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kING D Zanza Présente
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Salut à toute la racaille, qu’elle soit jeune, âgée, maudite des eaux ou non. Je me présente, KING D Zanza, conteur. Je vais vous raconter l’histoire d’un des nombreux pirates qui vécu de grandes aventures rien que pour réaliser ses rêves. Lui et son équipage écumèrent toute leur vie Grandline et ont rencontrés des personnes connues, dont le célèbre Luffy au chapeau de paille, celui qui est devenu depuis le second seigneur des pirates…
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Chapitre XXXI : 3ème
ROUND
Quatro
: Toute cette agitation est frustrante. Ne pensez-vous pas la
même chose Dalton ? Dalton : *agenouillé, les mains attachées et un
homme en noir à ses cotés* Qu’y a-t-il ? Vous avez peur ?
Quatro se leva et s’en alla regarder par la fenêtre ce qui
se passait. On ne distinguait rien du village de là-haut. Juste de
la neige à perte de vue. Tout à l’heure, alors qu’il parlait aux
intrépides qui le narguaient, il avait observé à la longue-vue la
débandade de ses hommes face à un équipage très minimaliste et à la
trahison de deux de ses lieutenants. C’était décidé, une fois
qu’il aurait tué de ses propres mains les traîtres, il remettrait de
l’ordre là dedans et prendrait un malin plaisir à profiter de la
situation. Il sourit et essuya son monocle avec un pan de sa
chemise. Ce fut à ce moment que Cujo entra dans la pièce entouré de
deux gardes.
Cujo :
Capitaine, nous avons des grains de sable… Quatro : J’ai vu… Cujo : Evony et Ebony nous ont
trahis ; et Sly est introuvable, il a dû se faire avoir… Quatro : Je le pense aussi.
Qu’allons-nous faire alors Cujo ? *sourire* Cujo : … Compris, je m’en occupe.
J’ai un compte à régler avec l’un d’entre eux. Quatro : Nous n’avons pas assez
d’hommes pour tous les avoir. J’attendrais que les autres viennent à
moi.
_____________________________ Téléphérique :
Ed : Aaaah ! J’me
sens mieux maintenant ! Ziggy : C’est sûr. Sans ces liens,
tu vas être plus libre de tes mouvements… Ed : Et une bonne baston pour me
dégourdir un peu ! Al :
Pas le temps, on doit d’abord trouver la réserve d’eau du système
anti-incendie… Kadja :
Pourquoi faire ? Elie :
On va mettre notre mixture là-dedans et les effets du poison seront
nuls dès qu’ils auront pris tous la douche. Pigé ? Kadja : Bon, tant que vous ne me
gênez pas pour Quatro… Ça me botte… Al : Préparez-vous, on arrive
Le téléphérique s’arrêta lentement et tous descendirent,
sauf Ziggy. Il regarda en l’air un instant avant de faire comme les
autres, puis regarda Alexia dans les yeux. Celle-ci fit de même
avant de se tourner vers les autres.
Al : Bon, il y a deux réservoirs.
Kadja et Elie, allez vers celui de la tour droite, moi et Ed on
s’occupe de l’autre. Ziggy, on te laisse à tes affaires… Ziggy : Merci. Allez-y, je le
retiens. Elie, Kadja, Ed
: Hein ? Al : Pas de
temps à perdre ! On y va !!!
Tous coururent vers le château,
laissant Ziggy patienter sur la neige. Dès qu’ils entrèrent,
celui-ci scruta l’horizon et mit ses gants. Puis il regarda en
l’air, tranquillement.
Ziggy : T’attends quoi ? Qu’il
pleuve ? Je sais que tu es là, je peux sentir ta présence.
Le silence se fit oppressant. Ziggy se retourna, face au
château enneigé de l’ancien roi Wapol, celui qui fut le théâtre de
la mort d’un médecin mais aussi de la fin d’un règne sans partage.
Un nouveau règne voulait voir le jour, mais personne ne voulait
revivre la terreur passée. Ziggy ne le savait pas, mais à ce moment
même, des habitants, voyant que les pirates se faisaient dégommer
par une poignée de personnes, avaient rejoint les rangs d’une
nouvelle rébellion.
Ziggy : Bon, si tu ne veux pas
sortir, je vais te forcer à le faire… SPIDER ATTACK !!
Ziggy
visa précisément la gauche de la porte du château. C’est alors que
quelque chose sortie de la neige et fonça vers lui. Cujo semblait
fou de rage envers son adversaire qui ne fut aucunement
impressionné. Le médecin esquiva le coup de pied de son adversaire
et en profita pour le frapper d’un coup de poing en plein dans les
côtes flottantes qui laissèrent échapper un bruit de craquement.
Ziggy : Enfin sorti
de ton trou toi. Cujo :
*les yeux lançant des
éclairs* Tu avait ressenti ma présence tu dit ? Ziggy : Tu avais de telles envies
de meurtres que tu en respirais trop fort. Je n’avais encore jamais
vu de la neige fumer auparavant. Tu commences à perdre ton
sang-froid encore une fois. Cujo
: C’est parce que tant que vous resterez en vie, l’exécution
ne se fera pas. J’ai attendu si longtemps que je commence à en avoir
assez de vous tous. Ziggy
: Allons, tu as attendu si longtemps, qu’est-ce que ça te ferait de
patienter encore un peu. Mais qu’est-ce que je raconte moi, il ne se
passera rien. Cujo : Vous
oubliez le capitaine. La nature de ses pouvoirs nous est inconnue,
même à nous qui sommes de son équipage. Et avec lui, vous
n’obtiendrez jamais l’albufruit. Ziggy : *sourire* Et qui te dit qu’on ne
l’a pas déjà ? Cujo :
Que… Impossible ! A moins que… JE vois, traîtres jusqu’au bout.
