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kING D Zanza Présente
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Le trésor perdu de San Faldo
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Attention à tout ceux qui désirent lire cette Fan fic. Celle-ci se déroule après le dernier Arc de One Piece actuellement en parution au japon. Je vous averti donc que je ferais ici et là du Spoil. Certaines choses apparaissant ici tiennent compte de théories tel un hypothétique nouveau membre d’équipage….
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Chapitre X : SAUVETAGE
Tandis que Rock pensait que Be-bop le
rendrait riche comme crésus et avait abandonné la surveillance du
navire, Mélopée et B.W. embarquaient sur une barque sous le regard
inquiet du capitaine qui était le seul encore debout à cette heure.
Slow : Mélo…pée…
reviens… Mélopée : *soufflant comme elle pouvait pour oublier
la douleur* Bon on y va ! Tant qu’il finisse sa phrase,
j’aurais le temps de retomber enceinte ! Slow : Tiens…
Slow fouilla
dans sa poche et sorti un médaillon qui brillait d’une belle lumière
sous la pleine lune, laissant sortir un fin rayon à travers la
pierre qui se trouvait en son centre.
B.W. : Mais… c’est le médaillon du
décapité ! Pourquoi vous nous le donnez ? Slow : Aucune idée…
J’ai…envie…que…l’enfant…porte…ceci… B.W. : Vous êtes sûr ? Slow : Un cadeau…de
valeur…pour…sa…naissance… B.W. : Mais, on ne peux pas…
Mélopée : BON ! C’est
pour aujourd’hui ?! J’perds les eaux moi !!! B.W. : *sautant sur la barque et se préparant à
ramer comme un fou* A plus tard !!!
Les deux amoureux
s’en allèrent donc tandis que d’autres barques, sur lequelles se
trouvaient des chasseurs de primes et des mutins profitaient d’un
nuage masquant la lumière de la lune pour commettre un massacre…
______________________________ Hopital Gebeha :
Infirmière :
Asseyez-vous bon sang ! B.W. : J’peux pas, c’est beaucoup
trop long… Qu’est-ce qui se passe ? Infirmière : Comment voulez-vous
que je saches alors que je suis obligée de vous surveiller…
B.W. : Pff…
B.W.
s’en alla vers un distributeur et se pris un café bien serré
lorsqu’un brancard tiré par des infirmiers et un médecin failli le
bousculer.
B.W. : Hé
! Faites atten… Hé attendez !!!*jette son gobelet plein de café brûlant
sur la tête de l’infirmière* Attendez ! Médecin : Reculez, nous n’avons pas
le temps, cet homme est grièvement blessé ! B.W. : Charleston!! Charleston : Boogie. Tu est là. On
a été attaqués… B.W. : La
marine ? Charleston :
Pire, un des nôtres, pour la carte. C’est… ce sont Rock et Be-bop…
B.W. : Et les autres ?
Charleston : Quand j’ai
été blessé dans la bataille, le cap’tain m’a envoyé te prévenir de
t’enfuir avec Mélopée, que si ils vous trouveraient, ils auraient
gagn… Kof !
La pauvre vigie n’eut pas le temps de finir sa
phrase que l’homme aux cheveux blanc était déjà parti en direction
du port. Il avait prit sa guitare et tira sur le chevillier qui
était en fait la garde d’une épée dissimulée dans le manche de
l’instrument.
Infirmière : Monsieur ! Il y a un
problème ! Votre femme… __________________________________
Port :
B.W. : Pourvu que
j’arrive à temps. Bon sang, où est la barque ?!
Boogie était
trempé de sueur. Il avait couru comme un fou. Il avait du mal à
distinguer le Quartet de là où il était. Après avoir enfin trouvé la
barque, le silence qui régnait durant la traversée lui faisait
craindre le pire. Il finit de s’approcher l’entement, tenant l’épée
que dissimulait sa guitare entre les dents alors qu’il grimpait
discrètement par la corde d’amarrage.
