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kING D Zanza Présente
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Le trésor perdu de San Faldo
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Attention à tout ceux qui désirent lire cette Fan fic. Celle-ci se déroule après le dernier Arc de One Piece actuellement en parution au japon. Je vous averti donc que je ferais ici et là du Spoil. Certaines choses apparaissant ici tiennent compte de théories tel un hypothétique nouveau membre d’équipage….
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Chapitre IX : MUTINERIE
Sandy rentrait tranquillement au port. La soirée s’était
plutôt mal passée pour lui lorsque l’ex-petit ami de la fille avec
qui il avait pris rendez-vous s’était pointé. Oh ! Pas parce
qu’il était fort (c’était en vérité un mec assez banal), mais parce
qu’après l’avoir fait volé à l’autre bout du bar, la jeune femme
s’était précipitée vers le gars en question et lui demandait si tout
allait bien tout en insultant le pauvre cuistot de noms d’oiseaux,
dont certains lui étaient inconnus…
Sandy : Pff ! Et dire qu’elle
m’avait demandé de me débarrasser de lui… Les femmes… M’empêche
qu’elle était super mignonne !!!!* dansant avec une personne
imaginaire* La valse de l’amour m’a joué un bien beau tour
!!! Oh ! Charlene chérie !!! Reviens ! Hum ??!!
Le cuistot
n’en cru pas ses yeux. Alors qu’il était encore dans ses pensées,
une ombre surgie non loin du navire, tombant sur les genoux, la main
gauche maintenant la droite. Et cette forme lui semblait familière…
Sandy : *Courrant comme un dératé* Robin
Chérie !!!!
Lorsque Robin se réveilla, tout l’équipage
était autour d’elle. Chopper soignait ses blessures alors que Sandy
pleurait comme une madeleine. Tout les autres attendaient le
diagnostic du médecin de bord. Elle n’avait heureusement rien de
grave, juste quelques contusions et le crâne quelques peu
douloureux.
Robin :
Hum, que s’est-il passé ? Chopper : Sandy t’a trouvé près du
bateau. Tu était évanouie et… Sandy : ROBIN CHERIE !!! Mon coeur
saigne de te savoir dans cet état !!! Nami : *assommant le cuistot* Du calme
toi, elle est en pleine convalescence… Luffy : Qui t’a fait ça Robin…
Franky : Et Zack !!!
J’suis sûr que tu étais avec elle quand tu t’es fait attaquer ! Si
il lui est arrivé quelque chose par ta faute !!! Zorro : *restant assis dans son coin* Dit
nous tout… Robin : … Il
faut retrouver le Big band orchestra, ce sont eux qui détiennent
Zack.
______________________________ Navire des big band pirates, le «
Swing »
Zack :
*se réveillant* Hum, Franky,
j’veux te démonter alors arrête de bouger… Hum ?! Haaaaaaaaa !!!
Qu’est ce que je fout là moi ?!
Zack regarda autour d’elle.
Visiblement, elle était enfermée dans la calle d’un navire. Elle
était enfermée dans une pièce dont le seul décor était du foin placé
à terre et une écuelle. Lorsqu’elle tenta de se lever, elle sentait
que son crâne allait exploser si elle réfléchissait un peu trop à la
situation… C’est alors que quelqu’un ouvrit la porte. Elle reconnu
aussitôt Samba et Be-bop, Zazou dormant comme à son habitude dans sa
chevelure. Derrière eux se dessinait l’ombre d’un gars encapuchonné.
Zack : Bon sang !!
Vous me voulez quoi ! Où est Robin ? Be-bop : Ce que je veut, je l’ai
obtenu *Montre le médaillon*
Quant à ton amie, elle a réussie à échapper à la « Death symphonia »
de Requiem… Zack :
C’était Lui qui jouais ! Et puis, pourquoi tu voulais mon médaillon
! Il est à moi c’était à mon père !!! Be-bop : C’était ? Il n’est donc
plus de ce monde. Il aura donc rejoint sa femme. Zack : T’as connu mon père ?