Ziggy : Le traître ici,
c’est toi, traître à ton pays. Cujo : SALOPARD !!! ETREINTE DE
L’ANACONDA !!
Cujo parût fou de rage lorsqu’il tenta son
attaque contre Ziggy. Celui-ci fit alors ressortir des filins
enfouis sous la neige qui encerclèrent son adversaire. Cujo, sous le
coup de la colère ne réagit pas suffisamment à temps pour tous les
éviter et retomba à terre, un peu blessé de partout.
Cujo : Bon sang… Ziggy : Je n’aime pas la violence,
mais là, je dois t’arrêter. Cujo : Tu n’insinues tout de même
pas que tu retenais tes coups tout à l’heure ? Ziggy : L’inconvénient d’un combat
pour moi, c’est que je me sens toujours obligé de soigner les
autres. Même ceux que je viens de rétamer. Appelles ça de la
conscience professionnelle… Cujo
: Mais t’es quoi au juste ? Un con ? Ziggy : Non, un médecin… Cujo : Alors, je vais te donner de
quoi faire ta propre autopsie…PLUIE DE BOMBES !!! Ziggy : Des bombes ? Bien, je vais
te montrer u’en vérité je ne retenais pas mes coups. Cujo : Yah ah ah !! Alors en quoi
tu m’es supérieur ? Ziggy
: Alors, pour faire un bon médecin, il faut : Premièrement, savoir
garder son sang-froid… Qualité que tu n’as pas et qui pousse à
l’erreur d’appréciation…
Cujo n’écouta plus Ziggy et
ressorti de ses manches une multitude de petites bombes. Pour une
pluie de bombe, c’est c’était bien une car une bonne dizaine
foncèrent droit vers le jeune médecin. Cependant, dans un geste
rapide, Ziggy agita les bras et ses câbles d’acier coupèrent toutes
les mèches des mini bombes.
Cujo : *ahuri *Comment ?! Ziggy : Seconde qualité d’un
médecin : Une précision sans faille dans les gestes, sans gâchis.
Pratique pour la chirurgie… Cujo
: Saloperie !!! J’arrive !!! *fonce vers le médecin, un poignard à la
main* j’vais te tuer ! Ziggy : Si tu est si en colère
contre toi, pourquoi te venger sur les autres ? Cujo : *soudain hésitant*Hein ? Ziggy : Ton esprit est trop embrumé
pour comprendre que tu fais fausse route, tu es prêt à faire tuer
tout le monde pour te prouver que tu es fort… Cujo : ASSEZ !! Ziggy : Bha tu vois ! Tu le sais
toi aussi… Cujo : JE suis
assez fort pour te tuer !
Cujo se prépara à lancer son
attaque mais Ziggy le prit de court en venant de lui-même à sa
rencontre, troquant les fils d’acier pour ses fidèles yo-yo. L’homme
de Quatro ne resta pas surprit fort longtemps et fit de même. Après
tout, il avait pu voir qu’au corps à corps, son adversaire était
plus faible.
Ziggy :
Si je gagne, alors tu fera tout pour sauver le peuple que tes
parents voulaient soigner !!! Cujo : Dans tes rêves !
Soudain Ziggy écarta les deux bras et lança ses deux armes
vers des piliers. Cujo ne comprenait pas ce que son adversaire
faisait lorsque les yo-yo, s’enroulèrent autour des piliers puis
continuèrent leur course vers lui.
Cujo : C’est quoi ça encore !?
Ziggy : Technique
mortelle ! STAR SACRIFICE !!!
Cujo n’en cru pas ses yeux.
Les deux yo-yo s’enroulèrent autour de ses poignets et il parti
vivement en arrière lorsque Ziggy tira. Cujo se retrouva alors bras
écarté entre les deux piliers et Ziggy fonçant à toute allure vers
lui.
Ziggy :
Finalement la vengeance n’aura fait que rendre ton esprit faible.
Laisses-moi te remettre les idées en place. Bonne nuit !!! Cujo : Non !!
Cujo ne pu
bouger et vit Ziggy sauter, les deux pieds en avant pour le frapper
au visage. C’est alors qu’il s’évanouie. Il revit ses parents se
borner à vouloir soigner les autres malgré les ordres de Wapol. Et
il se souvint du jour de leur exécution, et de l’envie qu’il avait
eu de tuer le tyran mais quelqu’un, le voyant un poignard à la main,
se saisit de lui et l’éloigna de la foule et de Wapol. LE visage de
cet homme il l’avait oublié jusqu'à présent mais il le reconnut.
C’était celui de Dalton. Et il pleurait. « -N’y pense pas. Tu es trop faible. Tes
parents préfèreraient te voir vivre. -J’vais tuer l’autre bouffe
tout !! -Personne ne peut encore le vaincre, même moi.
J’attendrais aussi longtemps que possible la personne qui nous
sauvera. -Alors ce sera moi ! Laissez-moi y aller !!! - Toi
tu auras un autre rôle ! - Et lequel ? -Aider à protéger
l’île que nous aurons libérée… »
Cujo : Ah !
Cujo se
réveilla en sueur. Les gouttes perlaient sur se pansements.
Pansements ? Il remarqua qu’il en avait un autour de la tête et du
torse, là où Ziggy l’avait lacéré. D’ailleurs le jeune médecin était
à ses cotés.
Ziggy :
Alors, enfin réveillé ? Cujo : Ouaip. Ziggy : Je t’ai remis les idées en
place ? Cujo : Ouaip.
Ziggy : Alors ? Cujo : Alors qu’est-ce qu’on
attends pour aller exploser Quatro. C’est la moindre des choses
après la connerie que j’ai faite…
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