Il retint un cri
lorsqu’il vit la vingtaine de membre d’équipage mort, gisant à
terre. Un attroupement était sur le pont. Quatre hommes qui lui
étaient inconnus sirotaient un verre de Rhum auprès des cadavres de
leurs compagnons.
Petit
gros : Wahou ! Ça a été une belle baston. Pas vrai chef ?
Balafré : Yep ! Dommage
que les autres soient tous morts. Ces types étaient vraiment forts.
Une chance que nos deux amis les mutins étaient là sinon on serait
tous en enfer... Petit
chauve : Pas grave chef ! Ça fera une plus grosse part chacun
!
Le balafré et les autres chasseurs de prime regardèrent
d’un œil noir le petit chauve. Le balafré sorti même une hache.
Balafré : Ne me dit
pas que tu te fous de tout les autres ? Ils se sont fait massacrés
par ses pirates à la con. Petit
gros : Ouaip ! Tu mériterais qu’on te descendes pour ce que
tu viens de dire mon gars. Petit
chauve : Hein ?! Mais je… Balafré : Yep ! On devrait te
buter… Mais t’a raison, notre part en sera plus grosse !!!! Fwa ha
ha !!! Bon, que font nos amis avec leur capitaine. Je croyais qu’ils
voulaient juste discuter… Petit
chauve : Et si on les buttaient tout de suite ? Balafré : Tu n’es pas un peu fou
par hasard ? Tu as vu les pouvoirs de ce Be-bop ? Il a buté une
bonne partie de ses anciens compagnons à lui tout seul ? T’en dit
quoi Brew ?
Boogie s’était approché furtivement des quatre
hommes et pu enfin voir le visage de Brew, le dernier larron. Il
n’avait rien dit jusqu'à présent et n’avait pas lâché sa bouteille
d’alcool. Il avait les cheveux noirs en brosse et une petite barbe
et portait de petites lunettes noires.
Brew : Moi j’vous dit que ce mec
est barje. Y’a pas une aut’ bouteille ? Petit chauve : Arrêtes de boire
Brew ! T’es toujours bourré ! Brew : Et alors ! Viens te battre
si t’es pas d’accord. Balafré
: Arrête Brew, si t’était pas si fort, je t’aura viré à coup
de pieds au cul… Brew :
*Marmonnant dans sa barbe*
T’inquiète mec, j’te buterais avant… « My hearts belong to daddy !!»
Balafré : ça y est, il
rechante…
Boogie arriva enfin près de la fenêtre menant au
bureau du capitaine et ce qu’il vit le mit dans une colère noire. Il
pu voir Be-bop et Rock, cote à cote, se tenant devant le capitaine,
assit à terre et qui semblait avoir été battu à mort.
Be-bop : Alors vieux fou sénile,
que dit-tu de mon pouvoir ? Pas mal n’est-ce pas. Slow : Tu m’avais… Caché… Be-bop : Je l’ai depuis trois ans
maintenant. Mais je préférais garder l’effet de surprise. Rock : Bom ! Même moi, j’en suis
étonné… Be-bop : Mais
trêve de bavardages, Mon cher ami Rock a trouvé la carte. Cependant,
sans le médaillon pour entrer et éviter les pièges de Roger, elle ne
m’est d’aucune utilité… Je suppose donc que ta fille l’a en sa
possession… Où est elle ? Et ce pleutre de Boogie ?
Boogie,
de l’extérieur, réfléchi aux chances qu’il avait de s’en sortir
vivant et de sauver son capitaine. Et il fallait bien dire que
celles-ci étaient minces. C’est alors qu’il pensa à la sainte barbe.
Tout aussi discrètement que tout à l’heure, il se faufila dans la
pièce située sous le pont. Parmi les courses qui devaient être
faites tout à l’heure, la poudre était en tête de liste car on en
manquant terriblement. Il ne restait qu’un tout petit baril de
poudre ouvert et presque vide. Le sabreur prit une mèche qu’il
installa près du baril puis y mit le feu.