Be-bop : Samba, tu me
l’emmèneras dans ma cabine dès que nous serons assez loin de cette
île… Nous allons partir maintenant avant que le chapeau de paille
n’arrive. De plus nous devons être au rocher de lune avant ce soir…
Samba : A vos ordres
capitaine… Zack : Le
rocher de lune ? Pour quoi faire ? Be-bop : Récupérer le trésor qui me
revient de droit pardi… Zack : Comment ? Be-bop : Tu ne le sais peut-être
pas mais ton père et moi étions tout les deux dans le même équipage…
Ainsi que ta mère.
______________________________ Le Quartet, navire pirate, 12 ans
plus tôt :
Charleston, la vigie : Capitaine
Slow ! Île droit devant !!! Slow : Bien….vu…matelot… Be-…bop…
met le…cap Be-bop :
*Sans zazou et avec les cheveux
plaqués en arrière* …Droit devant, j’ai pigé…
Cela
faisait vingt jours que le navire avait quitté le port de Vila avec
un très beau souvenir : La carte d’un des trésors de Gold Roger et
la « clef », son médaillon. Slow était un vieux de la vieille, un
pirate qui naviguait déjà sous le règne du seigneur des pirates. Son
équipage n’était guère impressionnant, et l’une de ses dernières
recrues, Be-bop, était un homme plein d’ambition, mais également
quelqu’un prêt à tout pour s’enrichir et c’était peut-être la seule
réticence qu’il avait envers lui… Par contre l’autre… Lui était tout
aussi ambitieux, mais dans le bon sens, et la fille du capitaine ne
s’y était pas trompée. Elle était enceinte depuis quelques mois et
elle savait que l’accouchement était pour bientôt. En fait, vu
qu’elle était le médecin de bord, il fallait accoster au plus vite
afin de trouver un autre médecin pour l’aider à donner naissance.
Slow : Mélopée !!!
Nous…allons…bientôt…a… Mélopée : Accoster, je sais p’pa !
Slow : Arriver… Mélopée : Flûte, raté… ??? : Chérie, arrête de vouloir
finir ses phrases, tu sais bien que tu perd à chaque fois à ce petit
jeu.
Mélopée, avec son chignon et ses yeux verts se
tenait aux cotés de l’autre dernière recrue de l’équipage. Un homme
assez grand, portant un pantalon noir et des bottes pour tout
vêtements, il avait les cheveux blancs en bataille.
Be-bop : Tiens, le décoloré !
Comment ça va Boogie-woogie ? B.W : Raah ! Je t’ai déjà dit cent
fois que c’est ma couleur naturelle ! Et appelles-moi B.W., c’est
beaucoup mieux et court. Be-bop : Comme tu voudras vieux…
Slow : Be-bop… Tu…
prendras…Rock…avec toi. Vous irez… faire les…co… Mélopée : Les cons ? Les cornichons
? Les coachs ? Cordages !!! Slow
: Courses…. B.W. :
Ah ah ah !! Encore raté !
L’arrivée au port se fit
discrète, pavillon baissée. Rock, qui portait des lunettes noires à
l’époque était parti depuis déjà deux heures avec Be-bop, et la nuit
était assez bien avancée… Boogie et Mélopée étaient restés sur le
navire, prévoyant d’aller sur la terre ferme le lendemain. Lorsque
la jeune femme arriva à coté du père de son enfant, elle fut
surprise de le voir inquiet.
Mélopée : Qu’est-ce qu’il y a ? Tu
as des soucis mon chéri ? B.W. : Hum ? Non, ce n’est rien.
