagir que leur
Adversaire s’en alla. Toutes deux se regardèrent dans les yeux puis
Ebony porta sa sœur, qui semblait aller mieux et elles partirent
dans la direction opposée.
Ebony : C’est une personne
sympathique celle-là. Pfff ! Elle qui se prends pour une pirate
justicière, elle a de quoi réaliser son rêve… Evony : Dommage aussi que ce ne
soit pas un mec, je l’aurais épousée de suite…
_____________________________ Mont Willem :
Cujo : Menteur !
Pourquoi je devrais te croire ! Ziggy : Parce que c’est la vérité.
C’est ce que je sais de cette île. Dalton s’est rebellé contre
Wapol. Cujo : *se relevant* Cela n’empêche pas
qu’il doit payer pour son crime ! Il va mourir ! J’ai appris que
seul les forts survivent dans la vie ! Ziggy : C’est pourquoi ils se
doivent de sauver les faibles. Cujo : Ça suffit ! Je dois d’abord
venger mes parents. Tant pis pour les autres ! Je vais en finir avec
toi ! Ziggy : *se relevant* Ne bouge pas trop
sinon tes liens vont se resserrer ! Et puis merde à la fin, tu ne
vois pas que Quatro sera bien pire que Wapol ! Cujo : Han ! Yahaaa !!
Ziggy n’en cru pas ses oreilles. Il entendit un craquement
venant des épaules de Cujo puis les liens tombèrent à terre.
Ziggy : C’est pas
vrai, tu t’es… Tu t’es déboîté toi-même les deux épaules ! Cujo : *refaisant craquer ces épaules*
Tout à fait, c’est une chose que j’ai appris. Je peux me déboîter la
plupart de mes articulations Maintenant, je vais te tuer et je vais
assister à l’exécution de Dalton. Ziggy : Mais !
Ziggy ne pus
rien dire d’autre que Cujo se jeta sur lui et sauta les pieds en
avant, frappant le jeune médecin en plein torse.
Cujo : JUMPING DOUBLE KICK !!! Et
le coup de grâce !
Ziggy eu juste le temps de se révéler
qu’il aperçu Cujo, les deux bras en croix, le frapper en pleine
gorge puis le saisir par le col et lui donner un coup de genoux en
pleine tête. Enfin, il redressa Ziggy et l’envoya contre un mur
Cujo : Voilà le
travail, avec des coups pareils, tu ne vas pas te relever de si tôt
toi… Hum ! Que !!??
Cujo se mit à cracher du sang. Il n’en
croyait pas ses yeux, comment son adversaire a-t-il pus ? Il
remarqua alors à travers ses vêtements de larges hématomes sur le
torse. Il commençait désormais à ressentir la douleur. Respirant un
bon coup, il regarda en direction de Ziggy qui se relevait
péniblement.
Cujo :
Comment est-ce que tu as réussi ? Ziggy : Urgh… A chaque coup que tu
m’as donné, tu as reçu un petit de la part de mes poings. Mais tu
étais tellement concentré dans tes attaques que tu n’as rien senti
sur le coup. J’ai frappé exprès près d’organes vitaux, tu doit avoir
quelques cotes cassées et tes poumons et ton foie en en prix un
sacré coup. Cujo : Tu es
donc aussi à l’aise à distance qu’au corps à corps…. Ziggy : Pas plus que toi, mais tout
en étant médecin, je sais quels endroits frapper précisément pour le
plus de dégâts en moins de coups… Seulement… Cujo : Seulement, tu es trop
grièvement blessé pour continuer… Alors que moi !!
Cujo se
jeta de nouveaux vers Ziggy qui ne broncha presque pas. Il leva
juste son gant gauche.
Ziggy : Tu serais normalement déjà
à terre après ce que je t’ai fait, mais tu as un sacré mental. Cela
te suffit à surpasser la douleur. Cujo : Qu’importe la douleur si
j’ai ma vengeance ! Ziggy
: Je n’ai plus la force de me battre, on va dire q’on est Ex æquo OK
? Cujo : Meurs !!!
Mais Cujo frappa dans le vide ! Ziggy disparut de sa
vue. Lorsqu’il se retourna pour voir où était son adversaire, il le
vit au bord du ravin, la fleur qu’il cherchait tant à la main.
Cujo : Comment tu as
pus faire ça dans ton état ? Ziggy : j’avais tout prévu. Regarde
ma main…
Cujo regarda alors et vit un rocher qui bordait le
ravin et remarqua un fil d’acier autour de lui. Cujo : Tout à l’heure, quand tu as
levé la main gauche... Ziggy : En fait, je l’ai fait pour
que ton attention soit attirée par elle. J’avais ficelé ce rocher
avec le gant droit lorsque tu m’as envoyé contre le mur ; il m’a
alors suffit de rembobiner… J’ai cueilli la fleur en passant…
Maintenant au revoir !
Cujo ne pus réagir que son adversaire
se jeta dans le vide.
Cujo : J’ai perdu mon pari on
dirait… *s’en va reprendre ses
bombes* IL ne me reste plus qu’a retourner au palais pour
l’exécution. Désolé mais je ferait tout pour vous empêcher de nuire
aux projets du capitaine… Tant qu’ils concordent avec les miens…
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