*BAOUM !!! *
BE-bop : *sortant affolé de la cabine du capitaine
avec Rock * Bon sang ! C’était quoi ça ? Balafré : Une explosion ! On y va
les gars, il y a peu être une fuite dans la coque ! Faut éviter que
ce rafiot coule, il vaut cher à la revente. Rock : Bom ! J’vais les aider !
Tous s’en allèrent à la cale et ne remarquèrent pas l’ombre
qui s’approchait de la porte et courrait en cabine. Slow était
vraiment très amoché et saignait fortement.
Slow : Boogie… Que… File… Vite… ma
fille… Boogie : En
sécurité. On file dans la barque. Slow : Non, le trésor est pour…
vous…
B.W. ne discuta même pas et mit le vieil homme sur ses
épaules. Slow venait de s’évanouir et il fallait mieux s’enfuir
avant que les six autres ne rappliquent. Malheureusement, à peine
après avoir ouvert la porte.
Petit chauve : Aïe ! Bon nez !!
Hein ?! alerte !!! B.W. :
Merde ! *transperce l’homme*
Y’a intérêt à filer.
Boogie couru sur le pont quand il vit
la tête du gros, suivie des autres chasseurs de prime commencer à
sortir de la trappe menant à la cale. D’un coup de pied sec, il
frappa le gros en pleine figure avec sa botte et celui-ci tomba en
fond de cale, entraînant les autres. Le décoloré courut sans
demander son reste puis se jeta à l’eau. Toujours en maintenant
Slow, que le contact avec l’eau glacée du port réveilla, il embarqua
sur sa barque et rama en vitesse en direction de la terre ferme.
Sur le Quartet, Be-bop, le balafré et les autres rageaient.
Balafré : Milles
épées ! Un sacré pactole qui s’enfuie. Faut les rattraper !
Be-bop : On a pas le
temps, j’aperçoit déjà des navettes de la marine qui s’approchent au
loin. L’explosion les auras avertis de notre présence et si ils
voient que nous sommes des pirates… Balafré : Oh que non… *claque des doigts* Je ne vois
aucun pirate ici.
Aussitôt que le balafré eut donné le
signal, le petit chauve pointa la lame de son sabre directement sur
le cou de Rock et Brew fit de même sur Be-bop sans lâcher sa
bouteille de Rhum.
Be-bop : Notre accord est donc
rompu… Balafré : Tu ne me
rapporteras peut-être pas de prime mais au moins je ne serais pas
accusé de connivence avec un pirate. Be-bop : Désolé mais tu mourra
avant. N’est-ce pas…Jazz ? Brew : A tes ordres chef !
Le balafré et le petit chauve furent fort surpris. Brew
laissa tomber son sabre et fonça vers son ancien chef qui n’eut même
pas le temps de dégainer le sien avant de se retrouver avec un trou
béant en pleine poitrine. Le petit chauve, surpris par la tournure
des événements, baissa sa garde, ce qui n’échappa au regard de Rock
qui le tua d’un coup de poignard dans le dos.
Brew : Voilà… *s’approche du cadavre du balafré*
Merci chef, grâce à toi j’ai enfin trouvé un pirate qui me
permettrais enfin de vivre une belle vie. Cinq ans de bons et loyaux
services enfin récompensés. Be-bop : Tu ne le regretteras pas.
Rock : Bom ! Vous auriez
pu me prévenir tout de même… Et si on filait ? Be-bop : Tu as raison. Brew, Dès
que nous arriverons dans un autre port, tu empochera les primes,
elles serviront a racheter un nouveau navire. Un nouvelle équipage
viens de naître : Les big band… Jazz te conviens comme nouveau nom ?
Jazz : Ok ! On fêtera ça
dans l’alcool ! Et pour le pendentif ? Be-bop : Pas grave, on le
retrouvera… Un jour où l’autre. Remontez l’ancre ! On s’arrache !!!
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