Mélopée : Arrête de dire
des bêtises, je sais quand tu me mens. B.W. : *avec un sourire forcé* A vrai
dire. Avant qu’il s’en aille, Be-bop m’a dit qu’il trouvait dommage
qu’une si belle fille soit tombée amoureuse d’un gars qui ne
pourrait pas la combler. Je crois qu’il est amoureux de toi… Et que
cela pourrait poser des problèmes entre nous. Mélopée : Et alors, si il n’est pas
content, c’est le même prix ! C’est toi que j’ai choisi c’est tout.
Et s’il n’est pas content, je l’assomme ! B.W. : Pas trop fort tout de même.
Tu te souviens de notre première rencontre ? Mélopée : Bien sûr, Tu m’as
bousculée et tu m’as dit « Excusez-moi monsieur » ! Tu n’as pas eu
le temps de constater ton erreur que je t’ai envoyé valser à travers
des tonneaux ! B.W. : Et
ton père t’as forcée à me soigner… Mélopée : Et quand tu t’était
réveillé tu m’avait demandé qui était le gros gars baraqué qui
t’avait mis dans cette état. B.W. : Et tu m’avais remis un pain
en pleine poire. Remarque, tu t’étais plus énervée pour le gros que
pour le « gars baraqué » ! Mélopée : Oui… Il faut dire aussi
que je manie très bien ma Lyre-arc et que cela t’avait valu d’être «
épinglé » contre le mur ! Aïe ! Encore… B.W. : Hé ! Ne me dit pas que…
Mélopée : *allongé sur une chaise longue qui
traînait par là* Si… Je crois que l’on va devoir voir ce
médecin plus vite que prévu… _____________________________
Port, non loin du
navire :
Rock
: *regardant à travers une
longue-vue* Bom ! Ce sera bientôt l’heure vieux… Be-bop : *jambes croisées sur un baril*Tu as
bien fait de me suivre Rock. Je n’oublierais pas lors du partage du
butin… Rock : Cette carte
et la clef nous rendrons riches… Et puis après on pourra piller
tranquillement sans ce gêneur de capitaine dans nos pattes…
Be-bop : Et très bientôt
ce sera moi le capitaine. La fortune sourie aux audacieux à ce que
l’on dit. Et bien, je suis assez audacieux pour tuer tous mes
compagnons. Tous sauf toi bien sûr. Rock : Et cette personne là aussi.
Si elle veut bien venir. Be-bop : Elle n’aura pas le choix
de toute façon… Vous êtes prêts les gars ?
Be-bop se releva
et se retourna vers une dizaine d’hommes armés de fusils et de
sabres. Devant eux se tenait leur chef, un homme édenté avec une
cicatrice refermant son œil gauche.
Balafré : Bien sûr mon gars, ont
est toujours prêts pour une bonne prime. Tu veux vraiment nous
laisser empocher une telle somme ? Qu’est-ce qui ne m’empêchera pas
de te tuer ? Be-bop :
Juste le fait que mon ami et moi n’avons pas de prime et que cela ne
t’intéresse pas de souiller ton sabre inutilement. Mais n’oublie
pas, laisses-moi la fille et le navire intact, c’est tout ce que je
te demande… Balafré : Si
tu veux mec. On va faire un massacre les gars !!!
Be-bop se
rapprocha de Rock qui tenait toujours sa longue-vue, à l’affût de
tout mouvements. Il était mousse sur le navire et maître coq. Lui
était au service de Slow depuis bientôt 8 ans et était tout assez
avide de richesses, mais ses facultés à plus obéir à des ordres qu’à
en donner ne lui donnait guère la trempe d’un capitaine. Be-bop
ayant de quoi le satisfaire, il n’hésita pas à le suivre dans son
projet de mutinerie. Be-bop posa la main sur l’épaule de son
homme de main qui le regardait. Rock sourie alors et pensa qu’il
était vraiment tombé sur celui qui le rendrait riche comme crésus.
Il se retourna alors vers les chasseurs de primes qui commencèrent à
prendre place dans leurs barques, prêts à rafler les 180 millions
que représentait tout l’équipage de Slow. Ce serait une belle
bataille, une belle mutinerie…
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